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Un retour chaleureux

Chapitre 13

Hétéro
— Oh euh désolé, bafouilla le jeune homme, je croyais que vous étiez partie avec Flora...
Je sentis le rouge me venir aux joues alors que ses yeux se baladaient irrésistiblement sur mon corps à peine caché par la serviette dans laquelle je m’étais enroulée. Celui qui semblait être le colocataire de Flora portait un simple jean avec un tee-shirt recouvrant des bras assez secs et je devinais à son visage juvénile couvert d’une légère barbe qu’il devait avoir à peine la vingtaine. Sans être très beau, il était tout de même vraiment mignon, avec des jolis traits de visage et un sourire chaleureux.
— Non c’est moi, Flora pensait que nous étions seules ! Je vais aller me rhabiller dans la chambre.— Oh je vous en prie non, allez à la salle de bains si vous voulez, je vais attendre que vous ayez fini dans la cuisine...
Sur ces mots, il détourna le regard et se faufila devant moi afin de prendre le couloir menant au salon. Je demeurai un bref instant immobile, alors que je réalisais qu’il n’y avait aucun moyen que le colocataire de Flora n’ait pas entendu nos ébats matinaux et je me sentis rougir davantage. Bon, après quelques minutes de réflexion, je me dis qu’après tout, avec mes pratiques des derniers jours, ce n’était pas ça qui était le plus digne d’embarras... Je me décidai donc à braver ma gêne et le suivis vers le salon, me disant que j’allais bien pouvoir braver le regard d’un jeune homme inconnu qui m’avait entendue jouir.
Je traversai donc l’appartement jusqu’à rejoindre la salle de bains où je pris une petite douche rapide, juste histoire de me rafraîchir un peu. Une fois que j’eus passé par serviette sur tout mon corps pour bien me sécher, je m’enroulai de nouveau dedans et regagnai la chambre où je fouillai dans les placards de Flora comme elle me l’avait proposé. Maintenant que j’avais été vue sous mon apparence de belle rousse, plus question de me rechanger en homme. J’empruntai une longue robe noire à ma collègue et amante, que je revêtis simplement, car aucun de ses soutiens-gorges ou culotte n’était assez large pour mes formes généreuses. J’étais en train de me mettre en quête d’un pull ou d’une veste quand j’entendis timidement frapper à la porte.
— Désolé de vous déranger encore, fit la voix du colocataire de l’autre côté, mais j’ai fait du café, vous en voulez ?— Avec plaisir, j’en ai bien besoin ! répondis-je en haussant la voix, je vous rejoins à la cuisine !
Je passai encore quelques minutes à fouiller, mais je ne trouvai qu’un manteau à ma taille, un peu trop épais pour juste prendre un café avec le jeune homme et je décidai donc de simplement le poser sur le lit pour plus tard. Je me regardai un peu dans le miroir et me sentis un peu gênée en réalisant que sa robe me faisait tout de même un généreux décolleté. Comme je n’avais pas vraiment d’alternative, je me contentai donc de nouer un petit pull sur mes épaules, puis tournai des talons pour prendre la porte et retourner vers le salon. Je contournai le canapé tout en jetant un œil sur la télévision qui était allumée par le colocataire de Flora, puis entrai dans la pièce parallèle à la salle de bain, dans laquelle régnait une douce odeur de café.
— Votre tasse est prête ! me dit le jeune homme en me montrant le mug fumant près de lui, au fait, je m’appelle Raphael et vous ?— Jessica, inventais-je en lui adressant un petit sourire, on peut se tutoyer je crois !— Désolé, je crois que je suis encore un peu gêné !— Il n’y a pas de mal, ne t’en fais pas, c’est rien. J’espère qu’on ne t’a pas réveillé en rentrant hier soir.— Même pas ! Je dors toujours avec mes écouteurs donc je n’ai rien entendu du tout ! Je venais à peine de me réveiller quand on s’est croisés tout à l’heure.
Je souris poliment, puis bus un trait de mon café pour cacher le petit rire qui me venait. Quelque chose dans son regard me disait que c’était là un pieux mensonge et qu’il nous avait certainement entendues ce matin. Toutefois, sa discrétion était attendrissante et contribua à me détendre. On resta ainsi pendant une vingtaine de minutes à siroter nos cafés tout en discutant de tout et de rien le plus naturellement du monde. Malgré l’évidente timidité de Raphael, le jeune homme avait beaucoup d’humour et le courant passa étonnamment bien entre nous.
Nos tasses terminées, je le suivis jusqu’au salon où notre conversation se poursuivit sur les séries télé, alors que Raphael me montrait sur Netflix quelques séries obscures qu’il me fallait selon lui à tout prix découvrir. Il semblait assez surpris de mes goûts qui rejoignaient souvent les siens et une chose en entraînant une autre, nous finîmes par regarder la dernière saison de Lucifer qu’aucun d’entre nous n’avait encore vue. Je n’avais absolument pas prévu de passer ma journée de repos ainsi, mais j’avais plaisir à passer du temps avec le colocataire de mon amante.

— Tom Ellis a quand même un charme dingue, dit Raphael entre deux scènes. Il est vraiment taillé pour ce rôle !— C’est sûr, franchement je pourrais regarder la série juste pour lui !
Je lui jetai un petit regard en coin et ne pus m’empêcher de sourire.
— Tu n’as pas de mal à dire que tu trouves un mec beau en tout cas...— Euh non, en fait... Je suis bi donc je crois que je peux !— Ah, excuse-moi, je voulais juste te taquiner !— Y a pas de mal, ne t’en fais pas. Je n’ai pas de mal à en parler, puis pour être honnête, j’ai même plus été avec des mecs que des filles !— Ah ouais ? De mon côté, j’ai plus été... Comment dire... touche à tout !— Tu as de la chance ! J’aimerais bien avoir plus d’occasions de faire mes expériences, mais bon... Je suis assez timide !— Ça viendra, ne t’en fais pas, j’ai presque trente ans donc j’ai eu plus de temps pour essayer des choses ! Tu as quel âge toi ?— J’aurai vingt-et-un ans la semaine prochaine.
Je ne pus m’empêcher d’écarquiller les yeux de surprise et de le regarder de la tête aux pieds. Je me sentais subitement gênée d’avoir cette conversation avec quelqu’un d’aussi jeune comparé à moi...
— Ça te laisse pas mal de temps pour faire tes expériences ! Finis-je par dire en me reprenant. A ton âge, j’étais encore vierge...— Ah ouais ? — Oui ! Donc ne t’en fais pas, tu as le temps.— En fait... ça me paraît facile avec les mecs, avec les filles, j’ai l’impression de perdre tous mes moyens ! A dire vrai... Je n’ai jamais essayé tout court avec une fille...— Oh rien du tout ?— A part embrasser non. Et puis j’aime bien quand un mec me prend, mais j’aimerais bien essayer au moins une fois l’inverse aussi !
Comme s’il venait subitement de réaliser ce qu’il venait de dire, Raphael me lança un regard paniqué avant de se retourner brutalement vers la télévision, le rouge lui montant aux joues. Je le comprenais sans mal bien sûr, il venait de dire à une fille qu’il ne connaissait qu’à peine qu’il n’avait jamais pu pénétrer qui que ce soit et qu’il aimait lui se faire pénétrer. Ce n’était pas le discours le plus accepté par le plus grand nombre, mais fort heureusement, j’étais par nature tout l’opposé de l’étroitesse d’esprit. Au contraire, le fait qu’il ose dévoiler ainsi ses manques et les accepter malgré sa gêne avait quelque chose d’attendrissant.
— Ne t’en fais pas, je saurais garder le secret, lui dis-je avec un sourire réconfortant.— Ah euh je... Merci... En fait, c’est rien, Flora est au courant. Mais euh, il n’y a jamais rien eu entre nous hein ! C’est juste une bonne confidente, un peu comme toi, enfin, je crois.
Définitivement, sa gêne était vraiment mignonne et lui donnait un petit air de chiot qui ne me déplaisait pas du tout !
— Flora est vraiment cool pour ça oui !— Oui c’est sûr, et toi aussi en vrai ! Je t’avoue que je suis soulagé que tu le prennes aussi bien.
Je lui répondis par un large sourire amical, puis je reportai tout comme lui mon attention sur la série qui continuait de passer sur la télévision. Un silence attentif s’installa alors que nous essayions de reprendre le fil de l’épisode, de mon côté, j’étais tout de même encore beaucoup dans mes pensées et m’efforçais de peser le pour et le contre. Au bout d’une dizaine de minutes, je me décidai à lui adresser un petit regard, puis je posai une main sur sa cuisse que je caressai tout doucement. Je sentis Raphael se tétaniser, mais il ne me repoussa pas pour autant. Je lus dans ses yeux un mélange de diverses émotions qui me décida à sortir de notre silence.
— Est-ce que tu as envie d’essayer ?— Que-quoi ?— Faire ta première fois avec une femme ?
Raphael passa du léger rouge à un écarlate qui monta jusqu’à ses oreilles et son regard descendit jusqu’à ma main pour remonter vers ma poitrine où je pouvais deviner que mes tétons pointaient clairement à travers le tissu de ma robe.
— Tu es sûre ?
Cette nouvelle question me touchait davantage qu’elle m’agaçait, je trouvais son côté timide et prévenant particulièrement charmant, comme s’il craignait que je le prenne en pitié ou que je me sente obligée. Pour toute réponse, je me penchai donc vers lui et ses lèvres vinrent à la rencontre des miennes. Notre premier baiser fut très doux et se prolongea avec tendresse, sans langue pour le moment, tandis que je lui caressais toujours la cuisse tout en douceur. Il passa un bras dans mon dos et commença à doucement me serrer contre lui alors qu’il déposait son autre main sur mon ventre. Je passai alors une main à mon tour derrière lui et commençai à lui caresser ses cheveux au niveau de la nuque tout en portant ma langue à la rencontre de la sienne. Raphael me répondit d’abord avec hésitation, comme s’il avait plus l’habitude qu’on porte davantage sa langue dans sa bouche que l’inverse, avant de se faire de plus en plus chaleureux.
Du haut du pouce, il commença à caresser timidement mon sein gauche, avant de finalement oser poser sa paume dessus. Sa main demeura un temps immobile, puis elle se décida finalement à vraiment le prendre, à le soupeser et le malaxer. Sa fascination pour ma poitrine me fit irrésistiblement sourire et je me mis à frémir quand il me pinça doucement le téton. Je descendis alors ma main vers son entrejambe et y découvris une imposante bosse qui déformait pantalon. Son jean était assez lâche sans ceinture et je pus donc glisser sans mal mes doigts jusque sous son caleçon pour empoigner sa bite qui n’était pas très épaisse, mais dont la longueur me surprit. Je me mis à doucement le branler, lui arrachant de petits soupirs de satisfaction alors qu’il me malaxait les seins plus vigoureusement.
Puis subitement, Raphael se recula, puis se laissa tomber du canapé pour se mettre à genoux devant moi, ce qui me força bien sûr à retirer ma main dans la manœuvre. Surprise par cette soudaine prise des devants, je me laissai faire quand il remonta ma robe, dévoilant toute mon intimité, ce qui ne manqua pas d’étonner le jeune homme qui ne devait pas s’attendre à me trouver sans sous-vêtements. Il leva les yeux vers moi, puis après avoir croisé mon regard, il contempla ma vulve avec admiration et avidité, avant de soudainement rapprocher son visage de mon entrejambe.
Prise de court par le fait qu’il commence directement avec sa bouche plutôt qu’avec ses doigts, j’eus un petit sursaut quand je sentis la chaleur de sa langue se plaquer sur la région de mon clitoris, avant de faire de petits mouvements de haut en bas maladroits. Tout inexpérimenté qu’il était, je devinais que Raphael avait bien dû bosser son sujet de manière ou d’une autre, car après quelques essais infructueux, il finit par trouver une zone qui me faisait particulièrement réagir. Il s’y attarda donc, me faisant frémir sous ses coups de langue et je me laissai donc aller en caressant ses longs cheveux que je libérai sans mal de sa queue-de-cheval.
— Oui, vas-y, soufflais-je. Lentement, de haut en bas, n’hésite pas à appuyer...
Sans attendre, mon jeune amant appliqua mes directives et libéra sans faire exprès mon clitoris de son capuchon de peau, ce qui redoubla l’intensité du plaisir qu’il m’offrait. Je me mis à tortiller des hanches involontairement en gémissant doucement, ce qui l’incita à venir passer ses doigts dans mon intimité désormais bien humide. Avec une prudence infinie et sans doute un peu de peur, il enfonça un doigt en moi et je lus la surprise sur son visage quand il sentit avec quelle facilité il me pénétrait et la sensation de chaleur humide que lui offrait mon vagin. Il y avait quelque chose de très amusant de lire ainsi cette expression que j’avais moi-même eue près de dix ans plus tôt à sa place et cela redoubla mon excitation quand il fit coulisser son doigt en moi tout en reprenant ses mouvements de langue.
Je me mis à gémir de plus en plus fort alors qu’il appuyait davantage sa bouche contre ma vulve et titillait mon clitoris du bout de la langue. De plus en plus en confiance, Raphael ajouta un deuxième doigt et commença à faire des mouvements de haut en bas assez forts, mais particulièrement jouissifs. Mes hanches se mirent à se tortiller d’elle-même et renforçai ma prise sur ses cheveux, conservant par réflexe sa tête bien appuyée sur mon clitoris alors que mon plaisir n’avait de cesse de se renforcer. J’avais terriblement envie de passer à l’étape suivante et de le sentir en moi, mais il s’y prenait si étonnamment bien que je demeurasse tétanisée sur place, alors que l’orgasme semblait déjà se rapprocher !
— N-non, articulais-je tant bien que mal, ar-arrête...
Trop focalisé sur ses coups de langue et ses mouvements de doigts, Raphael ne m’entendit pas et continua sur sa lancée et quelques secondes plus tard, l’orgasme éclata dans mon bas-ventre et parcourut mes jambes de légers frissons. Mon amant releva la tête et me regarda jouir avec un plaisir non dissimulé alors que ses doigts demeuraient enfoncés profondément en moi. Je repris mon souffle tant bien que mal, puis eus un léger sursaut quand je le sentis bouger de nouveau.
— Non, stop ! Arrête pour l’instant, c’est trop sensible encore là.— Désolé excuse-moi ! répondit le jeune homme avec le rouge aux joues.— C’est pas grave, ne t’en fais pas, mais comment tu fais pour être aussi doué sans expérience ?— J’ai pas mal potassé mon sujet...
Je ne pus m’empêcher de sourire en entendant sa réponse, ce cher Raphael était décidément plein de surprises !
— Bon, à mon tour alors ! Déshabille-toi et assieds-toi.
Sans poser de questions, mon amant s’écarta et je me levai devant lui et soulevai ma robe alors qu’il se débarrassait rapidement de son pantalon. Je fis passer mon unique vêtement par-dessus ma tête, et laissai le jeune homme poser ses yeux sur mes seins alors qu’il retirait son tee-shirt. Il se laissa tomber sur le canapé avec un air béat, sa bite déjà bien durcie reposant sur son bas-ventre tandis qu’il attendait de voir ce que j’allais faire.
J’avais très envie de le sucer, mais je n’étais pas sûre d’à quel point il pourrait tenir son excitation jusqu’à ce qu’on en vienne au cœur du sujet. Après une brève réflexion, je posai mon genou sur le canapé, puis l’enjambai pour m’asseoir sur ses jambes, ce qui plaçait mes seins juste en face de son visage. Je le laissai les admirer alors que je prenais à nouveau sa bite entre ses mains, la masturbais doucement et la couvrais d’un peu de ma bave. Une fois arrivée à un résultat qui me satisfaisait, je me redressai et me rapprochai encore de lui, me plaçant juste au-dessus de son membre que je maintenais dressé comme un pieu.
— Regarde bien en bas, lui dis-je avec un large sourire excité. Je veux que tu voies ta bite pénétrer une femme pour la première fois.
Raphael hocha vivement la tête, puis m’obéit sans attendre, le souffle lourd alors que je sentais son envie démesurée que je mêle l’acte à la parole. Sous ses yeux arrondis, je commençai donc à lentement m’asseoir sur sa bite que je dirigeai jusqu’à l’entrée de mon sexe. Puis très lentement, je m’empalai sur son membre, faisant disparaître sa bite dans les profondeurs de mon intimité. Mon amant poussa alors un profond soupir et posa ses mains sur mes hanches avant de relever les yeux pour croiser mon regard.
Je souris de satisfaction en voyant le plaisir et l’excitation sur son visage, puis je me mis alors à bouger les jambes, à me soulever pour me laisser retomber sur lui. Peu à peu, je fis aller et venir sa bite en moi, frémissant alors qu’elle allait de plus en plus profondément dans mon vagin. De nouveau, le plaisir inonda mon bas-ventre avec une intensité tout à fait différente, mais non moins plaisante. Je me mis à faire des mouvements plus amples en respirant lourdement, tandis que Raphael glissait ses mains le long de mon corps, empoignait mes seins et les portait même à sa bouche pour sucer mes tétons. Ceux-ci n’étaient pas particulièrement sensibles, mais il y avait un côté vraiment excitant à avoir ainsi un homme me téter ainsi le sein alors que son sexe allait et venait en moi...
Je m’empalais maintenant sur lui avec frénésie, savourant comment sa bite écartait mes chairs et me massait les parties plus intimes de mon anatomie. Mes fesses semblaient rebondir sur ses jambes alors qu’elles se rencontraient en claquant, étouffant mes gémissements et ceux de Raphael qui semblait en extase. Il finit par abandonner mes seins avant de baisser les yeux pour contempler son membre alors qu’il s’enfonçait profondément en moi.
— Tu veux changer de position ? Me souffla-t-il en croisant mon regard.— Si tu veux !
Je ralentis le rythme, puis m’immobilisai finalement alors que son membre était enfoncé dans mon sexe jusqu’aux couilles pour l’embrasser langoureusement. Puis avec une part de frustration, je me reculai pour faire sortir sa bite, laissant une sensation de léger vide décevant en moi. Je me levai, puis sans attendre un instant, Raphael se mit debout en face de moi et m’embrassa à nouveau tandis qu’il faisait glisser ses mains de mes hanches vers mes fesses qu’il serra entre ses doigts. Alors que j’étais sur le point de lui demander comment il voulait continuer, mon jeune amant me fit subitement me retourner et me pencher en avant.
— J’étais sûre que tu allais vouloir le faire comme ça !
Un sourire s’étendit sur mes lèvres alors que je m’appuyais sur le dossier du canapé et agitait mes fesses pour le provoquer. Je le sentis plaquer sa bite contre ma vulve et la caresser de haut en bas du bout du gland en prenant son temps.
— Tu n’aimes pas comme ça ? me répondit-il alors.— Si si, ce n’est pas parce que je m’y attendais que ça ne me fait pas envie !
Je me tournai vers lui et aperçus un mélange d’envie et d’hésitation sur son visage.
— Vas-y, qu’est-ce que tu attends ? lui demandais-je, prends-moi par derrière !
Mon ultime provocation parut le décider une bonne fois pour toutes, car il glissa alors sa bite en moi avant de l’enfoncer d’un puissant coup de reins qui me fit hoqueter de surprise ! Tout inexpérimenté qu’était mon jeune amant, celui-ci commençait à prendre la confiance et se mit à aller et venir vivement dans mon vagin, qui se resserrait peu à peu à mesure que mon plaisir se faisait plus intense. Raphael semblait particulièrement excité par cette levrette sur le canapé de sa collocation, car il ne ralentit pas un instant le rythme et me bourrait littéralement par-derrière en me serrant les fesses entre ses doigts. Je m’attendais à le sentir bientôt jouir en moi, mais il continuait encore et encore, me faisant gémir irrésistiblement avec un large sourire aux lèvres.
Soudain, je lâchais un petit cri de surprise quand il me claqua subitement les fesses et je lui lançai un petit regard faussement vexé alors que je m’étonnais d’avoir aimé cette fessée imprévue. Je me penchai alors un peu plus en avant pour pousser mon cul en arrière et m’enfoncer davantage sur son membre alors qu’il poursuivait ses coups de hanches tout en me caressant le dos. Bientôt, je commençai à sentir à nouveau l’envie de jouir et je glissai discrètement une main sous mon ventre jusqu’à mon clitoris que je titillai du bout des doigts alors qu’il continuait à me baiser avec force. Mes gémissements gagnèrent en intensité alors que mon plaisir atteignait des sommets et je sentis mon sexe se resserrer davantage, à moins que ça ne soit la bite qui coulissait en moi qui commençait à gonfler.
Alors que je sentais l’orgasme imminent, Raphael m’agrippa subitement les hanches pour les bloquer contre lui, puis il se mit à aller et venir encore plus rapidement qu’avant. Encouragée, je me redoublais mes caresses sur mon clitoris, le titillant et le frottant avec force, jusqu’à ce que je me mette à trembler irrésistiblement et en me mordant les lèvres. Mon jeune amant se figea alors et se pencha pour m’embrasser tendrement alors que j’étais encore en pleine jouissance, puis il me garda dans ses bras jusqu’à ce que je retrouve un peu d’énergie.
— On peut continuer encore un peu ? Me souffla-t-il à l’oreille, je suis tout proche de jouir aussi...
J’étais sur le point de répondre « oui » quand soudain, une tout autre idée me vint et je lui adressai un large sourire.
— Tu peux jouir dans ma bouche si tu veux.— Quoi ? Euh, t’es pas obligée, tu sais !— Je sais, mais j’en ai envie !
Je me dégageai en douceur de son emprise, puis sentis son sexe sortir de moi et je me retournai avant de me laisser tomber sur le canapé en lui adressant un large sourire. Je le saisis aux hanches, puis le fis se rapprocher de moi avant de prendre son sexe dans la main droite et le porter à ma bouche. Le bout vint rencontrer mes lèvres, puis je passai celles-ci lentement sur son gland en terminant sur un petit coup de langue. Je levai alors les yeux vers lui et pus voir toute l’excitation qui transparaissait sur son visage, de toute évidence, je le mettais au supplice !
J’enfonçai alors sa bite dans ma bouche, savourant le contact doux de son membre sur mon palais alors qu’il le remplissait. J’enroulai ma langue autour de son sexe, le caressant avec, le suçant véritablement sans même bouger ma tête. Mon orgasme récent m’avait laissée dans un tel état d’excitation que je m’amusais à juste le sentir dans ma bouche. D’une main, j’attrapai la base de son membre, puis je commençai à faire des va-et-vient avec son sexe entre mes lèvres. Rapidement, je trouvai mon rythme dans mes mouvements du cou, le faisant aller et venir entre ma langue et mon palais avec délectation.
De ma main libre, je me caressai distraitement les seins alors que je bougeais ma tête de plus en plus vite, tandis qu’il semblait gonfler progressivement entre mes lèvres. Alors que j’accélérais mes mouvements d’avant en arrière, je glissai mes doigts à nouveau entre mes jambes, mais mes caresses furent rapidement interrompues par des gémissements plus appuyés de mon amant. Je poussai son sexe dans ma gorge alors qu’il se mettait soudain à tressauter, étouffant un hoquet de surprise alors que des jets ardents venaient tapisser mon palais. C’était la première fois qu’on me jouissait dans la bouche et je dus donc faire un effort de volonté pour avaler au fur et à mesure ce liquide à la texture si particulière...
Je relevai alors les yeux et ne pus m’empêcher de sourire en voyant l’expression de surprise et de fatigue sur le visage de Raphael. A chaque coup de langue que je mettais pour bien nettoyer son membre, je m’amusais de ses tressautements alors que sa bite était devenue si sensible après son orgasme. J’étais très surprise de trouver cette pratique que j’avais vue dans tant de pornos si plaisantes et je décidai donc de finir sur un petit élan de provocation. Je laissai sa bite sortir de ma bouche, puis lui tirai la langue, le laissant constater que j’avais avalé la moindre trace de sa semence !
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