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Retour au Cap,

Chapitre 2

Les soirées au village naturiste

Divers
Puisque nous étions logés à l’extérieur, nous quittions la baie des Cochons entre 18 et 19h, marchions notre bon quart d’heure nus jusqu’au parking afin d’aller prendre une douche et se changer à l’appartement ; pour ma part, bien obligé de renfiler un short, mais N. se contentait souvent de s’envelopper dans son paréo.
En règle générale je ne résistais pas à vérifier la qualité de sa lubrification durant les 10 minutes de trajet en voiture ! C’est incroyable comment une fois les barrières levées ma femme peut devenir une vraie chienne !
Après une douche je la préparais à la soirée, maquillage, changement si nécessaire du tattoo éphémère du bas de son dos, puis choix d’une tenue que l’on qualifierait de pute dans la vie réelle, mais qui, au Cap, est sexy-chic !
Selon les soirs, micro-robe avec décolleté en V jusqu’au nombril laissant voir ses seins au moindre mouvement et couvrant tout juste son gros cul (plusieurs modèles plus ou moins ouverts), micro-jupette noire translucide qui tient plus de la grosse ceinture laissant sa chatte et ses fesses à l’air, haut en « côte métallique » à sequins (soit une noire, soit argentée, soit dorée) ; c’est juste un carré qui couvre à peine la poitrine en faisant un large décolleté et laissant le dos totalement nu, ou bien encore une « simple » parure de chaînettes argentées ou dorées de diverses formes couvrant le torse mais sans rien cacher ; chaînette-ceinture sur les hanches et bracelet de cheville, tous deux en strass (en plus des chaînettes fines qu’elle portait en permanence) pour finir le look.Cette année elle a aussi enfin pu marcher avec des sandales à talons de hauteur intermédiaire (huit centimètres).
Le look homme étant moins libre le soir pour entrer dans les bars ou les boîtes, je devais supporter un pantalon blanc et une chemise chic ouverte.Pour rejoindre la voiture depuis l’appartement elle enfilait une minijupe et un large gilet blanc ajouré. Ainsi, dès l’arrivée sur le grand parking, elle se retrouvait dans sa tenue au vu de tous et nous pouvions aller déambuler dans les allées et dans les galeries de port Ambonne ou port Nature pour rejoindre le restaurant choisi et ensuite passer la soirée au Melrose ou à la Pilouterie par exemple pour profiter de l’ambiance chaude et de la musique (même si au Melrose, côté musique, on a vite fait le tour).
Dans l’obscurité et les flashs du Melrose lorsque l’ambiance montait avec la foule, il n’était pas rare que, assise sur son haut tabouret, N., cuisses ouvertes, me demandait de la masturber tout en me galochant comme jamais ! Même si la visibilité était faible, je suis persuadé que c’est bel et bien l’exhibition qui maintenant la fait mouiller le plus...
Le retour en fin de soirée se faisait au travers du village, généralement pour N. totalement nue après avoir confisqué jupette ou robe, uniquement avec les parures de chaînettes. Ce qui évidemment avait pour effet chez moi une érection de pierre qu’elle calmait un peu une fois arrivés à la voiture avec une fellation, voire un rapide défonçage en levrette.
Une fois de retour à l’appartement elle se mettait rapidement encore en levrette afin de se faire ramoner le vagin avec trois ou quatre de mes doigts et le gros gode ventouse : un ou deux orgasmes par ce massage violent du point G étaient généralement courants.
J’agrémentais régulièrement la séance par la pose d’un rosebud anal, ce qui resserrait son conduit vaginal et attendrissait son anus, avant qu’elle me suce à fond ou que je finisse par la sodomiser.
Lorsqu’elle avait déjà joui et que je commençais à ressortir le plug anal, c’est plutôt N. qui criait d’impatience un « Vas-y, encule-moi ! » Ma bite rentrait alors comme dans du beurre dans son cul, et j’ai ainsi pu la défoncer comme jamais cette année. Et quand je dis défoncer, c’est littéralement le mot car, contrairement à d’habitude où je devais y aller avec un minimum de précautions, désormais cette petite salope se poussait en arrière et gueulait d’y aller plus fort.
Evidemment, dans ces moments où elle monte haut, elle adore aussi que je lui claque les fesses en même temps, et plus elle jouit, plus je peux taper fort.Exquis moments...
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