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Resserrer les liens familiaux - Les Seychelles de Jacob

Chapitre 5

Inceste
Après cette expérience troublante, j’avais lâchement abandonné ma sœur à sa sieste forcée pour profiter de la fraîcheur de la piscine de l’hôtel. Je pus me faire quelques amis d’un jour : un allemand et un hollandais. Nous communiquions dans un anglais moyen, agrémenté de plusieurs mimes. Le reste de la journée passa donc relativement vite, et fut constitué de concours de plongeon et autres acrobaties aquatiques.Enfin, sur les coups de 19 h, j’aperçus mes parents qui rentraient de leur ballade sur le sentier côtier.
— Alors fiston, tu t’es bien amusé ?— Carrément, j’ai rencontré un mangeur de choucroute et un Batave.
Franck me regarda d’un drôle d’air, il n’était pas habitué à ce genre de vocabulaire venant de moi. Ça me semblait plus drôle dans ma tête, tant pis.
— Et ta sœur ?— Elle est là-haut, elle comate devant sa télé, comme tu la connais.— Ahlala, la sacrée… bon on va manger au restaurant directement, ce soir on se couche tôt pour partir de bonne heure demain, alors va chercher Julie.— Ça marche ! m’exclamai-je avec un faux enthousiasme.
En réalité je n’avais aucunement l’intention de remonter jusqu’à la chambre, alors je lui envoyai un SMS pour la prévenir, en espérant que la sonnerie de son téléphone la réveillerait.Il n’y avait pas grand-monde dans la salle du restaurant, mes parents avaient choisi une table dans un angle. Franck avait déjà un demi en face de lui, tandis que Sylvie, ma mère, sirotait doucement un cocktail multicolore.
— Elle arrive… soupirai-je tout en m’asseyant, et en les coupant dans leur discussion.— Alors papa me dit que tu as rencontré du monde cet après-midi ? amorça tendrement ma mère.— Oui, Lars et Alex. Un hollandais et un allemand.— Ah c’est bien que tu aies pu t’entendre avec des étrangers, parfois c’est pas facile…— Ils sont sympa oui, après on a un peu de mal à communiquer, comme il n’y a qu’Alex qui est vraiment doué en anglais. Sinon on apprend des mots de chaque langue, c’est marrant.
Bien entendu, nous nous étions concentrés sur des mots fort peu châtiés, les deux autres étant de gros lourdingues sur le sujet.
— Ah c’est bien fiston, tu te coucheras moins bête ce soir… c’est ça la beauté du voyage : les rencontres, les cultures, le partage, etc.
— Oui, et puis comme ça il ne s’est pas ennuyé au moins, c’est bien.
Sur ces bons mots, Julie fit irruption dans la salle. Ses cheveux étaient hirsutes, elle s’était habillée à la va-vite en piochant dans « Le Tas » : débardeur parcouru d’innombrables plis, et un de ses mini-shorts en jeans. Elle s’assit entre moi et mon père.
— Hé Julie… tu aurais quand même pu t’arranger… je sais qu’on est en vacances, mais on est au restaurant quand même… s’insurgea poliment Sylvie.— Ouais ouais… répondit-elle, non sans un soupçon d’impertinence.— Tu as encore passé la journée devant la télé ?— Oui, j’étais crevée.
Juste après ses dires, elle déposa discrètement sa main sur ma cuisse. Normalement, j’aurai dû chercher à l’enfoncer en répliquant quelque chose du genre « crevée de ne rien faire ? », mais curieusement je n’en avais pas envie.
— Hum, vous voulez quelque chose à boire les enfants ? Un coca, jus de fr… demanda innocemment mon père, avant de se faire couper par Julie.— Je prendrai bien une pression, j’ai une de ces soifs…
Elle serra un peu plus ma cuisse avec sa poigne. Sa réponse était tout à fait inédite, elle n’avait jamais bu d’alcool au sein de la famille, bien que sa consommation extérieure était connue de tous. Ma mère eut un geste de recul, et Franck avait le regard perdu sur le verre vide de ma sœur, se disant probablement « Ah, c’est bien ma fille ça ! ».
— Et toi Jacob ? questionna ma mère, comme si elle s’attendait à une réponse encore pire.— Un simple jus de mangue fera l’affaire, la rassurai-je.
Cette situation avait jeté une sorte de froid sur la table pendant toute la durée de l’apéritif. Nous avions alors parlé de choses sans intérêt pour meubler la soirée, mais la main de Julie, quant à elle, ne quitta pas ma cuisse, elle s’y baladait tranquillement, du genou jusqu’à l’aine. Au moment du plat de résistance, sa jambe s’était également entortillée autour de la mienne, tel un boa constrictor. Il y avait définitivement quelque chose de changé chez Julie, dans son attitude, son comportement. Elle n’aurait jamais fait ça auparavant, même à l’un de ses copains, et encore moins en présence des parents.Arrivé au dessert, son jeu devenait insoutenable et dangereux : sa main était maintenant autour de mon sexe en érection, au travers de mon short. Elle me massait doucement le gland comme si elle avait fait ça toute sa vie, puis venait parfois caresser mes testicules. J’essayai de la repousser avec mon bras, mais elle revenait sans cesse à la charge, bien décidée dans son idée. Tout à coup, ma mère se leva.
— Je vais aux toilettes, je reviens.
Julie arrêta immédiatement de me tripoter le service trois-pièces, puisque debout ma mère avait une vue plongeante sur mon short. Son regard s’y attarda quelques instants, puis, choquée, elle continua sa route vers le couloir. Elle venait de voir une bosse énorme défigurer le vêtement, alors que nous étions en dîner de famille. Une honte suprême m’envahit alors, c’était l’effondrement d’un monde, c’était toute une image à reconquérir auprès de ma mère. Je l’imaginais déjà débâtant avec mon père « Notre fils est un obsédé, ne devrait-on pas lui faire aller voir quelqu’un ? un psychologue ? un spécialiste ? ».Julie, quant à elle, se marrait, silencieusement. Tout ça c’était de sa faute, et je n’avais qu’une seule envie, l’étriper en place publique ! J’essayai de garder mon calme tant bien que mal. Mais par rage, je ne pus m’empêcher d’envoyer un coup de poing dans la cuisse de ma sœur, ce qui la fit rire davantage encore.Lorsque Sylvie revint des toilettes, elle m’afficha un bref regard inquiet avant de m’ignorer totalement pour le reste de la soirée. J’étais fini. Perdu dans mes réflexions, je n’avais prêté aucune attention à la suite des événements. Nous avions souhaité bonne nuit aux parents puis avions regagné notre chambre.
— Putain Julie mais qu’est-ce qui t’a pris de faire ça ?! — Oh ça va… c’était marrant ! Et puis tu bandais bien mon cochon, ça avait l’air de te plaire ahah !— Mais t’es vraiment trop conne, tu viens de ruiner ma réputation auprès des parents…— Bha ils s’en foutent… c’est normal de bander pour un mec…— OUI MAIS PAS PENDANT UN DÎNER EN FAMILLE !— Ahah, t’es trop marrant quand tu t’énerves, c’est presque mignon…— Putain mais j’y crois pas, qu’est-ce qu’il t’arrive Julie, t’as complètement changé depuis hier ! Je te reconnais plus là…— Allez détends-toi un peu frérot… Tiens bouge pas, je vais me faire pardonner.
Elle disparut alors dans la salle de bain. Pour ma part, j’étais assis sur mon lit, la tête perdue entre mes mains, essayant de réaliser la situation. Moins d’une minute après, Julie ressortit vêtue de la combinaison en latex.
— Mais t’es pas sérieuse là… j’ai vraiment pas la tête à ça…— Tu es bien sûr de ça ?
Elle s’approcha avec un déhanché quasi-professionnel, qui faisait ressortir les courbes de sa taille ainsi que le pli de ses grandes lèvres. Elle arriva à quelques centimètres de mon visage. Le latex était luisant et toujours embaumé d’un parfum de bergamote. D’une main elle écarta son sexe, et de l’autre elle attrapa doucement ma nuque.
— Vas-y, approche, tu peux toucher, tu peux lécher, annonça-t-elle d’une voix étonnamment sensuelle.
Forcé par le contact du latex brûlant dans mon cou, mon visage se rapprochait lentement de la vulve saillante de la créature lubrique qu’était devenue Julie. Dans un éclair de raison, je tournai néanmoins le cou, pour m’interdire ce spectacle macroscopique.
— Ohh… tu te fais du mal petit frère, laisse-toi aller… me susurra-t-elle affectueusement.
Elle resserra son emprise sur mon cou, mais je ne pouvais céder à cette tentation obscène. Seule la face gauche de mon visage se colla contre son pubis.Déçue, elle me relâcha.
— Si ce côté-là n’est pas le bon, essayons l’autre… déclara-t-elle, tout en se retournant, en écartant légèrement les jambes, et en se baissant en avant.
Face à moi s’établissait le cul ultime, celui que j’avais tantôt érigé en maître sur l’autel du bon goût. Il n’avait pas changé, c’était toujours le même, toujours aussi énigmatique et regorgeant de beauté. J’avais du mal à me concentrer.
— Je connais le regard que tu poses sur mon cul depuis toutes ces années. Il t’obsède ! Il te rend fou ! Aujourd’hui il est là, rien que pour toi, tu peux lui faire ce que tu veux. Touche-le, écarte-le, il n’attend que toi.
Hypnotisé par cette invitation au crime, mes mains s’étaient déjà instinctivement posées sur les deux fesses de Julie, magnifiquement présentées dans cette position inhabituelle. Sur la surface sombre et glissante, mes pouces se rapprochèrent petit à petit des abysses de sa raie. Enfin, lorsqu’ils furent suffisamment enfoncés, ils écartèrent ces montagnes majestueuses, pour faire apparaître au grand jour le fond de cette fosse interdite. Le contact était si agréable, et j’y appliquai tant de pression, que la rosette de ma sœur passa d’une forme parfaitement circulaire à une sorte d’ovale accueillant, légèrement ouvert, et toujours paré de cette sombre étoffe. Poussé par mes plus profondes pulsions, mon « ça », je déposai ma langue sur son périnée. La sensation était particulière : c’était doux et chaud avec un petit goût fruité. Puis je la fis glisser lentement vers le haut. Sur le chemin, elle s’enfonça quelques instants dans le cratère entrouvert, puis continua sa route.
— Oui, c’est parfait ! Continue, Jacob, continue ! s’engoua-t-elle d’un air endiablé.
J’enfonçai alors mon visage entre ces deux collines lisses et brillantes. Quelle sensation, de sentir ses joues et sa mâchoire, ainsi comprimée par deux mastodontes. Ma langue pénétra alors sans détour la porte ovale qui me faisait tant fantasmer. Elle s’enfourna dans ce brasier ardent, essayant à chaque fois de toucher les plus profondes flammes. Peu à peu, l’âtre se fit plus large, à tel point que ma langue pouvait y entrer à son maximum, uniquement limitée par sa propre taille.C’était le moment de voir, alors je dégageai ma tête de ce confortable sarcophage, puis introduisit mes deux pouces dans son orifice surexcité, avant d’en écarter lentement les parois. C’était incroyable, le latex avait pénétré à l’intérieur de ses entrailles et semblait en tapisser le fond. Voilà qui mettait de côté toute préoccupation d’ordre hygiénique, à mon grand plaisir. Je continuai quelque temps ce jeu d’écartement, avant que Julie ne se retourne brusquement.
— Finit de jouer, maintenant on passe aux choses sérieuses, affirma-t-elle sans hésitation.
Elle me poussa alors violemment contre le lit, puis retira mon short d’un geste brusque, laissant mon sexe raidi retomber sur mon torse. Elle s’accroupit de dos au-dessus de moi, puis empoigna ma verge d’une main ferme. Le contact du latex sur mon sexe me fit sursauter de plaisir. Enfin, elle le dirigea jusqu’à l’entrée que je m’étais efforcé d’élargir jusque-là. La vue de ce cul somptueux qui s’enfonçait sur ma bite valait tous les trésors du monde. Rapidement, mon gland fut englouti, puis l’intégralité de ma tige, jusqu’à la garde. Julie était désormais complètement assise sur moi. Je sentais ses entrailles en ébullition au travers de la fine couche de latex qui séparait mon pénis de son rectum. Plutôt que d’effectuer des vas-et-viens, elle tomba sur ses genoux tout en se penchant en avant, ce qui inclina également ma bite dans une douleur passagère. Ainsi positionnée, elle m’offrait une vue plus spectaculaire encore de son séant bombé et de sa cambrure divine. Puis elle se mit à effectuer de petits mouvements circulaires autour de mon pieu, toujours enfoncé jusqu’à la base dans son fondement méphistophélique.
Mon gland frottait contre les parois de son intérieur au rythme de plus en plus rapide de ses déplacements.Après quelques minutes de ce manège délicieux, elle se redressa plus en arrière et donna toute une série de violents coups de reins, d’avant en arrière. Dans cette situation, j’avais plus l’impression d’être pénétrée par elle que le contraire. Mon sexe ne put que docilement se plier à ses exigences.Enfin, alors que je n’étais guère loin de la jouissance, elle se cambra complètement en arrière en s’appuyant sur ses mains, de part et d’autre de mes épaules. Sa longue tignasse s’échoua sur mon visage, alors que son coccyx était désormais complètement appuyé sur la partie supérieure de mon pubis, ce qui activa en moi une zone érogène que je ne soupçonnais pas. Mais elle décida de se soulever légèrement avec ses pieds, ce qui était une invitation très explicite à la pénétration. Sans réfléchir, je donnai à mon tour de violents coups de reins afin d’introduire au plus profond mon membre au bord de l’explosion dans son anus. La sensation était parfaite, ma bite ne s’enfonçait ni trop facilement ni trop laborieusement.Juste avant d’atteindre le point de non-retour, j’eus un geste incontrôlé : avec mes deux bras, j’enlaçai le corps de Julie qui se trouvait juste au-dessus de moi. Ne pouvant supporter ce poids, elle tomba dos contre mon torse, et je resserrai encore mon emprise autour de son buste sombre et luisant. Sa tête retomba à côté de la mienne, et je pus observer son regard imprégné d’une folie sexuelle incontrôlable. Les stimuli étaient trop nombreux, et j’atteins aussitôt un orgasme dévastateur. Je sentais les jets successifs de sperme éclater contre le latex à l’intérieur de Julie.
Dans le même temps, après s’être rapidement stimulé le clitoris, elle fut elle aussi parcourue d’un orgasme, et tout son corps remua frénétiquement sur le mien. Jusqu’à extinction du plaisir.Elle roula doucement sur le côté afin de me permettre de respirer un peu, dégageant ainsi ma lame fatiguée de son doux fourreau. J’étais en nage, au bord du malaise. Ma bite s’était libérée, pourtant je sentais encore une sorte de présence autour d’elle. Je rassemblai alors mes dernières forces pour me relever du lit.Je constatai avec horreur qu’un large bandeau de latex était enroulé autour de mon sexe, du gland jusqu’à la base de la verge. Au milieu, semblait être imprimé un motif de croissant de lune en or ainsi que plusieurs inscriptions en arabe. À bout de force, je retombai néanmoins en arrière. Ma dernière vision avant de rejoindre le pays des songes fut de voir le visage sadique de Julie me déclarant « Bienvenue au club… » puis m’embrassant langoureusement.
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