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Retour du fils

Chapitre 2

Inceste
Après quelques années d’absence mon frère était donc revenu. Et ma mère avait replongé directement : elle avait recommencé à coucher avec lui, dès la première soirée. Plus que jamais elle était sous son charme, admirative de sa carrure musclée et de ses dons en matière amoureuse. Le soir, après que tout le monde se soit retiré dans sa chambre, Léo vint la rejoindre. Et moi, discrètement, je le suivis. Là où la chose était sympathique, c’était que Léo se débrouillait toujours pour laisser la porte de la chambre légèrement entre-ouverte pour me faire profiter du spectacle. Ca l’amusait que je les mate.
— Tu es mon frère, je n’ai rien à te cacher. Ca me fait plaisir de partager ça avec toi. Maman est tellement bonne ! J’espère bien la convaincre un jour de te laisser te joindre à nous !
Ma mère, trop occupée à le satisfaire, ne remarqua pas ma présence, et je ne perdis pas une miette du spectacle. Je pus constater à quel point elle aimait Léo, s’offrait à lui avec désir... En bon amant, il commença à la caresser, promenant ses mains sur tout son corps, ses cuisses, sur ses seins, remonta sa chemise de nuit, enleva sa culotte. Elle se retrouva nue. Il la doigta avec précision, écartant ses lèvres, jouant avec son clitoris. Dans mon coin, je me délectais de voir tous les détails de sa vulve ouverte. Bien sûr je ne pus m’empêcher de sortir ma queue pour me masturber.Parfois ma mère s’inquiétait :
— Léo, on ne devrait pas fermer la porte ? Si ton frère nous voyait...— Ça ne craint rien maman. Maxime dort comme une masse. Tu le sais, il a toujours eu un sommeil très lourd...
Ma mère n’insista pas. Elle avait envie d’amour. Toute admirative de la belle queue de son fils, elle la prit dans la bouche et la suça avec délectation. Il mit ses mains sur sa tête, dans ses beaux cheveux blonds et il la poussa à avaler sa bite encore plus profondément. Puis il lui demanda de s’allonger sur le dos. Il écarta ses jambes et il vint au-dessus d’elle pour la pénétrer. Il la baisa ainsi sous mes yeux, dans plusieurs positions, par-devant, par derrière. C’était superbe.Après l’amour, Léo défendit mes intérêts :
— Et si on demandait à Maxime de nous rejoindre, de temps en temps ?— Tu es fou Léo ? C’est ton frère ! Je ne peux pas faire l’amour avec lui !— Et pourquoi pas ? Tu le fais bien avec moi ! Il est bien membré lui aussi, tu sais...— Non, il en est hors de question Léo. J’ai déjà des remords de le faire avec toi... Je ne vais pas me rajouter encore un problème.
Elle ne céda pas. Léo eut beau utiliser tous les arguments, elle resta bloquée sur l’idée qu’il était hors de question de faire quoi que ce soit de sexuel avec moi. Je fus un peu déçu mais je ne pouvais pas reprocher à Léo de ne pas y mettre du sien. Un jour il vint dans ma chambre. Il ferma la porte et me parla à voix basse.
— J’ai une idée Max. Mais d’abord il faut que je vérifie un truc.— Ha bon ? Quoi ?— Tu me ressemble pas mal au niveau carrure, on a la même taille, on fait le même poids. Mais fais voir ta bite.— Hein ? Mais pourquoi ?— Il faut que je voie si on se ressemble à ce niveau aussi.

Assez interloqué je baissai mon pantalon et sortis ma queue. Léo eut l’air satisfait.
— Pas mal. Il faudra juste te raser les poils, comme moi. Et il y a autre chose qu’il faut que je vérifie...
Il s’avança vers moi et prit mon sexe dans la main.
— Léo qu’est-ce que tu fais ?— Je vérifie qu’elle est aussi grosse que la mienne lorsqu’elle est en érection. — Tu as besoin de la toucher pour vérifier ça ?— Tu veux baiser maman, oui ou non ? Alors laisse moi faire. Pense à elle, à ses gros seins, à sa chatte...
Il commença des mouvements masturbatoires, laissant aller sa main tout le long de mon sexe. Je trouvais assez bizarre de me faire masturber par mon propre frère. Mais je fermai les yeux et j’imaginai ma mère devant moi, accroupie nue, en train de me sucer. Bientôt je commençai à bander assez dur. Les mouvements de Léo se trouvaient être très agréables. Je constatai qu’il savait y faire, et qu’il prenait même un certain plaisir. (j’eus plus tard la confirmation qu’en parfait libertin il ne s’arrêtait pas à ce genre de détails, et que quelques attouchements bisexuels, avec des mecs, ne l’effrayaient pas). Il s’arrêta cependant au bout de quelques minutes.
— C’est bien ça frangin ! Je m’arrête avant de trop t’exciter, tu vas finir pas me jouir dans la main. Ta queue est belle et tu bandes bien. Ça fera l’affaire.— Léo, tu penses à quoi ?— Tu vas prendre ma place, ce soir.— Comment ça ?— Maman n’y verra que du feu. Viens ce soir dans sa chambre. Tu te cacheras comme d’habitude derrière la porte et quand je te ferai signe tu rentreras. Mais surtout ne dit pas un mot, il ne faut pas qu’elle te reconnaisse !
Le soir même je me postai derrière la porte entre-ouverte de la chambre de ma mère et je pus une fois de plus admirer le corps allangui de ma mère, nue sur son lit, qui attendait Léo. Celui-ci se déshabilla puis descendit entre ses jambes pour lui brouter le minou. Après un moment de léchouilles diverses, il se redressa et lui proposa de lui bander les yeux, puis de l’attacher. Ma mère ne sembla pas surprise par cette proposition. Elle se laissa donc faire. Par l’embrasure de la porte je regardai Léo lui attacher fermement les mains aux barreaux du lit et lui mettre un foulard sur les yeux. Il me fit alors signe de venir. Sur la pointe des pieds, je m’avançais dans la chambre. Ma mère, allongée sur le dos, les jambes grandes écartées, s’impatientait.
— Léo, qu’est-ce que tu fais ? Viens me prendre, j’ai trop envie !
Léo me fit alors signe de retirer mon caleçon et m’installer entre ses jambes. Son stratagème était génial. Ma mère ne pouvait ni me voir ni me toucher, mais moi je pouvais faire ce que je voulais, la caresser, la pénétrer, lui faire subir tout ce que je voulais, tout ce dont je rêvai. Et elle ne saurait jamais que c’était moi.Je m’avançais donc entre ses jambes. Fasciné par sa chatte, je ne pus m’empêcher de la caresser et glisser deux doigts à l’intérieur. Je goûtai son jus intime : il était délicieux. Alors j’orientai mon sexe vers l’entrée de sa vulve. Sentir mon gland au contact des lèvres de sa vulve était délicieux. Je poussai un peu encore. Mon gland disparu entre ses lèvres, comme aspiré à l’intérieur. Ma mère poussa un soupir de soulagement.
— Ouiiii Léo, c’est toujours si bon de te recevoir en moi !
J’étais un peu gêné de la tromper sur mon identité. Un peu frustré aussi qu’elle pense que c’était Léo qui s’occupait d’elle si bien. Mais après tout peu importe. L’important était de me retrouver tout au fond de la grotte chaude et humide de son sexe. Et c’était délicieux. J’entamai des mouvements de va-et-vient absolument divins. J’allais tout doucement pour bien profiter de ce moment incroyable, pour bien sentir chaque recoin du vagin de ma mère.
En même temps je la regardai. Qu’est-ce qu’elle était belle ! Je comprenais Léo d’être aussi épris de son corps. Elle avait des seins splendides, gros et ronds, que je pris dans mes mains. Ils étaient très fermes, et sa peau d’une douceur incomparable. Mon sexe au fond d’elle, je bougeais en elle lentement, suavement. Elle continuait de penser que c’était mon frère qui s’occupait d’elle, et ne semblait pas voir de différence entre lui et moi. Il est vrai que nous nous ressemblions beaucoup avec Léo, physiquement mais aussi dans les gestes, les attitudes...
A côté du lit, Léo me regardait avec intérêt. Il souriait, heureux de voir que son stratagème marchait parfaitement. La situation semblait beaucoup l’exciter. Son sexe était dur, tendu, très beau, et il se masturbait tranquillement en nous regardant. Il me fit signe de continuer, levant son pouce en signe de "big up ! "...
Rapidement, après encore quelques succulents va-et-vient dans la fantastique matrice maternelle, je sentis la jouissance arriver. Je me sentais trop excité pour vraiment durer longtemps. Impossible de me retenir. J’essayai de me concentrer, penser à autre chose, mais dès que mon regard croisait à nouveau le magnifique corps de ma mère, je croyais défaillir. A bout de nerf, je ne pus retenir un râle de plaisir, annonciateur de la jouissance.
— Non, pas déjà ? se plaignit ma mère. D’habitude tu es plus endurant Léo...
Ignorant sa déception, je me lâchai à l’intérieur d’elle. Une quantité impressionnante de sperme l’inonda. Ca ne semblait jamais s’arrêter. Je restai quelques minutes couché sur elle, à profiter de cette incroyable jouissance.Lorsque je sortais de son vagin, je m’allongeais à côté d’elle pour me remettre de mes émotions. Léo me regardait en souriant. Il semblait heureux, satisfait de ma performance, bien qu’elle fût assez courte. Il me fit signe ensuite de m’en aller. Je descendais du lit et il prit ma place...
— Je suis désolé maman, dit-il. Je suis venu un peu vite aujourd’hui, je sais. Mais ne t’en fais pas, j’ai encore envie. Tu m’excite tellement !
Il s’installa à son tour entre ses jambes et il rentra son sexe dans la chatte ouverte de ma mère... Elle était ravie.
— Ouh là ! Mon chéri, tu recommences déjà ? Tu es très en forme aujourd’hui !— Oui maman, tu sais que j’ai toujours envie de toi !
Discrètement je m’éclipsai de la chambre. Je restai cependant derrière l’embrasure de la porte pour voir Léo terminer sa besogne. Il lui enleva son bandeau et détacha ses liens. Ils échangèrent alors un long baiser passionné. Puis il se remit à la baiser avec énergie. Je le regardai s’affairer avec énergie sur ma mère, la bousculer dans tous les sens. Il était vraiment impressionnant, très efficace. Ma mère exulta de joie. Il la fit jouir plusieurs fois, comme à son habitude, en la baisant dans plein de positions variées.Après l’amour ils s’assirent l’un à côté de l’autre, ma mère avait sa tête sur le ventre le Léo qui lui caressait les cheveux.
— C’était bon, maman je me suis régalé...— Moi aussi mon chéri. Comme d’habitude...— Il n’y a qu’une chose que je regrette, c’est que Maxime ne soit pas là, avec nous. Il aimerait tellement ça !
Ma mère le regarda avec un air perplexe.
— J’ai réfléchi, je suis d’accord mon chéri.— Comment ?— Je suis d’accord si tu veux demander à ton frère de se joindre à nous la prochaine fois. Je vous aime tous les deux, j’ai envie de partager ce bonheur avec tous les deux...
Derrière ma porte je n’en croyais pas mes oreilles. Allai-je enfin pouvoir faire l’amour à ma mère au grand jour ?
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