Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 60 J'aime
  • 0 Commentaire

Un retour chaleureux

Chapitre 14

Avec plusieurs femmes
— Quoi ? Avec Raph ?
A la réaction amusée de Flora, je devinais qu’elle ne semblait pas spécialement en colère ou même gênée par le fait que j’ai couché avec son colocataire. J’avais vraiment bien apprécié ce petit moment avec lui malgré son manque d’expérience et bien profité du corps féminin que j’avais alors. Mais maintenant, c’était retour à mon apparence masculine originelle, vu que nous étions tous deux de permanence de jour à l’hôpital. C’était sans doute là l’aspect le plus frustrant de mon don de transformation à volonté : devoir garder le secret et devoir toujours revenir à mon vrai moi au boulot. J’avais beau bien aimé mon apparence, le degré de liberté qu’offrait mon don rendait toute limite terriblement frustrante...
— Content de voir que tu ne m’en veux pas, je n’ai pas vraiment pris le temps de te consulter !— Pas du tout, au contraire ! Répondit-elle, je suis contente que tu lui aies fait perdre sa virginité de ce côté-là, ça le travaillait depuis un moment.— Tu sais comment je suis, toujours prêt à rendre service !
Flora referma la porte de son casier en m’adressant un sourire amusé.
— C’est pour ça que tu m’as proposé qu’on dîne ensemble à ton appart ? Tu comptes me rendre service ?— Si ça te tente, bien sûr !
Je répondis à son sourire et nous prîmes tous deux le chemin de la sortie des vestiaires. Les deux derniers jours au boulot avaient été épuisants pour des périodes de travail en journée et il me tardait déjà d’être le surlendemain pour avoir une après-midi de pause, même si cela signifiait enchaîner avec une permanence de nuit. C’était justement pour cela que j’avais proposé à Flora que nous partions ensemble du centre hospitalier pour passer chez moi, que nous passions un peu de bons temps avant le reste de la semaine !
Il faisait assez froid ce jour-là et c’est donc engoncés dans nos manteaux que nous marchâmes vers mon appartement, mais sans se tenir particulièrement rapprochés. Je ne manquais pas d’envie de tenir la jeune femme sous mon bras et de profiter de sa chaleur, mais étant donné que nous n’étions « que » sex-friends, je n’étais pas sûr qu’elle tenait à donner la mauvaise impression à de potentiels observateurs. Pour oublier le vent frais qui soufflait, nous discutions donc de tout et de rien, mais le sujet finit par revenir à nouveau sur Raphael.
— Oui on va se revoir, dis-je en réponse à sa question. Je lui ai proposé d’être son plan cul et il était plutôt motivé !— Ca pour une surprise ! Un conseil, fais juste gaffe à Joel...— Joel ?— Le meilleur ami et plan cul régulier de Raphael. C’est pas exactement la meilleure des influences, je trouve qu’il profite pas mal de lui et il peut se montrer assez possessif parfois... Il va sans doute pas y avoir de soucis, mais fais quand même gaffe, au cas où !— C’est bien noté, et...
Je m’interrompis soudainement alors que nous approchions de mon immeuble, car non loin de l’entrée, je reconnus une voiture familière. À côté de celle-ci se tenait Anne, qui m’attendait, une cigarette à la main. Elle sourit et fit un pas en avant quand elle me vit, mais je perçus comme une hésitation quand elle remarqua que je n’étais pas seul. Je remarquai la même expression de gêne et de surprise chez Flora et me trouvai bientôt entre les deux femmes, sans savoir quoi dire ou faire.
— De-désolée, finit par balbutier Anne. Je n’aurais pas dû passer sans prévenir, je ne pensais pas que tu serais accompagné...— C’est pas grave, répondis-je. Ça fait longtemps que tu attends dans le froid ? Monte au moins boire un café ou quelque chose.— Non non, ce n’est pas grave, je ne veux pas déranger.— C’est rien Anne, finit par intervenir Flora. On discutait juste, viens papoter autour d’un café avec nous !
Je croyais avoir perçu une légère rougeur venir aux joues d’Anne quand je lui avais proposé de monter, mais l’intervention de notre collègue parut la détendre et elle accepta donc de prendre juste un petit thé avec nous. Elles m’emboîtèrent donc le pas alors que je me dirigeais à l’intérieur et quelques minutes plus tard, nous étions tous installés dans mon salon autour de la table basse, avec nos boissons chaudes pour réchauffer nos mains et nos gorges. Rapidement, le sujet de conversation qui s’imposa fut le boulot et les histoires des derniers jours au sein du service, mais tout partit à la dérive quand Anne aborda le sujet des Dandelot.
— Tu sais que Benjamin s’est tapé le mari l’autre jour ? demanda Flora avec un air mutin.— Quoi ? s’exclama Anne, quand ça ?— Le soir où on a couché ensemble ! Il nous a vues d’ailleurs !— Attends, QUOI ?— Je vous ai vues par hasard, soufflais-je pour ma défense.— Brice Dandelot devait avoir un point faible pour son apparence de petite asiatique ! Ajouta Flora en riant irrésistiblement devant notre gêne.— Mais tu as un truc avec les gens mariés ou quoi ? s’exclama Anne avant d’éclater de rire à son tour.
Je répondis d’un rire un peu gêné, en imaginant ce qu’elle pourrait dire si elle connaissait tous mes partenaires sexuels. Heureusement, elle ne remarqua pas mon expression et le sujet de conversation dévia sur autre chose tandis que nous finissions nos boissons. D’abord un peu crispée, Anne s’était bien détendue sur le canapé à côté de moi, sa jambe reposant maintenant contre le bas de ma cuisse. Face à nous, confortablement assise dans un fauteuil, Flora ne semblait pas être frustrée de cette visiteuse imprévue qui venait perturber nos plans et paraissait même apprécier ce début de soirée entre collègues et amis.
— Je vous laisse deux minutes, annonça Flora en se levant. Je vais passer aux toilettes.— Pas de soucis, répondis-je. C’est la deuxième porte près de l’entrée.— Je ne vais pas tarder à vous laisser, ajouta Anne. J’y vais après toi et je file !
Flora disparut derrière nous et le bruit du verrou de la porte se fit entendre alors qu’elle s’enfermait dans la salle de bains. Je croisai le regard de ma collègue psychologue et celle-ci me répondit avec un petit sourire plein de douceur.
— Encore désolée d’être passée sans prévenir, me dit-elle en passant les bras autour de mon cou pour me caresser la nuque. Ma soirée s’est libérée à l’improviste et j’ai eu envie de te voir...— C’est rien, je suis toujours content de te trouver devant chez moi !
Sur ces mots, je me penchai vers elle pour déposer un petit baiser sur ses lèvres, mais Anne me retint pour m’embrasser langoureusement. Une de mes mains se posa sur son flanc et je sentis que sa respiration était déjà alourdie par l’excitation. Je fis un petit mouvement pour la tirer alors vers moi et la serrer dans mes bras, mais ma collègue alla encore plus loin et m’enjamba pour s’assoir sur moi. Elle continua à m’embrasser tout en me tenant contre elle et je descendis alors mes mains sur ses fesses moulées dans son pantalon vert.
Nous étions si emportés dans l’instant, que le bruit du verrou de la salle de bain nous fit sursauter et rompre notre baiser pour tourner la tête, juste à temps pour voir Flora nous prendre sur le fait. Celle-ci nous regarda avec les yeux écarquillés de surprise, avant de finalement nous adresser un grand sourire. Anne ouvrit la bouche, mais notre collègue lui fit signe de se taire alors qu’elle se dirigeait vers nous. Elle passa derrière le canapé et s’arrêta juste derrière moi pour prendre le visage de la psychologue entre ses mains et l’embrassa. Les deux jeunes femmes échangèrent alors un long et ardent baiser en m’oubliant complètement, tandis que j’étais serré entre leurs deux poitrines.
Très excité par ce qui était en train de se produire, je repris mes caresses sur les fesses d’Anne avec davantage d’intensité et en amenant même mes doigts un peu plus bas. Mes amantes finirent par rompre leur baiser et celle qui me faisait face écarta ses seins de mon visage pour revenir m’embrasser. Alors que nos langues dansaient ensemble, je sentis les lèvres de Flora venir se déposer sur mon cou et mes joues, et ses mains descendirent le long de mon torse pour le caresser.
— Et si on allait se mettre dans la chambre ? proposa Flora, on y sera plus à l’aise...
Nous lui répondîmes tous deux d’un hochement de tête, avant de nous séparer à contrecœur pour nous mettre debout. Je guidai mes deux amantes vers la chambre, tout en me débarrassant de mon pull sur la route, et une fois face au lit, je commençai à défaire mon pantalon. En me retournant, j’eus la surprise de voir que Flora s’était déjà débarrassée de son haut et de sa jupe, ne restant plus qu’en collants et en soutien-gorge. Elle se rapprocha de moi et m’embrassa délicatement alors que mon pantalon tombait sur mes hanches, sous le regard d’Anne qui était restée à l’entrée de la pièce avec une mine hésitante.
— Tu viens, Anne ? lui demandais-je.— Je-je n’ai encore jamais fait ça...
Flora se pencha alors pour attraper sa main et la tira doucement vers nous. Sans montrer de réelle résistance, notre collègue se rapprocha lentement, jusqu’à se retrouver entre nos corps dénudés. Je posai mes mains sur ses hanches que je commençai à caresser, tout en faisant remonter son haut. Face à Anne, notre amante aux cheveux verts lui caressait les seins tout en l’embrassant avec fougue.
Mon sexe était déjà dur comme la roche lorsque je le plaquai contre les fesses de ma collègue, et de son côté, Flora achevait de la débarrasser de son haut et accéder à ses seins. Je fis donc descendre mes doigts le long du corps d’Anne, pour défaire les boutons de son pantalon et glisser ma main sous sa culotte. Peu à peu, j’écartai ses chairs pour dévoiler son clitoris que je me mis à titiller et à frotter délicatement, la faisant gémir dans la bouche de notre collègue. La psychologue se mit à bouger irrésistiblement ses hanches sous l’effet de mes caresses et parcourut le corps de Flora de ses mains, comme si elle ne savait pas quoi en faire. Pour ma part, ma bite semblait ne plus tenir dans mon boxer que je fis glisser, mais sans jamais délaisser le clitoris de ma collègue.
Lorsque mon sous-vêtement tomba sur mes chevilles, je me mis à me frotter irrésistiblement contre les fesses de la psychologue, qui lança un regard vers moi en sentant mon sexe directement contre elle. Loin de paraître irritée, cela parut redoubler son excitation, car ses gémissements gagnaient en intensité, alors que je continuais à m’occuper de sa vulve avec mes doigts. Se sentant un peu délaissée, Flora attrapa alors la main d’Anne et la glissa sous son collant, afin de l’amener à prendre soin d’elle à son tour. D’abord hésitante, je sentis notre collègue subitement se rigidifier alors qu’elle ne savait visiblement que faire avec ce sexe féminin autre que le sien. Puis peu à peu, elle se détendit et je la vis commencer à bouger la main et quelques secondes plus tard, c’était au tour de Flora de soupirer de plaisir.
Les débuts furent timides, mais Anne semblait commencer à se laisser aller et bientôt, les deux femmes se mirent à gémir sous les caresses de leurs clitoris. Je retirai ma main de sa culotte afin de l’aider à se défaire de ses derniers vêtements, tandis que Flora prenait le relais. J’embrassai tendrement le cou d’Anne alors que mes collègues se donnaient du plaisir mutuellement, avant de finalement m’écarter pour achever de me mettre nu, après quoi je m’assis sur le lit pour les admirer.
Tout en me caressant doucement le sexe, je les contemplai s’embrasser avec fougue, tandis que leurs mains s’agitaient entre les jambes de chacune. Je devinais les mouvements de la psychologue sur le clitoris de Flora et les aller-retour des doigts de celle-ci dans le vagin d’Anne qui faisait parfois de petits bruits humides. Chacune semblait apprécier les caresses de l’autre et je me délectai donc du spectacle de ces deux sublimes corps nus serrés l’un contre l’autre. S’il me tardait qu’elles me rejoignent sur le lit, je savourais tout de même avec plaisir la scène, mon sourire s’élargissant chaque fois que l’une ou l’autre m’adressait un coup d’œil.
Finalement, Anne s’écarta de sa partenaire, puis tout tirant celle-ci par la main, vint s’allonger à côté de moi et m’embrassa à mon tour, avant de serrer ma bite entre ses doigts pour commencer à doucement la masturber. Je m’apprêtais à lui rendre l’attention, mais je découvris alors que Flora s’était mise à genoux et avait écarté les jambes de notre collègue pour plaquer ses lèvres contre son sexe pour la lécher. Anne ne tarda donc pas à gémir de nouveau avec une intensité renouvelée, et tout en continuant à me branler tant bien que mal sous l’effet de la jouissance. Je m’amusai donc à caresser les seins de mon amante la plus proche, à lui pincer un peu les tétons, avant de redescendre ma main sur les cheveux verts de Flora, comme pour l’encourager dans son cunnilingus.
Ma langue dansa avec celle de ma collègue psychologue, chacun y allant de ses petits soupirs de plaisir, mais bientôt, Anne eut de plus en plus de mal à poursuivre ses mouvements de la main. Je devinai l’orgasme imminent et je me collai donc davantage à elle, l’embrassant avec plus de fougue alors que ses jambes se mettaient à trembler et que la jouissance la frappait dans un cri. Le souffle court, elle me serra contre elle alors qu’elle semblait essayer de se remettre et je frémis à cet instant en sentant une chaleur enrober ma bite. Je baissai les yeux et découvris alors que loin d’être satisfaite par le cunni qu’elle venait de donner, Flora s’était subitement mise à sucer mon sexe qui était non loin de ses lèvres !
Celle-ci me rendit mon regard avec une lueur d’amusement, puis enfonça davantage mon membre dans sa bouche, en savourant l’expression de plaisir qui s’épanouissait sur mon visage. Mon sexe fit plusieurs allers et retours sur sa langue ainsi, me faisait soupirer de plaisir alors qu’Anne m’embrassait à nouveau et que ses doigts descendaient caresser mon ventre et mes testicules. Je sentais que son excitation était déjà revenue et je décidai donc de l’encourager en lui touchant un peu les seins, avant de finalement glisser ma main entre ses jambes lui caresser un peu le clitoris. Elle savoura pendant quelques instants ces nouvelles attentions pour son sexe, puis finalement me repoussa tout en douceur.
— Non, souffla-t-elle, c’est à votre tour maintenant !
Sur ces mots, elle s’écarta de moi et se leva, avant de venir se mettre à genoux derrière Flora. Elle s’amusa à lui caresser les seins alors que l’infirmière continuait sa fellation sur un rythme de plus en plus rapide, puis descendit ses doigts jusqu’à son entrejambe qu’elle caressa dans un petit bruit humide. De mon côté, le plaisir devenait si intense que je renversai la tête en arrière, savourant le moment en gémissant irrésistiblement. J’entendis Anne faire quelques messes basses, mais je n’y prêtai pas attention sur le moment, du moins, jusqu’à ce que Flora n’abandonne sa fellation et ne se mette debout devant moi. Allongé sur le dos, totalement immobile, je la contemplai alors qu’elle se rapprochait, m’enjambant jusqu’à amener son sexe au-dessus du mien. Je vis alors la main d’Anne passer sous les jambes de la jeune femme et diriger ma bite vers l’intimité de l’infirmière, qui s’empala lentement sur mon membre dressé.
Maintenant qu’elle avait mis mon sexe en Flora, la psychologue enlaça la jeune femme par derrière afin de caresser ses seins tandis qu’elle commençait à doucement aller et venir sur moi. Je me mordis la lèvre en sentant mon membre coulisser lentement dans ses chairs ardentes et humides, sous les yeux attentifs d’Anne qui guettait mon expression de jouissance. Tout en me regardant droit dans les yeux, elle pinça doucement les tétons de notre amante, joua avec en les faisant rouler entre ses doigts, avant de finalement de se tourner pour embrasser Flora. Je remontai mes mains sur ses cuisses alors qu’elle commençait à rebondir sur moi pour faire aller et venir ma bite plus vite en elle, puis saisit ses hanches en contemplant les deux femmes s’embrasser langoureusement.
J’étais si surexcité que je ne tenais plus, je me mis à bouger le bassin à mon tour et à aller et venir vivement en Flora dont les gémissements redoublèrent subitement. Leurs lèvres maintenant séparées, Anne m’adressa un petit sourire amusé, puis glissa ses doigts jusqu’à l’entrejambes de notre amante et commença à lui caresser le clitoris tandis que je pilonnais son vagin. L’infirmière ne tarda pas à crier pleinement son plaisir alors que ses chairs se resserraient sur mon sexe et me porta instantanément jusqu’à ma limite. Dans un éclair de lucidité, je la repoussai juste assez pour faire sortir ma bite d’elle alors que mon orgasme explosait, maculant son ventre et le mien de sperme.
— Tu aurais pu jouir en moi, murmura Flora en essayant de reprendre son souffle.— Vu ce qui s’est passé l’autre fois avec Anne, je me suis dit que ça valait mieux ! — Ca ne m’aurait pas dérangé, répondit-elle avec un clin d’œil.
Sur ces mots, elle m’enjamba en se dégageant en douceur de l’étreinte de la psychologue et à ma grande surprise, se pencha immédiatement sur mon sexe sur lequel elle mit un coup de langue pour le nettoyer, avant de carrément le prendre dans sa bouche pour me sucer un peu. Derrière elle, je fis qu’Anne la regardait faire en se caressant doucement l’entrejambe, visiblement impatiente d’avoir droit à un peu de plaisir à son tour. Après quelques allers-retours de ses lèvres sur mon sexe, Flora le remarqua aussi et s’avança alors sur moi pour m’embrasser, avant de se rouler sur le lit pour s’allonger sur le dos.
Les jambes écartées, elle fit alors signe à Anne de la rejoindre et cette dernière vint sans attendre s’allonger avec nous. Encore sous le coup de mon éjaculation, je m’écartai un peu pour les laisser faire le temps que je récupère et pus ainsi les admirer alors qu’elles s’enlaçaient pour s’embrasser fougueusement. Chacune balada ses mains sur le corps de l’autre, caressant le dos, malaxant les seins, jusqu’à ce que leurs doigts ne se glissent entre les jambes. Très vite, ce fut Flora qui prit les devants et s’occupa de titiller le clitoris d’Anne dont l’excitation remonta en flèche. J’entendis la douce voix de ma collègue croître alors qu’elle gémissait de plus en plus fort sous les caresses de l’infirmière. Une main entre les jambes et l’autre sur les fesses, elle fit frémir et se tortiller notre amante sur elle, sous mon regard admiratif devant son savoir-faire.
Loin d’être passive, Anne ne tarda pas à répondre aux caresses de Flora, dont les gémissements gagnèrent progressivement en intensité, jusqu’à rejoindre le niveau de ceux de la psychologue !
Avec une telle vision, je ne tardai pas à sentir l’excitation revenir et je commençai donc doucement à me masturber pour rendre à mon membre un peu de volume. Juste à côté de moi, je pouvais voir les fesses claires de ma collègue se tortiller alors que Flora la masturbait toujours plus vigoureusement, glissant peu à peu ses doigts entre ses fesses... Puis soudain, le majeur de la jeune femme commença à disparaître, alors qu’elle l’enfonçait peu à peu dans le cul d’Anne. Quand elle commença à faire de petits va-et-vient, la psychologue redoubla l’intensité de ses gémissements et je me mis à me masturber plus vivement d’une main, tandis que de l’autre, je lui caressais le dos et les hanches.
Tout en me rapprochant peu à peu des deux femmes, je croisai le regard de Flora, les yeux embués par le plaisir qui témoignaient du pied qu’elle prenait sous les doigts d’Anne. Cette dernière n’était bien sûr pas en reste, et était si excitée par les caresses de l’infirmière qu’elle lui montait peu à peu dessus pour se coller toujours plus à elle. Bientôt, c’en fut trop pour Flora qui l’attira de façon à ce que la psychologue soit à califourchon sur elle, lui offrant un encore meilleur accès à son cul et à son clitoris. En me mordant les lèvres, j’admirais les deux femmes qui semblaient toutes deux au bord de l’orgasme et qui s’embrassaient avec une incroyable fougue.
— Il reste une petite place pour toi si tu veux...
Le sourire aux lèvres, Flora guetta ma réaction un bref instant avant de se pencher à nouveau sur son amante qu’elle embrassa langoureusement. Je les regardai un peu davantage avant de me lever et suivre la proposition de la jeune femme en les contournant jusqu’à arriver derrière elles, d’où je pus admirer l’entrejambe d’Anne et les doigts qui s’occupaient de son cul et de son clitoris. Je me mis alors sur mes genoux, puis guidai mon membre vers la « petite place » qu’on m’avait laissé et m’enfonçai profondément dans le vagin de la psychologue. Désormais assaillie de tous les côtés, celle-ci ne put retenir un petit cri mêlant surprise et plaisir alors que je commençais à aller et venir en elle.
Je pouvais sentir contre mon bas-ventre la main de Flora qui continuait à s’agiter sur le cul de notre amante, de même que ses doigts qui ne lâchaient pas son clitoris alors que je prenais maintenant Anne en levrette. Cette dernière ne pouvait quant à elle plus qu’attraper les draps du lit à deux mains, hoquetant régulièrement au fur et à mesure de nos ébats. Après tout ce à quoi elle avait déjà eu droit, son vagin était très serré et je devinais donc qu’elle ne tarderait pas à jouir à son tour. Je pris donc mon temps, bougeant en profondeur, avant de faire des allers-retours plus rapides près de l’entrée et repartir sur des mouvements plus amples. En dessous, Flora releva les jambes et attira la psychologue contre elle alors que son orgasme se faisait de plus en plus imminent, ce qui me permit de l’embrasser à pleine bouche alors que notre amante gémissait contre les draps.
Tout en agitant ma langue contre celle de l’infirmière, je me mis à bouger de plus en plus vite en Anne, comme si je n’avais pas éjaculé quelques minutes plus tôt. Je la baisais avec force, tandis que je sentais les deux doigts de Flora s’agiter encore plus vivement dans son cul qui était maintenant bien ouvert. Très bientôt, l’orgasme de notre amante éclata dans un cri et des tremblements si forts que mon membre sortit d’elle et retomba sur ses fesses prises de frissons.
Je m’attendais à faire une petite pause le temps qu’elle se remette, mais mon autre partenaire avait une tout autre idée ! En effet, tandis qu’Anne tremblait en roucoulant de plaisir entre nous, je sentis les doigts de Flora saisir ma bite pour la mettre en elle à son tour. Je m’enfonçai sans mal dans ses chairs ardentes et passée la surprise, je me mis immédiatement à aller et venir dans son sexe, mon bas-ventre venant claquer les fesses d’Anne à chaque aller-retour. Comme dans un rêve, je me mis à bouger mes hanches irrésistiblement, tandis que mon sexe était devenu si sensible que j’avais l’impression d’être déjà à nouveau sur le point de jouir tant le plaisir était intense. C’était comme si j’allais toujours plus profondément en elle, toujours plus fort entre ses chairs si chaudes et humides qu’elles faisaient de petits bruits excitants à chacun de mes va-et-vient.
Flora commençait à gémir de plus en plus fort et je prenais un tel plaisir à admirer son doux visage animé par la jouissance que je ne sentis que tardivement, les doigts d’Anne passaient sous elle pour venir me caresser un peu les testicules. D’un geste un peu malhabile, je la sentais nous caresser tour à tour et je devinais qu’elle se sentait prête à revenir s’amuser un peu avec nous. Un large sourire aux lèvres, je me retirai alors subitement du sexe de l’infirmière pour m’enfoncer profondément dans celui d’Anne qui poussa un hoquet de surprise. Je me remis alors à la prendre vivement en levrette en admirant l’expression de Flora qui me contemplait le souffle court alors que notre amante gémissait de tout ce qu’elle pouvait entre nous.
Tout aussi soudainement, je me retirai de la psychologue pour plonger de nouveau mon membre dans le vagin de Flora, la baisant avec force alors que je sentais ses chairs se resserrer de plus en plus. Surexcitée par la situation, je sentis ses doigts caresser vivement son clitoris alors que j’allais et venais profondément en elle, renforçant ses gémissements avant de ressortir et de pénétrer le sexe d’Anne à son tour. Je prenais la psychologue avec force quand subitement, Flora se mit à frémir et à pousser de petits cris en dessous de nous, se portant jusqu’à l’orgasme avec un large sourire aux lèvres. Tandis qu’elle reprenait son souffle avec une expression d’intense satisfaction sur le visage, je me rapprochai d’Anne qui se tourna pour m’embrasser tendrement. Nos langues se rencontrèrent et je lui caressai les seins, la plaquant contre moi alors que je continuais à aller et venir en elle pour notre plus grand plaisir.
— Tu peux jouir en moi si tu veux, me murmura-t-elle entre deux baisers.— Non ! s’exclama soudain Flora entre deux soupirs de plaisir, jouis en moi !
Sur ses mots, je sentis une main se faufiler jusqu’à mon membre et me repousser du sexe d’Anne, qui eut un hoquet de surprise. Immédiatement, les doigts de Flora s’enroulèrent autour de mon membre et je me laissai guider vers le bas, jusqu’à ce qu’elle n’enfonce ma bite en elle. Surexcité, je repris mes mouvements de va-et-vient, tout en continuant à caresser les seins de la psychologue que j’embrassais tendrement dans le cou. Je pouvais sentir toute sa frustration et son désir alors que mon sexe était profondément enfoncé en notre amante et ne put m’empêcher de m’amuser de la « compétition » qui naissait entre les deux femmes. Je devinais bien sûr que ce n’était pas juste pour le plaisir de sentir mon sperme en elles, mais plutôt pour ce qui suivrait cette éjaculation avec mon don...
— Vous êtes sûres d’en avoir envie les filles ?— Oui, répondit Anne le souffle court.— Oui ! Oui ! s’exclama à son tour Flora entre deux gémissements.
La simple perspective de ce qui allait suivre après mon orgasme en l’une d’elles suffit à faire exploser encore mon excitation qui atteignait déjà des sommets. Immédiatement, je me retirai de Flora pour enfoncer mon membre dans le sexe d’Anne, dont les gémissements reprirent de plus belle. Elle était si serrée que je la devinais prête à jouir de nouveau et je me mis alors à faire des va-et-vient très rapides en elle, en serrant ses fesses entre mes doigts. A ce stade, je découvris rapidement que j’étais moi aussi proche de mon second orgasme et maintins donc le rythme. Je glissai mon pouce jusqu’à ce qu’il entre doucement dans son cul, la faisant lâcher un cri de plaisir alors qu’elle embrassait langoureusement Flora que j’entendais se masturber en dessous de nous.
Bientôt, le plaisir gonfla jusqu’à finalement exploser et je sentis ma bite tressauter deux fois, projetant de longs jets profondément dans le sexe d’Anne qui poussa un gémissement plus fort que les autres. Immédiatement, je me retirai d’elle, projetant mon troisième jet de sperme sur les mains de Flora, avant de finalement la pénétrer à son tour et de lâcher ce qu’il me restait de sperme en elle. Le souffle court, je demeurai enfoncé en elle et m’appuyai sur le dos de la psychologue pour reprendre ma respiration, tandis que les deux femmes échangeaient un long et intense baiser.
Cette fois-ci définitivement épuisé, je finis par me laisser tomber sur le matelas à leur côté, où je les contemplai sans pouvoir rien faire. A leurs sourires, je devinais que mes amantes avaient passé un bon moment et semblaient satisfaites de comment j’avais fini. Tout en continuant de s’embrasser, je les vis se caresser mutuellement leurs clitoris, jusqu’à atteindre de nouveaux orgasmes qui ne tardèrent pas à arriver...
Diffuse en direct !
Regarder son live