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La reprise

Chapitre 1

Hétéro
Lundi matin, 8h. Comme pour beaucoup, c’est la reprise... Nous nous retrouvons Marc et moi dans notre collège. Après nos aventures de l’été, cela fait toujours un peu bizarre de devoir mettre nos masques de simples collègues... Un chaste bisou sur les joues et les questions innocentes dont nous connaissons par cœur les réponses « - Salut, tes vacances étaient bonnes ? – Oui, j’ai baisé tout l’été avec toi et pris un pied d’enfer... » Voilà ce que nous voudrions répondre. Nous nous contentons des banalités standards « Oui, j’en ai bien profité, c’était cool ». Cependant nous n’arrêtons pas de nous jeter des coups d’œil discrets. Après deux mois de plaisirs partagés, le désir est toujours aussi fort, si ce n’est plus. S’ajoute à cela l’excitation du secret, de l’interdit... Marc se retient péniblement de me dévorer des yeux. Pour la rentrée, j’ai mis une petite robe noire patineuse, avec de la dentelle au niveau du décolleté et Marc une chemise et un jean qui met ses fesses en valeur. C’est un peu le rush, car les 6èmes vont arriver et il reste plein de choses à faire aussi on se met vite au travail pour cacher notre nervosité. L’excitation est à son comble tant du côté des élèves qui découvrent leur classe que de nous deux qui devons faire comme si de rien n’était. Mon corps s’enflamme à chaque coup d’œil. Même s’il me connaît par cœur, il crève d’envie de me prendre dans ses bras et de me prodiguer mille caresses. Ma tenue, toujours gentiment sexy, ne fait rien pour calmer son désir. J’ai envie de me déshabiller, de lui sauter dessus, de l’embrasser langoureusement, mais je me retiens en me mordant doucement la lèvre en pensant à nos aventures de l’été. Autour de nous, c’est le rush de la reprise. Bizarrement, je me sens détachée de cette agitation, simplement préoccupée de cette simple question: comment me retrouver seule avec lui ? De son côté, je devine que ses sens me réclament, et ni les élèves, ni les collègues, ni la direction ne parviennent à le distraire.
C’est à ce moment-là qu’on nous annonce qu’il faut monter les cartons des professeurs dans leur salle et je saute sur l’occasion pour lui demander de m’accompagner dans les étages. Il devine à mon regard que je ressens les mêmes émois, que je veux user de son corps, prendre mon plaisir par lui. Comme les élèves sont dans la cour, il s’empresse d’accepter ma proposition. Sous cette innocente et pragmatique demande, il a compris que j’ai trouvé là le moyen de nous isoler. Je récupère un chariot, il le charge des cartons et me suis en direction de l’ascenseur... Le désir me semble palpable entre nous et j’ai peur qu’un collègue ou même un élève nous grille, mais rien. Il s’est approché de moi tandis que j’appuyais sur le bouton d’appel, de sorte que je me retourne dans ses bras... Nous pénétrons dans l’ascenseur, j’en profite pour me rapprocher de lui et dès que la porte se referme je l’embrasse. Nous échangeons un long baiser prometteur et tandis que nos langues s’emmêlent avec délice, Marc en profite pour passer sa main sous ma jupe et me caresse.
Il répond à mon baiser avec fougue : ma bouche est un appel au plaisir. Je me colle encore plus contre lui et passe mes mains sous sa chemise. Il colle son bassin contre le mien et je remarque la violente érection qui l’anime. La porte de l’ascenseur s’ouvre au 3ᵉ et il s’écarte à regret.

Nous nous dirigeons vers la première salle, j’ouvre la porte, entre déposer le carton et remarque que Marc me suit. Je m’assois alors sur le bureau et l’attire à moi. Il tire le chariot dans la salle pour que personne ne soupçonne notre présence. Marc s’approche de moi et j’enserre ses reins tandis que mes mains replongent sous sa chemise. Il m’embrasse à nouveau profitant de mon étreinte. Je ne tarde pas à ouvrir les boutons de son pantalon et à glisser la main dans son boxer pour m’occuper de cette érection. Il caresse mon dos, mes épaules... je crois qu’il les trouve belles nues... Pendant que je prends son sexe en main, il vient dézipper ma robe et l’entrouvre pour libérer mes seins... Nous n’avons pas beaucoup de temps, mais j’ai envie de profiter de lui. Il est complètement excité, par moi, par la situation et le risque d’être surpris... J’avoue que je suis dans le même état. La chemise ouverte, la queue exhibée, il n’a plus qu’une envie, me prendre là, sur le bureau. Et je n’attends que ça.
Mais avant qu’il me le demande, je prends son sexe dans ma bouche et commence à le sucer. Il est dans un tel état d’excitation qu’il va jouir d’une seconde à l’autre... Je lève les yeux vers lui puis me relève rapidement et me retourne pour lui présenter ma croupe. Marc se baisse pour me prodiguer quelques baisers sur mon clitoris qui gonfle de plaisir. Il savoure ma cyprine qui inonde déjà mon sexe palpitant de désir. Il aspire délicatement mon clito entre ses lèvres et obtient un gémissement en récompense. Mais j’en veux plus et Marc se relève pour présenter son sexe à l’entrée de mon vagin. J’en frémis de plaisir. Penchée sur le bureau, je suis totalement offerte à son sexe tendu. Il glisse en moi d’un seul coup, doucement et à fond. Mon plaisir est à son comble, le collège est loin de mes pensées. Il reste ainsi un instant immobile, planté en moi. Nous ne faisons qu’un dans le plaisir. Puis très doucement, il entame de longs va-et-vient, se retirant presque entièrement, mais pas tout à fait.
Un premier orgasme me laisse pantelante. Mes lèvres se contractent sur son gland, puis s’ouvrent pour laisser passer toute sa queue. Chaque mouvement lui procure une onde de plaisir et mes gémissements lui laissent comprendre que c’est un plaisir partagé. Marc accélère et je sens que sa jouissance n’est pas loin non plus. Il se retient, en sachant qu’il ne résistera pas longtemps... Après une courte accélération, il se répand dans son ventre avec un râle de plaisir étouffé. Je le rejoins dans sa jouissance et nous partageons un puissant orgasme. Je sens son sperme pulser en nombreux jet à l’intérieur de moi et cette sensation est délicieuse. Nous sommes à l’unisson et nous voulons prolonger ce moment. D’un seul coup la sonnerie retentit et nous ramène à la réalité du collège, j’aide Marc à se rhabiller et nous terminons notre travail. Mais nous ne regarderons plus le bureau de la salle 334 de la même façon désormais. L’année commence bien !
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