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Un retour chaleureux

Chapitre 8

Travesti / Trans
Heureusement, le local lingerie de notre étage n’était pas loin des ascenseurs, et je pus donc le rejoindre facilement sans craindre d’être vue. Il fallait dire que je préférais éviter croiser quelqu’un, car mon pantalon de blouse était tellement maculé de sperme qu’il n’y avait aucun doute quant à ce que j’avais pu faire de mon temps. Une fois la porte refermée derrière moi, je me dirigeai d’un pas vif vers les piles de blouses disposées sur les tables, qui attendaient que leurs propriétaires viennent les récupérer.
Après quelques minutes de recherche, je finis par trouver un haut de blouse propre et à l’étiquette suffisamment abimée pour être illisible. Après avoir pris un pantalon à ma taille, je commençai à me déshabiller, déposant mes vêtements maculés de sperme et de transpiration sur la table voisine. Mais alors que j’étais sur le point de mettre mon nouveau haut, je me figeai et posai une main sur mes seins et me rendis compte qu’ils avaient considérablement grossi, comparé à ce que j’avais pu constater quelques minutes plus tôt.
— Etait-il possible que... ?
Pour la énième fois depuis mon retour d’Islande, je me posais la question, est-ce que mon don de changement d’apparence est enfin revenu ? Après ces dernières 24h folles en rebondissements, cela ne me paraissait pas impossible et je mourrais donc d’envie de faire le test. Je reposai le haut de blouse que j’avais pris et me regardai le torse, que je commençai à étudier du regard.
J’observai la courbe de mes seins, mes épaules fines et mon petit ventre dont le bas chutait élégamment vers mon entrejambe sous ma culotte. Je me concentrai sur ma silhouette et essayais de l’imaginer changer... Ce qui marcha immédiatement ! J’eus un hoquet de surprise, car jamais encore je n’y étais arrivé si facilement ! Dans un frémissement, je vis ma poitrine se réduire et mes épaules s’élargir tandis que ma peau pâlissait. Le petit rire aigu qui montait dans ma gorge se mua en une quinte de toux grave alors que je retrouvais une voix masculine et que je gagnais des centimètres de hauteur. Alors que ma poitrine perdait tout aspect féminin, mon torse se couvrit de quelques poils et c’est non sans un certain amusement fasciné que je vis une bosse apparaître et soulever le tissu de ma culotte.
D’une main fébrile, je fouillai le pantalon de blouse maculé de sperme qui me paraissait désormais bien petit et en sortit mon téléphone dont je levai l’écran devant moi. Une fois l’appareil photo activé, je pus découvrir que j’avais bien retrouvé mon apparence initiale de jeune homme brun finalement très ordinaire. Cependant, la satisfaction de retrouver mon corps originel fut de courte durée, car je pus voir dans un coin de l’écran que juste derrière moi, à l’embrasure de la porte du local, se tenait Flora, figée sur place avec une expression choquée sur le visage.
— F-Flora ! m’exclamais-je en me retournant vivement, je...— J’en étais sûre ! répliqua-t-elle, j’étais sûre que c’était toi cette petite asiatique !— Que, attends quoi ? Comment tu as pu savoir ça ?— Disons que j’ai eu une conversation... Vraiment intéressante avec Anne en fin d’après-midi !
Cette réflexion m’arracha un sourire malgré moi, bien sûr qu’elle savait, vu comment je les avais surprises ensemble en début de soirée ! Maintenant que je pouvais respirer un peu et réfléchir à la chose, j’étais assez anxieux qu’Anne ait pu si simplement parler de mon changement d’apparence en plus du sien. Flora était sans doute l’une des meilleures interlocutrices qu’on aurait pu imaginer pour cela, mais je me sentais quand même gêné de savoir mon secret éventé...
— C’est une bonne chose que tu aies trouvé un moyen de reprendre ton apparence, continua-t-elle. Tu vas pouvoir m’aider avec mon propre problème.
Sur ces mots, elle baissa soudainement son pantalon de blouse, révélant une culotte en tissu blanc soulevée par un épais renflement qui ne laissait aucun doute quant à sa nature...
— Qu-quand ? articulais-je tant bien que mal.— Tout à l’heure, je n’en ai parlé à personne encore ! Disons que... j’ai expérimenté le nouvel outil d’Anne et que peu après, j’ai été prise d’un drôle de mal de ventre. Quand j’ai enfin pu aller aux toilettes, j’ai découvert ça !
— Mais qu’est-ce qui se passe enfin ?
Pensais-je en regardant la bosse formée par la nouvelle bite de Flora. Je couche avec Anne et elle se retrouve avec un pénis et Flora couche avec Anne et voilà qu’elle aussi ? J’en venais presque à me demander si je n’étais pas le patient zéro d’une nouvelle maladie !
— Je ne sais pas comment t’aider Flora... Je n’y comprends rien, ça n’est jamais arrivé avant !— C’est aussi ce que tu as dit à Anne oui. Mais toi, comment as-tu fait pour redevenir un homme ? Ça a à voir avec ta partie de jambes en l’air avec Brice dans le coin des distributeurs ?— Je ne...
Je me coupai dans ma phrase et réfléchis. Sans même y réfléchir, c’était évident qu’il y avait un rapport, c’était inutile de le nier. De même que c’était forcément le sexe qui était à l’origine des brusques changements d’anatomie chez Anne puis Flora.
— C’est évident, je crois oui, repris-je. Mais ça ne nous dit pas comment je peux t’aider.— Tu n’as vraiment aucune idée ? me demanda Flora avec un sourire mutin, cette histoire a tout d’un scénario de hentaï, mais ce qu’il nous reste à faire me paraît terriblement évident !
D’un coup de pied, Flora referma complètement la porte et se débarrassa de ses chaussures avant de laisser tomber son pantalon. Instinctivement, je fis un mouvement de recul, bien que je sentais le tissu de ma culotte féminine devenir terriblement étroit pour mon membre qui grossissait d’excitation. Mon pouvoir était clairement hors de contrôle, tant pour les changements de sexe que je produisais autour de moi que le sex-appeal démesuré que je semblais avoir ! Mes mains s’étendirent sur la table derrière moi et mes doigts vinrent serrer la blouse propre que j’avais trouvée, mais je ne trouvai pas la force de m’en habiller. Devant moi, Flora se débarrassait de son haut, révélant un soutien-gorge simple qu’elle retira à la suite.
Elle n’était plus qu’à quelques centimètres de moi quand ses magnifiques seins apparurent devant moi et cette vue me retira toute envie de résister. Flora n’eut plus qu’à se dresser sur la pointe des pieds et je la pris dans mes bras pour l’embrasser tendrement, son sexe venant caresser le mien à travers les tissus de nos sous-vêtements. Nos lèvres vinrent se baiser à plusieurs reprises, tandis que mes mains caressaient son dos, ses épaules et puis son cul. Ses doigts ne tardèrent pas à venir également danser sur mes fesses, puis finalement les empoigner, les serrant et les écartant dans une caresse très plaisante. Contre mon bas-ventre, son membre pulsait d’excitation, ce qui m’encouragea à glisser ma main sous le tissu de sa culotte. J’empoignai alors son membre fin, mais étonnamment allongé et surmonté d’un gland imposant que je serrai et caressai avec douceur.
Je guidai son sexe à l’air libre et démarrai de lents mouvements de va-et-vient alors que je l’embrassais avec la langue, ma main libre caressant sa nuque à peine recouverte de ses cheveux verts.
Flora avait beau plutôt paraître masculine en temps normal, elle n’en conservait pas moins une féminité terriblement attirante que même sa nouvelle bite ne pouvait altérer. Alors que je la caressais, elle renversa sa tête en arrière, écartant ses cheveux verts courts de son front, sa bouche ouverte s’agitant pour laisser s’échapper des petits soupirs aigus de plaisirs.
— C’est si bon, souffla-t-elle, Anne n’avait pas menti !
Sa réflexion m’arracha un sourire et j’accélérai subitement le rythme de la masturbation que je lui prodiguais, ce qui lui fit écarquiller les yeux de surprise. Avec fébrilité, Flora s’attaqua à son tour à l’élastique de ma culotte, libérant enfin mon épais membre qui ne tenait plus dans sa prison de tissu. Elle l’empoigna avec un peu trop de force, mais l’énergie qu’elle mettait à caresser ma bite était telle que je sentis immédiatement le plaisir gonfler également en moi. Nous continuâmes à nous faire plaisir ainsi pendant quelques minutes, tout en nous embrassant langoureusement, nos langues dansant au rythme de nos pics d’excitation. Puis subitement, Flora rompit notre baiser et me souffla à l’oreille le souffle court :
— Aah s’il te plaît, je n’en peux plus ! Suce-moi, j’en ai tellement envie !
La demande était d’une telle franchise que je ne pus m’empêcher de sourire d’amusement et je considérai un instant la chose. Puis finalement, je décidai de céder et j’abandonnai les lèvres de mon amante pour me mettre lentement à genoux. A deux mains, j’empoignai l’élastique de sa culotte que je fis descendre jusqu’à ses pieds, puis je repris son membre entre mes doigts afin de le masturber doucement devant mes yeux. Du bout de la langue, je commençai à lécher son gland et son prépuce, avant de guider le bout de sa bite sur le haut de ma langue, afin de caresser avec douceur son frein. Au-dessus de moi, j’entendais le souffle de Flora devenir considérablement plus lourd et c’est alors que je fis entrer son membre dans ma bouche.
J’enfonçai profondément son sexe dans mon palais, amenant son gland à la rencontre de mon palais, avant de le faire ressortir et de resserrer mes lèvres sur l’arrière de son gland. Je me mis alors à faire des va-et-vient, le suçant avec force et en insistant sur ses zones les plus sensibles. Puis peu à peu, je commençai à pousser ma tête plus loin, à le prendre plus profondément dans ma bouche et en allant de plus en plus vite. Je savourais ce membre de plus en plus gonflé contre ma langue et mon palais, ces caresses buccales délicieuses où je pouvais pleinement apprécier le gain progressif de volume de cette bite alors que Flora se rapprochait de plus en plus de la jouissance.
Devant moi, ses cuisses commençaient à frémir et ses mains ne savaient plus où se poser sur ma tête. Je sentais mon amante perdre progressivement tout contrôle sur elle-même, ne comprenant plus ce qui arrivait à son corps qui lui faisait ressentir des sensations si nouvelles pour elle. Et puis soudain, ce fut trop, son membre gonfla une ultime fois contre ma langue, puis se mit à tressaillir, à battre alors que subitement de longs jets ardents emplissaient les profondeurs de ma bouche, filant dans ma gorge sans que je puisse le contrôler. Je repoussai le haut-le-cœur qui montait dans ma poitrine et gardai sa bite entre mes lèvres et essayais d’avaler tant bien que mal tout ce qu’elle projetait en moi.
Son membre toujours dans ma bouche, je relevai les yeux vers Flora dont la poitrine se soulevait avec force, alors qu’elle essayait de reprendre son souffle. Un large sourire aux lèvres, la jeune femme semblait se remettre tant bien que mal de cet orgasme nouveau pour elle tandis que son sexe se ramollissait peu à peu dans ma bouche. Je laissai retomber sa bite qui se mit à pendre devant moi, encore luisante d’humidité, puis me relevai avec lenteur pour venir embrasser les lèvres de mon amante. Mon pénis qui lui était encore dur comme la pierre vint se plaquer contre son nombril, encore plein de désir. Tout en embrassant son cou, je commençai à caresser ses fesses, pris d’une insatiable envie pour la suite.
— J’ai envie de toi, lui soufflais-je à l’oreille.— Moi aussi, mais je n’ai plus de vagin...— Je crois que ça ne t’avait pas dérangée de l’avoir ailleurs la dernière fois !— OK, vas-y...
Je ne me fis pas prier et serrai immédiatement les fesses de la jeune femme avant de la soulever, ramenant nos sexes au même niveau alors qu’il écartait les jambes. Tout en l’embrassant, je la déposai sur la table derrière moi, sur mon ancienne blouse au pantalon encore humide de sperme, ce qui ne sembla pas déranger la jeune infirmière. Je crachai généreusement dans ma main, puis commençai à en recouvrir mon sexe afin de bien le lubrifier, pendant que Flora en faisait de même avec son anus. Alors qu’elle remontait pour caresser un peu sa bite, j’en profitai pour venir lubrifier à mon tour son cul, dans lequel je plongeai un doigt en ne rencontrant qu’une très légère résistance. Je le gardai enfoncé un temps afin d’aider son corps à s’y habituer, mais c’est Flora elle-même qui le retira et écarta davantage les jambes.
— Vas-y maintenant, souffla-t-elle, j’en ai trop envie !
Je crachai à nouveau un peu de salive dans ma main, puis en maculai mon membre avant de le diriger vers son cul. Je vins déposer mon gland contre son anus, puis commençai à appuyer doucement, mais ce n’est qu’après une brève résistance que ma bite commença à s’enfoncer en elle. Flora regarda mes hanches peu à peu se rapprocher de ses fesses tout en saisissant sa bite qu’elle commençait à masturber avec force. Rapidement, son membre retrouva de la vigueur et il était à nouveau bien droit quand je commençai à aller et venir en elle.
Son cul serrait ma bite avec force, ce qui rendait chaque mouvement délicieusement jouissif. La jeune infirmière ne put retenir un petit gémissement de sa voix claire alors que j’allais de plus en plus profondément en elle, la sodomisant en missionnaire, tout en douceur, par de petits mouvements lents. Je plaquai mes mains sur ses seins que je serrai avec délicatesse alors que mon amante se masturbait frénétiquement en savourant mes coups de reins. Peu à peu, je sentais ses chairs se relâcher, m’autorisant à faire des va-et-vient plus amples et rapides, ce qui ne fit que renforcer notre plaisir.
Flora était si belle ainsi avec sa bite entre ses mains, le visage marqué par le plaisir qui montait irrésistiblement en elle. Elle semblait avoir toujours connu ce membre et la voir ainsi se branler alors que mon sexe allait et venait profondément en elle était terriblement excitant. Irrésistiblement, je bougeais mes hanches de plus en plus vite, baisant son cul en profondeur avec la vive envie de jouir en elle. Mon amante peinait à retenir ses gémissements et finit par abandonner son sexe pour me regarder droit dans les yeux, comme si elle avait deviné ce que j’avais en tête. Puis soudain, elle plaqua une main contre mon torse, me poussant à m’arrêter et même me reculer un peu.
— Attends, souffla-t-elle. Pas encore... Moi aussi j’ai envie de te prendre !— Quoi ? Euh...— S’il te plaît, j’en ai tellement envie ! Je veux essayer moi aussi !
Sa demande me prenait de court et je pesai le pour et le contre pendant encore un instant avant de me décider à me retirer de son cul. « OK », lui dis-je simplement avant de prendre une pile de blouses posées non loin et de les jeter par terre. Je fis de même avec deux autres piles, avant d’inviter ma charmante amante à s’allonger sur le matelas de fortune que je lui avais créé. Le temps qu’elle s’exécute, je me mouillai abondamment les doigts de ma salive afin de m’en lubrifier généreusement la raie de mes fesses et mon anus qui parut s’ouvrir légèrement sous mes caresses.
J’avais considéré un instant de changer d’apparence, de retrouver un corps féminin pour la prendre dans un vagin, mais cela faisait trop longtemps que je n’avais pas profité d’une bonne sodomie, sans parler du fait que c’était avec une bite que j’avais envie de jouir. J’enjambai donc le petit corps de Flora en demeurant moi-même, alors qu’elle se lubrifiait également généreusement son membre. Je m’accroupis sur elle, puis finis par me mettre à genoux, en véritable position d’amazone.
Après m’être bien masturbé mon sexe gonflé et dur comme l’acier, je pris en main la bite de mon amante afin de la guider contre mon trou du cul. Je déposai son gland contre le petit œillet, puis je commençai à relâcher peu à peu les muscles de mes genoux. Une pression se fit sentir et comme pour m’encourager, Flora posa alors une main sur ma bite qu’elle caressa avec douceur. Tout en continuant à maintenir son membre droit, je sentis que peu à peu, se frayait un chemin dans mes chairs en ignorant leur légère résistance. Je marquai une pause, une deuxième, mais ne m’arrêtai pas avant de sentir son sexe complètement enfoncé en moi. Je demeurai alors immobile un instant, afin de bien m’habituer à cette présence qui semblait me réchauffer de l’intérieur, activant une toute nouvelle gamme de plaisir.
Au bout de quelques secondes, je soulevai légèrement mes fesses avant de renfoncer sa bite en moi, ce qui nous fit gémir en chœur. Je répétai immédiatement le mouvement, puis une nouvelle fois en remontant encore un peu plus loin et continuai jusqu’à ce que nous commencions à avoir un rythme. Flora posa ses mains sur mes hanches et commença à me guider avec ses propres mouvements du bassin. Je sentis peu à peu la gêne et la douleur que son sexe pouvait causer à mon cul s’évanouir, remplacé par un plaisir croissant qui me poussa à prendre ma bite en main pour me masturber. Le rythme mesuré et prudent finit par se muer en quelque chose de plus rapide et de plus fort, nos mouvements se synchronisant et s’équilibrant au fur et à mesure.
— C’est tellement bon, murmura Flora, je pourrais m’y habituer !
L’orgasme était déjà proche quand j’étais en elle et je sentais que le nouveau qui montait en moi promettait d’être encore plus fort ! Je me redressai en arrière, prenant appui sur les cuisses de mon amante avec mes mains pour accompagner et mieux ressentir ses coups de boutoirs. Voyant mon sexe délaissé se balancer devant elle, Flora attrapa mon membre et le serra avec force avant de commencer à me branler vivement. Je bougeais irrésistiblement mes cuisses, savourant le plaisir qu’elle me procurait par ma bite tout en accélérant le rythme pour qu’elle aille en moi de plus en plus vite, ce qui provoquait une délicieuse onde de chaleur au niveau de ma prostate. Ma bite semblait plus sensible que jamais et je me mordis la lèvre en sentant que son pénis semblait gonfler et palpiter en moi.
L’orgasme était proche pour Flora et je m’attendais tant à sentir son sperme me remplir que je fus pris de court quand soudain, ma propre éjaculation explosa. Mon plaisir éclata depuis le creux de mon bassin et ma bite sembla s’embraser d’une colossale onde de plaisir qui m’arracha un petit cri de plaisir. Mes cuisses tremblantes plaquées contre le torse de mon amante, je vis mon sexe palpiter en déversant un véritable flot de sperme qui ne jaillit pas sur le visage de la jeune femme, mais coulât sur son nombril, inondant son ventre et le bas de sa poitrine. Alors que je frissonnais encore de mon orgasme, j’eus un léger sursaut quand les profondeurs de mon cul parurent soudain devenir brûlantes. Ce n’est que quand je vis l’expression sur le visage de Flora que je compris qu’elle avait joui à son tour et que c’était son sperme qui commençait à couler de mon trou du cul pour couler sur la raie de mes fesses.
Après quelques secondes à reprendre notre souffle, j’usai de mes dernières forces pour faire bouger mes cuisses fatiguées et soulever mon bassin jusqu’à ce que le sexe plein de sperme de Flora ressorte de mon anus. Je me penchai alors sur elle et l’embrassai tendrement, d’abord juste avec les lèvres, puis avec la langue.
Je me sentais comblé, ampli d’un sentiment qui côtoyait à l’ivresse tant mon corps avait traversé de jouissances en une soirée, j’étais à la fois pleinement satisfait et vide de toute énergie ! Il me fallut donc plusieurs minutes avant de pouvoir me relever et je m’efforçai donc de repartir à la recherche d’une tenue propre adaptée cette fois-ci à mon corps d’homme. Flora se leva à son tour quelques secondes plus tard et commença à rassembler ses propres affaires en m’adressant un sourire à chaque fois que nos regards se croisaient.
Une fois tous deux rhabillés, nous nous mirent en œuvre pour ranger tout le fatras que nous avions mis par terre, avant de nous prendre dans les bras et nous embrasser langoureusement à nouveau. Quand soudain, Flora eut un hoquet et se plia en deux en se tenant le ventre !
— Qu’est-ce qu’il y a ? demandais-je avec panique.— Je ne suis pas sûre, souffla mon amante en tirant sur l’élastique de son pantalon, découvrant sa culotte parfaitement lisse. Mais ce n’est que quand elle baissa à son tour le sous-vêtement que nous eurent confirmation : sa bite avait disparu, aussi soudainement qu’elle était apparue !
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