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Un resto pas comme les autres

Chapitre 3

Trash
Nous rentrons. J’ouvre la porte et te laisse entrer avant moi. Je mate ton cul comme un porc, il m’excite tellement. Je ferme la porte, tu poses ton sac et là. Je te plaque contre le mur, tu es face contre le mur, ton visage écrasé et les mains bien à plat contre le mur, je frotte ma queue contre toi, je passe mes mains sur tes épaules et tire tes cheveux d’un coup sec en arrière.
— Tu vois comme tu m’excites petite salope, je suis tout chaud de ta faute, tu veux jouer, tu veux ma queue, pas de soucis, tu vas être servie.
Je te retourne dos au mur, tu me regardes avec ses yeux qui en disent long, ce regard de braise, ce regard de chienne, j’ouvre mon pantalon et j’en sors ma queue, elle est dure, je bande comme un fou, tu m’as excité toute la soirée et j’ai envie de me lâcher maintenant.
— Mets-toi à genoux ma cochonne, je veux ta bouche, je veux ta langue, je veux ta bave, ouvre-la et sors la langue.
Tu ouvres la bouche et sors la langue, j’approche mon gland et dès qu’il touche ta langue, je me retire, je te fais languir, je joue de longue minute, tu me réclames, mais je ne te donne pas ce privilège comme ça, il faut que tu le mérites, j’approche ma queue puis je la retire, j’approche puis je retire, plusieurs fois.
— Dis-moi ce que tu es pour moi, dis-moi comment tu te sens, dis-moi ce que tu es vraiment, je veux t’entendre le dire, dis-le fortement, je veux t’entendre.
Tu me cries ces mots que j’aime entendre dans ta bouche, tu es si chaude que tu ne te contrôles presque plus.
— Je suis une petite cochonne qui réclame une bonne queue bien dure entre ses cuisses et qui est prête à tout pour l’avoir et jouir.— Répète-le !!!!!
Après tes mots, j’enfonce ma queue dans ta bouche lentement, mais ne m’arrête que quand tu étouffes, mais tu résistes, tu baves avant de déclarer forfait et me repousser, je baise ensuite ta bouche de longue minute en te traitant des plus beaux mots crus que tu adores entendre.Je te prends l’arrière de la tête et mets une main à ton cou, je serre et te remplis la bouche de ma queue, je te bourre la gorge comme une petite salope, ensuite, je te redresse et te mets les mains au mur, je laisse glisser mes mains le long de ton corps, je passe sur tes seins, ils sont durs, tu pointes grave, je continue, descends sur tes hanches, tes fesses, tes cuisses, je remonte ta robe, tu as le cul à l’air, je le flatte par quelques claques douces puis une violente.
CLAC
Je tire sur tes hanches, mais tu gardes les mains au mur, tu es cambré, je frotte ma queue sur toute ta raie fessière, je m’arrête sur ta rondelle et je pousse, tu trembles, mais je ne m’arrête pas, je pousse, ta rondelle s’ouvre et mon gland disparaît, je regarde la scène, je suis très voyeur.Mon gland est en toi, il est entré dans ton petit trou qui se dilate sous la pression de ma queue, je continue ma progression et rentre presque à fond, tu cries, de douleur ou de bonheur, je ne sais pas, mais je continue de pousser.
Tes jambes tremblent et tu as du mal à tenir debout sur tes talons.
— Alors, elle aime se faire enculer ma belle salope, tu aimes sentir ma queue te déchirer le cul comme une sale pute.
Je suis au fond de toi, je reviens et ressort de ton cul, ton trou se referme et je reviens dedans, ça commence à rentrer tout seul, il faut dire que tu as bien lubrifié ma queue avec ta bouche, je prends la télécommande de ton œuf qui est toujours en toi et j’active les vibrations, je pousse l’intensité un peu plus fort et te voilà en train de hurler de bonheur, tu me dis tes tas de mots crus, tu me demandes de te bourrer le cul comme un salaud, tu me traites de cochon, de salaud, humm j’adore ça et je te remplis avec vigueur.Tu jouis sans tarder, tu hurles de bonheur et tombes à genoux au sol, l’orgasme a dû être bon pour toi.Tu es haletante, je te relève et te remets dans la même position, je t’autorise à retirer l’œuf, il est gluant, couvert de ta semence, tu me le déposes dans le creux de la main et je te le présente à la bouche, tu ne sembles pas avoir envie de le goûter.
— Ouvre la bouche ma salope, ouvre et goûte-le, goûte-toi, lèche et ne me force pas à employer la manière forte
Je te claque violemment chacune de tes fesses, je te tire les cheveux et te gifle.
— Ouvre la bouche petite chienne.
Tu sembles vouloir résister, mais je sais comment te faire céder, je te gifle fortement, une larme coule sur ta joue, mais cela ne m’impressionne pas.
— Ouvre la bouche comme une chienne.
Ta bouche s’ouvre et ta langue sort, je pose l’œuf contre et tu le lèches, le suces.
— Nettoie-le entièrement, après tout, c’est bien toi qui l’as sali.
Je laisse l’œuf entièrement dans ta bouche, je repose mon gland contre ta rondelle et je rentre d’un coup sec t’arrachant un cri au passage, je te pilonne jusqu’à la garde et reviens presque à en ressortir.Soudain, je sens que moi aussi, je suis sur le point de jouir, je me retire et me finis sur tes fesses, mes jets finissent sur ton cul, le bas de ton dos, tu es toute collante, je te retourne, te mets à genoux devant moi comme une soumise et te donne ma queue à nettoyer.Tu sors l’œuf et le remplaces par ma queue, sous mes ordres, tu commences par me sucer les boules et remontes jusqu’au gland, je regarde ta langue lécher le sperme qui perle sur ma queue, tu finis par l’avaler tout entière, me voilà bien propre.Nous allons chacun nous refaire une beauté, mais je sens bien que la soirée n’est pas terminée... J’entends l’eau la douche qui coule, je comprends que tu es sous la douche et je profite pour pousser la porte de la salle de bain, j’aperçois ta silhouette à travers la paroi de la douche, je t’ai déjà vue nue des dizaines de fois, mais malgré tout, cela me fait toujours le même effet, tu es si désirable, si belle, si sexy, si délicieuse.
— Tu vas rester là longtemps à me mater les fesses où tu vas te décider à me rejoindre sous l’eau.
Tu m’invites à partager ta douche, je ne me fais pas prier et je retire ce qu’il me reste d’habit, je te rejoins sous l’eau et là commence un balai entre nos corps mouillés, on se frotte, se caresse, s’embrasse, nos langues se fouillent et je sens au rythme de ta respiration que tu n’en as pas encore assez, tu sembles avoir repris vigueur et tu sembles bien plus chaude que l’eau qui déferle sur nos corps.Mes mains glissent sur tes courbes et caressent chaque centimètre de ton corps, elles agrippent la partie de ton corps que je préfère torturer, tes fesses, tu ronronnes comme une chatte en chaleur, mes mains te masses les fesses, mes doigts s’insinuent entre ta chair.Tu me plaques contre la paroi et m’embrasses dans le cou, tu descends sur mon torse et ta langue tourne autour de mes tétons, tu les aspires, les suces et sans prévenir, tu les mords, tes dents pressent chacun de mes tétons et tu prends plaisir à m’entendre gémir sous la douleur et la pression de tes dents.Tu le tiens entre tes dents et tu l’étires jusqu’à ce qu’il t’échappe, je pousse un cri de douleur.
— Alors quoi mon salaud, tu vois ce que cela fait quand c’est toi qui me tortures les seins, tu ne vas quand même pas te plaindre parce que je m’occupe de toi.— Non mais vas-y doucement quand même— Hooooo, il se plaint mon chéri, attends, regarde ce que j’ai pour toi.
Ta main empoigne ma queue et l’autre mes couilles, tu les malaxes, mais pas avec la douceur que je te connais, tu sembles vouloir te venger sur moi, comme pour me faire subir ce que je viens de te faire subir.Tu descends ta bouche le long de mon corps jusqu’à te retrouver à genoux, j’adore cette position, cela me donne un côté dominant et toi soumise prête à assouvir un plaisir à ton homme, mais tu n’es pas de cet avis cette fois-ci, tu ouvres la bouche en me regardant droit dans les yeux, mais ce sont tes dents qui emprisonnent. Tu ne me quittes pas des yeux et tu prends goût à me torturer.
— Aie, mais tu me fais mal petite pute, ça te plaît de me faire ça, tu aimes me faire mal ??
Tu lâches ma queue et me dis avec un air coquin.
— Oui, j’ai envie de voir ce que cela fait d’être la dominante, de voir comment tu réagis à mes caprices, de te voir soumis à mes envies, mes désirs.— Pas de soucis, mais dis-toi que je risque de vouloir me venger plus tard.— Aucun souci, je prends le risque et puis j’adore être ta soumise, ton souffre-douleur, celle avec qui tu vides tes couilles ou tu veux et comme le veut.
Nous finissons de nous doucher et tu sors de la salle de bain, nue et avant moi, je prends le temps de me sécher et je sors à mon tour, tu es à genoux sur le lit, les jambes gainées de bas et tu me regardes d’un air que je ne connais pas ou devrais-je dire pas encore.Tu me provoques en t’habillant de la sorte, tu connais mon penchant pour la lingerie sexy et tout particulièrement les bas, cela donne un côté salope surtout sur toi et je dois dire que te voir comme cela me donne de furieuses envies, mais ce n’est pas dans ce but précis que tu les portes.
— Rejoins-moi mon chéri, n’aie pas peur, je vais prendre soin de toi crois-moi.
Je m’approche du lit et tu me fais m’allonger sur le dos, m’attaches les poignets et tu me mets un bandeau sur les yeux, je suis dans le noir, même si j’ai confiance en toi, je suis intrigué par ce que tu me réserves, je te sais capable de beaucoup et je m’interroge sur la façon dont tu vas me consommer.
— Je te bande les yeux, car tu seras mon objet sexuel et tu ne verras pas ce que je te réserve.
Je suis allongé avec un bandeau qui me cache la vue, une nana à mes côtés qui a retrouvé un appétit sexuel torride et va me faire tous ses caprices, mais je ne dois pas m’inquiéter... Je sens tes jambes venir de chaque côté de mon visage, ta main m’empoigne les cheveux et tu plaques ma bouche contre ta chatte qui est déjà coulante.
— Vas-y salaud, mange ma chatte, bouffe là, régale-toi comme un cochon, je veux ta langue, je veux que tu m’aspires le clitoris comme tu le fais si bien.
Je lèche cette chatte trempée comme un damné et gémis entre deux coups de langue, tu plaques ma bouche entre tes cuisses et tu ondules du bassin, tu gémis à en crier.
— Sors ta langue, je veux qu’elle rentre bien au fond de ma chatte, je veux te sentir, pénètre-moi de ta langue.
Je sors la langue aussi fort que je peux et tu t’empales dessus, ta mouille me coule sur la langue, sur la bouche, je te goûte autant que je peux, mais tu coules si fort que j’en ai plein le menton et les joues, tu ondules ta chatte sur ma bouche et te branles littéralement avec ma langue.
— Tu aimes baiser ta pute, alors maintenant fais-lui plaisir, dévore-moi la fente comme la salope que je suis, fouille-moi hooooooo comme c’est trop bon.
Tu es dans un état second, tu es au bord de l’orgasme, ton corps ondule sans cesse au point que ma langue dévie sur ton petit trou, ta main me tient toujours les cheveux pour que ma bouche ne te quitte pas, tu ne me laisses presque pas reprendre mon souffle.
— Hoooo, oui, lèche mon pti trou mon salaud, lèche-moi comme un petit chien, j’aime trop me faire manger le cul comme ça.
Tu continues de remuer des fesses, ta chatte se frotte à mon visage sur toute sa longueur, je suis couvert de ta mouille, tu te frottes à ma langue en me tenant par les cheveux, tu fais monter et descendre ma tête afin que je bouffe ta chatte comme tu le souhaites.
— Mais c’est qu’il va me faire jouir ce petit salaud, il va me faire jouir, continue je viens, je viens, je sens que je jouiiiiiiiiiis
Un flot de liqueur se déverse dans ma bouche et tout au long de mon visage, je suis inondé, à cet instant, je me suis juré de me venger...Tu me libères d’entre tes cuisses et viens plaquer ta bouche contre la mienne, ta langue force mes lèvres et vient s’enrouler autour de la mienne, tu te goûtes dans ma bouche et tu gémis tout en tournant ta langue contre la mienne.
— N’essaye pas de bouger ou de te détacher, interdiction de me toucher, tu es à moi, tu es mon objet, ma chose et je fais ce que je veux de toi.
Je sens que tu me chevauches au niveau du bassin, tu prends ma queue entre tes doigts et l’enfonces dans ton antre en poussant un cri de satisfaction, tu coulisses jusqu’à t’asseoir sur mes bourses, tes mains s’appuient sur mon torse et je comprends que tu es dos à moi, tu me chevauches avec force, tu en veux encore, tu ne sembles pas rassasiée pour mon plus grand bonheur, j’ai la queue en feux, dur comme un bâton et une terrible envie de te faire ta fête.Tes coups de reins sont profonds, je t’accompagne dans le mouvement, je tape bien au fond de ta chatte et les sensations que tu me procures sont intenses, y a pas à dire, tu sais comment rendre fou un homme toi, tu es une sacrée petite salope, j’adore ça.Tu gémis bruyamment et cela est super excitant, je ne vais pas tarder à jouir si tu ne te calmes pas, tu le sais, tu le sens, mais tu ne calmes pas tes ardeurs, tu me baises avec force, c’est trop bon, je vais exploser et je te le fais savoir.
— Vas-y lâche toi mon salaud, vide-toi les couilles en moi, inonde ma fente de ton jus, hmmmmmmm, c’est chaud ouiiiiiiiii, vide-toi, crache tout en moi.
Ces mots que tu prononces sont excitants, j’aime quand tu es crue, toute chienne, que tu te lâches.Tu te retires, je sors de toi et tu poses tes fesses sur mon ventre, ma queue est contre ta fente, tu me retires le bandeau des yeux et viens m’embrasser.
— Alors, tu aimes que je m’occupe de toi ?— Hoo, que oui, j’adore, dommage que je n’ai pas pu profiter de toi en bas, tu es si sexy— Pas de soucis, je les remettrai pour toi.— Mais j’espère bien, maintenant laisse-moi aller me redoucher et dis-toi que je compte bien me venger.
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