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Resserrer les liens familiaux - Les Seychelles de Jacob

Chapitre 1

Inceste
Cela faisait une semaine que nous étions en vacances aux Seychelles. Un moyen de resserrer les liens de la famille avant que chacun n’aille faire son bonhomme de chemin ailleurs. Nous étions quatre :
• Moi, Jacob, jeune homme de 19 ans à la vie simple et ordinaire.• Julie, ma sœur, 20 ans, une fêtarde accomplie.• Frank, mon père, éternel aventurier qui ne renonce à rien malgré le poids des années.• Sylvie, ma mère, pour qui la famille représente un patrimoine sacré.
Cette année, nous avons traversé plusieurs étapes difficiles, des conflits marqués et redondants entre ma sœur et moi, et une sombre affaire concernant mon père dont je ne sais quasiment rien. Quoi qu’il en soit nous sommes partis sur cet archipel paradisiaque pour mettre de côté tous ces tracas.
Les premiers jours furent somptueux : découverte des plages au sable doux, activités nautiques, etc. Mais le plaisir s’estompa peu à peu au fil du temps, pour laisser sa place à un ennui qu’on ne s’avoue pas.

Aujourd’hui je suis resté seul à l’hôtel, ils tenaient à faire de la plongée sous-marine et moi… pas. La télé locale ne parvenait guère à me divertir. Je remarquai alors le PC portable de Julie laissé en vrac sur son lit — puisque nous occupions tous les deux la même chambre. J’étais d’un naturel très curieux, que d’aucuns qualifieraient de pervers. J’adorais fouiller dans les affaires des gens pour voir comment ils organisaient leur vie.
J’allumais la bête. Eh bien, c’était un beau bordel, comme je le savais déjà. Une nuée de malwares avait infecté le pauvre animal, et je ne lui donnais pas plus d’un an à vivre. Elle faisait vraiment n’importe quoi, quelle irresponsable. Mais je n’étais pas là pour réaliser un diagnostic, non j’avais un objectif bien plus licencieux en tête : arpenter l’historique internet de ma frangine. J’avais toujours eu envie de le faire, mais l’occasion ne s’était jamais si bien présentée.
Elle n’avait rien effacé. Je fus surpris par la régularité de ses visites sur des sites pornographiques : environ une fois par jour, soit vers 16 h, soit en fin de soirée. Même moi je ne me masturbais pas aussi souvent. Le contenu visité était assez pauvre : un seul site internet (Youporn) et des vidéos tout à fait banales, sans cachet. Vu les heures de visite, elle faisait son affaire en cinq à dix minutes puis passait à autre chose. Tout l’inverse de moi : je préférai y aller moins souvent, mais prendre le temps de faire monter le plaisir pendant 30 min, voire plus, et devant un film entier téléchargé, ou bien une série intégrale d’animés hentai.Malgré tout, la découverte de ses habitudes avait fait naître en moi une forte excitation que j’eus du mal à contenir très longtemps…

Le trio manquant revint dans la soirée. Nous sommes allés manger, et ils n’ont cessé de me faire part de leurs exploits, du requin qu’ils avaient vu « de près » et des gens qu’ils avaient rencontrés. Les parents étaient exténués alors nous sommes remontés assez tôt. Julie, elle, pétait encore la forme.
— Tu veux qu’on se fasse un film ? Lui proposais-je.— Eh ouais, mais c’est payant leurs DVD à l’accueil là, non ?— Rha lala, t’en fais pas, j’ai ce qu’il faut dans la chambre.

Très pro, j’avais pensé à amener mon disque dur de films avec moi et un câble HDMI. Pour éviter un énième conflit, je l’ai laissé choisir le film de son choix, en faisant mine d’être enthousiaste, alors que je l’avais vu le mois dernier. Nous étions tous les deux allongés dans notre lit respectif. Une fois le film terminé, elle prit son ordinateur sur ses genoux et pianota généreusement.
— Tiens Jacob, tu pourrais me montrer comment tu fais pour télécharger des films ? — Alors comme ça tu veux rejoindre la piraterie ?— Ben… ouais tout le monde le fait mais… c’est pas trop mon truc les ordis, tu sais, alors… si tu pouvais me montrer.— Bon très bien. Mais on va rien DL ici, car c’est pas notre wifi, et je veux pas qu’on ait des problèmes avec l’hôtel.— Si tu le dis !
Je me déplace jusqu’à son lit, nous sommes tous les deux en tailleur face à son PC.
— Bon, déjà tu vas sur ce site. Hop, je te le mets dans tes favoris. Ensuite faut que j’installe bittorrent… Petite config » perso… hop… accepter, accepter, accepter, fin. De ce côté c’est bon, maintenant, sur le site, faudra que tu te crées un compte, mais là la flemme on va juste aller sur le mien. Je me log et je te laisse gérer maintenant, je te dis juste où faut cliquer.— Ok, ok…— Bon par exemple tu veux voir quel film ?— Heu… tiens le dernier Tarantino, les huit salopards.— Ça marche, tape ça dans la barre ici. Nickel, maintenant tu cliques là.
La page affiche tout une liste de résultats, la plupart font référence au film dans différentes versions, mais deux résultats sont relativement différents : « Les Huit Salopes du manoir » et « Une parisienne un peu salope ». J’avais oublié que le filtre des vidéos x était laissé désactivé en permanence sur mon compte, ce genre de contenu étant « habituel » pour moi.
— Ho c’est quoi ça ahah ! Les Huit Salopes du manoir ?— Heu ouais il y a aussi ce genre de contenu sur le site… mais du coup pour les Huit Salopard tu peux cliquer là…— Attend on va s’marrer, je veux voir comment ils présentent ça héhé.
Elle clique sur « Les Huit Salopes du Manoir ». Une page s’affiche avec la jaquette du film : huit femmes plus ou moins dénudées, avec pour seuls atours des ceintures de munition, des fusils, quelques colts, des chapeaux, et des semblants de fourrure. Le tout devant une auberge enneigée et avec au centre ce qui semblait être la parodie de Samuel L. Jackson en costume d’officier américain.
Julie n’en pouvait plus, elle était partie dans un fou rire incontrôlé. Pour moi il s’agissait davantage d’une gêne étrange. Une fois calmée elle s’exprima :
— Mais il y a des gens qui regardent ça ?
Elle était en train de se foutre de la gueule de gens qui essayent de mettre un peu de narration et d’érotisme dans un film alors qu’elle se branle devant des vidéos hardcore en 5 min.
— Bien sûr.— Genre toi ?
C’était plus difficile que je le pensais de l’admettre devant ma sœur, mais sachant qu’elle était bien pire que moi je n’avais rien à craindre sur un tel sujet.
— Ouais totalement. Totalement, je préfère regarder un bon film comme ça avec un scénar » même s’il est pas ouf, plutôt que toutes les vidéos porno dégueulasses du net que tu peux trouver sur Youporn et compagnie.— Wow calme ta joie frérot !— Non mais c’est juste que j’en ai marre des gens comme ça qui n’essayent pas de trouver un peu mieux que ce que le premier site gratuit leur propose… j’ai plein de potes comme ça…Poussé dans mon élan, j’étais allé assez loin, peut-être trop, en tout cas j’avais touché ma cible.— Bha après… moi je t’avoue qu’en la matière j’connais pas trop, ça m’arrive d’aller sur youporn de temps en temps, mais je passe pas non plus ma vie là-dessus alors bon… mais j’te dis je connais pas trop alors…
J’en revenais pas, elle venait de se dévoiler comme ça. J’aurai jamais pensé ça de ma sœur. Cela dit, je n’aurai jamais non plus pensé lui parler de mon point de vue sur le porno moderne… Il fallait que je saisisse l’occasion.
— « j’connais pas » est un argument qui revient souvent, oui. Tu sais, moi je dis ça comme ça, mais si tu veux j’ai plusieurs films sur mon disque, je peux les mettre sur ton PC si t’as envie d’essayer.— T’as ça toi ? hum…— Dis-moi quelles sont tes préférences et je te fais une suggestion.— Mes préférences ? Heu… j’sais pas un truc classique quoi…— Ok ok… Bon, tiens on va te mettre ça.
Je branche mon disque sur son PC et je lui copie colle « Xconfessions » qui est une suite de pastilles plutôt bien réalisées, parfait pour un débutant.
— Bon aller, moi je vais me coucher, amuse-toi bien. J’éteins la lumière.
En regagnant mon lit, je n’y croyais plus trop. Je lui avais tout donné, mais elle n’oserait probablement rien faire tant que je serai là.
— Heu…— Quoi ?— La vidéo se lance pas.— Attend j’arrive.
La lumière de son écran m’éblouit un peu.
— Tes codecs sont pas à jour, attend je règle ça. Voilà c’est bon.
Je lui lance la vidéo pour être sûr que tout fonctionne. Effectivement, ça marche. Comme ces moments où on a rien de particulier à faire et que l’on se fait absorber par la télévision, je restai regarder le début de la première pastille. Je l’avais déjà vu trois fois, ce film comptait parmi mes favoris. Je me permis un commentaire.
— Tu verras, ça commence doucement, au début il ne se passe rien le temps que l’atmosphère soit posée.
Effectivement tout n’est que blabla au début, mais cela permet de mieux introduire le cœur de la scène suivante.
— Ah ben il perd pas de temps lui… commenta-t-elle à son tour, lorsque la véritable action commença.— Tu vois cette scène de fellation est longue mais filmée d’une manière assez originale. — Tu t’es reconverti en critique de film X toi ou quoi ? ahah.
La suite de la pastille se déroula sans un mot.
— Alors comment tu as trouvé cette mise en bouche ?— Sur ce coup… je dois t’avouer que c’était pas mal, ça change pas mal de ce que j’ai l’habitude de voir… Je pensais pas que les gens pouvaient faire des trucs « sérieux » sur le cul.— C’est tout un monde à côté duquel tu es passé…— Ouais ouais… heu du coup ça te dérange si on regarde ça sur la télé, je serai plus à l’aise, j’aime pas trop avoir l’ordi sur moi.— Heu ouais pas de problème je t’arrange ça.
Le film continua alors de défiler sur la télé centrale, j’avais regagné mon lit. Après quelques minutes seulement, j’entendis les draps du lit de ma sœur plisser selon des mouvements réguliers. Nul doute qu’elle s’était mise à l’ouvrage. Cette situation inédite — ma sœur se masturbant dans la même pièce que moi, et un de mes films préférés passant à la télé — fit monter en moi une excitation nouvelle, que je n’avais pas ressentie jusque-là avec d’autres filles. Mon pénis était d’une sensibilité extrême comme je ne l’ai jamais connu. Je m’emparai rapidement d’un mouchoir pour éviter tout sinistre en cas de débordement incontrôlé. J’entendais Julie qui commençait à gémir de plus en plus fort et rapidement. Il ne s’agissait pourtant que de la deuxième pastille, il en restait trois.
— Juste un conseil, mais ne va pas trop vite… laisse-toi le temps… tu verras le plaisir final n’en sera que décuplé.
Elle ne répondit rien, mais son rythme ralentit.
— En fait j’ai super chaud là-dessus ça te dérange si…
Elle se rendit compte qu’elle n’avait pas à me demander mon avis, puis dégagea le drap qui la recouvrait. La pièce n’était éclairée que par la télévision, mais j’avais un bon aperçu de son corps d’ange. Sa main gauche était glissée sous sa petite culotte qui n’avait plus rien de sec désormais, alors que sa main droite enserrait le matelas d’une poigne ferme. Cette main semblait se balader de temps à autre du côté de ses petits seins, recouverts par un débardeur léger. Son visage était partagé entre plusieurs grimaces, mais elle essayait de se focaliser sur la télévision. J’avais disparu pour elle, à ce moment-là.
Vers le milieu de la quatrième pastille, je sentis que l’excitation devenait insoutenable pour elle. Elle laissa son corps à la merci du plaisir. Mon engin n’en pouvait plus lui non plus, et après quelques caresses manuelles, j’atteins un orgasme profond et… vraiment très fourni en sperme. Si bien que mon seul mouchoir fut un bien piètre barrage pour le flot impétueux. Je suis sûr qu’elle entendit mon jet gicler, et cela ne fit qu’amplifier ma plénitude.
Peu de temps après, alors que j’avais nettoyé mon chantier tant bien que mal, je vis ma sœur ramer de plus en plus fort avec un bruit de succion très distinct, puis tout son bassin fut soulevé en l’air, comme par je ne sais quelle providence. Sa tête s’engouffra dans un oreiller pour crier tandis que sa main travailleuse s’arrêta par intermittences. Enfin, après de trop courtes secondes, le fessier si dignement dessiné de Julie retomba sur le lit, accompagné par le souffle coupé de cette dernière.
— Merci, frérot… merci…
Puis elle s’effondra dans un sommeil profond. Je la regardai allongée avec un œil bien différent de celui que j’ai toujours pu poser sur elle, puis j’éteignis la télé. J’avais bien travaillé, il était temps de dormir dorénavant. 
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