Le retour d’Hélène et le garçon, 5 Mon fils Eric a fait l’amour à Aurélie, la fille de Laure, ma maîtresse.De retour à la maison, il vient de me sodomiser pour concrétiser son amour pour moi. Les jours passent et Eric voit très souvent Aurélie la fille de mon amie, amante, maîtresse, Laure. Pour ma part, j’échange de nombreux messages coquins avec cette dernière. Désormais, les vacances sont finies pour de bon. Eric est parti en cours pour sa première année de fac. La maison est vide et je me sens esseulée. Je m’affaire au ménage sans conviction, un peu morose. Je me décide à sortir pour aller faire quelques courses et passer à la pharmacie. En plus de préservatifs et de gel lubrifiant dont Eric fait beaucoup usage en ce moment avec moi et sa compagne, je prends un test de grossesse. Je sais qu’il est trop tôt pour que ça soit pertinent, mais ça me rassurera un peu. Le test est négatif et j’ai envie de crier de joie. Il faut que je partage mon plaisir avec quelqu’un et c’est à mon amante, que je pense. Je lui téléphone sans tarder et, bien entendu, elle est ravie de mon appel.« C’est super, Hélène ! Si tu veux, tu peux passer à la maison, Aurélie est en cours, nous avons du temps devant nous … Ca te dit ?»« Ben, oui, d’accord … J’arrive au plus vite ! » Elle a posé sa nasse et je m’y précipite. Non, pas tout à fait, je veux être belle pour elle. Je m’applique donc à me préparer, à mettre de jolis dessous, un tailleur, de jolis escarpins. Tous ces préparatifs m’émoustillent et, sur la route, je sens que je mouille déjà ma culotte d’impatience.Arrivée chez Laure, cette dernière m’accueille dans une tenue très moulante. Sa silhouette est si belle !Une fois la porte refermée, je me jette dans ses bras. Elle m’embrasse divinement avec toute la délicatesse qu’une femme peut donner. Je suis aux anges.« Et bien Hélène, tu es bien chaude à ce qu’on dirait ! Mais, avant de passer aux choses sérieuses, nous allons préparer le déjeuner, qu’en penses-tu ? »A contrecœur, je l’accompagne à la cuisine où les aliments à préparer sont sur le plan de travail.
Avec une certaine malice, elle me tend un concombre à éplucher.Elle me remarque songeuse et me dit :« Ca te fait penser à ton fils, pas vrai ? »Je me sens prise en flagrant délit et culpabilise de manipuler ce légume, en pensant effectivement au sexe d’Eric, alors que je suis là, avec ma maîtresse. Elle m’enlace par derrière, pose ses mains sur mes seins, en effleure les tétons tout en me bisant le cou. Elle me susurre :« J’ai ce qu’il faut, ne t’inquiète pas ! »Je me demande bien ce qu’elle veut dire par là, mais pas longtemps.Ses mains glissent sur ma taille, mes hanches, convergent vers ma chatte qu’elle presse de tous ses doigts, avant de me donner un grand coup de pubis sur mon derrière, puis un autre, mimant ainsi une pénétration masculine plutôt brutale.Les quelques gestes qu’elle vient de pratiquer sur mon corps m’émeuvent et je me cambre pour qu’elle continue. Au lieu de ça, elle me donne une claque sur la fesse qui me surprend, mais me fait minauder. Elle ajoute, en souriant et en me désignant le concombre :« Aller, au travail maintenant » Je mouille atrocement et j’ai du mal à me concentrer à la tâche, surtout qu’elle alterne le chaud et le froid, tantôt elle me caresse la nuque, tantôt elle me claque une fesse. A chaque fois, je me soumets avec plaisir sans savoir ce qu’elle va faire, douceur ou douleur ? Ma tension diminue lorsque nous passons à table. Elle se révèle charmante, ensorceleuse. Ses regards me brûlent au fond de l’âme. J’ai envie d’elle, je veux être dans ses bras, faire l’amour tout de suite !!!Mais non ! Elle prend tout son temps pour me faire languir un peu plus.Après le repas, elle déguste son café et sa cigarette alors que je lui caresse le genou. Elle me demande :« Dis moi, Hélène, as-tu envie de découvrir des plaisirs nouveaux ? »« Je … Je crois que oui ! Tu sais, j’ai l’impression de renaître depuis que j’ai couché avec Eric. Toute nouveauté est bonne à découvrir, et puis avec toi … Je crois pouvoir tout accepter ! »« Bien ma chérie ! Allons dans ma chambre maintenant »… Sur place, elle m’embrasse et je fonds dans ses bras, mais notre baiser ne dure pas. Avec délicatesse, elle ouvre mon chemisier qu’elle ôte, puis fait glisser ma jupe au sol.Elle décroise mes bras collés sur ma poitrine et me dit :« Tu es très sexy comme ça ! Maintenant, enlève ton soutien-gorge et ta culotte. »Je m’exécute et le parfum de ma cyprine embaume déjà l’atmosphère. Elle me prend la main et me guide jusqu’à une armoire qu’elle ouvre, devant mes yeux ébahis. C’est un véritable sex-shop !Il y a des accoutrements en cuir, des godemichés, des menottes, des fouets et plein d’autres objets dont j’ignore l’usage. « Ca te sers à quoi tout ça ? »« Il y a des femmes que j’ai connues qui aimaient m’être soumises et je les satisfaisais. Je crois que c’est dont tu as envie aussi et qu’il y a des choses qui vont te plaire là dedans. Tu veux jouer ? Prends ce que tu veux …»« Je … Je ne sais pas ! » Machinalement, je touche un gode très réaliste muni d’une petite poire en caoutchouc et m’interroge sur son usage. J’effleure également un martinet, me questionne sur de fines tiges en métal en forme de V.Je n’ose plus rien toucher car Laure a ramassé les objets auxquels je me suis intéressée. « Tu veux être une fille soumise ? Qui va se faire punir parce qu’elle n’est pas sage ?»Elle me propulse dans un fantasme secret. Oui, je veux qu’elle m’initie !J’ai envie de le lui hurler, mais c’est d’un hochement de tête que j’acquiesce. Je suis debout devant elle, à attendre mon sort.« Mets les mains derrière la tête ! »J’expose ma poitrine à son regard et elle y plonge ses lèvres. Elle me suçote les tétons que je sens gonfler de plaisir. Je tremble sur mes jambes à chaque coup de langue. C’est atrocement bon, mais elle s’interrompt. Elle s’affaire alors avec le V en métal qu’elle serre sur mon téton en coulissant un petit anneau. La douleur est forte ! Elle renouvelle l’opération sur l’autre sein et une larme me perle à l’œil.« Ca va ma chérie ? Tu vas t’habituer ! Ecarte les jambes maintenant ! ». C’est un ordre qu’elle me donne ! J’ouvre les jambes, totalement soumise à mon amour. Elle me fait pencher en avant et m’introduit le gode qu’elle à lubrifié. Ca glisse tout seul, mais je le sens bien passer quand même !Quand elle manipule la poire, je me sens progressivement envahie. J’ai l’impression d’être distendue, d’avoir un ballon en moi. Je n’ai pas le temps d’y penser qu’un claquement suivi d’une vive brûlure gagne ma cuisse, une autre ma fesse. Elle me flagelle avec le martinet!Par réflexe, je tente d’y échapper et tombe sur le lit où je me tortille. Elle s’arrête, redonne quelques coups de poire, avant de faire cingler à nouveau les lanières sur mes fesses en feu.Je hurle, mais c’est de plaisir surtout quand elle me traite de tous les noms en me châtiant.J’oublie toutes les douleurs quand arrive un orgasme surpuissant. Durant mon extase, elle cesse de me frapper pour venir me lécher l’anus. C’en est trop !!! Quand je redescends du septième ciel, je la vois quitter ses bijoux et oindre sa main. Elle me retourne sur le dos, dégonfle le gode et l’enlève. Je me sens toute vide, mais pas longtemps. Ses doigts m’explorent, tous ses doigts ! Elle pousse, je me sens me distendre et sa main entière s’enfonce inexorablement en moi. « Oh ! Laure, qu’est-ce que tu fais ? »« Je vais te fister ma chérie »Sa main est totalement entrée et s’active partout en moi, j’ai l’impression qu’un être vivant est dans mon vagin. Elle me pilonne, me taquine les parois, s’enfonce à fond, elle est partout à la fois. Elle porte ses lèvres sur mon clitoris et, avec toute la science dont elle dispose, me fait jouir, le mot est faible tant je perds toute notion du temps et de l’espace. Je me sens totalement vidée après ces orgasmes. Quand elle me retire les pinces aux seins, ma douleur oubliée se réveille, alors qu’également, mon derrière brûle atrocement.Elle s’approche un peu plus et me dépose une bise sur les lèvres.« Ca va, ma chérie ? Je ne t’ai pas fait trop mal ? »« Ouh là là ! Atrocement ! Et comme nouvelles expériences, je suis servie ! ».Elle me retourne tendrement sur le ventre et me badigeonne le fessier d’un baume qui éteint les brûlures et estompe, tout autant, les marques du martinet. Je la laisse faire alors qu’elle me parle : « Nous ne sommes pas obligées de faire ça à chaque fois … J’aimerais aussi te faire découvrir plus la sensualité, la douceur, les charmes d’une femme pour une autre. J’aimerais te faire connaître le tantrisme, cette façon de jouir pendant des heures. Un tas de choses que les garçons ne savent pas faire ! » « Tu exagères Laure, mon fils sait être doux aussi. D’ailleurs pour tout te dire, il en ‘pince’ pour toi et je suis même disposée à te le prêter si tu veux savoir de quoi il est capable »« Pour toi, Hélène, je le laisserais me caresser, mais pas plus ! Et puis, avec Aurélie, ils ont l’air de bien s’entendre, tu ne trouves pas ?» J’éprouve de la jalousie envers sa fille et me raisonne. Aurélie est de son age après tout. De plus, il continue à m’honorer tous les jours. Il a la santé mon fiston ! Je réponds enfin :« Si … Tu as raison. Ils forment un couple charmant. Mais j’aime mon fils et tiens à lui, tu comprends ? »« Oh là là ! Tu parles comme une belle mère ! Elle n’est pas bien ma fille ? D’ailleurs elle m’a avoué qu’elle aimerait sceller nos unions familiales comme il se doit»« C’est-à-dire ?? »« Elle, Eric, toi et moi, si tu le souhaites, bien sûr ! »« Tous les quatre ? Les mères et leurs enfants dans une totale débauche lubrique, quel scandale ! Mais … Je n’y vois aucune objection, on fait ça quand et où ? »« Eh bien ma coquine, tu t’es bien dévergondée ! Tu ne penses plus qu’à ça, maintenant ! »« Ouiiii !! »« Et moi qui voulais te demander en mariage ! »Si le ton semble enjoué, je remarque dans ses yeux qu’elle est sérieuse en disant cela. Même si la loi l’autorise désormais, c’est trop nouveau pour moi qui aie toujours vécu avec un homme. D’abord Pierre, mon futur ex-mari, puis Eric mon fils.D’un autre coté, Laure et moi sommes amies depuis longtemps et maintenant, j’éprouve une forte attirance pour elle. Pas seulement sexuelle, non, plutôt une fusion d’âmes comme celle que j’éprouve avec mon fils. Mais ce dernier va mûrir, me quitter un jour pour fonder un foyer avec Aurélie ou quelqu’un d’autre. Elle ajoute :« Je suis sérieuse, Hélène, en demandant ta main. J’ai conscience que ça peut te paraître précipité, voire brutal, mais je t’aime depuis tant d’années ! »« Euh, c’est vrai ? Mais laisse-moi le temps d’y réfléchir… »« Au fait ma chérie, je crois pouvoir affirmer que tu n’es pas enceinte de ton fils ! »« Pourquoi ??? »« Regarde, je crois que tes règles arrivent ! »
