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Un renouveau

Chapitre 2

Hétéro
L’errance dans les rues qui aura duré trois bonnes heures m’a fait du bien sur le plan émotionnel. Une solution s’impose : ne rien faire, ne rien dire. Deux adultes ont consenti cet après-midi, le troisième n’a pas à savoir.
Je pense à Julie, j’hésite à l’appeler, c’est le motif tout trouvé pour esquiver une soirée avec Nelly et Eric. Mais non, je l’ai rencontré dans la journée. J’attendrai et ce soir je vais me rassurer gentiment, faire sentir à mon ami que tout va bien. Après tout, ce n’était qu’un moment d’égarement.
Je rentre donc et sans surprise, je croise le couple à table... avec mon ordi, mes photos affichées à l’écran...
Je tressaillis légèrement. Et puis Eric me regarde en souriant.
— Dis donc espèce de p’tit coquin... je t’apprendrais photographier ma femme à poil !
La photo de Nelly est affichée sur l’appareil. Je souris nerveusement... Mais j’assume. Pour moi, c’est artistique.
— Elle te plaît ? lui dis-je sans me défiler.— Carrément ! Le modèle est pas mal faut dire. Eric regarde sa petite amie.
Il se tourne vers Nelly avec un grand sourire. Elle le lui rend.
— C’est vrai... répondis-je.
Bon il sait donc que je l’ai vue seins nus, Nelly a dû lui dire que c’est elle qui l’avait voulu. Je me demande...
— Bon, allez ce soir, je cuisine, tu vas nous raconter cette histoire de photos de nichons ! insiste Eric.
Eric se lève et va dans la cuisine. Nelly me regarde avec un grand sourire. Je la regarde sans lui rendre. Je prends l’appareil photo... Je regarde l’écran et passe en revue les autres photos... Oui, je m’en doutais, j’ai quelques clichés de mon sexe en érection devant ses seins... Et je ne sais pas si Eric les a vus. Nelly se lève et vient me souffler à l’épaule : « Te tracasse pas avec ça ».
Nous mangeons et Eric me surine de leur raconter mes « aventures ». Et en préambule, il me fait une présentation plus précise à Nelly.
— Ivan, il a toujours été branché cul, sérieusement le mec ne pense qu’avec sa bite, ironise Eric, il disparaît pendant un an et demi, j’imagine même pas ce qu’il a du voir... alors c’est quoi ces photos ? »— C’est vrai, Eric m’a dit que tu étais un vrai chasseur. Nelly me sourit.— J’aime le sexe et j’aime quand il n’est pas exclusif donc ça implique pas mal d’aventure oui... Mais je ne suis pas un « chasseur » j’ai eu des relations très longues et je ne vois pas les femmes comme du bétail non plus, me justifiais-je.
Eric et Nelly me regardent, interloqués.
— J’ai jamais dit ça... alors... raconte, insiste mon ami.— Je voulais donner un peu de sens et d’érotisme à mes rencontres et c’est devenu un peu un petit rituel, photographier des femmes seins nus, parce que c’est beau, et parce que je ne me sentais pas capable de photographier des corps nus de façon gracieuse. Ce qui est curieux c’est qu’en effet, celles avec qui j’ai eu une aventure sont minoritaires. J’ai beaucoup plus photographié de femmes avec qui rien ne s’est passé... Et vous savez quoi ? C’est encore plus excitant de revoir ces photos en sachant qu’elles m’ont fait une totale confiance, assumant leur nudité même partielle et de les regarder maintenant...
Eric acquiesce, l’air de dire « respect », Nelly sourit : « En tout cas j’ai adoré... »
Je suis gêné au-delà de tout, mais qu’importe maintenant. Le repas se passe tranquillement. Je réclame de me coucher tôt et c’est ce que je fais.
Le lendemain, petit-déjeuner un peu tardif pour moi, je croise Eric qui part, ayant pas mal d’affaires à gérer. Et comme la veille, je me retrouve seul avec Nelly. Je prends mon café et je me sens encore plus gêné que la veille en tête à tête avec Nelly.
Elle est assise à côté de moi et bouquine. Elle porte un t-shirt gris et un minishort gris, en guise de pyjama. Moi un peu plus pudique, je porte un pantalon large et un t-shirt. Nelly est vraiment... vraiment bandante... Je m’efforce de ne pas bander. Puis Nelly me regarde. Son sourire s’élargit peu à peu... Puis elle éclate de rire.
— Tu es vraiment marrant comme mec...
Interdit, je ne sais pas quoi répondre... Elle reprend :
— Ivan ! Eric m’a beaucoup parlé de toi... Je te connais un peu, plus que tu ne crois, mais je ne m’attendais pas à tant de gêne avec toi... (je ne réponds pas). Non, mais sérieux ?! Tu m’as giclé sur les seins hier, tu vas continuer à faire semblant ?— Ecoute c’était... pour Eric c’est... — Eric le sait... Lui et moi on est libre, c’est notre mode de fonctionnement, je fais ce que je veux et lui aussi. — OK...

Nelly me sourit et depuis deux minutes, mon membre s’est levé... Mon pantalon large trahit mon excitation... A cet instant, je savais que j’allais la baiser. Je me disais soit elle ment pour que je la baise et donc je la baise, soit elle dit la vérité et donc je la baise. Je n’étais plus confus, mais déterminé, et mon attitude a changé, je la regarde...
Elle se lève, attrape mon téléphone, debout devant moi, elle fouille... Je cherche à comprendre...
Puis elle s’agenouille à côté de moi et écarte mon pantalon et sort ma verge. Je bande, mais pas à fond. Elle met mon sexe dans sa bouche et commence à le sucer, elle l’aspire avec force, je ne peux m’empêcher de pousser un gémissement... Ma queue gonfle et je deviens vite dur et raide comme la veille avant de jouir...
Nelly sort mon sexe de sa bouche et me sourit en me masturbant...
— Tu ne me crois pas hein ? À moi de prendre une photo.
Elle saisit mon téléphone et prend une photo d’elle, mon sexe dans la bouche et mon visage en arrière-plan, puis elle se relève et je la vois sur mon portable, je pense savoir ce qu’elle fait...
Elle se rassoit à sa place et me laisse mon portable. Je me sens très excité et en même temps un peu ivre de désir. Je saisis mon téléphone, je regarde : elle l’a fait, elle a envoyé la photo à Eric... Je la regarde... Je constate mon état, ma bite à l’air et raide comme du bois... Je regarde son sourire, sa bouche qui vient de me prendre le sexe, cette bouche pulpeuse... Et une notification... C’est Eric : « Amusez-vous bien ;) ».
Il le savait... Il est d’accord...
— Il est d’accord ?
Nelly se lève et m’enjambe, elle s’assoit sur moi.
— Il a adoré entendre comment je t’avais fait jouir sur mes seins (elle agrippe son énorme poitrine), il est d’accord oui... et même ça l’excite... (elle prend ma verge et se frotte l’entrejambe en remontant son bassin), il va vouloir des détails sur comment tu m’a prise par ici (je sens sa fente me caresser à travers son short jusque sur le gland) et par ici (elle bascule mon gland et ma bite derrière elle et s’assoit en reculant son cul, ma bite glissant entre ses fesses)
Et ça m’excite de savoir qu’Eric est d’accord, ça m’excite de la suivre dans ses mouvements, Nelly est très très sexy... Je ne tiens plus...
Je mets ma main sur son cul et la colle à moi, mon autre main est derrière son dos, sa respiration s’emballe et chaque mouvement que je lui impose la fait pousser un petit cri d’excitation... Je me lève et la soulève, je la pose sur la table et la bascule rapidement, mais avec assurance. Pendant que j’ôte son short en joignant ses jambes, contemplant sa petite chatte sublimement rasée, elle enlève le haut et dévoile ses seins... En un geste fluide, je saisis ma bite et la glisse en elle, la plante profondément dans ses entrailles... Je sens son corps m’avaler et je lâche un râle de plaisir...
— Oh putain ! j’ai rêvé de ça toute la nuit ! Vas-y baise-moi !
Je la baisais sur la table faisant trembler son corps nu et pulpeux sous mes coups de reins fermes et solides.
Je vois son corps en chair vibrer, balloter et des perles de sueur émaner de sa peau, les odeurs, comme un fumet, un mélange de nos corps, c’est le matin et c’est animal, musqué...
Ainsi face à elle, angle ouvert sur l’action, le moindre petit pincement de visage qu’occasionne chaque coup de queue asséné est gravé dans ma mémoire. Chaque petit gémissement : elle essaie vainement de communiquer, mais prise avec force, elle ne pouvait qu’étouffer ses mots dans son souffle saccadé et ses cris étouffés. Je la baisais durement, je déployais toutes mes forces dans la pénétration comme quand on hésite à y aller et que finalement on se lance, sans retenue, c’était permis, excitant et jouissif bien sûr. Je sais qu’elle n’est pas loin, et moi non plus, ça va durer deux ou trois minutes au plus, si je ne posais pas mon attention sur ses imperfections. Nelly est sur ses coudes et tente de me faire face. Les efforts qu’elle entreprend pour contrebalancer mes assauts sont énormes, elle a le visage déformé, comme si elle sentait une douleur. Je commence à penser que ça ne lui plaît pas, mais je continue à battre mon bassin contre sa croupe, et ses cuisses offertes.
Son ventre est plié et ses seins volumineux balancent en tout sens en un mouvement désordonné. La grâce avec laquelle elle m’avait fait jouir la veille avait disparu. Je me retenais plus facilement. Puis la perte de l’interdit, de toute frustration...
Je veux de la résistance, des circonstances bancales, du jeu, du danger... Je me perds, mais elle... l’orgasme la gagnait, comme j’amplifie mes efforts pour la pénétrer de plus en plus profondément, en vain, car ma morphologie a ses limites et la sienne aussi, elle laisse ses bras le long de son corps, s’étalant sur la table sur son dos, tête en arrière, gonflant sa poitrine et lissant son ventre, déployant sa gorge, la grâce de retour...
Je le savais, le sentais, sous mes doigts, là... Sa peau la trahit, respiration retenue et chair de poule, elle y était... puis sa voix : « OOhhhhh OUUUAIIII PUUUTAIIINNNNN » et le soupire de soulagement, les jambes se crispent et se ferment, et moi je bloque à l’intérieur, mon membre enfoncé dans son vagin, je maintiens fermement ma position, je crie à mon tour et me retiens encore, ma voix m’aide et mon instinct me dit que je dois être dur encore pour longtemps...
Elle écarte les jambes, son orgasme est passé et je me laisse doucement sortir de sa chatte pour la laisser reprendre ses esprits et faisant mes plans, cherchant la prochaine position ou le prochain exploit à accomplir. Cinq ou dix minutes de baise ne peuvent suffire à satisfaire cette fille si sensuelle, si vénéneuse...
Je braque ma queue devant son corps, elle pose une main sur sa chatte, elle relève la tête, je suis debout, elle me sourit... un soupir languissant : « hmmmmmm c’était trop bon... » Cette voix... Puis elle me dit :" tu as joui ?"
— Non... Dis-je le sourire aux lèvres, je me dis que je l’impressionne...— Putain, mais t’es con ou quoi ? t’avais pas envie ? — Bien sûr... — Et tu t’es retenu ?! Les mecs je te jure, t’es bien comme ton pote.

La comparaison ne me plaît qu’à moitié, les imaginer dans la même situation me gêne quand même un peu... Et sa réaction me surprend...
— Tu aurais pu jouir en même temps, ç’aurait été trop bon... T’as rien à prouver, tu sais ? me dit-elle.
Puis elle s’agenouille devant moi, me prend la queue à deux mains, commence à me branler avec force, je sens mes genoux faiblir...
— Allez vas-y putain ! Je veux te voir gicler ! Tu préfères venir dans ma bouche, sur mon visage ? Mes seins ?!

Sans me laisser répondre, elle me pompe, me suce et me branle avec une grande force, comme si elle me rendait la puissance de mes coups de bite. Et je regarde au premier plan sa bouche, ses cheveux, ses yeux, j’écoute ses gémissements, et au second plan ses seins coincés entre ses bras... à mon tour, je ne peu plus parler... je vais jouir... et comme je n’ai rien décidé... Elle écarte sa bouche, me masturbe avec ses deux mains, de sa forte poigne, me regardant et serrant les dents... Une forte contraction saisit mon corps, mon ventre, mes couilles et ma queue et un puissant jet de sperme blanc éclabousse le visage et les cheveux argent de ma partenaire, la meuf d’Eric... Je souffle en silence et expulse mon foutre au visage bientôt maculé de Nelly. Et c’est elle qui pousse les cris de soulagement pour moi. Pourtant l’orgasme est fort et je manque de fléchir dangereusement tant mes jambes sont en coton...
— Hmmmm ça fait du bien non ?
Regarder son visage que je viens de souiller m’emplit d’excitation. Eh oui ça fait du bien. J’ai sans doute manqué de vivre à fond ce moment au profit d’une performance que je n’avais pas à fournir. Nelly est satisfaite et n’avait nullement besoin de plus, simplement la juste dose de passion, de sexe et de plaisir qui nous a menés à cet acte.
Nelly se lève doucement, sourire aux lèvres entre autres... Elle se contentera de se rincer le visage au lavabo et de me rejoindre dans le canapé de leur salon, nue comme moi, nous avions envie de nous connaître mieux.
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