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Retour de l'internat

Chapitre 3

Découvertes

Orgie / Partouze
Bâillonnée par une main épaisse, paralysée par cinq autres, terrorisée, je me débats sans espoir. Il ne prononce que quelques mots, mais ils me glacent le sang : "pas de bol, tu n’as pas choisi le bon compartiment". Mon hurlement est étouffé par la paume de son acolyte…Suite…
Ainsi immobilisée par ces six mains fermes, je me sens totalement impuissante. Des images terrifiantes me traversent l’esprit : viol, tournante, qui sait, ma vie est peut-être même en danger. Je n’en mène pas large, et mon seul espoir semble résider en un hurlement qui les surprendrait et ferait venir à ma rescousse un ou plusieurs princes charmants. En attendant, une main étouffe efficacement mes supplications et je peine à retenir mes pleurs, mais je ne veux pas leur faire ce plaisir.
Le beau gosse s’approche, s’accroupit juste devant moi. Il se garde bien de me toucher pour l’instant, mais je n’en tremble pas moins de tous mes membres. Les sales pattes de ses acolytes suffisent amplement à me dégoûter. J’ai envie de vomir mais je contiens mon haut-le-cœur. 
"Tu as l’air effrayée."Sa remarque ne requiert pas de réponse, et je ne suis de toute façon pas en mesure de me faire entendre, je choisis donc d’attendre la suite, furieuse et résignée. "Je comprends. Avec tous ces mâles en rut qui te tiennent… Ce sont eux qui te font peur ?"Je parviens à hocher de la tête."Hum je vois… Si je les fais sortir, tu me feras le plaisir de ne pas hurler ?"Je n’ose y croire, mais un faible espoir vient de naître. Je ne vois pas d’autre solution que d’acquiescer en silence.
"Lâchez-la les gars, et sortez !"Un concert de protestations se fait immédiatement entendre. C’est infime, mais je sens que la déception qui menace de s’emparer des trois subalternes les rend plus entreprenants : les mains se font plus baladeuses, leurs corps suintants de désir se collent à moi, et je commence à croire que tout ceci n’est qu’un jeu, une torture mentale.
"Lâchez-la, j’ai dit !"Cette fois-ci, je sens vraiment la pression se relâcher sur ma bouche, mes poignets et mes chevilles, et je suis soudain libre, en un instant, puis brutalement repoussée sur la couchette. Ils sortent en ronchonnant, tandis que je tente de me redonner une contenance. La porte claque, et je suis maintenant seule avec le mâle dominant. Je suppose que j’y ai gagné, mais n’en suis pas certaine, et suis toujours tremblante de peur.
"Et moi, je te fais peur ?"Toujours sans un mot, je fais oui de la tête."Tu préfères que j’appelle Charles ?""Charles ?""Le boutonneux que tu as rendu fou cet après-midi."
"Beurk !"Il éclate de rire. Bien malgré moi, je trouve son rire charmant.
"Moi c’est Kevin. Et toi ?"Je sens bien qu’il tente de m’amadouer, mais je ne suis pas tellement en position de le rejeter, alors je saisis sa main tendue. "Mia.""Enchanté, Mia. Je crois que tu vas devoir te contenter de moi alors…""Je… Je ne veux pas… Je… Je suis fidèle à mon copain.", balbutié-je timidement. "Ah tu as un copain ? Le veinard ! Je ne sais pas s’il sait quelle chance il a de t’avoir. Regarde-toi, tu es magnifique, tu as fait bander tout le wagon cet après-midi !""Euh… merci."Involontairement, je rougis au compliment. 
"Et ça se passe bien avec ton copain ? Il s’occupe bien de toi ? Il te fait jouir ?"Il a fait une légère pause entre chaque question, mais pas assez longue pour que je puisse répondre. Il attend maintenant en silence."Euh… oui."Je me maudis intérieurement, il a bien senti mon hésitation. "Hum ça n’a pas l’air d’être trop ça… Il te fait des cunnis ?""Un peu…""Un peu ?!". Il éclate de rire à nouveau, et je peine à réprimer un petit sourire."Il te sodomise ?""NON !"Cette fois-ci c’est lui qui sourit.
"Tu as tellement à découvrir, Mia… Je te laisse le choix : tu restes un peu avec moi… ou tu rentres dans ton compartiment, ignorante des plaisirs de la vie.""Vous me laisseriez partir ?", demandé-je ingénument. "Tu en doutes ? À toi de voir. Qu’est-ce que tu veux faire ?"
Sa question plane dans le compartiment. J’hésite un peu trop, et il le sent bien. Je le vois se pencher sur moi. Il approche son visage tout près du mien, son souffle brûlant contre mon oreille. Plein de promesses, il me susurre : "Tu ne le regretteras pas, tu verras…". Il mordille doucement le lobe de mon oreille, et je sens sa main qui effleure à peine ma poitrine. Une douce chaleur m’envahit. Mais que suis-je en train de faire ? Comment en suis-je arrivée là ? Je me rends vaguement compte qu’il a dû me manipuler, mais je ne me sens pas forcée le moins du monde, il est magnifique, et j’ai l’occasion d’apprendre des choses dans le plus grand secret. Il continue ses subtiles caresses, et un soupir d’aise s’échappe de mes lèvres entrouvertes. 
"Tu es tellement belle, Mia… Laisse-moi te donner du plaisir…".Ses lèvres plongent dans mon cou, et petit à petit, mes bras remontent le long de son dos. M’abandonnant progressivement, je penche ma tête de côté pour lui faciliter la tâche et plonge mes mains dans ses cheveux. Ses lèvres douces et charnues se déplacent et atteignent ma mâchoire. Il embrasse tendrement l’arrête, je sens par moment sa langue tarder doucement. En quelques instants il est là, à mes lèvres. Je découvre son souffle et n’ai plus qu’une envie. Il le sait bien, il a la même. J’entrouvre les lèvres et il s’introduit, enfin. Je l’accueille dans ma bouche et nos langues s’enroulent délicieusement, attisant mon désir.
Il en profite pour saisir fermement un sein et je gémis tout en l’embrassant. Il se retire, nous permettant de reprendre notre souffle, et plonge dans mes yeux. Il n’y voit qu’un accord tacite, et passe à la vitesse supérieure. D’un geste assuré, il fait passer mon débardeur par-dessus ma tête et écarte les bretelles de mon soutien-gorge.
Mes seins ainsi libérés sont à sa merci et il ne se prive pas de fondre dessus. Il s’en empare de ses mains, de sa langue, de ses lèvres et de ses dents. Aucune partie ne lui échappe, et je découvre avec lui des zones érogènes insoupçonnées. Je le guide de mes gémissements et de réactions moins contrôlables : mes tétons dardent fièrement, et ils les titillent si bien que je sens des vagues de plaisir monter depuis mon bas-ventre. Je bombe le torse pour venir à sa rencontre, mes ongles se plantent dans son cuir chevelu et il se retire, un sourire satisfait aux lèvres : "Ce n’est qu’un début, Mia. Je t’ai promis des découvertes…" Il dégrafe habilement ma jupe, et d’une main, la fait glisser, ainsi que mon string, jusqu’à mes chevilles. C’est officiel, je suis entièrement nue devant lui. Le pire est que je n’en ressens pas la moindre gêne ou honte, au contraire d’une impatience que je peine à réprimer. 
Kevin remonte lentement sa main, frôlant mes mollets, puis mes cuisses, et je ne peux empêcher mes jambes de trembler, sachant ce qui va suivre. Sa paume atteint son objectif et recouvre maintenant ma vulve. Sans surprise, elle est trempée. Il la masse un moment, ses yeux plantés dans les miens, et me met au supplice."Tu aimes ?""Mmmm"
Il me sourit encore une fois, m’embrasse fougueusement, puis d’une lenteur délibérée, entreprend une descente interminable, déposant de langoureux baisers sur ma gorge, mes seins, mon ventre. Je n’ai plus qu’une envie : qu’il me mange le sexe… Enfin, il arrive à destination. Je découvre rapidement toute une série de plaisirs. Là où mon copain semble sur la retenue, n’éprouvant pas de plaisir particulier, trouvant limite sale ce qu’il est en train de faire, Kevin semble au comble du bonheur, ne laissant aucune partie de mon intimité inexplorée. Il commence par effectuer de larges cercles autour de mon clitoris, s’assurant ainsi de mon excitation. Il n’a pas de soucis à se faire de ce côté-là, je suis déjà complètement inondée. Je me tortille de plaisir, savourant le savoir-faire de cet amant inattendu. Je plaque mes mains contre la paroi derrière moi, m’abandonnant sans retenue. 
Il ne souhaite pas me faire jouir trop tôt, et laisse mon endroit le plus sensible quelques instants. Il introduit sa langue entre mes lèvres et goûte avec délectation mon jus tout en faisant des allers et retours dans ma fente. Des vagues de frissons déferlent dans mon dos et j’écarte encore un peu plus les jambes pour l’encourager. D’une main il saisit un de mes tétons et le pince gentiment, tandis que de l’autre il commence à mes caresser les cuisses, ajoutant de nouvelles sensations au concert qui me submerge déjà. C’est plus fort que moi, je gémis, je râle, et il jubile. Je l’entends presque penser "Je te l’avais bien dit…".
Ses doigts sont maintenant à l’entrée de ma grotte. Ils tournent encore et encore, à peine enfoncés, comme préparant le terrain. Je couine de frustration, je veux qu’il me pénètre maintenant ! Mais non, il sait comment mener sa barque, et le voilà de retour sur mon bouton de plaisir. Sa langue se fait cette fois-ci plus gourmande, impérieuse, frénétique, et je me cambre sous l’assaut. Il accélère encore, et enfonce soudainement deux doigts au fond de mon vagin. C’est tellement bon et inattendu ! Mon orgasme se déclenche, inéluctable. Un cri m’échappe alors que les convulsions accompagnent mon lâcher-prise. Il m’a léché tout du long, se délectant de ma cyprine.
Il patiente ensuite quelques instants, me laissant haletante, puis entame un va-et-vient avec ses doigts. Ils glissent sans effort tant je suis prête. Alors que ne suis sur le point de trouver ça un peu frustrant, Kevin les recourbe et concentre leur action sans une zone près de l’entrée de mon vagin. Je bondis de surprise et agrippe les draps. "Tu ne connaissais pas ?", me murmure-t-il. Je ne suis pas en état de répondre. Il rit doucement. Je comprends qu’il a dû dénicher mon point-G, et c’est juste magique. A cet instant toutes mes inhibitions s’envolent, pour rien au monde je n’aurais voulu rater ça… Un second orgasme me foudroie, plus violent que le premier, et je peine à étouffer mes hurlements dans les draps.
Il me laisse reprendre mon souffle tout en me branlant lentement, puis il retire ses doigts et les présente, gluants de mon jus, à ma bouche. Je ne me fais pas prier pour les sucer goulûment, et il comprend que sa queue remplacera ses doigts tôt ou tard… Ses yeux en brillent d’excitation. Une fois que j’ai bien nettoyé ses doigts, il les replonge dans mon sexe, mais ne les y laisse pas : à peine lubrifiés, il les ressort et les descend dans le sillon qui sépare mes fesses. Il sent l’hésitation dans mon regard, et m’embrasse à nouveau, tendrement cette fois-ci. Il est très doux et prend bien son temps. Ma mouille a sûrement bien préparé le terrain, beaucoup plus que dans mes souvenirs d’essais nocturnes, et ses doigts glissent dans effort, inondant toute la zone. Mes muscles fessiers se détendent, en même temps que l’envie de découverte et l’excitation l’emportent. 
Rassurée par l’absence de douleur, je m’abandonne au plaisir. Des frissons me traversent et c’est maintenant mon anus qui se mêle à la fête, palpitant. Kevin le sent et y présente la pulpe d’un doigt. Il attend le bon moment, celui de la détente qui suit la contraction, et enfonce une phalange. Loin de me raidir, je l’attendais et vient à sa rencontre.  Le plaisir est infiniment supérieur à mes propres expériences. Je suis sûrement plus excitée,  moins craintive, et mieux préparée. Je découvre avec délice bien des sensations et soupire pour le faire comprendre à mon partenaire. Il se penche à mon oreille, "Ça va ? Je continue ?". "Oui, oui ! S’il te plaît !". Il n’a pas besoin de répondre, un second doigt rejoint le premier. Mon corps résiste un court instant, avant d’accueillir comme il se doit les deux intrus en les serrant chaleureusement. Kevin est ravi et commence à me limer doucement.
Je n’oppose bientôt plus aucune résistance, et mon amant me fait découvrir un nouveau jeu : il me pénètre de deux doigts et les ressort aussitôt ; mon anus palpite follement, il me pénètre à nouveau, puis ressort, et ainsi de suite. J’en deviens folle de désir, ravagée de plaisir et de frustration, mes sphincters totalement relâchés, électrisée de délicieuses décharges à chaque entrée. "Prends-moi putain j’en  peux plus !!!". C’est moi qui ai presque hurlé cela ? Je n’en reviens pas. Jamais je n’ai été dans un tel état lors de mes précédentes relations sexuelles. Kevin me rend folle.
Il ne demande pas son reste. Son pantalon tombe lourdement sur ses chevilles, bientôt suivi de son caleçon. Son  sexe jaillit, fièrement dressé, suintant d’excitation. Pantelante, je le regarde avec  gourmandise. Un peu anxieuse tout de même, je me demande comment un tel membre va bien pouvoir me pénétrer sans me faire mal. Kevin relève mes jambes, enfonce juste son gland dans mon sexe, le lubrifiant avant de le ressortir et de le présenter à mon anus. Je retiens ma respiration, alors que je le sens pousser. De manière incroyable, je m’ouvre, bouche avide et béante,  pour l’accueillir et le gland se fore un passage. La sensation de remplissage est intense et incroyable, et j’en râle de bonheur. Sans même m’en rendre compte, ne m’agrippe à ses fesses et l’attire à moi. Lentement il s’enfonce. "Ouiiiiiii !!!". Quel pied !
Sans violence, Kevin commence ses va-et-vient. Son sexe glisse en moi comme s’il était dans mon vagin, mais avec des sensations décuplées, c’est juste sublime. Mes sphincters se contractent régulièrement, spontanément, le massant divinement. Nous sentons tous les deux notre plaisir monter, monter, et nos râles se font plus sonores. Enfin il se fait plus bestial. Sur les derniers coups de reins, ses couilles frappent violemment mes fesses, mon ventre est complètement rempli et nous explosons ensemble. L’orgasme me foudroie, amplifié par les jets puissants de sperme qui me réchauffent les entrailles.
Il s’affale sur moi, la chemise trempée de sueur."Ça va ?""Mmmm qu’est-ce que c’était bon !""Tu as été magnifique…""Merci. Et merci d’avoir été aussi doux. Tiens, je t’ai même pas sucé !""Je m’en fous, j’ai grave pris mon pied !""Moi aussi…"
Il nous laisse quelques minutes pour récupérer, puis me suggère de rejoindre mon compartiment avant que ses acolytes ne reviennent. Nous nous rhabillons, et il m’accompagne galamment, m’évitant toute mauvaise rencontre, m’embrasse fougueusement et me glisse, avant de me quitter définitivement : "J’espère que ça t’a plu, belle inconnue, et que cette expérience a aiguisé ton appétit. Fais-en bien profiter ton copain. Et merci d’avoir enchanté mon voyage."
Je réponds d’un sourire et m’engouffre dans mon compartiment. Le couple qui l’occupe a terminé ses ébats depuis longtemps et ronfle doucement. Impossible pour moi de trouver le sommeil, alors quand le train s’arrête enfin en gare, au petit matin, c’est dans une sorte d’état second que je descends sur le quai. J’embrasse mon copain, puis mes parents, et me dis que ce voyage aura sûrement changé ma vie à jamais.
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