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Un retour chaleureux

Chapitre 5

Voyeur / Exhibition
— C’est quoi ce délire ?? Explosa Anne d’un cri qui frisait l’hystérie, qu’est-ce que tu m’as fait ?— Mais rien du tout je n’y comprends rien ! Ça ne m’est jamais arrivé encore !— Parce que la transformation en femme si ?— Quelques fois oui...
La psychologue ouvrit une nouvelle fois la bouche, mais ne dit rien. Visiblement, elle arrivait à court de répliques et je la sentais prête à détaler à tout moment. Je commençai donc mon récit sans plus attendre, le même que je vous ai conté ici dans la série des « Source Chaude ». Comment un plan cul soudain avec un bel inconnu Islandais m’avait conféré la capacité de me changer en femme, puis mon apparence à volonté...
D’abord tendue, je sentais Anne se détendre progressivement, de plus en plus intéressée par mon histoire. Elle s’assit sur le lit, à distance raisonnable de moi, mais je pouvais voir son membre encore bien dressé, palpitant parfois même davantage quand je parvenais à certains moments de mon récit. C’était une évolution étrange, qui m’inquiétait même, car je n’avais aucun doute que j’étais responsable de ce changement d’anatomie chez ma collègue, mais en même temps je trouvais ça assez excitant. Elle ressemblait désormais à une femme transgenre avec sa belle bite et je dirais même à la plus belle que j’aurais pu imaginer. Je n’avais encore jamais expérimenté la chose avec une personne transgenre encore et maintenant, je réalisais à quel point j’avais envie de tenter la chose. Une humidité naissait entre mes jambes croisées à cette idée et je commençai à envisager une proposition à Anne quand elle se redressa subitement sur mes jambes.
— Donc ça, c’est la seule et unique fois que c’est arrivé ? demanda-t-elle, comment tu as fait toi la première fois pour redevenir un homme ?— Je ne sais pas, c’est venu progressivement en fait... Plus d’une journée en tout cas.— Bon, le mieux c’est encore d’attendre du coup hein ? Prête-moi un caleçon.— Hein ? — Ben oui, je n’ai pas de culotte et je ne vais pas me balader avec un membre tendu qui se balance sous ma jupe !
Trop dépité pour répliquer, je fouillai dans une commande et lui tendis un boxer noir qu’Anne enfila sans attendre, faisant disparaître sa merveilleuse nouvelle bite qui me faisait tant envie. Quelques minutes plus tard, ma collègue était à nouveau habillée et aussi naturelle que la veille, puis disparut sans m’accorder plus qu’un regard empreint de méfiance.
Frustré de ce départ soudain, je décidai d’aller me détendre sous la douche et m’arrêtai subitement en découvrant mon reflet dans le miroir de la salle de bains. Je n’étais bien sûr pas surpris d’avoir désormais un corps de femme, mais j’étais cependant étonné de me rendre compte que j’avais cette fois-ci une apparence radicalement différente. En effet, de longs cheveux noirs encadraient mon visage un peu aplati, marqué par deux yeux bridés sombres comme des puits sans fonds. En une petite sieste de trois heures, j’étais devenue une jeune femme asiatique qui avait de quoi alimenter tous mes fantasmes d’adolescent !
Subitement envahie d’une excitation renouvelée, je passai mes doigts sur mes pommettes saillantes, puis mon petit menton avant de suivre ma gorge fine. Je m’étonnai de ma petite taille, un changement particulièrement marquant quand vous passiez d’un mètre quatre-vingt-cinq à un mètre cinquante-huit. Mes mains glissèrent sur ma petite poitrine aux tétons durcis par l’excitation et terriblement sensibles, puis descendirent jusqu’à mes hanches élargies et mes fesses rebondies et fermes à la fois. J’étais surprise par la beauté de ma peau, sa couleur si belle et inhabituelle à mes yeux, ce qui me surexcita quand j’écartai les jambes pour découvrir une vulve dont les lèvres avaient une teinte sombre.
Mes doigts se glissèrent entre elles et je hoquetai de surprise en découvrant à nouveau cette sensibilité si agréable qui m’avait déjà tant manqué. Je me caressai négligemment pendant quelques minutes en savourant les sensations que me procuraient mes doigts. En me contemplant ainsi dans le miroir pendant que je me touchais l’entrejambe, j’avais la sensation de retrouver l’état d’esprit que j’avais en Islande, oubliant les problèmes qu’allait pouvoir poser mon apparence. J’avais encore le temps de trouver une solution d’ici le début de ma garde de nuit au travail, donc je me disais autant profiter !
Je m’attardai sur mon clitoris un temps, puis commençai à vraiment me masturber en lâchant de petits gémissements d’extase. Je soulevai le petit capuchon du gland pour le faire plus facilement rouler entre mes doigts, écartant davantage les jambes pour gagner en liberté dans mes mouvements. Quelques minutes plus tard, je jouissais avec délectation, allongée à même le sol, mes cheveux maculés de sueur recouvrant mon visage.
Il me fallut quelques minutes pour retrouver mon souffle et me décider à passer sous la douche. Lorsque j’en ressortis, j’avais un plan pour aller tout de même travailler malgré mon corps féminin, mais sans attirer l’attention...Une fois revenue dans ma chambre, je découvris que mon téléphone avait plusieurs notifications de SMS, tous d’Anne. Dans ceux-ci, celle-ci me racontait avec panique qu’elle allait devoir aller travailler durant l’après-midi, mais que son sexe demeurait à son grand désarroi toujours dans le même état : à la fois masculin et dur comme la pierre ! Malgré ses tentatives pour essayer de penser à autre chose, sa nouvelle bite semblait apparemment impossible d’être calmée, ce qui la mettait particulièrement mal à l’aise, car elle craignait à tout moment que son secret soit découvert.
— Tu as essayé d’aller aux toilettes ou de passer de l’eau froide dessus ? lui répondis-je.— Oui, rien à faire ! Envoya-t-elle quelques minutes plus tard.
Je demeurai un temps pensive, à me plonger dans mes souvenirs d’adolescent en quête d’un moyen rapide de faire tomber une érection involontaire, mais rien ne me vint. Enfin si, une option bien sûr, mais malgré l’excitation qu’elle suscitait chez moi, j’hésitais à lui en faire part...
— Et si tu te masturbais ? Finis-je par envoyer.— Quoi ?? Non hors de question ! Puis où ferais-je ça ?— Aux toilettes ?— A l’hôpital ? Non, c’est dégueulasse !— Ecoute, vu l’état de ton sexe, je ne crois pas que ton corps ait d’autres envies que ça ! Essaie, tu verras.
Mon portable demeura muet pendant près d’une demi-heure, puis sonna finalement pour annoncer un nouveau message :
— Il n’y a vraiment pas d’autres solutions ?— Je ne pense pas non. Désolé.— D’accord... Je vais essayer.
Je me redressai subitement sur le canapé où j’étais affalée à regarder la TV en attendant de m’endormir. A la simple idée de ce qu’Anne était sur le point de faire, je sentais mon ventre frémir et une douce chaleur excitante me traverser.
— Tu es partie aux toilettes ? Finis-je par demander.— Oui, j’y suis... C’est très bizarre... Je te dirais si ça a marché.
Il ne m’en fallut pas plus pour que je fasse glisser une main sous le pantalon de pyjama que j’avais revêtu. Je mourrais d’envie d’être aux côtés de ma collègue en ce moment, de voir ses doigts délicats serrer son imposant pénis miraculeusement apparu sur son sublime corps féminin. Je l’imaginais sans mal découvrir pour la première fois son membre, les sensations qu’il procurait, démultipliées par le sentiment de nouveauté qu’Anne devait vivre à cet instant. Ses doigts devaient remonter le long de son pénis, découvrant l’intensité d’une caresse du gland et la sensibilité du prépuce. En fermant les yeux alors que mes doigts s’agitaient sur mon clitoris, je la voyais commencer ses mouvements de bas en haut, d’abord lents et hésitants, puis de plus en plus rapides à mesure qu’elle découvrait tout le plaisir que provoquaient ces mouvements de va-et-vient quand on les faisait avec vitesse.
Comme j’avais envie de l’appeler en ce moment, d’entendre sa respiration lourde, ou même ses petits gémissements alors qu’elle sentait une tension monter dans sa bite.
Je voulais qu’elle me raconte tout ce qu’elle ressentait, comment elle pouvait comparer ça avec son expérience de la vulve et du vagin qui avait jusque-là marqué toute sa vie !J’avais l’impression de presque la voir debout devant les toilettes, agitant follement sa main droite sur son membre afin de le branler avec force, ouvrant la bouche tout en essayant de retenir les gémissements qui montaient dans sa gorge. Je plongeai soudain deux doigts dans mon vagin à cette pensée, caressant l’intérieur à grands bruits humides du fait de ma mouille abondante alors que j’imaginais mon amante sentir l’excitation grimper toujours plus. Sa branlette devait maintenant être devenue hyper-rapide alors qu’elle sentait l’éjaculation se rapprocher de plus en plus. L’orgasme presque imminent, je l’imaginais les jambes tremblantes, son gland gonflé par la pression intense du sang, dirigé tant bien que mal vers les toilettes alors qu’elle se sentait sur le point de jouir. Je souris en entendant son petit cri de surprise lorsque le premier jet partit, faisant exploser brutalement tout le plaisir qui grimpait jusqu’alors en elle.
Je devinais la surprise sur son visage alors que son foutre s’étalait un peu partout, bien au-delà de tout le contrôle qu’elle imaginait pouvoir avoir sur son sexe.

Cette pensée fut justement la goutte de trop et mon orgasme explosa à son tour, me secouant les jambes et le bassin d’un plaisir intense. J’eus le droit à de longues minutes de récupération le souffle court avant que mon portable ne sonne à nouveau, annonçant un nouveau message d’Anne :
— C’est fait... C’était incroyable ! écrit-elle, puis ça a l’air de marcher ! Mon truc a l’air de se calmer...— Je te l’avais dit ! Tiens-moi au courant tu reviens à la normale.
Mon dernier message resta sans nouvelles pendant de longues heures et je finis par m’endormir dans mon canapé. Lorsque mon réveil me tira des bras de Morphée en début de soirée, mon portable n’affichait toujours aucun message et je me résignai donc à partir travailler sans avoir plus de nouvelles de la part d’Anne.
Pour mon « petit » problème de changement de sexe pour cette garde de nuit, j’avais facilement trouvé une solution à mon problème. J’allais tout simplement pointer avec ma carte comme d’habitude, personne ne poserait de questions, puis une fois dans les vestiaires, je faucherais une des blouses des stagiaires, identiques en tout point aux nôtres, mais sans noms écrits sur la poitrine. Ainsi, je me ferais simplement passer auprès mes collègues pour une remplaçante venue d’un autre service. Ma cadre ne poserait pas de questions comme ma carte professionnelle aura été validée et pas de risque d’être découverte, elle était bien trop feignante pour quitter son bureau et voir ce qui se passait dans les services...
Je pris donc le chemin de l’hôpital sans me sentir plus stressée que ça, car j’étais persuadée qu’il ne me faudrait pas plus d’un ou deux jours pour retrouver ma faculté de changer d’apparence. Si tout se passait comme en Islande, je pourrais revenir à la normale avant la reprise de mes gardes de jour et ne rencontrerais aucun souci. Pour ce qui était du futur plus lointain ou de la possibilité que les choses ne se passent pas ainsi, eh bien... Je préférais éviter d’envisager cette situation.
En attendant, je préférais tourner mes pensées vers mon téléphone et les derniers messages que j’avais échangés avec Gaëlle, mon amie et amante lesbienne qui avait tant marqué mon voyage en Islande. Avec le retour de ma capacité à prendre un corps féminin, je crevais d’envie de l’appeler afin de lui annoncer la nouvelle et pourquoi pas, de lui proposer de se voir... Mais incapable de trouver comment amener la chose, je me contentai de me prendre en photo et de la lui envoyer en message avec un simple petit emoji clin d’œil, nous verrions bien si elle comprendrait !
Je réalisai soudain que je n’avais pas encore choisi ce qui serait mon nouveau nom sous cette apparence féminine. Je n’avais pas envie de reprendre le nom d’Enora comme en Islande, ou d’un nom asiatique qui attirerait encore plus l’attention que mon apparence. Je finis par opter pour quelque chose de simple et de finalement me baptiser sobrement Alexia. Satisfaite de mon choix, je passai les portes de l’hôpital pleines d’une confiance renouvelée et suivie donc mon plan le plus naturellement du monde.
Les choses se compliquèrent quand j’approchais des vestiaires de notre étage et que des voix étouffées me parvinrent à travers la porte. Ceux-ci étant mixtes, pas mal de personnes passaient par là, mais pour la bonne tenue de mon plan, je ne tenais pas à croiser du monde si je pouvais l’éviter. J’entrouvris donc le battant avec prudence et tendis l’oreille, voir si je reconnaissais les occupants des vestiaires. Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que ce que j’entendais n’était pas une conversation, mais les gémissements de deux personnes en train de s’amuser...
Intriguée par la situation, j’entrai avec prudence et aussi silencieusement que possible, curieuse de découvrir qui étaient ses amants du soir, prêts à prendre le risque d’être découverts par ceux qui allaient prendre leur garde de nuit. Je me faufilai derrière la rangée de casiers la plus proche, puis essayai de déterminer d’où venaient les ébats. Je me plaquai contre une autre rangée un peu plus loin, puis me penchai avec précaution, laissant juste un œil dépasser de ma cachette. C’est alors que je sentis ma mâchoire littéralement tomber de surprise, ma bouche formant un grand O alors que je contemplais Anne seulement vêtue de son haut, en train d’embrasser Flora qui était entièrement nue, sa main droite s’agitant vivement sur la nouvelle bite de son amante.
Je ramenai ma tête immédiatement en arrière pour me cacher, me demandant pendant un instant si j’avais bien vu. Puis quand je me penchai de nouveau, je sus que je n’avais pas halluciné. Je ne sais pas comment elles en étaient arrivées là, mais Anne se faisait branler par Flora ! Cette dernière n’était d’ailleurs pas délaissée pour autant, car je remarquais qu’une des mains de la psychologue disparaissait entre les jambes de la jeune infirmière.
Le fait de les voir ainsi était déjà excitant, mais penser qu’en plus je voyais mes deux dernières amantes en date se donner du plaisir me surexcitait au point que je mourais déjà d’envie de les rejoindre. Cependant, j’avais bien trop peur de les effrayer et qu’elles ne s’arrêtent en apparaissant soudain devant elles. Non, ce spectacle était bien trop beau pour que je prenne le risque de l’interrompre. Je pris donc mon mal en patience en demeurant à mon poste, aussi bien cachée que je le pouvais afin de garder une bonne vue de la scène, tandis que je déboutonnais mon jean d’une main, avant de la faufiler entre mes jambes.
— Je n’en peux plus, entendis-je murmurer Anne. J’en envie de la mettre en toi !
Ces derniers mots firent tressauter mes doigts de surprise sur mon clito, elles allaient vraiment passer le pas ! Rien qu’à cette idée, j’eus la surprise de sentir la mouille inonder ma vulve d’envie.
— Tu es sûre ? Demanda Flora le souffle court.— Oui, j’ai tellement envie de savoir ce que ça fait !
Pour toute réponse, Flora lui sourit et lâcha son sexe, s’écartant un peu d’elle avant de se retourner et se pencher en avant, deux mains venant s’appuyer sur un casier. Face à un mouvement signifiant tellement, je ne pus m’empêcher de redoubler l’intensité de mes caresses sur mon clitoris, descendant parfois pour caresser mes petites lèvres et l’entrée de mon vagin. En me mordant la lèvre inférieure, je contemplai Anne s’approcher des fesses de la jeune infirmière, puis saisir sa bite de la main droite qu’elle branla doucement. Elle caressa l’un des globes de chair, puis écarta un peu le second, avant de remonter sur son dos alors qu’elle appuyait son gland sur le bas de ses reins. La psychologue se pencha en avant pour embrasser Flora dans le cou, pressant ses seins contre son dos au passage dans un mouvement exquis.
Pour ma part, je n’y tenais plus, je faisais rouler mon clitoris, pressait ce petit bouton qui semblait gonflé au point d’exploser à tout moment ! J’avais déjà envie de me faire jouir, mais me retins de peur de ne pouvoir éviter de gémir et d’interrompre la scène. Car Anne se reculait maintenant un peu et guida son gland vers l’entrejambe de son amante. Elle fit quelques mouvements de bas en haut, essayant d’appuyer un peu au hasard, avec la maladresse caractéristique d’un jeune inexpérimenté. Puis soudain, j’entendis Flora prendre une brusque inspiration bruyante et Anne appuyer peu à peu avec son bassin.
Malgré la distance, je pouvais deviner la silhouette de son magnifique chibre qui s’enfonçait dans le sexe de la jeune femme, les hanches de l’une se rapprochant inéluctablement des fesses de l’autre. Anne poussa un grand soupir, puis ouvrit la bouche de surprise avant de lever les yeux au ciel et de sourire.
— C’est ça que ressentent les mecs ? murmura-t-elle, c’est tellement bon !— C’est vrai ? répondit avec amusement Flora sur le même ton.— Carrément ! Tu es si douce et chaude à l’intérieur, c’est fou !
Sur ces mots, Anne recula lentement ses hanches, puis fit son premier va-et-vient avec douceur, un nouveau sourire révélant toute sa délectation de ce qu’elle ressentait. Elle fit quelques aller-retour avec une expression à mi-chemin entre l’extase et l’hilarité, puis poussa plus fort de ses hanches, s’enfonçant plus profondément dans le vagin de la jeune femme. De ma cachette, j’entendis les deux amantes soupirer de satisfaction et de jouissance, ce qui fut la goutte de trop. Je fis glisser mon majeur et mon auriculaire le long de ma fente, puis appuyai sans attendre et mes deux doigts pénétrèrent dans mon vagin sans rencontrer de résistance.
Alors que je commençais à masser l’intérieur de mon sexe, j’expirai aussi silencieusement que possible un soupir de plaisir, tandis que j’admirais Anne trouver son rythme dans ses coups de bassin. A chaque fois qu’elle s’enfonçait à fond dans le sexe de l’infirmière, j’admirais les poitrines des deux amantes tressauter sous le choc, leurs seins se balançant à chaque aller-retour.
— Tu es si chaude dedans, entendis-je souffler Anne. Je n’arrive pas à croire que ça soit si bon !
Sur ces mots, elle commença à accélérer ses coups de reins, allant et venant de plus en plus vite en Flora qui semblait incapable de répondre alors qu’elle s’efforçait de retenir sa voix. J’étais si excitée par la fascinante découverte d’Anne de ce que ça faisait d’avoir une bite que je redoublais mes propres caresses, enfonçant mes doigts aussi profondément que possible en moi. Je rêvais d’être à la place de la jeune infirmière, que ça soit moi qui me fasse remplir ainsi mon sexe. Mes doigts n’étaient pas assez pour ce dont j’avais envie et j’avais le sentiment qu’en rajouter un troisième ne changerait rien. Je retins donc ma frustration en m’attardant sur mon point G, massant le dessous du clitoris avec force et en me mordant les lèvres.
Je me sentais déjà proche de jouir, mais en observant la scène avec une attention renouvelée, je remarquai qu’Anne avait des mouvements de plus en plus désordonnés et je devinais que l’orgasme ne devait pas être loin. Comme je craignais de me faire repérer à cet instant fatidique, je sortis ma main de mon pantalon et regardai la psychologue accélérer encore le rythme. Quelques secondes plus tard, elle plaquait ses hanches contre les fesses tremblantes de Flora, et lâcha un gémissement rauque et sonore tandis que je la devinais remplir de sperme le vagin de la jeune femme.
Elles demeurèrent ainsi plaquées l’une contre l’autre, se caressant et s’embrassant avec douceur et je devinai donc que le spectacle était fini, il était grand temps que je m’éclipse. Je remis donc mon sac sur mon épaule, puis me faufilai silencieusement vers les cabines de douche voisine afin de laisser les deux amantes se remettre de leurs émotions... Et de remettre de l’incroyable scène que je venais de voir, me plongeant dans un état d’excitation qui ne semblait pas vouloir redescendre.
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