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Un retour chaleureux

Chapitre 2

Hétéro
Après cette fin de journée si particulière, je ne croisai pas une seule fois Anne dans les couloirs du centre hospitalier durant les deux jours qui suivirent. Je l’aperçus parfois de loin, mais il me sembla rapidement évident qu’elle évitait soigneusement les lieux où je faisais mon service ou notre bureau où elle venait souvent boire son café avec les autres infirmières. Très loin de lui reprocher son comportement, j’étais quelque part soulagé qu’elle agisse ainsi, car je me sentais aussi honteux de ce qui s’était passé. La colère que j’avais alors ressentie semblait s’être évanouie et maintenant je culpabilisais de l’avoir mise dans une telle situation. Je m’en voulais, mais je gardais aussi un souvenir si fort et si excitant qu’il me faisait presque oublier mon voyage en Islande, ou du moins écartait la terrible frustration de la perte du don que j’y avais acquis.
Je sentais parfois encore la forme de son sein dans ma paume et la chaleur de sa bouche lors de notre baiser si passionné. C’était souvent dans un coin de ma tête, même quand j’étais tout entier à autre chose, ce qui était justement le cas alors que je discutais avec Camille. Nous profitions d’un moment de calme dans la gestion de nos patients pour parler de tout et de rien, ou du moins, je l’écoutais surtout alors qu’elle me racontait toutes sortes de choses. Ma collègue ne manquait pas d’humour et nous ne nous gênions pas pour éclater de rire aux plaisanteries de l’un ou de l’autre. Malheureusement, cela n’était pas du goût de tout le monde et je le devinai à la seconde où je vis apparaître un homme vêtu d’une longue blouse de médecin au détour d’un couloir. Quand il nous aperçut, il fronça ses yeux bleu clair et se dirigea droit vers nous.
Le docteur Ezekiel n’était pas antipathique, mais se montrait parfois dur et assez impatient avec ses collègues. Sous sa blouse, on pouvait clairement deviner son torse musclé de sportif assidu et admirer ses biceps imposants. D’une quarantaine d’années, la peau mate de son visage était déjà traversée de plusieurs rides qui lui donnaient un air de sagesse et de gentillesse. Son bouc et ses cheveux devenaient poivre et sel, ce qui ajoutait à sa beauté certaine, bien que j’étais très loin d’apprécier le personnage, vu qu’il se montrait tout le temps sec à mon égard.
Ça ne manqua pas, il m’interpella directement de sa voix de ténor et décida que je n’avais visiblement pas assez de travail et me confia alors trois visites de patients, ce qui suffit tout de même à m’occuper jusqu’à la fin d’après-midi. Alors que je sortais enfin de la chambre d’un homme particulièrement douillet, je pus enfin prendre le temps de jeter un œil à mon téléphone et constatais que j’avais manqué pas mal de messages. Cependant d’entre tous, un seul retint véritablement mon attention :
« Benjamin, je suis désolée de te déranger, mais ça devient insupportable, il faut qu’on se voit et de préférence hors de l’hôpital. Ce soir, mon mari et mon fils sont chez ma belle-mère donc je suis disponible, est-ce que je peux passer chez toi après ton service ? Anne »
Le message de ma collègue me laissa dubitatif. D’un côté, je trouvais étrange sa demande de se voir chez moi alors que nous ne nous étions encore jamais vus en dehors du boulot, et de l’autre, je sentais une certaine anxiété quant à ce qu’elle voulait me dire. Mon sentiment de honte revint en flèche et de même que ma crainte des reproches qu’elle pourrait légitimement m’adresser. Cependant, je me rendais bien compte que tout comme elle, je trouvais la situation insupportable et que nous devions crever l’abcès et en parler une bonne fois pour toutes. Je lui répondis donc que je finissais dans deux heures et lui envoyai mon adresse.
Lorsque plus tard dans la soirée, je quittai mon service et revins à pied chez moi, Anne m’attendait déjà devant la porte de mon immeuble, vêtue d’un long manteau noir sur lequel cascadaient ses longs cheveux bruns. Au vu de son expression, la psychologue était de toute évidence aussi anxieuse que moi et nous articulâmes à peine un bonjour. Je préférai donc briser le silence en sortant mes clés et la faisant entrer, après quoi elle me suivit dans les escaliers jusqu’à mon étage. Je déverrouillai la porte de mon appartement et la laissai pénétrer dans le salon, avant de l’y suivre d’un pas hésitant.
— Ecoute Anne, commençais-je en refermant la porte. Je suis vraiment...
Je m’interrompis immédiatement quand ma collègue tourna vivement des talons, balayant ses cheveux autour d’elle alors que ses yeux sombres se braquaient sur moi. Elle s’avança et croisa les bras derrière ma nuque, puis plaqua ses lèvres contre les miennes, m’embrassant avec une excitation palpable. La surprise laissa rapidement la place au plaisir du baiser et à la délicieuse sensation de ce corps contre le mien, sa poitrine se pressant contre mon torse. Quelques secondes plus tard, elle rompit le baiser et commença à se débarrasser du long manteau qui l’engonçait.
— Je n’ai pas envie de parler, dit-elle. Je m’en fiche, j’en ai trop envie !
Sur ces mots, elle jeta son manteau sur le canapé non loin de nous, révélant son jean simple et une jolie chemise d’un rouge vif. Je la contemplai immobile, partagé entre raison et envie. Anne était une jeune mère doublée d’une femme mariée, ce qui la mettait hors de toute portée selon mes principes, mais en voyant sa poitrine se soulever régulièrement sous sa chemise, mes idéaux me paraissaient subitement bien faibles. Elle était si belle ainsi avec ses longs cheveux bruns qui cascadaient sur ses épaules et jusqu’au milieu de son dos, son corps tout entier agité par son excitation, ses yeux sombres braqués sur moi brûlant de désir.
Comme si elle était déterminée à ne pas me laisser le temps de la réflexion, Anne se débarrassa rapidement de ses chaussures, avant de porter ses doigts vers sa ceinture qu’elle commença à défaire. Tout en me regardant droit dans les yeux, elle ouvrit lentement sa braguette, puis laissa descendre son pantalon le long de ses jambes pâles. Lorsque je vis son petit shorty noir apparaître sous sa chemise rouge, je sus qu’on avait passé le point de non-retour.
Je l’enlaçai à mon tour, savourant le contact avec son corps ardent à travers son haut. Je l’embrassai avec une fougue qu’elle me rendit, ses mains se déposant sur mon bassin, tandis que je la sentais agiter ses jambes pour achever de se débarrasser de son jean. Anne passa ses doigts sous mon tee-shirt et les fit remonter le long de mon dos alors que je tirais sur sa chemise pour la libérer de quelques boutons. Le tissu s’écarta jusqu’à dévoiler un superbe soutien-gorge en dentelle noire que je m’empressai de saisir pour malaxer son sein droit. Mais comme le sous-vêtement me gênait, j’entrepris de défaire ses derniers boutons pour la libérer de sa chemise, avant de m’attaquer à la fermeture du soutien-gorge dans son dos. Tout en tirant sur les attaches, je faisais tourner ma langue contre la sienne, lui prodiguant de délicieuses caresses qui redoublaient son excitation. Impatiente, la psychologue venait se presser contre moi, frottant presque son entrejambe contre ma cuisse droite.


A peine fut-elle libérée de son soutien-gorge, je commençai à presser du bout des doigts l’un de ses tétons, avant de rompre notre baiser pour venir le titiller entre mes lèvres et avec ma langue. Dans le même temps, je fis glisser ma main le long de son ventre et me faufilai directement sous son shorty en lui arrachant un hoquet de plaisir, alors que je découvrais que son sexe était déjà trempé. Ses doigts qui s’affairaient sur ma braguette s’immobilisèrent tandis que mon majeur se faufilait entre ses lèvres, caressant ses chairs si sensibles et ardentes. Je fis lentement le tour de l’entrée de son vagin humide, sans jamais pénétrer l’orifice, puis remontai tout doucement vers son clitoris sur lequel j’appuyai légèrement, provoquant un nouveau sursaut de plaisir. Du bout du majeur, je fis de petits cercles sur son bouton, d’abord en douceur, puis de plus en plus vite.
Ma collègue poussa alors un gémissement de plaisir et nos lèvres se rencontrèrent de nouveau pour un nouveau baiser passionné.
Agitée de tremblements de plaisir, je sentis ses jambes faiblir alors qu’elle fléchissait légèrement les genoux. Je continuai de la masturber quand Anne s’attaqua de nouveau à l’élastique de mon pantalon avec d’autant plus de fébrilité. Elle le baissa vivement avec mon boxer dans le même temps, libérant mon sexe tendu à l’extrême qu’elle attrapa sans attendre entre ses doigts. Elle fit de petits va-et-vient, puis empoigna véritablement ma bite qu’elle commença immédiatement à masturber, tandis que je frottais désormais vigoureusement son clitoris entre deux doigts. Anne semblait maintenant incapable de contrôler sa voix et gémissait de plus en plus, son corps s’agitant régulièrement de soubresauts. Mon souffle se faisait quant à lui de plus en plus lourd alors que le plaisir montait irrésistiblement en moi. Ma bite se faisait de plus en plus sensible sous les doigts de la jeune femme et de même que mon envie de plus, à mesure que l’excitation semblait gonfler dans mon sexe.
Anne fut la première à céder et retira sa main en même temps qu’elle rompit notre baiser. Elle attrapa ma main qu’elle retira de son shorty, puis la tira pour me guider vers le canapé sur lequel elle s’assit. Tandis que je m’installais à ses côtés, elle acheva d’enlever son haut, me dévoilant toute la beauté de son torse fin, son ventre plat et ses sublimes seins. Je m’avançai de nouveau vers ses lèvres et l’embrassai alors que je l’aidais gauchement à se débarrasser de son dernier sous-vêtement. Après quoi, mes doigts plongèrent de nouveau vers son entrejambe humide que je recommençai à caresser avec douceur et intensité. De nouveau, de petits gémissements lui échappèrent alors qu’elle savourait le plaisir que je lui prodiguais.
Nos lèvres se séparèrent alors et je contemplai avec satisfaction son visage agité par des mimiques de jouissance. Je vis ses yeux rouler vers moi alors qu’elle détaillait mon corps et s’attardant sur ma bite tendue. Au bout de quelques secondes, Anne se redressa et attrapa les bords de mon pantalon qu’elle acheva de retirer. Elle commença alors à me caresser la peau entre mes testicules, puis remonta le long de mon pénis qu’elle attrapa à la base. D’un mouvement large, elle chassa ses cheveux en arrière puis se pencha vers moi et embrassa du bout des lèvres le sommet de mon gland. Elle déposa un coup de langue sur mon prépuce, puis un peu plus bas avant de remonter lentement.
Ses yeux se plantèrent dans les miens quand ses lèvres s’écartèrent autour de mon gland, le faisant lentement glisser entre elles alors qu’elle enfonçait mon pénis dans sa bouche. Je devinai son sourire quand elle vit l’expression de jouissance qui traversa mon visage alors que sa langue pleine de salive chaude venait lécher ma hampe qui allait toujours plus profondément dans son palais. Visiblement satisfaite du plaisir qu’elle me prodiguait, elle remonta jusqu’à mon gland les lèvres serrées contre mon sexe, avant de redescendre et d’entamer de petits va-et-vient. Ses mouvements étaient maladroits, mais Anne savait clairement ce qu’elle faisait et je ne pus retenir un râle de plaisir. Elle savourait visiblement ce pénis qui allait et venait dans sa bouche, car elle mettait clairement du cœur dans sa fellation.
Déjà, je sentais la jouissance monter dans mon sexe, mais je fis appel à toute ma volonté pour ne pas venir directement dans son palais. Peut-être commença-t-elle à sentir que cela devenait insoutenable, car elle ralentit peu à peu le rythme. Elle finit par ne garder que le gland en bouche et passa alors sa langue sous mon prépuce, caressant directement des zones du gland si sensibles que j’eus quelques gémissements de surprise. Alors que ça devenait véritablement intenable, elle s’arrêta soudainement et se redressa. Sans même me laisser le temps de réagir, elle m’enjamba et se plaçant à califourchon sur mes cuisses, ses superbes seins à quelques centimètres de mon visage.
Instinctivement, je plaçai mes mains sur ses hanches puis les fis glisser jusqu’à ses fesses fermes, sur lesquelles je plantai mes doigts. Je la soulevai ainsi légèrement, la positionnant alors qu’Anne descendait d’elle-même, sa main entre ses jambes pour attraper ma bite qu’elle guida vers sa fente. Mon sexe glissa une fois sur sa cyprine, buta contre sa fesse, puis passa deux fois sur son clitoris avant de finalement s’immobiliser sur l’entrée de son vagin. Bien qu’elle fût jeune mère, celui-ci me parut étonnamment étroit et ma collègue dû appuyer de tout son poids pour que mon sexe pénètre en elle, lui arrachant un râle de plaisir et de satisfaction. Mon sexe écarta ses chairs intimes alors qu’il allait de plus en plus profondément en elle. Cependant, elle était si étroite qu’Anne finit par pousser sur ses jambes pour faire quelques va-et-vient sur ma bite.
Peu à peu, ses mouvements enfoncèrent de plus en plus mon pénis en elle, ses gémissements croissants témoignant du plaisir qu’elle prenait à s’empaler sur moi.
Lorsque finalement mon sexe s’enfonça si profondément en elle que ses fesses vinrent taper contre mes cuisses, je m’autorisai à accompagner ses mouvements avec mes mains, aidant ses oscillements de bas en haut à gagner du rythme. Mes propres gémissements finirent par rejoindre les siens et le rythme s’accéléra peu à peu. Rapidement, le plaisir devint tel que mes hanches bougeaient d’elle-même pour suivre ses propres mouvements, jusqu’au moment où mes doigts se serrèrent sur ses flancs pour l’immobiliser alors que mon bassin se mettait à dicter le rythme. Je me mis alors à aller et venir vivement en elle, la limant véritablement tandis qu’elle se crispait sur moi en lâchant de petits cris de plaisir.
Peu à peu, ses cuisses se resserrèrent contre mes hanches et je sentis ses chairs intérieures devenir de plus en plus étroites, annonçant une jouissance montante. N’y tenant plus non plus, je lâchai sa fesse droite et ramenai sa main sur mon ventre avant de la glisser sous son bassin afin de frotter son clitoris avec le pouce. Sur moi, Anne se crispait davantage et poussait désormais des cris de plus en plus forts, son visage s’agitant de petits sourires de satisfaction. En la voyant ainsi au bord de l’orgasme, j’avais l’impression que mon sexe était agité de fourmillements et était sur le point d’exploser.
Soudain, elle plaqua ses mains sur mon torse et s’immobilisa alors que ses jambes s’agitaient d’irrésistibles tremblements en réponse à l’orgasme qui la terrassait. Cet ultime resserrement de ses chairs intérieures eut raison de moi et je gémis de plaisir, mêlant ma voix à son râle orgasmique tandis que ma bite palpitait en elle. Je la sentis projeter de longs jets ardents en elle, me vidant sans la moindre possibilité d’agir au plus profond de son sexe. Si cela gênait Anne, elle ne semblait aucunement y prêter attention tant l’orgasme l’avait foudroyée. Elle s’allongea sur mon torse, le souffle court, reculant son bassin afin d’enfoncer mon sexe au plus profond d’elle, son cou reposant contre mon épaule. Instinctivement, je ramenai mes bras sur son dos, l’enlaçant tendrement alors nous tâchions tous deux de nous remettre de nos émotions.
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