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Un retour chaleureux

Chapitre 12

Lesbienne
Je clignai des yeux quelques fois avant de pleinement me réveiller. Clairement, je n’étais ni dans mon lit ni dans ma chambre ! Je me passai une main sur le visage avant de balader mon regard autour de moi, redécouvrant la pièce où je m’étais endormi, une petite chambre de collocation typiquement étudiante. Ce n’est que lorsque je tournai la tête pour découvrir une tête couverte de cheveux verts sur l’oreiller voisin, je parvins enfin à rassembler les morceaux : Flora m’avait ramené chez elle après la soirée chez Anne !
Après tout ce qui s’y était passé, je m’étais endormi aux côtés de ma jeune collègue sans que nous fassions quoi que ce soit tant j’étais épuisé ! Je n’avais pas assez bu pour avoir un trou de mémoire, mais je remarquai néanmoins que nous étions tout de même grandement dénudés tous les deux... Mes derniers souvenirs avant de m’endormir étaient flous, mais en soulevant légèrement les draps, je découvris que nous ne portions tous deux qu’un tee-shirt et un sous-vêtement... Ca et le fait que mon haut était déformé par une belle paire de seins !
J’eus un hoquet de surprise en réalisant subitement que mon corps s’était encore métamorphosé dans mon sommeil et que mon oreiller était couvert de longues mèches de mes cheveux devenus roux ! Que s’était-il passé hier soir ? Non, en y réfléchissant, je réalisai qu’il ne s’était rien produit, mais qu’après le rêve qui avait agité ma nuit... Mon corps avait peut-être activé mon don de lui-même pour correspondre à la jouissance que je ressentais alors. Rien qu’à cette pensée, le souvenir du rêve se fit plus clair et les visages d’Anne et de Gaëlle me revinrent nettement, de même que de la façon dont elles se servaient de leurs bites, coincée entre elles deux...
Cette image et les brides de sensation qui se rappelèrent à ma mémoire provoquèrent un frisson qui me parcourut des épaules jusqu’aux jambes. Je sentis mes joues rosir et je ne pus m’empêcher de me retourner dans un mouvement qui dut être un peu vif, car il provoqua un léger sursaut chez Flora qui se réveilla à moitié. Elle roula lentement sur elle-même et cligna des yeux avant d’avoir un léger mouvement de recul, sans doute surprise par ma nouvelle apparence.
— Salut, murmurais-je avec un petit sourire embarrassé, c’est bien moi !— Tu as décidé de me faire une surprise ? répondit Flora d’une voix fatiguée, tu as de la chance que je me fasse vite aux bizarreries... J’aurais pu faire une crise cardiaque !— Désolée, ce n’était pas volontaire. Ça s’est fait dans mon sommeil encore une fois, à quoi je ressemble ?
Flora releva un peu la tête et je me redressai alors sur le coude afin qu’elle puisse bien me contempler. Elle m’examina le visage et le haut du corps avec un œil de plus en plus clair avant de retomber lourdement sur son oreiller.
— Plutôt belle gosse ! Très jolie rousse, mais je te préférais en asiatique...— Désolée, mais je n’ai pas envie de changer tout de suite, répondis-je en caressant mes longs et beaux cheveux roux. J’aime vraiment mes cheveux comme ça, je trouve ça très sexy !— Tu devrais bien m’aimer au naturel alors, sous ma couleur, je suis rousse !— Vraiment ? Je ne me souviens pas d’avoir vu des poils roux en bas, tu n’as rien contre le fait que je vérifie ?
Je lui jetai alors un regard espiègle, savourant l’expression de surprise sur le visage de la jeune femme, ainsi que la flamme qui naissait dans ses yeux. Il n’en fut pas plus pour me décider à passer à l’action et je rabattis subitement les draps sur ma tête, me glissant sous la couette vers le corps de Flora. J’entendis ma collègue glousser alors que mes mains venaient à la rencontre de sa peau douce et chaude à la fois, jouant avec elle alors qu’elle faisait semblant de se débattre. Il ne me fallut pas longtemps pour la débarrasser de sa culotte et me retrouver entre ses jambes, où je pus alors effectivement constater que sa vulve était surmontée d’un petit monticule de poils roux entortillés.
— Je confirme, tu es une vraie rousse !
Je me penchai sur son entrejambes alors que j’entendais son petit rire résonner de l’autre côté des draps, puis déposai de petits baisers sur l’intérieur de ses cuisses. Je lui embrassai ainsi la jambe droite en m’éloignant de son sexe, avant de passer à la gauche où je descendis lentement vers sa vulve, jouant avec sa frustration et son excitation. Je donnai un petit coup de langue à gauche, ce qui fit glousser Flora d’excitation, puis un autre sur la droite avant de prendre un bout de ses grandes lèvres dans ma bouche pour la sucer très légèrement. La jeune femme frissonna et je la léchai encore au hasard sur sa vulve, devenant peu à peu de plus en plus précise, me rapprochant de l’ouverture de son vagin et du repli où se cachait son clitoris.
Je me mis à appuyer de plus en plus le plat de ma langue, à la lécher avec intensité au niveau de son petit bouton que je fis peu à peu ressortir afin de mieux le lécher. La respiration lourde de Flora se mua progressivement en soupirs de plaisirs, ce qui la poussa à essayer de retenir tant bien que mal sa voix. Sa tentative de discrétion à l’égard de son colocataire ne fit que renforcer mon excitation et je glissai deux doigts jusqu’à son sexe pour largement écarter ses lèvres et me donner un meilleur accès à ses chairs les plus sensibles. Je titillai son clitoris du bout de la langue, le fis rouler sur lui-même, appuyai dessus et le pinçai même entre mes lèvres avant de le suçoter tout doucement. Mes efforts furent appréciés par Flora qui glissa une main sous les draps afin de caresser mes cheveux désormais longs et d’appuyer un peu plus mon visage contre son intimité.
De plus en plus confiante, je pris alors ses lèvres inférieures en bouche, les suçant, les léchant alors que je continuais à m’occuper de son clitoris du bout du pouce. Je glissai même une ou deux fois ma langue à l’intérieur de son vagin avant d’inverser les rôles : ma bouche revenant prendre soin de son clitoris alors que mon index et mon majeur venaient explorer l’intérieur de son sexe avec intensité. Les gémissements de Flora gagnèrent subitement en clarté et je devinai qu’elle avait plaqué sa bouche contre quelque chose par la suite, car ses soupirs suivants furent bien plus étouffés tandis que mes mouvements se faisaient plus rapides. Il ne fallut pas longtemps pour que je sente ses chairs se resserrer progressivement sur mes doigts et subitement, la jeune femme se mit à tapoter le haut de ma tête du bout des doigts.
— A-arrête, articula-t-elle difficilement à voix basse entre deux soupirs. Reviens, je ne veux pas encore jouir...
Malgré ma frustration, j’obéis et retirai à regret mes doigts de son sexe si délicieusement chaud et humide, avant de me redresser et me glisser contre elle jusqu’à sortir ma tête des draps. Nos seins se rencontrèrent alors que je découvris son visage légèrement rosi et sur lequel s’épanouissait un large sourire de satisfaction. Je répondis à son sourire et me rapprochai encore jusqu’à m’allonger sur elle et pouvoir délicatement l’embrasser sur les lèvres, puis avec la langue. Flora me prit alors dans ses bras, caressant mon dos en remontant peu à peu mon tee-shirt. Une fois qu’ils furent satisfaits, ses doigts descendirent alors vers mes hanches et se mirent à descendre mon boxer, libérant rapidement mes fesses qui étaient bien à l’étroit dans ce sous-vêtement masculin.
La jeune femme les caressa avec délectation tout en m’embrassant intensément, glissant parfois son index et son majeur jusqu’à ma fente humide. Puis subitement, elle me fit rouler sur le côté et je me retrouvai allongée sur le côté, une jambe de Flora glissée entre mes cuisses. Tout en m’embrassant fougueusement, elle me caressa les seins en s’attardant sur mes tétons qu’elle roula entre ses doigts, provoquant de petits frissons qui renforcèrent mon excitation. Dans le même temps, je ramenai ma main vers son bas-ventre, puis retrouvai le chemin vers son sexe et son clitoris avec lequel je recommençai à jouer. Flora gémit un peu, puis posa soudain une main sur mon épaule avant de me plaquer subitement sur le lit.
— Non ! C’est à mon tour de m’occuper de toi !
Sur ces mots, elle se descendit jusqu’à gober l’un de mes tétons tandis que sa main gauche se glissait entre mes jambes. Ses doigts écartèrent rapidement mes lèvres intimes et trouvèrent le chemin de mon clitoris qu’elle commença immédiatement à caresser avec expertise, provoquant une vague de chaleur dans mon bas-ventre. Le plaisir monta si vite que je ne pus m’empêcher de pousser des gémissements et d’écarter largement les jambes pour faciliter l’accès de mon amante à mon sexe. Mais alors que je me laissais pleinement aller aux caresses de Flora, j’eus un soudain hoquet de surprise quand elle enfonça soudainement son majeur et son auriculaire dans mon vagin. J’étais si mouillée que ses doigts pénétrèrent sans mal en moi, et plutôt que de faire des va-et-vient, mon amante se mit à faire des mouvements de haut en bas, faisant naître des sensations d’une intensité toute différente et qui changèrent me timbre de mes gémissements.
J’ouvris mes yeux en grand et croisai le regard espiègle de Flora alors qu’elle me masturbait ainsi non sans amusement, sans doute très fière que ses caresses si soudainement intenses marchent si bien sur moi ! Bien en confiance, elle poursuivit ses mouvements en se permettant d’y aller plus fort, mais aussi de plus en plus vite, jusqu’à ce que de petits bruits humides ne nous parviennent de sous les draps. Contrairement à elle, j’avais déjà envie de jouir, mais Flora savait visiblement très bien y faire, car elle savait adapter son rythme pour bien faire durer le plaisir !
— C’est si bon...— Ca m’excite tellement de te voir comme ça, répondit Flora en abandonnant mon sein. J’aimerais avoir à nouveau une bite...— Moi aussi ! J’ai tellement envie que tu me remplisses plus...
La jeune femme ne répondit pas et continua ses mouvements pendant encore quelques secondes avant de les ralentir peu à peu. Les yeux clos, je m’efforçais de profiter de cette accalmie quand soudain, je sentis mon amante ajouter un troisième doigt en moi avant de commencer à faire des va-et-vient. Je soufflai profondément par le nez, surprise de sentir mes chairs se faire écarter ainsi et de l’intensité de la sensation que cela m’offrait. Flora s’y prenait extrêmement bien et parvenait à me remplir sans me faire mal, à rendre ça toujours plus jouissif. Mon corps y réagissait en tout cas très bien et semblait s’ouvrir littéralement à elle, car je sentis son petit doigt s’ajouter sans mal aux autres à l’intérieur de mon vagin.
Subitement, mon expérience avec Camille me revint en mémoire et tout particulièrement ce que j’avais pu lui faire avec ma main... C’était ma première aventure de ce genre et je n’avais jamais réexpérimenté la chose depuis, mais maintenant, ça s’imposait à moi avec une clarté toute particulière... Je baissai les yeux vers mon amante et je vis que Flora me rendait mon regard, guettant mes réactions avec une part de doute dans son expression, ce qui me laissait supposer que c’était également sa première tentative de ce genre de choses. Je me mordis la lèvre alors que ma poitrine était agitée par mon souffle lourd, puis je me mis à lentement hocher la tête, encourageant mon amante à continuer.
Je vis alors ma jeune collègue ramener son pouce contre sa paume, puis commencer à tout doucement pousser sa main contre mon sexe. Je sentis peu à peu la pression s’accroitre sur ma vulve alors qu’elle essayait de s’enfoncer, me faisant parfois frémir de douleur, mais tout en démultipliant mon excitation qui n’avait de cesse de grandir. Flora recula un peu sa main, laissant un vide décevant qui me fit soupirer de frustration, mais la jeune femme replaça rapidement ses doigts et les ramena dans mon vagin qu’elle écartela de nouveau. Mais cette fois-ci, ce fut différent et j’en eus le souffle coupé ! La bouche largement ouverte, je contemplai sa main disparaître en moi, me bourrant au-delà de tout ce que j’aurais pu imaginer et avec une intensité phénoménale. La naissance de ses doigts passée, elle put aller jusqu’au niveau du poignet, ce qui me fit basculer la tête en arrière et me figea dans un cri silencieux, alors que j’étais submergée au point que mon vagin semblait avoir pris feu !
Je plaquai mes mains sur le matelas quand elle commença à faire de petits va-et-vient, puis je griffai les draps, les serrant tant bien que mal alors que mon bassin semblait devenir fou. J’avais la sensation d’être remplie, que Flora bougeait littéralement mes entrailles, démultipliant l’intensité du plaisir qu’elle m’avait procuré juste avant avec ses doigts. D’un côté, mon amante me faisait mal, mais de l’autre, cette douleur était terriblement jouissive et se mêlait avec le plaisir intense qu’elle me procurait. Lorsqu’elle commença à accélérer le rythme, tout mon corps sembla m’échapper sous l’impulsion de la jouissance qui naissait du poing de la jeune femme. Désormais bien en confiance, elle me fistait maintenant avec un large sourire aux lèvres, tandis que je ne pouvais empêcher de pousser de petit cri. Je sentais déjà l’orgasme arriver, mais avec une vitesse telle que je me sentais totalement dépassée par les évènements.
Mes doigts s’agitèrent follement sur les draps alors que la main de Flora avait de plus en plus de mal à circuler en moi, piégée par mon vagin qui se resserrait peu à peu à l’approche de ma jouissance.
Soudain, l’orgasme explosa, me crispant tout le bassin alors qu’un jet jaillissait de ma vulve, tout en me plongeant dans un état d’engourdissement qui me porta jusqu’à la limite de l’inconscience. Mes fesses retombèrent lourdement sur les draps, mais Flora ne retira pas pour autant sa main ! Immédiatement, elle se remit à bouger le poing et je poussai un cri quand un nouvel orgasme me foudroya immédiatement de nouveau, me laissant le souffle court et les jambes tremblantes. La vague de plaisir était telle que je me sentis comme anesthésiée, à tel point que je ne réalisai même pas que la jeune femme avait finalement retiré sa main, laissant une sensation de vide aux tréfonds de mes entrailles.
— Je n’étais pas sûre de moi, me souffla Flora à l’oreille avant de déposer un petit baiser, mais on dirait que tu as bien aimé ! — O-oui, murmurais-je le souffle court, mais je suis désolée, je crois que je ne suis plus bonne à rien là !— C’est pas grave, tu veux prendre une douche ? Je vais voir si elle est disponible.
Sans attendre de réponse, elle se leva et attrapa un peignoir avant de se diriger vers la porte d’entrée en couvrant son corps dénudé. Après un bref regard à l’extérieur, elle se glissa hors de la chambre avant de refermer la porte derrière elle, me laissant seule récupérer de ce qu’elle m’avait fait vivre. Je tendis l’oreille, attendant d’entendre de potentielles voix, mais seulement une petite musique étouffée qui devait provenir d’un téléphone portable. Ce fut Flora qui répondit à l’appareil et deux minutes plus tard, je la vis réapparaître dans la chambre.
— Je suis désolée, c’était l’hôpital, annonça-t-elle en se dirigeant vers son placard pour prendre des vêtements. Ils veulent que je fasse un remplacement en service nutrition !— Oh merde, faut que j’aille voir mon téléphone, ils m’ont peut-être appelée aussi...— Il est sur la table de nuit, vérifie, mais je ne l’ai pas entendu sonner. En tout cas, n’hésite pas à prendre ton temps ! Mon colloc n’a pas l’air d’être là donc tu peux prendre une douche et si... Si tu n’arrives pas à redevenir... Toi-même, n’hésite pas à me piquer des fringues !
Je lui adressai un petit sourire pour toute réponse, qui s’élargit quand je la vis se rapprocher de moi pour m’embrasser lorsqu’elle fut habillée.
— J’aurais bien passé la matinée au lit avec toi, lui dis-je avant de poser mes lèvres à nouveau sur les siennes. On se voit demain ? Service de jour ?— Oui ! On pourra retourner au local lingerie ensemble si ça te tente...
Je hochai vivement la tête et embrassai une dernière fois Flora quand elle se rapprocha à nouveau de moi. Je la regardai ensuite partir à regret, déçue que nos ébats matinaux prennent fin si subitement. Je restai là encore une dizaine de minutes à récupérer tranquillement des forces avant de me décider à me lever et à me diriger vers la porte de la chambre. Je me débarrassai de mon tee-shirt remonté au-dessus de la poitrine et plein de transpiration avant de ramasser une serviette que Flora avait sorti discrètement pour moi. Dans le doute, je préférai m’enrouler dedans avant de sortir de la chambre et grand bien m’en fit, car je tombai nez à nez avec un jeune homme svelte et aux cheveux coiffés en queue-de-cheval qui sortait de la chambre en face.
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