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Un retour chaleureux

Chapitre 11

Hétéro
Je revins à la soirée avec un petit sourire aux lèvres, comme si j’étais sur un petit nuage. Je me mêlai aux invités, attrapant un verre de vin au passage et quelques petits toasts pour combler mon appétit. Ne sachant à qui adresser la parole et encore sous le coup de l’émotion de ce que je venais de vivre, je demeurai près de l’une des tables, grignotant pensivement des apéritifs en regardant les groupes d’inconnus autour de moi. Mes yeux tombèrent un instant sur Claire qui faisait la conversation avec un couple et un homme de son âge le plus naturellement du monde, comme si elle n’avait pas un seul moment quitté la soirée. J’étais si fasciné par son assurance que je dus m’attarder sur elle, car elle me remarqua et me rendit mon regard avec un petit sourire entendu.
Je finis par détourner les yeux en sentant la gêne monter et aperçus Flora qui parlait quant à elle avec deux autres jeunes femmes, toutes trois un verre à la main et bien entamé qui plus est. Une fois mon propre verre fini, je décidai d’aller les rejoindre, mais je m’interrompis dans mon élan quand j’aperçus soudain Anne traverser la pelouse avec son fils dans les bras, visiblement prête à aller le coucher. Elle croisa mon regard et me rendit un sourire malgré la fatigue qui transparaissait de son visage, pour ma part, je fus incapable de réagir, la gêne me tordant les entrailles au point de me figer sur place. Je la suivis ainsi bêtement du regard, jusqu’à ce qu’elle disparaisse dans la maison.
— Alors, tu passes une bonne soirée ?
J’étais si plongé dans mes pensées que je sursautai quand Flora m’adressa la parole et je plongeai alors mes yeux dans les siens, incapable de comprendre comment je n’avais pas pu la voir arriver !
— O-Oui, répondis-je avec difficulté, c’est plutôt sympa.— Oui c’est clair ! J’ai pas mal discuté avec deux de ses cousines, elles sont bien cool ! Tu veux que je te les présente ?— Pourquoi pas oui, répondis-je en regardant les deux jeunes femmes qui nous observaient avec attention, l’une brune et l’autre rousse.— Tu vas bien ? Je ne t’ai pas vu de la soirée !— Oui oui, juste un peu fatigué excuse-moi. Vas-y, je te suis !
Flora hocha de la tête, puis se retourna pour retourner vers ses nouvelles amies, je la suivis jusqu’à elle et ma collègue me présenta alors Lise et Hélène, des fausses jumelles et grandes amies de leur cousine Anne. Passé la gêne des présentations, je commençai rapidement à bien m’entendre avec les jeunes femmes, toutes deux très amicales et agréables. Alors que la conversation allait bon train, je sentis soudain mon portable vibrer dans ma poche arrière et l’en sortis immédiatement pour lire le message que j’avais reçu. Je me figeai dès que je vis qu’il provenait d’Anne et me sentis devenir livide quand j’en lus le contenu.
— Viens dans la maison, à l’étage s’il te plaît, il faut qu’on parle.
Immédiatement, les pires scénarios possible se dessinèrent dans ma tête, alors que j’imaginais Anne très bien savoir ce que j’avais fait avec son mari et sa sœur quelques minutes plus tôt et me cracher une haine bien méritée en pleine figure. Pourtant, je me sentis incapable de refuser cette entrevue et je relevai alors les yeux pour croiser ceux de Flora qui semblait avoir lu également le message du coin de l’œil. Si celle-ci ne savait pas ce que j’avais été faire dans le garage, elle savait tout de même quelle histoire liait Anne et moi et devinait que ça avait un rapport. Je m’excusai donc en prétextant que je devais rappeler quelqu’un et Flora ne dit absolument rien pour me contredire et lança au contraire une nouvelle conversation pour détourner l’attention de mon départ.
Je me mis donc en route vers la maison en gardant mon téléphone en main pour appuyer mon excuse et pénétrai dans le salon désert. Je fis néanmoins un tour des lieux du regard pour m’assurer de ne pas être vu, puis me dirigea droit vers l’escalier que je montai à pas de loup. Au bout de celui-ci, je débouchai sur un long couloir avec plusieurs portes dont la plupart étaient closes. N’entendant aucun bruit en dehors du son des conversations à l’extérieur, je m’avançai avec tout autant de prudence dans le couloir, regardant par les portes entrouvertes à la recherche d’Anne.
Je passai devant trois portes ouvertes, mais aucune des pièces n’était occupée et toutes étaient dans le noir. J’étais presque arrivé au bout du corridor et à la fenêtre qui y trônait quand soudain la lumière se coupa, plongeant le couloir dans l’obscurité. Les poils de bras dressés par la peur, je me retournai immédiatement brutalement et parvins à distinguer la silhouette d’Anne, qui sortait de ce qui devait être la chambre de son fils. Elle écarta sa main de la poignée, puis referma silencieusement la porte derrière elle avant de se rapprocher de moi, qui demeurais tétanisé à la peur de ce qu’elle allait me dire.
— Je sais que ce n’est pas prudent du tout, murmura-t-elle, mais ça me fait quelque chose de te voir ici, chez moi, au milieu de toute ma famille...

Anne m’attrapa alors les hanches et me poussa contre le buffet qui était sous la fenêtre au bout du couloir, et qui donnait sur le jardin en contre bas. Avant même que je ne comprenne ce qui se passait, elle se dressa sur la pointe des pieds et plaqua ses lèvres sur les miennes. Elle m’embrassa avec fougue, puis avec passion quand nos langues se rencontrèrent et qu’elle se plaqua contre mon torse, appuyant ses seins sur moi avec une excitation brûlante.
Malgré ma fatigue après ce qui s’était passé dans le garage, mon sexe réagit immédiatement à ce baiser imprévu et commença à grossir dans mon pantalon. Etre plaqué ainsi contre le buffet réveilla aussi une douleur dans mon cul, mais sans parvenir à endiguer l’envie qui me prenait également. Lorsque j’avais quitté le mari de celle qui m’embrassait en ce moment même, il y a de cela quelques dizaines de minutes, j’avais cru avoir connu un tel orgasme qu’il me faudrait des jours pour retrouver une envie de sexe. Mais maintenant, avoir cette jeune femme contre moi qui m’embrassait, qui me voulait à quelques mètres de la chambre où dormait son fils, à peine quelques minutes après que j’ai couché avec sa sœur et son mari, c’était juste trop pour moi !
Subitement plein d’une envie perverse, j’enlaçai à mon tour Anne, la serrant contre moi tout en l’embrassant. Je sentais son souffle brûlant dans ma bouche, impatient, ce qui m’encouragea à laisser glisser ma main sur son dos, à la descendre jusqu’à ce qu’elle se faufile sous sa ceinture et sa culotte. Je commençai alors à lui caresser le cul, lui serrant les fesses, ce qui l’encourageait à se plaquer toujours davantage contre moi. Lorsqu’enfin notre baiser se rompit, elle me repoussa doucement, puis mordilla le lobe de mon oreille.
— Attends, me murmura-t-elle. Allons quand même dans la chambre, on sera sûrs de ne pas être découverts !
Elle attrapa alors ma main qu’elle extirpa de son pantalon pour la saisir entre ses doigts, puis m’entraîna à sa suite dans la pièce d’à côté qui était plongée dans le noir. Lorsqu’elle referma la porte derrière elle, la seule chose que je pus distinguer grâce à la lumière qui provenait de la fenêtre fut la large commode qui se trouvait en dessous et le lit double qui trônait dans la pièce. J’entendis derrière moi des bruits de vêtements et je compris alors qu’Anne était en train de se mettre à l’aise, je me retournai donc et commençai à enlever mon pantalon alors qu’elle finissait de retirer le sien, avant de s’attaquer à son haut. Je venais de retirer ma chemise quand je sentis soudain la chaleur de ses seins contre mon torse alors qu’elle venait m’embrasser le cou. Mes mains trouvèrent naturellement le chemin de ses hanches et je caressai sa peau douce avec délectation.
Anne commença alors à me faire un petit suçon sur la naissance des épaules, tout en faisant glisser ses doigts sous mon boxer qu’elle commença à baisser avant de prendre en main mon membre déjà dur comme l’acier. Je me mordis la lèvre inférieure pour retenir un soupir de plaisir, puis je glissai de nouveau mes mains vers ses fesses que je commençai à malaxer. Ma collègue vint alors se plaquer davantage contre moi, écrasant ses seins sur mon torse en venant de nouveau embrasser mes lèvres. Ainsi positionnée, j’avais un meilleur accès à son entrejambe et je m’en donnais à cœur joie en y glissant mes doigts. Mon amante se mit à soupirer profondément quand je commençai à caresser les bords de son vagin et je découvris alors qu’elle était déjà trempée par l’excitation.
De la main gauche, je commençais à doucement la doigter, tandis que je ramenais la droite entre nous afin d’atteindre son clitoris que je me mis immédiatement à titiller. La réaction d’Anne ne se fit pas attendre et je la sentis raffermir sa prise et me serrer davantage dans ses bras alors qu’elle respirait de plus en plus fort. Serrée entre nos deux ventres, je sentis ma bite continuer à durcir irrésistiblement et tressaillir de désir. Je continuais d’embrasser mon amante avec fougue, tout en lui frottant le clitoris de plus en plus vite. Tout en gémissant doucement, Anne se mit à bouger le bassin alors que mes doigts allaient et venaient doucement en elle. Mais à mesure que ses hanches devenaient de plus en plus incontrôlables, ma main gauche n’eut bientôt plus accès à son intimité et mes doigts couverts de sa mouille remontèrent sur ses fesses. Je la maculai de sa propre humidité, descendant parfois jusqu’à sa raie et titillant son trou du cul.
De la main droite, je continuai à m’occuper de son clitoris et Anne utilisa ma bouche pour étouffer ses gémissements qui semblaient devenir de plus en plus irrésistibles. D’un geste un peu malhabile, elle faufila ses doigts entre nous et attrapa mon sexe qu’elle commença à caresser et masturber doucement. Comme mon amante ne semblait pas dérangée par l’exploration de ma main gauche, je décidai de profiter que mes doigts soient encore couverts de sa mouille pour appuyer un peu plus sur son anus. Sans ralentir ses caresses sur ma bite, je remarquai tout de même qu’elle diminua les mouvements de son bassin à mesure que la pression sur son trou du cul s’accentuait. Tout doucement, le bout de mon doigt commença à s’enfoncer et je redoublai mes mouvements sur son clitoris pour l’aider à se détendre. Si Anne ressentait une quelconque douleur, elle n’en montra aucun signe et se laissa faire sans même paraître s’en préoccuper.
Mon amante commença à serrer mon membre plus fort et à faire des mouvements de plus en plus rapides, ce qui me fit respirer de plus en plus lourdement. Je commençais à vraiment avoir envie d’aller en elle, mais mon expérience avec son petit œillet m’excitait également beaucoup. Je continuai donc à jouer avec son clitoris, à le faire rouler, le pincer et le titiller, tandis que mon doigt disparaissait dans son anus jusqu’à la deuxième phalange. Après un petit temps immobile dans son cul le temps qu’Anne s’habitue à la sensation, je commençai à faire de petits aller-retour qui provoquèrent des soupirs différents des précédents.
Nos caresses se poursuivirent ainsi pendant encore quelques minutes, jusqu’à ce qu’Anne attrape ma main et ne l’écarte de ses fesses, après quoi elle me repoussa sur le lit. A peine étais-je tombé allongé sur le dos qu’elle m’escalada pour se mettre à califourchon sur mes hanches. Devinant le fond de sa pensée, j’empoignai alors ma bite que je guidai vers son intimité, jusqu’à ce qu’Anne s’empale dessus dans un long soupir silencieux. Je posai alors mes mains sur le haut de ses cuisses, tandis que mon amante appuyait sur ses jambes pour se surélever puis se laisser retomber sur moi. Je sentis mon sexe s’enfoncer profondément dans ses chairs chaudes et délicieusement humides, dans une sensation qui me rappela de manière troublante ce que j’avais vécu dans le garage plus tôt dans la soirée.
Le vagin d’Anne était étonnamment plus serré que celui de sa sœur, si bien que les premiers va-et-vient de mon amante sur mon sexe furent lents, mais délicieusement intenses. Je ne pus m’empêcher de lâcher un lourd soupir de plaisir avant de me mordre immédiatement les lèvres pour me retenir de faire davantage de bruit. Ma collègue planta alors son regard dans le mien, avant de m’adresser un petit sourire mutin tout allant et venant sur ma bite. A chaque fois qu’elle rebondissait sur moi, ses seins tressautaient sous mes yeux irrésistiblement et je ne tardai donc pas à prendre l’un de ses tétons dans ma bouche pour le sucer délicatement. Cela parut plaire à Anne, car celle-ci se mordit la lèvre inférieure et appuya ses mouvements du bassin pour s’empaler plus profondément et plus vite sur moi. Totalement aux commandes, mon amante semblait prendre son pied à aller et venir sur ma bite, rebondissant sur moi avec délectation.
Mon plaisir n’était quant à lui pas en reste, car je sentais déjà l’éjaculation se profiler, me donnant envie de la remplir tout comme je l’avais fait dans sa propre sœur plus tôt dans la soirée...
Cette pensée fut justement ce qui me poussa à aller plus loin et je serrai alors Anne dans mes bras, l’embrassant passionnément alors qu’elles continuaient à mouvoir ses hanches pour faire aller et venir mon pénis en elle. Nos langues se rencontrèrent à nouveau et dansèrent ensemble, tandis que je me redressais pour m’asseoir alors que ma bite demeurait profondément enfoncée dans son sexe. Nous demeurâmes ainsi pendant quelques dizaines de secondes à nous embrasser alors qu’elle continuait à monter et descendre sur ma bite, jusqu’à ce que je la serre davantage dans mes bras et que je me lève. Je la portai alors que je me mettais debout, l’amenant jusqu’à la commode avoisinant le lit, juste en dessous de la fenêtre de la chambre. Je la déposai dessus, puis me mis à doucement aller et venir en elle, mais Anne me stoppa presque immédiatement, une main plaquée sur le haut de mon ventre pour me repousser.
— Attends, pas comme ça...
Mon sexe sortit de sa vulve et mon amante se retourna alors, posant pieds à terre avant d’allonger son ventre sur la commode pour me présenter son cul. Sans attendre, elle empoigna ma bite et l’enfonça de nouveau en elle en un geste prudent, avant de s’appuyer contre la fenêtre alors que je commençais à bouger. Je me mis rapidement à lui pilonner la chatte, à aller et venir en elle à mouvements rapides et puissants, alors que juste en dessous, à travers les carreaux, nous pouvions voir ses invités aller et venir dans son jardin, sans même avoir conscience de ce qui se passait dans la maison. Avec les lumières, nous étions invisibles derrière la fenêtre, et j’eus tout le loisir de baiser sauvagement Anne alors que ses amis et familles discutaient sous nos yeux. Mon amante gémissait aussi doucement qu’elle le pouvait et je devinais que cette situation l’excitait tout autant que moi quand sa main droite disparut sous son ventre.
Je continuai à aller et venir rapidement en elle alors qu’elle se caressait le clitoris et accéléra même le rythme quand j’aperçus son mari au milieu du groupe d’invités en contre-bas.Je me doutais qu’Anne l’avait également vu et cela m’encouragea à aller encore plus vite et fort en elle. Mes mains jusque-là posées sur ses hanches montèrent sur ses fesses que je me mis à serrer entre mes doigts, allant même jusqu’à glisser mon pouce vers sa raie. Celui-ci vint appuyer sur son petit œillet encore humide et s’enfonça sans mal dans son trou du cul. Sans que je sache également décrire comment, je remarquai alors que quelque chose avait changé dans les gémissements de mon amante. Ceux-ci n’étaient pas spécialement plus bruyants, mais plus lourds et plus intenses, ce qui me permit de conclure sans mal qu’Anne appréciait cette caresse. Je n’étais toujours pas sûr qu’elle ait déjà expérimenté la chose de son côté, mais ça me donnait de plus en plus envie de découvrir cette partie de son anatomie.
Mon pouce commença à pouvoir aller et venir de plus en plus facilement dans son cul et je me risquai alors à l’enfoncer un peu plus profondément. Cette expérience m’excitait au plus haut point et je me fis bouger mes hanches toujours plus fort, les faisant parfois claquer contre ses fesses. Il me fallut ainsi quelques minutes pour remarquer qu’Anne faisait de moins en moins de bruit et semblait maintenant regarder dehors avec un intérêt renouvelé. Mes yeux glissèrent alors à leur tour vers la fenêtre et découvrirent rapidement que le mari de mon amante avait été rejoint par sa sœur au sein du groupe qui s’était formé dans un coin du jardin. S’ils ne se touchaient pas, Claire et Jérôme parlaient ensemble avec les invités dans une complicité manifeste qui m’amena subitement à me demander si Anne ignorait vraiment leur liaison ?
De toute évidence, Anne semblait un peu ailleurs et cela me fit peu à peu ralentir le rythme de mes mouvements de hanche et je retirai alors mon pouce de son cul. Elle tourna alors subitement sa tête vers moi et me regarda droit dans les yeux. Dans son regard, je perçus une lueur singulière qui me figea totalement sur place. J’y lus tout un mélange d’émotions, mais aussi la flamme du désir et une pointe de défi qui me piqua au vif pendant cette minute de silence. Plongé dans ces yeux qui exprimaient tant, je me reculai encore un peu, jusqu’à ce que ma bite sorte de son corps, se redressant subitement avant de retomber sur son cul.
Toujours sans dire un mot, mon amante se tourna alors à nouveau vers la fenêtre, puis ramena ses mains en arrière afin d’écarter ses fesses, étirant sous mes yeux son petit œillet et son vagin par la même occasion. La surprise me fit louper un battement de cœur durant lequel je me sentis figé pendant ce qui parut être un long instant, mais après lequel j’empoignais immédiatement ma bite. Je levai les yeux vers la fenêtre, mais ne pus voir le reflet du visage d’Anne, simplement les invités qui vaquaient à la soirée en contre-bas, alors que je posais ma bite sur le trou du cul de la maîtresse de maison. Celui-ci était bien lubrifié par les explorations de mon doigt quelques secondes plus tôt, tout comme ma bite l’était par le vagin de mon amante. Je commençai donc immédiatement à faire pression sur le petit œillet, mais sans forcer pour autant.
J’appuyais mon pénis de plus en plus fort contre son anus qui résista encore un bref instant, avant de laisser passer mon gland qui disparut tout en douceur dans son cul.Anne ne se retourna pas, mais je l’entendis prendre soudainement une grande inspiration, avant de lâcher un profond soupir dans lequel je devinais surprise et une pointe de douleur. Je demeurais toujours aussi doux et ne continuai donc à faire pression qu’avec une extrême précaution, afin de laisser la jeune femme s’habituer à cet intrus dans son cul. Au-delà de mon gland, le reste de mon sexe commença alors à disparaître progressivement en elle et les nouveaux soupirs de ma collègue devinrent un peu plus intenses. Comme mon amante semblait bien vivre la chose, je me mis sans attendre à faire de petits va-et-vient, ce qui poussa Anne à lâcher ses fesses pour se cramponner à la commande.
Je me mis peu à peu à vraiment la sodomiser, bougeant un peu plus vite et un peu plus profondément dans son cul, et d’autant plus encouragé quand Anne laissa échapper un petit gémissement de plaisir. Discrètement, une de ses mains disparut sous elle et je devinais qu’elle rejoignait son entrejambe, afin de maximiser le plaisir qu’elle ressentait déjà. Tout en se caressant vivement le clitoris, mon amante alla même jusqu’à pousser ses fesses en arrière, empalant son cul sur ma bite avec délectation et toujours en contemplant sa famille et ses amis qui se tenaient dans son jardin...
Maintenant bien en confiance quant au plaisir de mon amante, je la saisis par les hanches et poussai mon sexe encore plus loin en elle, afin d’entamer des va-et-vient de plus en plus intenses. Anne lâcha un petit couinement de surprise, avant de plaquer immédiatement sa main libre sur sa bouche afin de se forcer à rester silencieuse. J’accélérai alors mes allers et retours dans son cul, savourant ses chairs délicieusement étroites qui serraient mon membre à la perfection. Le plaisir était si fort que je n’avais aucune idée de combien de temps j’allais pouvoir tenir avant de jouir, mais je ne changeai rien à mes mouvements, préférant continuer cette sodomie si intense à tout prix. Anne n’était quant à elle pas en reste, car elle finit par se redresser de façon à plaquer son dos contre mon torse, se contorsionnant le cou jusqu’à ce que nous puissions nous embrasser.
Je vins alors poser une main sur son sein gauche, tandis que l’autre descendit entre ses jambes, venant appuyer ses doigts contre son intimité pour intensifier sa caresse.
Mon mouvement parut porter ses fruits, car Anne étouffa un gémissement dans ma bouche tout en faisant danser sa langue avec la mienne. De ma main droite, je lui pinçai et tirai délicatement le téton et de la gauche, j’accompagnai ses doigts que descendirent jusqu’à s’enfoncer dans sa vulve. Les mouvements qu’ils firent à l’entrée de son vagin associés aux mouvements de ma bite dans son cul furent visiblement la goutte qui fit déborder le vase. Anne étouffa alors un gémissement qui fut tout de même assez bruyant et ses jambes se plièrent sous de légères secousses de jouissance qui enfoncèrent mon membre en elle jusqu’aux couilles. Ce fut pour moi aussi le maximum que je pouvais supporter et me mis alors à jouir irrésistiblement, éjaculant en quantité au fond de son anus. Tout comme elle, j’étouffai mes soupirs orgasmiques en l’embrassant langoureusement, dans un baiser qui dura même alors que nous essayions de reprendre notre souffle.
— Tu as joui aussi ? murmura-t-elle lorsque nos lèvres se séparèrent.— Oui désolé, je n’ai pas eu le temps de me retirer...— Si j’ai encore un changement imprévu, je passerais te voir pour corriger ça !
Après un soupir amusé, elle amena de nouveau ses lèvres à la rencontre des miennes, puis essaya de s’écarter de moi. Je m’extirpai donc tant bien que mal de son cul, par chance, pas une goutte de mon sperme de tomba par terre, mais ce fut non sans lui arracher un petit soupir de douleur imprévu.
— Ça va ? demandais-je.— Oui oui, un peu mal vu que c’était une première, mais ça va aller !— Ça valait le coup pour toi ?
Je remarquai alors qu’Anne avait de nouveau égaré son regard par la fenêtre, contemplant les invités qui continuaient à vaquer dehors, visiblement inconscients de ce que nous avions fait juste au-dessus de leurs têtes. Elle les regardait avec un air perdu, avant de lentement se retourner complètement vers moi et de m’enlacer tout en me souriant.
— Oh que oui, répondit-elle alors que je sentais ses seins se presser contre moi.
Elle m’embrassa à nouveau et je répondis à son baiser avec autant de fougue que de passion.
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