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Retour de bâton pour femme infidèle

Chapitre 3

Le contrat de soumission

Trash
Je me levais à 6h00 pour aller courir. Mireille dont je pense que le sommeil avait été perturbé était encore couchée. Je rentrais une heure plus tard avec les croissants. Je pris ma douche pendant qu’elle dormait encore.Mon emploi me permettant une grande souplesse, j’appelais à l’agence pour leur dire que je prenais ma journée.
Vers 8h00, Mireille se présenta dans la cuisine. Elle avait visiblement passé une mauvaise nuit.
— Veux-tu un café avec des croissants ?— Oui avec plaisir.

Nous avons pris tranquillement notre petit-déjeuner sans discuter de la suite des événements. Vers 9h00, Mireille monta se doucher et s’habiller avant de me rejoindre au salon et me demander :
— Alors en quoi consiste ce contrat ?— Je vais te le lire. Tu écoutes, enregistres, poses des questions et à la fin, me donnes ta réponse.— OK, je t’écoute.

Article 1 : je, soussignée Mireille, épouse infidèle, reconnais et admet que mon époux, Maître Franck, peut disposer de mon corps à sa guise et cela pendant une durée d’une année (365 jours) à compter de la date de signature du présent contrat.
Article 2 : mon Maître est en droit de me soumettre à tous ses désirs.
Article 3 : mon Maître a le droit de me prêter à toute personne sans contrepartie pécuniaire.
Article 4 : mon Maître a le droit de me soumettre à un, deux ou plusieurs partenaires des deux sexes sans limitation de nombre.
Article 5 : mon Maître a le droit de m’infliger ou de me faire infliger la punition que je mérite sans limitation de durée.

Article 6 : Les punitions infligées ne devront jamais provoquer de blessures handicapantes ni mettre en cause l’intégrité physique ni la santé de la soumise.
Article 7 : sont totalement interdites les pratiques déviantes, zoophiles, urologie, scatologie.
Article 8 : sont autorisées les pratiques de bondage, contention et flagellation.
Article 9 : la soumise communiquera son mot de sécurité au moment de la signature du contrat.
Article 10 : à la fin de sa pénitence d’une année, la soumise sera libre de s’en aller ou de rester avec son Maître.
— Mais Franck, tu te rends compte de ce que tu me demandes. Il n’est pas question que j’accepte ce contrat.— Tant pis. Tes affaires sont prêtes pour ton départ. Mon avocat te contactera sous peu.— Attends. On ne peut pas s’entendre. Je ne veux pas devenir une pute.— Tu ne deviendras pas une pute, juste une soumise.— Mais tu es prêt à prêter ta femme à d’autres hommes pour des actes sexuels.— Nuance, tu n’es plus ma femme et je ne suis plus ton mari. Tu seras ma soumise et je serais ton Maître. Je te rappelle que tu n’as pas eu besoin de mon consentement pour baiser avec un autre homme...— Mais comment cela se passerait-il ?— J’irais sur Internet pour te sélectionner des mâles bien montés. Je trouverais des amateurs sur le Net. Ne t’inquiète pas, je pense qu’il y aura plus de candidats que d’élus.— .........— Laisse-moi y réfléchir, Franck.— Je te laisse 2 heures.— Je te donnerais ma réponse à midi.— D’accord.

Les heures qui suivirent furent longues pour moi et très courtes pour Mimi. A midi, elle réapparut au salon, vêtue d’un chemisier transparent et d’une jupe assez courte. Par transparence, je voyais qu’elle avait mis des dessous sexy. Visiblement, Mireille essayait de m’amadouer. Elle était vraiment bandante, mais il m’en fallait plus pour me déstabiliser.
— Contrainte et forcée, je ne peux qu’accepter ce contrat. Donne-le moi que je le relise et que je le signe.— N’oublie pas de noter la date et ton mot de sécurité à l’article 9.

Après signature, elle me rendit son engagement. Je découvris son mot de sécurité : FELIX (comme son chat qu’elle possédait lors de notre rencontre).
— Très bien, je savais que tu accepterais. Cette nuit, je t’ai déjà trouvé des prétendants (je bluffais). Si tu veux, je peux te les présenter. Je n’attends que leurs analyses pour conclure l’affaire.— Tu es un bel enfoiré. Je pensais avoir un peu de répit.— Je te rappelle que mon nom n’est pas enfoiré, mais Maître. Cet écart de langage va te valoir ta première punition.— Mais...— Il n’y a pas de mais. Viens avec moi.

Je lui pris le bras et l’emmenais au garage. J’avais au mur 3 rangées d’étagères fixées par des équerres. Je démontais les tablettes. Il me restait les cornières 2 en haut, deux au milieu et 2 en bas.
— Adosse-toi contre le mur entre les équerres. Lève les bras et écarte les jambes.— Franck, s’il te plaît...— Ne m’appelle plus Franck, mais Maître. Tu viens d’aggraver ta punition.— Mais Maître, tu ne peux...— Et tu me vouvoies...— Mais Maître, vous n’allez pas...— Et si, soumise je vais...

Mireille s’adossa au mur. Encore habillée, elle frissonnait, mais devait penser que ce n’était qu’une épreuve test. Je saisis les cordes à sauter dont je me servais pour mes exercices physiques, les coupais pour en avoir 4 morceaux et vins attacher les mains aux équerres du haut et les jambes à celles du bas.
— As-tu l’intention de crier ou puis-je te faire confiance ?— Si tu me fais mal, je hurlerais aussi fort que possible.— Bien, dans ce cas, je me vois dans l’obligation de te bâillonner.

Je pris une de mes balles de rééducation pour la main en caoutchouc et cherchais à lui mettre dans la bouche. Elle refusa d’entrouvrir les lèvres. Je pinçais son nez jusqu’à ce qu’elle manque d’air et parvins à lui enfoncer dans la mâchoire. Trop grosse, elle ne pouvait pas la recracher. J’assurais néanmoins le coup en lui mettant un gros morceau de ruban adhésif sur sa bouche. Je constatais que des larmes coulaient sur ses joues.
— Est-ce que tu arrives à respirer normalement ?

Elle me fit oui de la tête. Je défis ma ceinture en cuir et la découpais en lanière à l’aide d’un sécateur. Je lisais la terreur dans ses yeux. Je continuais en déboutonnant son chemisier. Ses tétons pointaient d’une manière arrogante au travers d’un soutien-gorge très sexy.
— C’est un cadeau pour ton amant. Il est superbe. Dommage que je n’y ai jamais eu droit.

Je continuais en défaisant sa jupe qui tomba à ses pieds.
— Waouah. Ça, c’est du string. Encore un cadeau pour ton amant. Tu es sacrément bandante dans cette tenue. Dommage de m’avoir caché cela. Dans cette tenue, je suis certain que j’aurais pu aller jusqu’à te « baiser « comme tu le désirais. Maintenant, tu n’as plus besoin de ces artifices.

Je repris le sécateur, m’approchais d’elle. Je voyais l’effroi dans son regard. Je découpais son soutien-gorge, puis son string. Elle se présentait entièrement nue et totalement offerte devant moi.
Les pointes de ses seins avaient encore gonflé alors que je ne les avais même pas effleurés.Était-ce la peur ou l’excitation ?Son sexe était totalement épilé. Tous ces éléments me mirent encore plus en colère.
— Je constate que tu prenais plus soin de toi pour ton gigolo que pour moi. Je vais te le faire payer.

Mireille était épouvantée et les larmes coulaient sur ses joues. Je saisis la ceinture transformée en fouet et lui envoyais un coup, pas très fort, sur les cuisses. Elles marquèrent cependant tout de suite. Je la cravachais une seconde fois toujours sans puissance sur le ventre. Je l’entendais gémir au travers de son bâillon.
— Est-ce que tu arrives toujours à respirer normalement ?

Elle acquiesça.
Aussitôt, je lui envoyais deux nouvelles volées, sur ses seins puis sur son pubis. Je l’entendais gémir.
— Est-ce que je t’ai fait mal ?

Elle secoua la tête négativement.
— Est-ce que tu veux que j’enlève ton bâillon ?

Elle acquiesça de nouveau. Je lui retirais le scotch et la balle. La bave coulait sur son menton. J’en profitais pour mettre ma main au niveau de sa chatte. La salope, elle mouillait.
— Je ne veux pas entendre de hurlement, sinon je te remets le ballon.— Oui Franck.— Non, Franck n’existe plus pour toi.— Oui Maître.— Je constate que ton minou coule comme une fontaine.— Euh... Oui Maître. J’avoue que tes coups m’ont excitée.— T’en veux encore soumise.— Euh... Oui, s’il vous plaît.— J’ai une petite idée. Je vois que tu bandes des tétons, grosse cochonne. Tu m’avais caché ça aussi.

Je retournais rapidement à la salle de bain pour y récupérer des pinces à linge avant de revenir au garage.
— Je vais venir mettre les pinces à tes tétons.— Allez-y doucement, Maître. Je ne l’ai jamais fait.— Ne t’inquiète pas, je pense que ça va te plaire.

Je mis deux pinces de part et d’autre de ses tétons. Mireille, qui avait retenu sa respiration, souffla un grand coup et poussa un gémissement.
— Alors comment ça va ?— En même temps, ça fait mal et ça m’excite Maître.— Très bien, je vais reprendre ta correction. Tu vas compter les coups jusqu’à 10.

Je repris la ceinture et poursuivis son châtiment, mais cette fois avec plus de force. Deux volées sur les cuisses, deux volées sur le ventre, deux volées sur ses épaules, deux volées sur son pubis et les deux dernières sur ses seins, ce qui eut pour effet de faire sauter les pinces. Elle compta tous les coups, mais poussa un grand cri lorsque les pinces se détachèrent.
Sa chatte expulsa un grand jet de cyprine. Mireille était une femme fontaine qui s’ignorait et elle venait d’avoir un énorme orgasme sous les coups de fouet. Son corps était zébré de traces qui le rougissaient. Je la détachais et elle tomba à genoux sous l’effet de sa jouissance.Je la saisis dans mes bras et la porta jusqu’à sa chambre avant de la coucher sur son lit. Je la laissais récupérer avant de lui demander.
— Comment te sens-tu ?— Bien. Je sens un peu la brûlure des coups, mais pas plus qu’un coup de soleil. Mais ce qui est incroyable, c’est la jouissance que j’ai éprouvée avec les pinces et lorsque vous m’avez cinglée. Je n’avais jamais connu un plaisir aussi fort. Je pense avoir eu le meilleur orgasme de ma vie. Je vous remercie, Maître.— Je suis content pour toi.— Voulez-vous que je m’occupe de vous, Maître ?

Mireille se redressa et commença à avancer sa main vers mon entrejambe.
— Non, arrête. Qu’est-ce que tu n’as pas compris lorsque je t’ai dit que nous n’aurions plus de rapport sexuel ?— Mais je pensais bien faire. Je voulais vous rendre le plaisir que vous m’avez donné.— Mais tu ne comprends pas. Je ne couche pas avec une salope infidèle qui se laisse enculer par le premier venu. J’ai décidé de réserver mon corps et mon amour pour une femme qui saura me respecter. Tu m’as perdu définitivement. Cela fait partie de ta pénitence. Ne recommence jamais ça, sinon je te fous dehors et je diffuse la vidéo et les photos. As-tu bien compris ?— Oui Maître.

Je la vis baisser la tête et se mettre à pleurer à chaudes larmes tout en hoquetant. Elle faisait pitié à voir. J’avais envie de la prendre dans mes bras et la consoler. Au lieu de ça, je lui dis :
— Va te laver, tu sens mauvais. Je vais préparer le repas. Tu me rejoindras dès que tu seras propre. Par ailleurs, je ne veux plus te voir dans des tenues aguichantes en ma présence. Tu mettras des vêtements amples et non sexy. Tu ne te maquilleras que lorsque je te le dirais. Tu porteras les tenues sexy uniquement quand je t’en donnerais l’ordre.— Bien Maître.

Je retournais à la cuisine, la laissant seule pour qu’elle puisse prendre sa douche. Je préparais le repas du soir. Lorsqu’elle apparut 1h00 plus tard dans l’encadrement de la porte, elle portait un sweat ample et un vieux pantalon de jogging.
— Tu es parfaite comme cela, au naturel.— Merci Maître.— A compter de la fin de ce repas, c’est toi qui t’occuperas de tenir la maison. Repas, propreté, courses. Tu n’es pas prisonnière. Tu peux aller et venir à ta guise, voir tes copines, continuer au sein de ton association. Faire du shopping. Tes seuls interdits sont de ne parler à personne de ton statut de soumise et de ne plus jamais avoir de contact avec Marc. Si tu brises un de ces interdits, je diffuserais la vidéo et les photos.— Oui Maître.— Je veux aussi que tu t’inscrives dans une salle de sport pour renforcer ta musculature. Trois ou quatre séances par semaine sont indispensables. Tu iras sur Internet et nous cuisineras des plates diététiques. Je veux pouvoir exhiber un corps approchant la perfection. Si tu as des questions à me poser, n’hésite pas.— J’ai bien compris vos consignes, Maître, mais si nous sortons ensemble en société, quelle devra être mon attitude ?— C’est très simple, tu m’appelleras par mon prénom, mais tu ne prendras la parole en ma présence que lorsque je te l’y autoriserais par un signe de la tête. Sinon, c’est moi qui répondrais à ta place.— Entendu, Maître.— Bien, tu peux disposer à ta guise. Je vais continuer ma chasse sur Internet.

Mireille, épuisée par cette journée inhabituelle, retourna dans sa chambre. Il lui fallait récupérer. Je m’attelais à la tâche en commençant par les réseaux libertins. Je notais une annonce sur plusieurs d’entre eux et attendais les contacts.
Annonce : homme trentenaire cherche homme (s) ou couple (s) pour satisfaire son épouse.Je cherche la complicité d’un ou plusieurs hommes ou couple afin d’organiser des rencontres torrides au cours desquelles ma coquine sera offerte et saillie par des beaux étalons. Elle contente tout le monde, hommes et femmes. Plus il y a de fous, plus elle prend du plaisir. Ambiance torride, BDSM accepté, tact et hygiène impératifs (test à fournir). Toutes propositions bienvenues.
A peine publiée depuis 1 heure, j’avais déjà reçu 4 propositions. La première et la dernière provenaient d’hommes seuls, les 2 et 3 provenaient de couples. Je décidais d’approfondir les candidatures. Après contact avec les protagonistes et examen de leurs profils, je décidais de conserver les propositions 2 et 4. Un couple et un homme de notre âge. Je demandais des photos et les certificats de non-contamination de moins d’1 mois. J’attendais les derniers éléments qu’ils devaient me transmettre le lendemain et allais me coucher. La nuit porterait à nouveau conseil...
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