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Retour à l’improviste

Chapitre 2

Raconté par lui

Hétéro
Milieu d’après-midi, on sonne à la porte. Impossible d’avoir la paix ! Incapable de me concentrer efficacement sur mon travail aujourd’hui, je suis rentré à la maison après le déjeuner. Pour faire simple, je suis mal baisé.
Hier après-midi, Julie, mon épouse, m’a téléphoné pour une sombre histoire de courses à faire alors que j’étais débordé de travail. La discussion a dégénéré connement et je lui ai demandé sèchement d’arrêter de me prendre la tête. Elle m’a raccroché au nez.
En rentrant, dans le but de me faire pardonner et de nous réconcilier agréablement, j’ai commencé à l’entreprendre en l’embrassant tendrement tout en laissant balader amoureusement mes mains pour ne laisser aucun doute sur mes intentions... et je me suis fait jeter comme un malpropre !
Du coup, j’ai remballé ma fierté et mon érection et je me suis réfugié dans le mutisme. Je me suis couché frustré, j’ai mal dormi et je me suis levé ce matin d’humeur massacrante, avec une bite raide qui, elle aussi, a eu du mal à trouver le repos. Nous sommes partis au travail chacun de notre côté sans avoir échangé un mot.
Je suis d’autant plus à cran que son comportement a contrevenu à nos conventions de couple, mises au point et aménagées au fil des ans pour trouver en permanence un équilibre satisfaisant pour tous les deux dans notre vie amoureuse et sexuelle.
Pour résumer, consciente de mes besoins très supérieurs aux siens en matière de relations sexuelles, et confiante en mon self-control, Julie m’autorise à la prendre à peu près quand je veux de la manière que je veux. Il y a toutefois quelques règles et garde-fous, mais surtout un mot d’arrêt que je m’engage à respecter quoiqu’il arrive.
De mon côté, en plus de satisfaire ses besoins sexuels moins fréquents et plus soft que les miens, je dois lui apporter quotidiennement les marques de tendresse et d’affection que j’ai beaucoup de difficulté à exprimer malgré mon amour pour elle.
Grâce à cet équilibre trouvé ensemble et à nos efforts respectifs, notre couple dure sans qu’aucun des deux ne soit durablement en manque de ce dont il a le plus besoin. Mais hier soir, pas de mot d’arrêt avec les formes, juste un refus sec, une véritable gifle verbale, sur le mode "et puis quoi encore !". Ça n’était jamais arrivé.Prêt à congédier vertement tout importun, j’ouvre la porte vivement... et je me retrouve face à Julie. Ma surprise est grande, car, en général, elle rentre elle aussi beaucoup plus tard du travail. Ingénieurs tous les deux, nous ne comptons en effet pas nos heures, mais nous bénéficions en contrepartie d’une grande souplesse dans l’aménagement de notre temps.
Je ne suis pas au bout de mes surprises quand je constate qu’elle reste immobile et silencieuse sur le pas de la porte, tête baissée, mains croisées dans le dos, jambes légèrement écartées. Je la balaye du regard sans parvenir à dire un mot, un peu stupéfait. Son pull-over moule ses petits seins bien fermes, qui m’apparaissent être libres de toute entrave. Leurs tétons, très proéminents, pointent fièrement confirmant ma première impression. Julie n’a pourtant pas l’habitude de partir au travail sans soutien-gorge. Pas sans collants non plus d’ailleurs en cette saison, mais ses jolies jambes, mises en valeur par une jupe mi-cuisse et des bottes à hauts talons, sont pourtant nues.
Afin de vérifier une intuition naissante sur la signification de cette attitude, je hasarde une main sous sa jupe et remonte le long de l’intérieur de sa cuisse droite jusqu’à son entrejambe. Elle se laisse faire sans broncher. Pas de culotte. Ma main entre directement en contact avec sa chatte. Un doigt inquisiteur s’y immisce sans difficulté, car elle mouille abondamment.
Il semble bien se confirmer que Julie, me sachant à la maison puisque nous avons malgré tout échangé quelques SMS aigres-doux, est rentrée tôt, bien décidée à se faire pardonner. Elle doit donc partager mon sentiment quant à son comportement d’hier. Je ne maîtrise pas un sourire de satisfaction que, heureusement, elle ne peut pas voir avec ses yeux vissés sur le sol.
Du coup, ma colère redescend d’un bon cran, contrairement à ma bite qui, elle, est en train de prendre de la hauteur. Je m’écarte pour laisser entrer Julie. Elle se contente de faire un pas avant de reprendre sa position. Je ferme la porte à double tour derrière elle.

Alors que je m’apprêtais un instant plus tôt à lui relever le menton et à l’embrasser amoureusement avant de l’amener dans notre chambre pour lui faire l’amour passionnément en signe de réconciliation, je décide finalement de profiter de la situation. Je vais laisser libre cours à mes inclinations dominatrices, que je réfrène très souvent malgré les possibilités offertes par nos conventions.
Maintenant positionné derrière elle, je caresse et malaxe sous sa jupe ses fesses qui m’inspirent tant, sans retenue. Puis je les écarte vigoureusement et viens y coller ma bite toujours emprisonnée dans mon pantalon pour bien lui faire sentir la vigueur de mon érection.
Une fois bien calé dans son sillon, je laisse remonter lentement mes mains vers sa poitrine en les passant sous son pull-over. J’en profite pour lui prodiguer des caresses qu’elle n’apprécie pas forcément (griffures légères, agacement du nombril, pincement des tétons) tout en lui mordillant le lobe des oreilles.
Je sens son corps se crisper sous ses attouchements et les efforts qu’elle fait pour maîtriser tout réflexe de refus. Cet acte de soumission me touche.Pour la première fois depuis qu’elle est rentrée, Julie prend la parole et m’annonce d’une voix à peine audible et tremblante :
— Je suis vraiment désolée pour mon attitude d’hier soir et je te présente mes excuses. J’ai bien mérité une bonne fessée.
Alléché par la perspective de pouvoir enfin lui distiller une vraie fessée, je dramatise un peu la situation pour rentrer dans le jeu et lui réponds d’une voix calme, celle qui est la mienne quand je suis vraiment en colère.
— Tu imagines ma frustration depuis plus de 24 heures ? Jamais tu ne m’avais imposé ça.
Julie ne répond pas, mais je sens son corps s’affaisser légèrement contre moi. Je poursuis.
— Tu as effectivement mérité une solide punition, mais je te préviens, ce sera une vraie, pas celle de nos jeux habituels. Elle sera très sévère. Réfléchis bien avant d’accepter.
Je sens le conflit intérieur qui l’agite. Si elle apprécie des séquences de soumission un peu épicées de temps à autre, elle n’a aucun goût pour le masochisme. D’un tempérament fier et indépendant, je suis le seul pour lequel elle accepte d’aliéner, momentanément et dans une certaine mesure, sa liberté... et sa personne. J’ai toujours veillé jusqu’à aujourd’hui à ne pas en abuser, en réfrénant quelque peu mes instincts dominateurs.Après quelques secondes de débat intérieur et d’hésitation, Julie confirme sobrement son accord d’une voix mal assurée.
— C’est OK.
Je me décolle d’elle et je savoure cet instant en la contemplant, un sourire triomphant sur les lèvres. Je prends tout mon temps. Qu’elle est belle ainsi offerte !
— Enlève ta jupe et reprends la position. Et cambre-toi bien.
Elle dégrafe sa jupe avec des gestes maladroits, qui témoignent de son stress. Celle-ci glisse le long de ses jambes pour atterrir sur ses chevilles. Elle l’envoie promener devant elle d’un coup de pied sensuel avant de prendre la pose. Qu’elle est excitante dans cette posture !
Je peux maintenant contempler son cul rond et ferme. L’écartement de ses jambes et la cambrure de ses reins dévoilent sa chatte bien entretenue, maillot épilé très échancré et poils subsistants coupés ras. Je peux aussi entrevoir son petit trou que j’aime tant posséder. Je la laisse mariner ainsi pendant des secondes qui doivent lui paraître une éternité... et j’en profite pour bien me rincer l’œil !
Mais ma bite à l’étroit me rappelle à l’ordre : il est temps de déclencher les opérations. Je saisis Julie par les épaules, la retourne face à moi et appuie fermement pour lui indiquer sans équivoque ce que je veux en guise d’échauffement. Car je compte bien ne pas m’arrêter à une simple fessée, aussi sévère soit-elle.
Fort de nos conventions, quand je souhaite montrer à Julie qu’elle est entièrement à moi, je pratique ce que j’appelle vulgairement un "parcours en trois trous". Pas besoin de faire un dessin, je pense... L’ordre est toujours le même, ne serait-ce que pour des questions d’hygiène : je commence par sa bouche, je poursuis par sa chatte et je finis par son cul pour y jouir.
De même, quand je suis très en manque d’elle (par exemple après une séparation pour raisons professionnelles), je déroule ce parcours en quelques heures, mais en éjaculant en elle à chaque passage, un peu à la manière d’un animal sauvage qui marque son territoire de ses sécrétions. Aussi étrange que cela puisse paraître, Julie apprécie, dans ces circonstances de manque réciproque. Une satisfaction essentiellement cérébrale de s’offrir totalement à moi, mais aussi physique, car je n’oublie pas de m’occuper de son plaisir une fois la première décharge impérieuse passée dans sa bouche.
Sur mon injonction, Julie s’agenouille donc en conservant les mains dans le dos, regard toujours orienté vers le sol. Contrairement à beaucoup d’hommes, paraît-il, je n’aime pas être regardé pendant que je me fais sucer. Elle le sait et ne se hasarderait pas à commettre cette provocation à cet instant. Elle fait tomber pantalon et caleçon sur mes chevilles et se met à l’ouvrage.
Julie n’appréciait pas vraiment cette pratique au début de notre relation. Elle me prodiguait la fellation uniquement quand j’insistais, avec beaucoup de lacunes techniques : manque de profondeur, contact désagréable avec les dents, refus que j’éjacule dans sa bouche, succion maladroite... Mais à force de patience et de pédagogie de ma part, de bonne volonté, d’entraînement et de persévérance de la sienne, non seulement la fellation est devenue une pratique habituelle dont je peux bénéficier à volonté, mais encore Julie est devenue une réelle professionnelle de la chose : maîtrise de la gorge profonde et de techniques variées, éjaculation dans sa bouche... et en plus maintenant elle adore me sucer !
Du coup, je suis devenu exigeant en la matière et je trouve à cet instant sa prestation très en dessous de ce dont elle est capable. Afin de lui faire comprendre que j’attends beaucoup mieux d’elle dans les circonstances présentes, j’empoigne sa tête de mes deux mains et enfonce soudainement ma bite le plus loin que je peux. Surprise, elle contrôle un haut-le-cœur et semble s’étouffer. Je la relâche immédiatement afin de lui rendre l’initiative. Le message semble être bien passé et elle s’applique maintenant : profondeur, succion, va-et-vient, jeu de langue... tout est désormais parfait.
Revers de la médaille : dans l’état d’excitation dans lequel je me trouve, avec la vision de Julie à genoux, cul nu, mains croisés dans le dos en position de parfaite soumise devant moi, je vais devoir écourter cette phase si je veux mener la totalité de mon projet à son terme.
Je lui demande donc de se relever et de prendre appui des deux mains sur la porte d’entrée, bras tendus, torse à l’horizontale, jambes écartées au maximum de ses possibilités, cambrée à fond. Quand elle abandonne ma bite pour se mettre en position, je ne peux malgré tout retenir un grognement de frustration. J’étais si bien dans sa bouche experte.
Julie s’est exécutée. Je prends mon temps pour me déshabiller complètement en contemplant son cul. Le spectacle qu’elle offre est délicieusement indécent, carrément obscène même. Sa chatte, lèvres bien écartées, est luisante de sa mouille. Son trou du cul serré ne peut plus se cacher. Je sens son agacement, son impatience d’en finir.
Je suis désormais complètement nu derrière elle, qui est simplement habillée de ses bottes et de son pull-over. Elle m’offre ses fesses en toute impudeur. De ma main droite, je commence à les caresser. Elles sont douces. J’interromps cette caresse pour lui laisser penser que la première claque va tomber. Je vois son fessier se contracter. Mais au lieu de commencer le châtiment, je reprends la caresse. Nouvelle interruption, nouvelle contraction, nouvelle caresse. Je poursuis ce petit jeu jusqu’à ce que je ne constate plus aucune réaction au retrait de ma main. L’énervement de Julie est désormais nettement perceptible.
La première claque tombe. Surprise, elle sursaute en prenant une inspiration. J’enchaîne immédiatement sur l’autre fesse avant de reprendre la caresse. Je répète cette séquence en augmentant peu à peu l’intensité des claques et en adoptant un rythme irrégulier pour éviter qu’elle ne s’y accoutume.
En cours de séance, je glisse mon majeur gauche dans sa chatte. Elle sursaute à nouveau. Il y a pénétré sans aucune difficulté tant elle est inondée. Avec une certaine perversité, je lui en fais la remarque sur un ton moqueur.
— Dis donc, ça te fait un sacré effet tout ça on dirait !
J’imagine avec délectation Julie rougissant tant de honte que de colère. Mon doigt s’active pendant que la fessée gagne en intensité et que ses fesses commencent sérieusement à se colorer d’un joli rose. Dans cette position, paume de la main orientée, vers le sol, je peux masser vigoureusement son point G. Julie ne réagit pas vraiment. Il faut dire que, même dans des circonstances plus favorables, elle n’a jamais été vraiment fan de cette caresse, qu’elle trouve plutôt désagréable. Et là, j’imagine que toute son attention est très certainement mobilisée par ses fesses.
Du coup, déçu par cette absence de réaction, je sors ce doigt de son fourreau pour l’immiscer d’une seule poussée dans son voisin du dessus, beaucoup plus serré. Bien lubrifié, il y pénètre sans réelle difficulté, mais provoque tout de même un nouveau sursaut. Je poursuis en même temps, toujours crescendo et sans relâche, le supplice des fesses de Julie, qui arborent désormais une belle couleur rouge.
Avant de conclure de façon magistrale cette fessée, je retire mon majeur de son cul et, orientant la paume de ma main vers le plafond, le remplace par mon pouce tout en introduisant mon index dans sa chatte. Une fois les compères en place, j’abats de ma main droite un déluge ininterrompu de claques sur ses fesses, en variant rythme, intensité, lieu d’impact de manière totalement aléatoire. Simultanément, je masse la fine paroi qui sépare le rectum et la chatte par de petits mouvements circulaires de mes deux doigts.
Les muscles du vagin et l’anus de Julie compriment fortement les intrus. Je sais qu’elle serre également les dents pour ne pas me faire le plaisir de montrer sa souffrance et sa rage. Son cul devenu écarlate, comme je n’avais jamais eu l’occasion de le voir, doit désormais lui brûler cruellement. Je n’étais jamais allé aussi loin dans une fessée.
Je finis par interrompre le châtiment et je retire mes doigts. Enfin doit-elle se dire, car elle pousse un discret soupir de soulagement. Tout à mon affaire, j’en avais presque oublié ma bite qui n’a pas quitté la position verticale et qui a une furieuse envie qu’on s’occupe un peu d’elle.
— Reste en position.
Impatient, j’attrape Julie par les hanches et pénètre sa chatte largement lubrifiée d’un coup sec. Nouveau sursaut, de surprise certainement, mais peut-être aussi un peu de désagrément. Sous l’effet de la fessée, l’accès à son vagin s’est en effet considérablement rétréci alors que mon gland d’ordinaire déjà très volumineux et proéminent en érection a atteint des dimensions inhabituelles.
Quelques puissants va-et-vient plus tard, je sens sa croupe s’avancer discrètement vers moi à chaque coup de boutoir, signe que des ondes de plaisir doivent commencer à naître en elle. Il faut dire qu’en temps normal, Julie aime être prise de manière musclée par derrière, à quatre pattes ou debout. Si elle n’atteint pas l’orgasme pas dans ces situations, elle y prend beaucoup de plaisir. Un plaisir cérébral, mais les sensations physiques sont également très intenses selon ses propres dires. Et dans ces circonstances très particulières, l’afflux de sang et la chaleur dans toute la région exacerbent certainement ses sensations.
Mais comme un peu plus tôt alors que j’étais aux anges dans sa bouche, le but n’est pas de jouir dans sa chatte. Pour être en mesure de finir mon parcours, je dois également écourter cette séquence sous peine d’éjaculation incontrôlée et prématurée. Je me retire donc tout aussi brusquement que j’étais entré. Cela arrache un grognement de frustration à Julie, qui espérait sans doute un "happy end"...
Sans lâcher ses hanches, je positionne mon gland sur son anus bien exposé et j’exerce une poussée très appuyée sans lui laisser le temps de réagir. La rigidité de ma bite alliée à sa bonne lubrification à la suite de son passage dans sa chatte détrempée font céder son petit trou pourtant tétanisé. Tout le corps de Julie se contracte subitement. Elle se redresse brusquement en prenant une grande inspiration bruyante.
Pour la première fois depuis le début de la séance, elle tente d’échapper à sa punition et de m’expulser en avançant et en essayant de me repousser avec ses mains. Mais j’accompagne le mouvement et je trouve en la porte, sur laquelle Julie vient buter, une solide alliée de circonstance. J’ai conscience d’aller plus loin que ce qu’elle imaginait en guise de punition, sa proposition initiale ne mentionnant que la fessée, même si j’avais été moi-même évasif.
Je reste immobile en guettant sa réaction. Si elle veut mettre fin à la séance, elle sait qu’elle n’a qu’à prononcer le mot d’arrêt. Elle ne le fait pas. Au lieu de cela, elle entreprend de maîtriser sa respiration pour s’accoutumer à ma présence envahissante.
Julie et moi avons une grande expérience de la sodomie, même s’il m’a fallu beaucoup de temps pour la convaincre de s’y abandonner. Les débuts ont été laborieux, mais, comme pour la fellation, elle y a pris goût au fil du temps. Elle obtient désormais des orgasmes extrêmement intenses dans certaines positions, en accompagnant cette pénétration bien lubrifiée d’une stimulation manuelle de son clitoris. Après plusieurs années de pratique, elle aime aussi que je la prenne par derrière sans préparation particulière en dehors d’une sommaire lubrification avec un peu de salive, à quatre pattes ou debout, pour une jouissance purement cérébrale. C’est pourquoi je n’hésite pas aujourd’hui.
Pas de mot d’arrêt et je sens Julie se détendre. La pression de son anneau à la base de mon gland se relâche un peu. Sa respiration est profonde, mais calme et régulière. Rassuré, je poursuis ma progression sans interruption jusqu’à ce que mes hanches butent contre son arrière-train. Mais je veux aller le plus profondément possible en elle, la posséder totalement et je lui demande d’écarter ses fesses au maximum avec ses mains. Elle s’exécute et je progresse encore jusqu’à ce que mon pubis arrive au contact de son coccyx.
Je savoure cet instant, d’abord yeux fermés. Puis mon regard se porte sur mon bas-ventre : toute ma bite a disparu dans le cul de Julie. Elle est toute à moi. Elle m’a tout offert cet après-midi, sans retenue et sans pudeur, laissant au passage son amour-propre de côté. Quelle preuve d’amour !
Après un moment d’immobilité, je reprends mes va-et-vient. Lentement pour ne pas éjaculer trop vite et faire durer cet instant magique... pour moi en tout cas. Mais la faible lubrification et la pression de cet étui étroit décuplent mes sensations. Avec la tension accumulée, je sens que je ne pourrai pas résister bien longtemps. Et puis je n’en ai plus envie. J’accélère donc mes mouvements et je sens l’orgasme monter.
Je lâche les hanches de Julie et l’enlace, la serre fort tout contre moi comme si je voulais fusionner avec elle. Quelques coups de reins supplémentaires et je jouis, intensément, en éjaculant puissamment des jets de sperme que je sens inhabituellement abondants. Je gémis dans son cou. Elle doit sentir les palpitations de ma bite dans son cul. Je pense à elle à ce moment. Parvient-elle à prendre tout de même un peu de plaisir en ces circonstances si particulières ? Je l’espère sans trop y croire maintenant que la tension retombe et que je prends réellement conscience de ce que je lui ai fait subir.
Je reste planté en elle en la serrant toujours dans mes bras. Je souhaite prolonger cet instant le plus longtemps possible. Julie ne bouge pas et reste blottie contre moi. Je débande très lentement. Je pourrais enchaîner sur un deuxième orgasme, mais cela suffit. Je me retire donc un peu à regret, ma bite affichant toujours une belle érection résiduelle.Je lui murmure un timide "je t’aime" au creux de l’oreille, inquiet de sa réponse.
— Je t’aime, me répond-elle en souriant sur un ton qui respire la sincérité et ne porte aucune trace de rancœur.
Je suis rassuré. Nous sortirons plus soudés de cette étape qui, peut-être, nous ouvrira de nouveaux horizons à explorer ensemble.
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