Je me tournai et jetai discrètement un nouveau coup d’œil à l’intérieur, juste à temps pour voir le mari d’Anne émerger de sous la jupe de sa belle-sœur avec un immense sourire, puis se lécher l’humidité à la commissure de ses lèvres alors qu’il se redressait. Claire le prit dans les bras alors qu’il venait l’embrasser avec tendresse, l’incitant tout en douceur à venir se coller à elle. Son épaisse poitrine vient s’appuyer contre le torse de son amant alors que ce dernier dirigeait ses mains vers sa ceinture qu’il défit avant de baisser son pantalon. Les mains de Claire quittèrent alors la nuque de son beau-frère pour se glisser vers son bas-ventre où je devinai à ses mouvements qu’elle commençait à le masturber avec avidité. A ce stade, mon envie d’aller voir Anne s’était définitivement évanouie, remplacée par une terrible envie de libérer à mon tour mon sexe de mon boxer qui semblait devenu terriblement étroit. Je me sentais dur comme la roche, pris d’une incroyable envie d’aller les rejoindre et de goûter également aux attentions de Claire. Je glissai une main dans mon sous-vêtement quand je vis Jérôme s’immobiliser alors que son amante semblait diriger son membre vers son sexe. Il commença alors à bouger les hanches, à faire de petits va-et-vient d’abord très lents, puis à y aller plus fort, secouant le corps de sa belle-sœur dont je vis les cheveux commencer à onduler en rythme. Je mourrais d’envie de sortir ma bite à mon tour pour me masturber tranquillement devant ce sublime spectacle, mais quand j’entendis les petits gémissements de Claire filtrer à travers la porte, c’est une autre pulsion qui monta en moi. Comme possédé, je posai la main sur la poignée et l’abaissa, guidé par une confiance surréaliste et déterminée à tester une nouvelle fois la portée du sex-appeal que m’apportait mon don. Dans la panique d’avoir été surpris, les deux amants s’écartèrent vivement et commencèrent à se rhabiller précipitamment, avant de s’immobiliser lorsque j’entrai dans la pièce. En lisant la peur dans leur regard, je ne pus m’empêcher de sourire de satisfaction, avant de lever les mains en signe d’apaisement. — Du calme, je ne compte rien dire à Anne.— Qu’est-ce que tu fais là alors ? Demanda Claire en se couvrant l’entrejambes, laisse-nous nous rhabiller !— Non non, je vous aime bien comme vous êtes...
Sur ces mots, je continuai à me diriger vers les deux amants qui se rapprochèrent l’un de l’autre. Je vins jusqu’à me trouver derrière Claire qui se retourna vers moi, puis je posai une main sur sa hanche. La sœur de ma collègue demeura interdite, elle ne me repoussa pas, mais je ne la sentis pas résistante pour autant. Je posai ma main gauche sur son cou et avant qu’elle ne puisse réagir, je rapprochai mes lèvres des siennes et déposai un court mais intense baiser. Après quoi je me reculai et sentis une intense satisfaction en voyant la lueur d’excitation dans le regard de Claire. Derrière elle, Jérôme demeurait figé et immobile, ne sachant encore comment réagir alors que je commençais à caresser les fesses de son amante. Afin de l’aider à se décider, je fis glisser ma main droite jusqu’à son entrejambes alors que j’embrassai à nouveau sa belle-sœur. Il écarquilla les yeux de surprise alors que j’attrapais son membre sous son boxer et que je commençais à le masturber afin une lueur de défi dans le regard. Il ne fallut pas longtemps pour que Jérôme se sente convaincu et vienne poser ses mains sur les hanches de Claire que j’embrassais désormais à pleine bouche. Celle-ci m’enlaça, et me serra dans ses bras en collant son bassin tremblant contre mon sexe durci comme l’acier. Tout en savourant cette étreinte, je me mis à bien masturber le membre de Jérôme contre les fesses de notre amante alors qu’il se collait lui aussi à elle. Je quittai les lèvres de Claire alors que son beau-frère remontait ses mains jusqu’à son imposante poitrine qu’il commença à serrer avec force en lui embrassant délicatement le cou. Je le regardai faire avec excitation, puis lorsqu’il releva la tête et que nos yeux se croisèrent, nos lèvres vinrent se rencontrer naturellement pour un long baiser plein d’envie. Je le sentis gémir dans ma bouche alors que je le masturbais toujours plus vite et je ne pus m’empêcher de sourire quand je sentis les lèvres de Claire sur mon cou. Celle-ci fit glisser ses mains jusqu’à mes hanches, puis s’attaqua à mon pantalon qu’elle laissa tomber jusqu’à mes chevilles. Lorsqu’elle déposa ses mains chaudes sur mon membre, je crus que j’allais déjà jouir tant l’excitation de ce ménage à trois imprévu me transportait ! Quand Jérôme mit fin à notre baiser pour s’écarter de l’étreinte, je craignis pendant un instant qu’il n’ait changé d’avis, mais à la vue de son sourire, je compris qu’il avait pour l’instant surtout envie de nous mater. J’embrassai donc Claire à pleine bouche tout en passant mes mains sous les bretelles de sa robe pour les écarter et en baisser le haut afin de mettre ses seins à l’air libre. Je commençai à les caresser entre mes doigts qui parvenaient à peine à tenir les deux gros globes de chair entre mes mains. Je lui pinçai doucement les tétons alors qu’elle me branlait avec force, sous le regard excité de Jérôme qui se masturbait également en nous regardant. Après un nouveau baiser, je croisai le regard de Claire et je sentis mon excitation à nouveau être démultipliée par le brasier d’envie qu’étaient ses yeux. Elle ressemblait pas mal à sa sœur, dont elle partageait les yeux, le nez et le petit sourire si chaleureux. Seule la forme du visage plus ronde et les fines rides trahissaient véritablement leur différence, si bien sûr on ne prenait pas en compte leurs corps, Anne étant beaucoup plus fine en comparaison. Alors que Claire se mettait à genoux et amenait mon membre à sa bouche, je ne pus m’empêcher de frissonner d’excitation en me disant que c’était la première fois que je couchais avec deux membres d’une même famille...
Elle me lécha délicatement le gland et le prépuce, puis commença à lentement faire glisser mon membre le long de sa langue, jusqu’à ce que je puisse bien sentir la chaleur de sa bouche, avant de resserrer ses lèvres sur ma bite. Elle commença alors à bouger la tête pour faire aller et venir ma bite dans sa bouche, savourant cette caresse buccale les yeux fermés. Je poussai un profond soupir de satisfaction alors que ses aller-retour devenaient plus réguliers. Tout en caressant ses cheveux, je posai une main sur sa nuque afin d’accompagner ses mouvements. J’étais si absorbé par la contemplation de cette fellation qu’elle m’offrait que je ne vis pas Jérôme se rapprocher et je sursautai quand il posa sa main sur mes fesses nues. Je me rapprochai de lui en savourant sa caresse et recommençai à le masturber pendant que Claire continuait à me sucer. En voyant cette seconde bite si proche de son visage, j’eus la surprise de notre amante sortir mon sexe de sa bouche pour le masturber d’une main, alors qu’elle rapprochait ses lèvres du membre de Jérôme qu’elle goba à son tour. Visiblement surexcitée, elle commença alors à nous sucer tour à tour, nous laissant nous embrasser et caresser les fesses en même temps. Je ne pus retenir un petit sourire amusé quand je sentis Jérôme se raidir alors que mes doigts se faufilaient dans la raie de ses fesses. Il n’était visiblement pas habitué à une telle chose, mais il se laissa tout de même faire sans se détendre pour autant. Si elle remarquait notre manège, Claire ne s’en préoccupait pas et continuait à aller et venir d’une bite à l’autre, les prenant en bouche avec attention, ce qui m’arrachait un gémissement de plaisir à chaque fois. Finalement, Jérôme retira sa main de mes fesses pour venir caresser les seins de sa belle-sœur et l’inviter en douceur à se lever. Elle suivit le mouvement sans résister, mais tout en gardant nos bites en main qu’elle branla tout en douceur. Claire nous regarda tour à tour, comme si elle ne savait pas quoi faire maintenant et elle se laissa donc porter quand son beau-frère la guida jusqu’à l’établi où elle était déjà installée quand je les avais surpris tout à l’heure. — Par qui tu veux commencer ? Lui murmura à l’oreille Jérôme avant de l’embrasser. Leur baiser fut long et langoureux et je devinai à leurs échanges de langues que ce n’était pas leur première soirée ensemble. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, Claire adressa un regard presque amoureux à son beau-frère, puis me jeta un petit coup d’œil mutin avant de ramener son attention vers Jérôme. Elle l’embrassa alors à nouveau tout en me faisant le signe d’approcher d’un petit mouvement du doigt. — J’ai envie d’essayer un peu avec notre ami, lui souffla-t-elle après coup. Ton tour viendra ensuite... Presque à contrecœur, il se recula pour me laisser me placer entre les jambes de Claire qui m’accueillit dans ses bras. Elle appuya sur ma nuque pour m’attirer à elle et à sa poitrine que je pus embrasser avec délicatesse avant de venir lui sucer un peu les tétons. Je remontai ensuite vers son cou que je baisai tendrement, puis me laissai faire quand mon amante me guida jusqu’à ce que nos lèvres se rencontrent pour un long baiser passionné. Claire croisa alors ses jambes sur le haut de mes fesses et me fit plaquer mon bassin contre le sien, ma bite se frottant sur sa vulve et son clito. En sentant ainsi son corps ardent d’excitation contre le mien, je ne résistai pas et me reculai afin de guider ma bite vers son sexe trempé de mouille et dans lequel je m’enfonçai sans le moindre mal. Mon amante écarta tout de même largement les lèvres et me regarda en fronçant les sourcils alors qu’elle poussait un profond soupir, visiblement, les deux centimètres de diamètres que j’avais avec son beau-frère faisaient tout de même une bonne différence pour elle ! Passé la surprise, je vis un large sourire s’épanouir sur son visage tandis que je commençais à bouger très lentement en elle. Il y avait quelque chose de profondément excitant à faire l’amour ainsi à quelqu’un qui a dix ans de plus que moi, j’appréciais de voir ses petites rides ressortir alors que son visage se contractait par le plaisir que je lui prodiguais. Les traits familiers de sa sœur ressortaient parfois et ajoutaient une part d’excitation et me poussaient à peu à peu accélérer le rythme. J’étais si concentré sur notre plaisir à tous les deux que je manquai de sursauter quand Jérôme vint se coller contre mon flanc droit, m’embrassant le cou alors que d’une main, il me caressait la poitrine et de l’autre mon cul. Il me massait les fesses tout en accompagnant mes coups de reins, ses doigts allant et venant parfois le long de ma raie. Cela ne faisait que m’encourager dans mes mouvements au plus profond du sexe de Claire, qui couinait allégrement, en oubliant parfois toute discrétion. Sans ralentir le rythme, je glissai ma main jusqu’à la bite de mon amant qui se frottait contre moi et je me mis alors à le branler avec force. Ce petit manège dura encore quelques minutes, jusqu’à ce que Jérôme fasse pression sur mon torse pour me forcer à me reculer. — Attends, souffla-t-il, si Claire est d’accord, j’aimerais bien prendre ta place !— Vas-y Jérôme ! répondit-elle, j’ai aussi envie de te sentir en moi ! Je me pliai donc et me reculai afin de laisser la place au concerné, mais notre amante avait visiblement une autre idée, car elle se leva de l’établi et m’embrassa tout en me faisant lentement reculer. Puis soudain, elle recula ses fesses et se pencha en avant, jusqu’à ce que sa bouche vienne à la rencontre de mon membre tendu, présentant son cul à son beau-frère dans le même temps. Elle lécha un peu mon sexe le temps que Jérôme ne se positionne sur son vagin, dans lequel il s’enfonça soudainement d’un coup de hanches, en arrachant un roucoulement de plaisir à la sœur d’Anne. Claire prit alors mon membre en bouche et commença à le sucer profondément tandis que son beau-frère allait et venait en elle dans de longs et amples mouvements. J’échangeai un regard avec Jérôme, dans lequel je lus la même lueur d’excitation à être ainsi chacun enfoncé à un bout du corps de la sublime femme qui nous accompagnait. Je me penchai alors en avant vers lui pour l’embrasser avec passion, tandis que chacun de ses coups de reins faisait aller et venir Claire sur mon membre. A chaque gémissement qu’elle poussait sur mon membre, je pouvais sentir son souffle brûlant sur mes testicules avant qu’elle ne resserre ses lèvres contre lesquelles ma bite coulissait délicieusement. Derrière elle, Jérôme commençait à aller et venir avec force, si bien que sa belle-sœur devait s’agripper à mes cuisses en y plantant ses ongles pour ne pas tomber en avant ! Mais malgré la jouissance, elle s’efforçait de continuer à bouger la tête pour me sucer délicieusement, au point que je mourrai déjà d’envie de jouir dans sa bouche. Heureusement, je pus me retenir jusqu’à ce que Claire lâche finalement mon membre et ne le laisse tomber d’entre ses lèvres pour pouvoir reprendre son souffle entre deux longs gémissements. Je continuai néanmoins à embrasser langoureusement Jérôme, laissant notre amante s’appuyer contre moi jusqu’à ce qu’elle décide finalement de stopper son beau-frère. — A-Attends, dit-elle. Je vais me remettre sur la table, je ne tiens plus ! A contrecœur, il ralentit peu à peu le rythme jusqu’à finalement s’arrêter et se retirer du sexe de notre amante. Celle-ci revint vers l’établi et s’accouda dessus avant de s’allonger sur le dos, les jambes largement ouvertes comme une invitation. Je demeurai pour ma part immobile, l’admirais en me caressant lentement ma bite, mais à ma grande surprise, Jérôme ne bougea pas non plus. — Vas-y, me dit-il avec un clin d’œil. Avec une telle invitation, je devinais qu’il avait une idée derrière la tête, mais je décidai néanmoins de jouer le jeu et me dirigeai droit vers le cul dressé de Claire. Celle-ci accueillit ma bite dans son sexe avec un soupir qui ressemblait presque à du soulagement et vu à quel point ses chairs intimes étaient resserrées, je compris qu’elle était proche de l’orgasme. Mais à peine je commençai à bouger en elle, que Jérôme vint m’enlacer par derrière, plaquant son membre rigide contre mon cul. Je m’immobilisai alors qu’il caressait mes cuisses, mes hanches et mes couilles alors qu’il commençait à se frotter contre moi en embrassant mon cou. A ce stade, je n’avais plus aucun doute quant à l’idée qui lui était venue, mais je n’essayai pas pour autant me dérober. Je n’avais encore jamais imaginé la chose, mais maintenant que Jérôme venait glisser son sexe contre la raie de mon cul, je mourrais d’envie de découvrir ce que cela pourrait faire. Profondément enfoncé en Claire, j’eus le sentiment que mon membre devenait encore plus dur alors que je sentais ma peau se couvrir de frissons d’excitation. Je sentis son gland aller et venir entre mes fesses qui devenaient humides alors qu’il répandait le reste de mouille de notre amante sur mon anus. Irrésistiblement, mes hanches s’activaient, faisant de petits va-et-vient en Claire qui gémissait doucement alors qu’elle observait le spectacle avec intensité. Je me penchai sur elle afin de l’embrasser langoureusement, ce qui laissa le champ libre à Jérôme qui vint appuyer son membre contre mon anus. Il fit un temps pression, puis enfin, je sentis mes sphincters se détendre et sa bite coulissa lentement en moi. Je retins mon souffle, puis quand enfin il s’immobilisa, je lâchai un profond soupir avant que Claire ne replonge sa langue dans ma bouche. Jérôme demeura un instant immobile, à apprécier les sensations que mon cul devait offrir à sa bite puis commença à très lentement bouger, en gémissant doucement en sentant à quel point j’étais serré. A chaque va-et-vient, mes hanches suivaient un peu son mouvement, me faisaient également me reculer et me renfoncer en rythme en Claire. La sensation de ce sexe qui allait et venait en moi alors que le mien faisait le même mouvement dans des chairs brûlantes et resserrées était incroyable, si bien qu’à peine Jérôme trouva son rythme que je me mettais déjà à gémir irrésistiblement à chaque aller-retour. Il faisait des mouvements de plus en plus amples et de plus en plus rapides, si bien que je n’avais plus aucun contrôle sur mon bassin qui allait et venait tout seul, pénétrant plus profondément en Claire avant de mieux m’empaler sur le membre de son beau-frère. Je n’avais encore jamais rien éprouvé d’aussi fort avec mon corps d’homme, tout ce plaisir qui déferlait de mon pénis et des tréfonds de mon cul de mon cul à la fois étaient incroyables et presque irrésistibles ainsi combinés. J’avais à la fois l’envie irrépressible d’éjaculer là tout de suite, tout en ayant l’impression de jouir en continu ! Je me faisais balancer sans la moindre résistance entre ce vagin et cette bite, dans un mouvement sensuel et incroyablement jouissif, goûtant à ces deux corps à la fois, pris en sandwich entre la masculinité de l’un et la féminité de l’autre. Poussé et tiré irrésistiblement, je sentais que l’orgasme qui montait en moi allait être incroyable, peut-être plus fort même que celui qui semblait agiter irrésistiblement le corps de Claire depuis déjà quelques secondes ! Je ne ressentais plus qu’une hâte terrible de l’atteindre, d’enfin laisser exploser tout ce plaisir qui m’agitait, à tel point que mes hanches se mirent toutes seules à bouger de plus en plus vite. Sans même que je ne m’en rende compte, je m’étais mis à mener la dance, agitant follement mon bassin entre Claire et Jérôme qui demeuraient tous deux immobiles en retenant tant bien que mal leurs soupirs de jouissance. Je m’enfonçais sur l’un avant de pénétrer l’autre avec force, tant un irrépressible mouvement que je me sentis porté aux limites de l’inconscience, m’agitant comme un somnambule jusqu’à ce qu’enfin, j’atteigne ce qui me faisait tant envie ! Je m’enfonçai sur le membre de mon amant jusqu’aux couilles afin de faire sortir mon sexe de Claire juste avant qu’un flot de sperme n’éclate, maculant ses cuisses et tout son bas-ventre, avant que le reste ne se déverse comme une véritable petite cascade sur le sol. Je ne vis qu’à peine ce spectacle, car l’orgasme me foudroya avec une telle force que je manquai de m’effondrer sur Jérôme, sur le point de m’évanouir après un orgasme si incroyablement puissant. Il me fallut plusieurs secondes pour me rendre compte que mon amant qui me tenait désormais dans ses bras avait joui également, son sexe ayant rempli mon cul de sperme au point que celui-ci coulait le long de mes fesses. Ma tête bascula en arrière et je m’appuyai la nuque contre l’épaule de Jérôme en essayant toujours de reprendre mon souffle, tandis qu’il m’enlaçait avec douceur avant de venir déposer délicatement ses lèvres sur les miennes. Une fois remise de ses émotions, Claire se redressa et vint nous rejoindre en nous enlaçant tous les deux, appuyant sa large poitrine contre mon dos alors qu’elle embrassait doucement mon cou avant d’y déposer un suçon. Combien de temps on resta ainsi, je n’aurais su le dire, cela ressemblait à une éternité, mais cela n’avait dû en réalité n’être que quelques minutes de douce et pure affection. J’embrassai tour à tour Jérôme et Claire à plusieurs reprises, puis quand enfin on retrouva un peu de force, nous commençâmes tous trois à nous rhabiller sans échanger un mot. Pourtant, passé la fièvre de l’instant, je ne ressentais aucune gêne à leur égard. Une fois tous prêts, Claire embrassa délicatement son beau-frère, puis vint me prendre dans ses bras et partagea un long et intense baiser avec moi avant de tourner les talons et quitter le garage. Jérôme vint alors se coller à moi et m’embrassa avec fougue, ses mains venant serrer mes fesses à travers mon pantalon. Lorsque nos lèvres se séparèrent, il m’adressa un regard empreint d’un brasier de désir, mais il s’écarta malgré tout de moi et se retourna pour ramasser trois bouteilles non loin de là et me les tendre. — Ramène ça à la soirée tu veux bien, j’arrive dans quelques minutes. Je m’exécutai sans attendre et lorsque je me dirigeai vers la porte, je sursautai quand je sentis soudain une tape sur mes fesses !— J’espère qu’on se reverra bientôt, Benjamin...
