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Un retour chaleureux

Chapitre 15

Travesti / Trans
J’étais si fatigué que j’avais dû m’assoupir. Lorsque je me réveillai, il commençait à faire sombre dans la chambre et mes deux amantes s’étaient endormies l’une contre l’autre. Je sentais contre moi le corps nu de Flora qui respirait paisiblement et je m’écartai donc très prudemment pour ne pas la réveiller et me lever du lit. Suite à tout ce que nous venions de faire, je me sentais un peu courbaturé, mais aussi heureux après le plaisir que j’avais pris avec mes collègues. J’avais l’impression d’être sur un petit nuage, mais comme ma vessie se rappelait à mon bon souvenir, je pris silencieusement la direction de la salle de bain.
Après avoir fait ce que j’avais à faire, je commençai à me laver les mains quand je vis la porte derrière moi s’ouvrir dans la glace. Anne s’avança derrière moi et je vis apparaître le visage de mon amante qui appuya son menton contre mon épaule avant de se mettre sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur mon cou. Elle me serra alors dans ses bras pour m’enlacer et je tressaillis en sentant soudain une bosse contre mes fesses !
Passé la surprise, je souris en comprenant que ma « manœuvre » de tout à l’heure avait porté ses fruits et qu’Anne avait bénéficié de mon don. La psychologue caressa mon ventre de ses mains et tout en déposait de petits bisous sur mon cou, elle appuya contre moi le pénis qui était apparu à la place de sa vulve. Son membre était terriblement dur et semblait assez imposant, si bien que je ne pus m’empêcher de frissonner en la sentant le frotter contre mon cul. Je me laissai aller à ses caresses, tandis que sa main droite descendait sur mon sexe pour commencer à le branler.
— Je vois qu’on avait une idée en tête quand tu m’as demandé de jouir en toi ! murmurais-je en soupirant, tu veux que je me change en femme ?— Non... Je veux te prendre comme ça !
Je me mordis les lèvres et je me dérobai alors à ses caresses pour me retourner vers elle et l’embrasser tendrement. Je pris son membre entre mes doigts et eus la surprise de sentir à quel point il était imposant ! N’y résistant pas, je me mis alors à genoux et léchai son nouveau sexe avec tendresse avant de l’appuyer contre mes lèvres. Sa bite avait à la fois une odeur forte dont la virilité se disputait à ses odeurs féminines, ce qui lui donnait un air obscène et m’encouragea à l’enfoncer dans ma bouche, la laissant emplir mon palais. Je commençai à doucement la sucer et mon amante se mit à gémir du même ton que quand on lui caressait auparavant son clitoris. Je sentis ses mains passer dans mes cheveux alors que je me mettais à la pomper à mouvements lents, passant mes mains sur ses hanches et ses fesses sans oser l’enfoncer plus loin dans ma bouche tant sa bite était imposante.
Son sexe semblait devenir plus dur et instinctivement, Anne commença à faire de petits va-et-vient dans ma bouche.
— C’est si bon ! souffla-t-elle, je comprends que vous aimiez ça autant !
Je lui adressai un petit sourire amusé, puis glissai à nouveau sa bite dans ma bouche, la pompant avec ardeur. Mais au bout de quelques secondes, mon amante me repoussa tout en douceur et le souffle rendu court par l’excitation.
— Attends stop ! Je ne vais pas tenir...
Je compris sans mal où elle voulait venir, je me relevai donc et l’embrassai avec tendresse avant de me retourner. Je me penchai sur le lavabo, puis crachai dans ma main avant de me lubrifier généreusement le cul. Anne attendit patiemment que je m’appuie sur le lavabo pour me pencher davantage, puis je la sentis timidement passer sa bite le long de ma raie. Ses gestes étaient malhabiles et hésitants, si bien que je décidai de finalement lui donner un coup de main en attrapant son membre pour le diriger vers mon anus. Je la sentis s’appuyer sur mon trou du cul, imposant une pression qui devenait de plus en plus forte, jusqu’à ce que je lâche un petit hoquet de surprise quand sa bite commença à subitement s’enfoncer en moi. Je me mordis les lèvres alors que mon anus s’ouvrait peu à peu pour céder le passage à sa bite, qui m’emplit avec une sensation de déchirement qui devint étrangement satisfaisante au bout de quelques secondes.
— Aah, ta bite est énorme ! lâchais-je subitement.— Ça va ? Tu veux qu’on arrête ?— Non non, c’est bon aussi...— Pour moi aussi ! Ton cul est si serré !
Sur ces mots, elle commença à esquisser un petit mouvement qui me fit gémir de douleur avant de m’arracher un soupir de plaisir. Il fallut qu’elle entame quelques va-et-vient pour que mon cul ne s’habitue vraiment à cette intrusion et à partir de là, la sodomie commença à vraiment devenir jouissive. A chaque fois qu’elle s’enfonçait en moi, je sentais ses couilles venir frapper les miennes et mes chairs s’écarteler davantage sur son passage. Toutefois, la douleur se faisait peu à peu de plus en plus lointaine et ses mouvements en moi devenaient un massage intense et terriblement excitant. Il y avait en effet quelque chose de fort à se faire ainsi sodomiser par une femme dont la bite était de chair et à l’entendre gémir de plaisir de sa douce voix. Peu à peu, elle accélérait le rythme qui se faisait de moins en moins doux, mais avec un aspect si jouissif que je sentais mes jambes déjà faiblir.
— Tu veux qu’on se mette ailleurs ? Me demanda-t-elle.— Oui... Allons sur le canapé...
Le souffle court, je le sentis se retirer de moi et me laisser un peu d’espace pour me redresser. Mon cul ouvert me faisait une drôle de sensation et je me sentais déjà impatient d’avoir à nouveau sa bite en moi. Je l’embrassai donc tendrement, puis l’entraînai jusqu’au salon où je m’allongeai sur le canapé, puis mis un petit coussin sous mes fesses avant d’écarter les jambes. Avec un petit sourire excité, sans doute à l’idée de se retrouver de l’autre côté d’un classique missionnaire, Anne s’installa à son tour sur le canapé, puis dirigea son vers mon cul, dans lequel elle s’enfonça sans le moindre mal.
Je poussai un profond soupir de plaisir, puis empoignai ma bite pour commencer à doucement me masturber devant elle, tandis que la psychologue reprenait sa sodomie à un rythme soutenu. Elle se pencha sur moi et m’embrassa avec fougue, portant sa langue à la rencontre tandis qu’elle me baisait avec une expression d’intense satisfaction sur le visage. Pour ma part, je prenais mon pied à me faire dominer ainsi et plus encore quand elle chassa ma main pour empoigner mon sexe avec délicatesse avant de reprendre ma masturbation là où je l’avais laissée. Je me mis alors à respirer de plus en plus fort, incapable de retenir mes gémissements de jouissance alors que je me demandais combien de temps je pourrais tenir à ce rythme. Je profitai de mes mains libres pour lui caresser les seins alors qu’elle continuait à me sodomiser avec force. Je lui malaxai la poitrine et lui tirai les tétons en guettant ses réactions et devinai qu’elle était tout aussi proche que moi de l’éjaculation.
Elle accéléra subitement ses mouvements sur ma bite, me branlant à toute vitesse alors qu’elle me prenait maintenant sauvagement. Mon cul semblait devenir brûlant sous ses va-et-vient et une pression monstrueuse montait au creux de mes reins. Subitement, Anne se mit à gémir plus fort et lâcha mon sexe pour m’attraper par les hanches afin de me baiser encore plus vite. Avant même que je n’aie pu reprendre ma bite en main, je sentis soudain un orgasme foudroyant me frapper, m’immobilisant dans un grand cri alors qu’un flot de sperme coulait de mon sexe.
Mes oreilles se mirent à siffler alors qu’une vague de plaisir me saisissait au point que je me sente engourdi. Anne continuait à aller et venir vivement dans mon cul, mais je la sentais maintenant à peine tant mon orgasme occupait tous mes sens. Puis tout à coup, elle eut un grognement et se mit à gémir alors qu’elle jouissait à son tour, me remplissant les entrailles de sperme. Peu à peu, ses mouvements ralentirent, jusqu’à ce qu’elle s’immobilise au plus profond de mon cul. Ma collègue se pencha alors sur moi et m’embrassa tendrement, appuyant ses seins couverts de sueur contre ma poitrine, tandis qu’elle plongeait sa langue dans ma bouche.
Notre baiser dura quelques minutes, le temps que nous nous remettions de nos émotions. L’orgasme que j’avais eu était si fort qu’il me fallut un moment pour me remettre, d’autant que mon bas-ventre était agité d’étranges frissons inhabituels, mais pas déplaisants. Anne se recula et retira son membre de mon cul, puis lorsqu’elle s’écarta, je ressentis une étrange sensation de vide qui me fit soudainement me redresser. J’écarquillai alors les yeux de surprise en découvrant que si j’avais gardé la quasi-totalité de mon corps masculin, ma bite avait quant à elle subitement au profit d’une jolie petite vulve couverte d’humidité !
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