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Retour de boulot

Chapitre 1

Erotique
Bonjour à tous !L’histoire que je vais vous raconter est une surprise en même temps pour la femme qui partage ma vie depuis quelques années.
Une petite présentation s’impose, je suis un homme de 25 ans, je mesure 1m85 pour 98 Kg. Un peu de ventre sur un corps relativement musclé grâce à la pratique de quelques sports de combat dans les dernières années. Cheveux châtains courts en brosse. Elle a 24 ans, mesure 1m60 pour 55Kg. Elle a les cheveux foncés quasi noirs mi longs jusque aux épaules. Des yeux gris verts avec un anneau doré à la lumière du soleil qui me fait craquer. Elle a une petite poitrine, mais des fesses divines. Des courbes bien dessinées sur sa silhouette fine.
Nous nous sommes rencontrés comme des milliers de couples lors d’une soirée anniversaire. Elle était l’amie d’une amie et nous avons sympathisé. Au fil du temps nous nous sommes séduits et nous sommes à présent ensemble depuis plus de 3 ans. Elle a un petit côté timide, prude, innocente qui lui donne son charme. Pour tous nos amis, elle est le petit ange ultime tandis que je suis l’obsédé qui l’a perverti. Mais lorsque nous sommes en privé… elle fait ressortir son véritable aspect. Avec le temps, elle est devenue une belle femme appréciant le sexe autant que moi. Et ce n’est pas pour me déplaire.
Un jour alors que je rentrais du travail, j’ai eu une agréable surprise. J’entre dans l’appartement, pose mes affaires et en arrivant dans le séjour je la trouve là. Elle est devant moi, nue et me tourne le dos. Elle est assise sur ses talons avec les mains posées sur ses cuisses. Cette vision est divine. Je la contourne pour l’observer, elle s’est bandée les yeux d’un simple bandeau. Ses tétons sont dressés par l’excitation que je vois par sa respiration profonde. Mais le meilleur reste à venir…
Dans sa bouche se tient une cravache. Entre ses jambes se trouvent les menottes et un bâillon-boule. Je me penche en avant pour attraper la cravache. Elle ouvre la bouche et la garde grande ouverte. Je sais ce qu’elle attend mais elle devra attendre. Je pose le bout de la cravache sur sa langue, elle frémit sur le coup. Je me mets à faire le tour de son corps tout en laissant la cravache en contact sur sa peau. Je l’entends respirer de plus en plus fort tandis que le cuir parcourt son corps. Je lève le bras avant de le rabattre doucement dans son dos, claquant légèrement. Elle sursaute sur le coup mais ne dis rien. En me penchant je peux voir son visage s’illuminer d’un petit sourire. Je recommence le manège plusieurs fois sur son dos puis passe vers son ventre, alternant les coups entre son ventre et ses seins. Lorsque je frappe ses tétons elle se tord un peu, plus par surprise que par douleur. Sa respiration est remplacée par des gémissements après chaque coup. Je l’embrasse passionnément mêlant nos langues sous la salive qui commence à couler sur son menton.Nous nous séparons et j’entends un léger :
« Plus fort… » à peine audible.
« Pardon ? » j’avais très bien entendu et surtout je savais qu’elle n’attendait que ça. Mais je voulais qu’elle le dise franchement.
« Frappe moi plus fort ! » me lança-t-elle excitée.
Je la pris par le bras et la fit se lever. Au sol, entre ses jambes, plusieurs gouttes de cyprine. Elle était excitée comme une folle et j’allais bien en profiter. Je pris la cravache que je fis coulisser entre ses lèvres trempées. Elle frissonnait à chaque passage de cette tige entre ses chairs tandis qu’elle émettait des sons de plus en plus fort. Je me baissai alors pour ramasser les accessoires qu’elle avait préparés pour cet instant.
D’abord les menottes, j’emprisonnais son premier poignet, puis le second, les bras devant elle. Puis je lui fis lever les bras pour accrocher la chaine de ces jolis bracelets à un crochet sur une poutre au-dessus de sa tête. La chaine des menottes étant plus grande que la moyenne elle se retrouvait suspendu les bras levés et les pieds légèrement sur la pointe. A cette sensation de perdre le contrôle, je pouvais voir quelques gouttes de son plaisir couler le long de ses jambes.
Je pris le bâillon-boule et força pour lui mettre entre les dents dans un petit cri de surprise. Je me reculais la laissant pendre comme ça quelques instants. J’adore la voir comme ça… elle m’excite et je vais lui rendre ça.
Je reprends la cravache pour cette fois arrêter de faire semblant de la maltraiter. J’abats mon bras dans un sifflement suivi d’un claquement sur ses fesses. Elle avance d’un pas sous le choc dans un cri étouffé par son entrave. Je recommence jusqu’à ce que sa peau marque les coups. Les lignes rouges qui se dessinent sur son cul deviennent de plus en plus nombreuses. Son ventre subit les mêmes assauts dans les secondes qui suivent. Je vais de plus en plus vite, ne lui laissant pas le temps de souffler entre deux claquements jusqu’à ce que ses jambes commencent à faiblir et que le bâillon ne soit plus capable de retenir les gémissements de son corps.
Je passe une main sur son sexe, elle est trempée… en la regardant, son menton et sa poitrine sont couverts de bave qu’elle n’a pu retenir tandis que ses jambes luisent de cyprine bien chaude. J’approche mes lèvres de son oreille et lui demande :
« Qu’est-ce que tu veux ? »
« … » Quelques sons incompréhensibles essayèrent de sortir de sa bouche.
Je lui mis une claque en lui demandant d’être plus clair. Et en rigolant je lui retirai son bâillon.
« Je veux que tu me fasse l’amour… » Répondit-elle épuisée.
Une nouvelle claque plus forte s’abattit sur sa joue.
« Tu as l’impression que je vais te faire l’amour ? »
« Non… Baises moi ! Prends-moi ! » Hurla-t-elle impatiente.
« Là tu es claire, là tu mérites que je te prenne et que je plante ma bite en toi. »
En disant ça, je ne m’étais jamais déshabillé aussi vite et sans aucun ménagement, toujours dans son dos, je me suis planté en elle d’un coup sec si on pouvait dire. Elle était tellement trempée que je suis entré en elle sans difficultés arrachant un cri alors que j’écartais sa chair si étroite à cet endroit. Je la baisais très rapidement et très profondément pendant un court instant avant de la laisser respirer.
Elle avait la bouche encore grande ouverte et durant cette pénétration tant attendue elle avait continué à baver si bien que sa poitrine était devenue toute brillante. Je la saisie par les seins, pinça ses tétons avec force lui faisant grimacer et serrer les dents tandis que je reprenais les vas et viens dans son corps. Au bout de quelques instant je me retirai de son sexe le laissant ouvert et dégoulinant d’excitation.
Je revins devant elle et la souleva. Elle enroula ses jambes autour de ma taille et d’une main je remis mon sexe à l’entrée du sien. Je fis entrer mon gland uniquement et sans la prévenir je la lâchai, la laissant s’empaler tout le long de mon sexe. Elle poussa un râle de plaisir sous le choc et je me fis un malin plaisir à recommencer deux ou trois fois ce petit manège en elle. Tout en la portant, je lui détachai les mains de la poutre et reposa son corps au sol. Elle ne bougeait plus encore secouée par les sensations précédentes. Quelques secondes de répit ne lui faisaient pas de mal, mais même si j’avais pris mon pied jusque-là, je n’en avais pas fini.
« Ton cul, présente le moi. » lui ordonnais-je
Elle eut un peu de mal à se mettre à quatre pattes après avoir eu les bras en l’air pendant tellement longtemps, mais elle prit la position docilement. J’avais son cul en l’air devant les yeux, son petit trou était déjà bien humide avec ce que son sexe avait libéré comme liquide. Deux belles fessées, c’est ce qu’elle eut comme premier contact après avoir recouvert ses esprits. Elle semblait ailleurs et je lui crachai sur sa rondelle juste avant de mettre mon sexe contre.
« Vas y doucement s’il te plait ! »
Elle me suppliait presque de sa petite voix mais en voyant l’état dans lequel elle se trouvait, la lubrification naturelle dont elle avait recouvert son anus et mon crachat, je me suis enfoncé en elle en un mouvement régulier. Elle adore la sodomie, redoutant toujours la première pénétration mais prenant tellement de plaisir à se faire prendre.
« Alors ? C’était assez doux pour toi, Chienne ? »
Les mots crus l’excitait encore plus dans ces situations. Et se faire traiter de chienne alors que je la montai comme le ferait ces animaux la rendait encore plus sauvage.
« Continue, je t’en prie continue, va au fond » Répondit-elle dans un gémissement.
« Prends-moi ! Encule-moi ! »
Elle perdait la tête. Je sais que dans ces moments-là elle ne souhaite qu’une chose c’est que je ne m’arrête plus. Que je lui donne tout ce que j’ai jusqu’à la remplir entièrement. La prendre sans ménagement et jouir au plus profond de son cul.
« Je vais t’agrandir le trou jusqu’à ce qu’il déborde de mon sperme » en lui disant ça je lui donnais les plus grand coups de reins que je pouvais.
« Oui ! Oui ! OUI ! »
Elle criait comme une folle et dans un dernier grand cri elle s’effondra en même temps que je lui déversai tout mon foutre dans le cul. Je me couchai sur elle la faisant s’effondrer à plat ventre pour m’enfoncer au maximum.
Nous sommes restés comme ça pendant un long moment. Moi planté en elle et elle reprenant son souffle après toutes ces émotions. Une fois que mon sexe a perdu de sa vigueur je me suis retiré lentement de son corps la laissant au sol comme vidée pour reprendre ses mots.
Je me suis assis à côté d’elle pendant qu’elle se mettait sur le dos et lui caressais les seins. Elle s’est redressée pour me prendre en bouche et s’activer à me nettoyer le sexe.Une fois son travail bien fait, elle vint se jeter dans mes bras pour un câlin très doux et me demander si j’avais passé une bonne journée au travail. J’étais obligé de lui répondre que le retour était bien plus agréable que la journée passée.Et dans un rire commun nous sommes partis nous couchés dans les bras l’un de l’autre.

En espérant que ce premier récit vous a plu ! N’hésitez pas à donner vos impressions et critiques, bonnes ou constructives ;) A bientôt !
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