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De retour du boulot

Chapitre 1

Hétéro
De retour du boulot
En ouvrant la porte d’entrée, je la trouve là, nue, à quatre pattes, les fesses en l’air.
Je ferme la porte derrière moi, j’enlève ma veste, et je me mets à genoux derrière elle. Sa petite chatte en forme de papillon est très invitante. J’ouvre ma braguette et je sors ma queue. Elle est déjà très dure et ne demande qu’à passer à l’action.
C’est un de nos accords : quand je reviens du boulot, Eve doit être là, derrière la porte, les fesses offertes, pour que je puisse prendre sa chatte pour me relaxer d’une longue journée de travail si j’en ai envie.
Je fais passer mon gland entre ses lèvres. Elle est trempée. Eve est comme ça : elle a toujours envie de baiser et sa chatte mouille instantanément quand elle pense qu’elle va se faire prendre. Je passe mon gland de haut en bas de sa fente, du clitoris à son petit trou. Je l’entends respirer plus vite, mais elle reste immobile.
Je mets mon gland à l’entrée de son trou et je pousse un peu. Pas assez pour entrer. Juste assez pour m’annoncer. Puis je refais quelques va-et-vient lents le long de sa fente.
Aujourd’hui, je vais seulement enfoncer ma queue quelques fois, puis m’arrêter. Je vais lui donner envie et la frustrer. C’est une de mes prérogatives : je peux faire ce que je veux d’Eve, même lui nier l’orgasme si ça me chante.
Au passage suivant devant son trou, je pousse en avant avec mes hanches. Mon gland entre sans le moindre problème. Sa petite chatte ne demande que ça. Je la sens s’ouvrir devant moi comme une boule de coton qu’on écarte. Je continue à pousser jusqu’à ce que je sois entièrement entré en elle. Elle pousse un soupir.
Je sais qu’elle aime ça et je sais qu’elle ne pense plus qu’à une chose à cet instant : quand est-ce que je vais la défoncer bien à fond pour satisfaire son besoin ? Eve n’est pas très portée sur la subtilité : elle aime être bien prise, bien à fond, violemment si nécessaire.
Je me retire doucement. Je vois sa chatte agripper ma queue alors qu’elle sort. J’adore voir comment sa chatte enrobe ma queue et essaie de l’empêcher de sortir. C’est un des trucs qui me rendent fou d’elle.
Quand je vois mon gland apparaître sous la peau tendue de sa chatte, je m’arrête, je compte jusqu’à trois, et je pousse en avant encore une fois. Je vais loin en elle. Elle a une chatte tellement confortable, on aimerait qu’elle ne finisse jamais. On aimerait pousser, pousser, pousser, jusqu’à disparaître en elle.
J’entends Eve respirer un peu plus vite. Je me retire encore une fois. Encore une fois, j’admire sa chatte autour de ma queue. Je n’ai pas une queue énorme, mais je n’ai jamais eu de plaintes sur sa taille. Toutes mes copines ont toujours trouvé qu’elle était juste un peu trop grosse et longue pour elles, donc exactement ce qu’elles voulaient.
Je me retire. Un peu plus vite cette fois. Dès que mon gland arrive à sortir de son trou, je pousse en avant pour m’enfoncer au loin.

Bon, j’avais dit que je ferai seulement quelques va-et-vient. Il va falloir s’arrêter.
Sans y penser, je refais un mouvement de va-et-vient. Bon c’est vrai, pourquoi arrêter ? Si je décide de la frustrer, je me frustre aussi. Sa chatte est quand même très invitante. C’est difficile de ne pas continuer. Je vais arrêter de penser.
Je commence un va-et-vient un peu plus rythmé. J’entends Eve respirer plus rapidement et faire des petits gémissements. Elle n’est pas très démonstrative. Quand elle a appris à se masturber, elle était en pensionnat. Et là, pas question de faire du bruit. Donc elle a appris à faire ça en silence et ça lui est resté.
J’entre et je sors de sa chatte de plus en plus vite. Je ne peux plus résister : je veux m’enfoncer jusqu’à son col de l’utérus. Quand je pousse bien, ma queue tape contre son col de l’utérus. Et j’adore sentir que je suis arrivé au bout avant de me retirer.
Je sens mon gland taper contre le fond de sa chatte. Je sais qu’elle aime ça. Elle m’a dit que les premiers coups sont un peu douloureux, mais que quand elle se détend, chaque coup envoie des décharges électriques dans tout son corps. Ma queue et sa chatte sont parfaites ensemble.
Elle fait des petits gémissements à chaque fois que je tape son utérus. J’adore. Je vais de plus en plus vite et je tape de plus en plus fort. Si ce n’était pas Eve, j’aurais peur de faire mal. Mais je sais qu’elle adore et en redemande.
Je sens monter le plaisir. J’attrape ses hanches pour bien la contrôler, et je la prends aussi fort que possible. Eve est une machine à plaisir. C’est difficile à décrire. Il faudrait que vous puissiez l’essayer pour comprendre.
Je sens que je ne vais pas tenir très longtemps. J’ai maintenant envie de jouir. Je sens Eve se contracter autour de ma queue. Elle a un orgasme. Merde, j’espérais pouvoir jouir avant elle et la laisser frustrée. Tant pis.
Je continue à la prendre et je sens ma queue se contracter, et mon sperme jaillir en elle. Je m’enfonce bien une dernière fois pour shooter mon sperme directement dans son utérus. Aaaaaah !
Je reste quelques secondes sans bouger pour profiter de la sensation. Elle ne bouge pas non plus. Elle n’a pas le droit de contrôler son plaisir.
Je fais quelques va-et-vient doucement pour finir de me vider les bourses en elle et profiter de sa chatte encore un peu.
Finalement, je me retire. Je regarde sa chatte agripper ma queue une dernière fois, comme si elle me disait de rester en elle, puis je la sors complètement. Elle est luisante de mouille.
Eve se retourne tout de suite, et prend ma queue dans sa bouche. C’est une autre règle : une fois que j’ai joui, quel que soit le trou utilisé, elle doit nettoyer ma queue. Elle commence par sucer le gland doucement, elle sait qu’il est sensible maintenant, puis elle enfonce ma queue de plus en plus dans sa bouche jusqu’à la faire disparaître. Je sens sa langue faire des mouvements d’avant en arrière, puis de côté pour nettoyer toute trace de sperme et de mouille.
J’adore la sensation de sa bouche à ce moment-là. Chaude et douce. Une fois satisfaite, elle se lève, et part vers la cuisine.
— Qu’est-ce qu’on mange ce soir ?— J’ai fait un curry aux pois chiches.
Mmmm... Un de mes plats préférés.

Le Maître d’Eve 2021
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