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Retour de l'internat

Chapitre 4

L'initiateur

Orgie / Partouze
Deux mois déjà se sont écoulés depuis mon retour de l’internat. Deux mois d’été, deux mois que j’ai voulu torrides. Naïvement, j’avais imaginé qu’avec mon copain nous pourrions expérimenter sans tabous, laisser libre cours à mes fantasmes naissants, développer ce que ce beau militaire inconnu, Kevin, m’avait fait entrevoir une nuit inoubliable dans le train.La réalité a été tout autre : passés les premiers ébats de l’été, les retrouvailles, la surprise que mon copain a éprouvée de me découvrir si avide de sexe et de choses toujours plus osées, nous nous sommes vite rendu compte que nos envies différaient. À chaque câlin, chaque discussion, le fossé a grandi. Ça, pour une sodomie, il était ok, mais pour me laisser tenter des expériences avec une autre fille ou envisager un plan à trois, ou plus, il était beaucoup plus réticent.Mon envie était trop forte, en tout cas plus que la valeur que j’attribuais à notre relation. Tout a basculé presque malgré moi : dès le début de l’été, j’ai ressenti le besoin de me confier, de raconter mon voyage dans le train, de m’épancher sur mes fantasmes. Impossible de dire ce genre de choses à ma meilleure amie, trop prude, alors je me suis rapprochée d’une connaissance de lycée, à la réputation sulfureuse ; le genre de fille libérée qu’on affuble de toute sorte de qualificatifs méprisants parce qu’elle est à l’aise avec son corps et aime se faire plaisir. A l’époque, j’ai même sûrement participé, l’insultant dans son dos, incapable de comprendre ses envies, murée dans ma chasteté et mes complexes.Quand j’ai abordé Cassandra, j’ai été très surprise de sa gentillesse, de son ouverture d’esprit, de la facilité avec laquelle on pouvait lui parler. Nous avons sympathisé rapidement, et aux discussions amicales ont succédé les confidences intimes. A découvrir mes envies, j’ai vu ses yeux briller, et quand ses lèvres ont trouvé les miennes, je n’ai pas tenté de résister. J’ai trouvé ça naturel et me suis abandonnée à ses caresses.Le contraste avec mon copain était flagrant : Cassandra était curieuse lorsqu’il était frileux, experte alors qu’il était maladroit, douce quand il était brutal, entreprenante quand il était hésitant. J’en étais toute retournée. J’ai mis fin à la relation avec mon copain après quelques semaines de malaise, de frustration et de non-dits.
Grâce à Cassandra j’ai franchi un nouveau palier dans l’expérience et l’échelle des plaisirs. Découvert le goût d’une autre femme, sa douceur, sa science du corps féminin et des limites à ne pas franchir… ou à franchir, justement. Cependant il m’en fallait plus, et elle en était bien consciente.
— Tu te souviens des envies dont tu m’as fait part ?— Oui, bien sûr.— Toujours partante ?— Carrément !— J’ai peut-être trouvé la solution.— Ah bon ? Explique !— Je n’y ai pas pensé tout de suite, et puis l’autre nuit, ça m’a paru évident. Un homme a grandement participé à mon initiation. Aujourd’hui c’est un ami, et on couche encore de temps en temps ensemble. Je lui ai parlé de toi. Si tu veux, je peux te faire le rencontrer.— Il est comment ?— Le plus simple est que tu le vois. Ne crains rien, c’est un gentleman.— Ok alors !
Le jour où Peter est venu dîner chez Cassandra, je me sentais comme une jouvencelle à son premier bal. Mon cœur battait follement dans ma poitrine. En effet gentleman, il a tout fait pour me rassurer. Nous n’avons fait que parler, nous découvrir. Il voulait comprendre mes envies, pour savoir ce qu’il pourrait me proposer. Pendant que je parlais, je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer qu’il était particulièrement bien bâti, sportif, élégant, très attirant. Quand il est reparti il m’a laissé dans un état d’excitation folle, et j’ai dû sauter sur Cassandra pour me satisfaire. Quelques jours plus tard, il a donné son accord, tout en gardant le secret sur ce qu’il me réservait.Aujourd’hui, c’est le grand jour. Peter n’a fixé qu’une condition : que je m’habille sexy, et sans sous-vêtements. Je savoure l’incertitude qui s’empare de moi, à l’instant fatidique du choix de la tenue : étaler les vêtements sur le lit, les essayer, imaginer les pensées et les réactions des hommes, celles de Peter en particulier… Me décider, changer d’avis au dernier moment… Seule devant le miroir de la salle de bain, j’arrange les mèches qui tombent subtilement sur mon front, corrige une dernière fois mon maquillage.L’heure de départ est fixée à vingt-deux heures. Peter vient me chercher avec Cassandra. Il valide, d’un regard appréciateur, la tenue de sa nouvelle protégée : tout de noir vêtue, jupe courte et moulante, associée à un haut au dos nu, mettant en avant la cambrure naturelle de mes reins, et laissant deviner les formes de ma poitrine. Il donne le signal du départ.Le trajet en voiture paraît interminable à la débutante que je suis. Je regarde défiler dans la nuit les réverbères, incapable de me repérer dans la ville. Peter, fermé, silencieux, passe des musiques très suggestives, et mon esprit ne peut s’empêcher de divaguer, imaginant tous les scénarios possibles. L’inquiétude se mêle à l’excitation. Mes jambes tremblent toutes seules.Enfin, dans un quartier assez sordide, éloigné du centre-ville, Peter stoppe son 4x4 aux vitres fumées. Un voiturier surgit de nulle part et s’empare des clés, alors que Cassandra et moi, sexy comme jamais, descendons du véhicule. Immobile au milieu du trottoir, en attente des indications de Peter, je me sens comme une enfant. Ou plutôt… comme une jeune vierge avant son premier rapport. Perdue, impatiente, anxieuse. Peter toque à une porte presque invisible, un judas s’ouvre, un regard inquisiteur vérifie l’identité de l’intrus, et nous entrons.
L’intérieur de la boîte est beaucoup plus classe que la rue crasseuse d’où nous venons. Ambiance feutrée, cuirs, moquette épaisse, bois précieux, éclairage doux et indirect, musique jazzy, tenues distinguées, on ne se trouve pas au Macumba du coin. Peter nous mène jusqu’à un canapé, dans un coin sombre, et commande d’un geste trois coupes de champagne. En un instant elles sont mises à notre disposition, sur la table basse, cuir et verre, située devant nous.En sirotant, j’ai tout le loisir de détailler la faune locale, et de m’imprégner des us et coutumes : quelques femmes au bar, sereines, sures d’elles, des couples en observation, chuchotant, d’autres qui semblent se former sur la piste de danse, s’enlaçant lascivement. Je me fais la réflexion que tous respirent… le sexe. Je refais le tour, avec ce filtre en tête, et cela confirme mon impression.
— Peter, c’est quoi cette boîte ? Pourquoi il n’y a pas d’enseigne devant ?— Tu verras bien… Ici, ce n’est que l’apéritif…
Il se tait, toujours mystérieux. Je sens mon excitation monter, mes bras se recouvrir de chair de poule, malgré la chaleur suffocante des lieux, et je deviens subitement très consciente de mes seins nus sous mon haut, de l’air qui s’engouffre sous ma jupe, de l’humidité qui gagne mon intimité.Cassandra m’observe sans se cacher, telle une prédatrice prête à fondre sur sa proie. Et incroyablement, je suis toute prête à jouer le rôle de la victime. Mon corps réclame des mains caressantes, mon ventre de quoi être rempli.Le champagne terminé, Peter donne le signal de se lever, et de l’accompagner. Le sang battant dans les tempes, je suis le mouvement. Peter se dirige vers le fond de la salle, traversant la piste de danse. En passant devant, je remarque que le couple qui s’y trouve alors est plutôt avancé dans ses caresses : l’homme a retroussé la jupe de la demoiselle et lui malaxe ostensiblement les fesses.Peter écarte un rideau noir que je n’avais pas remarqué jusque-là, et plonge dans un couloir obscur. Un second rideau occultant, et la musique de la première salle devient quasiment inaudible. S’ensuit alors une lente descente, juste éclairée de quelques fils lumineux sur les marches de l’escalier.Nous débouchons, au sous-sol de la boîte, sur une succession de caves voûtées, dans la pénombre, meublées de sofas, lits circulaires, et ponctuées de colonnes, de poutres, et de quelques consoles sur lesquelles sont disposés des rafraîchissements et des coffrets de tailles diverses.
Un picotement familier apparaît sur le bout de mes doigts, et je souris intérieurement, pleinement consciente du moment particulier, de l’environnement étranger et nouveau pour moi, des découvertes à venir.Peter se retourna vers moi :
— Observe un instant…
Je laisse mon regard embrasser la scène, tente de comprendre ce qui s’y passe.
— Es-tu toujours partante pour quelques expériences ?
L’évidence me frappe. Tous ceux qui sont ici présents viennent seuls, à deux ou plus, avec leur partenaire régulier ou non, s’adonner à divers jeux sexuels, voyeurs ou acteurs. Dans des proportions sûrement inédites pour moi.
— Uiii…— Bien.
Peter fait une pause, me laissant prendre la mesure de mon acceptation.
— Voilà ce que je te propose…
Nouvelle pause. Frisson monumental dans le dos. Mon regard, en réalité dans le vide, semble passer d’un groupe à un autre.
— Tu es trop bleue pour t’offrir à n’importe qui alors on va se promener dans plusieurs salles, à ton rythme, et tu me désigneras un groupe… Tous les trois, ou juste à deux, ou à plus si nécessaire, on rejouera exactement la scène qui se déroulera devant nos yeux. Exactement. Tu choisiras une des personnes du groupe pour ton rôle, on jouera les autres.— Le groupe que je veux ?— Oui.— Et le rôle que je veux ?— C’est ça.— Ok…— Mais une fois que la scène a démarré, on va jusqu’au bout… sauf si je juge que ça va trop loin.— Euh… Ok.
Que ça aille trop loin ? J’ai beau faire défiler des images dans ma tête, m’imaginer attachée, fouettée, humiliée, souillée, les dés sont jetés. J’ai accepté. Pas pour tout, mais le doute est là.Satisfait, Peter s’écarte, et me fait signe d’avancer. Fébrile autant qu’impatiente, je laisse tant bien que mal mes jambes me porter. Comme animées d’une volonté propre, elles me mènent au gré des salles voûtées, découvrir des corps emmêlés, des cris de douleur, des gémissements de plaisir. Et beaucoup de volupté. Je sens mon corps et mon esprit s’embraser, mes barrières s’affaisser, une envie de jouir m’envahir délicieusement.Le choix s’avère cependant compliqué. Le fait d’expérimenter avec Cassandra et Peter me rassure, mais encore faut-il trouver un groupe constitué seulement de deux ou trois personnes, et que leurs pratiques me paraissent acceptables. Enfin, ce que j’en vois, parce que Peter a été clair, il faudra les imiter, et par conséquent découvrir au fur et à mesure où ils veulent en venir.J’ai très envie de goûter à Peter. J’aime son allure, sa démarche, son sourire, et j’ai je crois une idée assez précise de ses formes, de ses muscles fins. Je le veux. Aussi je jette mon dévolu, pour commencer, sur un couple hétéro, qui semble quelque peu timide. Avec l’espoir que cela ne dérive pas trop… ou peut-être que cela dérive, en fait…D’un signe de tête, je fais comprendre mon choix. Peter me prend par la main et m’emmène dans un coin un peu plus sombre, d’où nous pourrons reproduire la scène sous nos yeux sans nous faire remarquer. Il me place de manière à ce que nous puissions tous les deux, d’un coup d’œil, suivre les évolutions de nos modèles, puis, sans attendre, il entreprend de rattraper notre retard.
J’en fais de même : j’ouvre la chemise noire de Peter et en écarte les pans, dégageant ses pectoraux et ses abdominaux, superbes. Il m’enlace. Mes mains parcourent le torse de Peter, celles de Peter descendent de mon dos nu à mes fesses, tandis qu’il m’embrasse voluptueusement. Un long frisson me traverse l’échine. La sensation de ne rien maîtriser est sublime. Tout semble permis, rien ne peut m’être reproché, aucune prise d’initiative, aucune maladresse, et l’inconnu que constitue la suite des événements est totalement grisante.Je préfère m’abandonner aux bras de mon amant, et à la situation éminemment érotique, plutôt que de me demander à chaque instant comment les choses vont évoluer. J’en oublie même de regarder mes modèles, toute à mes baisers et à mes caresses. Peter embrasse divinement bien, me possède sans m’étouffer, mène la danse tout en me laissant la possibilité de prendre des initiatives. Il me serre plus fermement, et j’écrase mon ventre contre son sexe. Son érection me paraît monumentale. Je ne suis plus que désir, je le veux en moi. Fort.Je sens Peter se retirer de sa bouche, et lâcher mes fesses d’une main, pour appuyer légèrement sur son épaule. Je jette un coup d’œil : mon avatar parcourt le torse de l’homme de ses lèvres gourmandes, et descend progressivement. C’est parti ! Plus d’échappatoire. Je goûte avec bonheur la peau de Peter, mordant ses tétons, détaillant ses muscles finement dessinés, dardant ma langue le long de ses cicatrices. Je ne fais plus qu’un avec lui, savourant chacune de ses réactions, même infimes sursauts ou tremblements.Peter semble plongé dans l’action autant que moi. Cassandra, de son côté, s’est assise sur un sofa et se caresse langoureusement, n’en manquant pas une miette. Je m’en veux furtivement de la laisser de côté, mais cette pensée s’évanouit. Après tout, la soirée ne fait que commencer, il y aura sûrement d’autres occasions. Du coin de l’œil, je crois apercevoir des ombres qui s’approchent, mais prise dans le feu de l’action, je n’ai pas le temps de m’en assurer.Mon modèle s’approche de l’assaut final : accroupie aux pieds de son amant, elle ouvre son pantalon tout en le regardant de manière suggestive. J’en fais de même, me mordant la lèvre d’envie. Enfin la braguette de Peter cède. Je baisse à peine son boxer, juste de quoi libérer son sexe. Pas très long, mais large, dur, puissant, fièrement dressé. Odorant, et très appétissant.Le plus dur est de suivre là aussi les actions de la femme, alors que je rêve de mener Peter à l’orgasme à ma façon. Mais d’un autre côté, il y a peut-être des techniques à découvrir ? Je me laisse donc guider : Je soulève la verge de Peter, et parcours ses bourses de ma langue. Je m’attarde ainsi longuement dans cette zone, léchant, gobant, titillant, apprenant de ses réactions jusqu’où je peux aller. Je m’insinue même dans le sillon fessier, jusqu’à l’anus. Peter piaffe d’impatience, grogne de plaisir, se retient de m’empoigner par les cheveux, d’imprimer le rythme qui lui convient. J’aime ce pouvoir que j’ai sur les hommes à cet instant précis.
Enfin je peux remonter le long de la hampe, prenant connaissance de chaque veine de cette verge majestueuse. Un regard entendu et j’enfourne son gland, le suçote, tout en caressant ses testicules. Encore un goût nouveau, songé-je. Etonnant comme aucun de ces sexes d’homme ne se ressemble, en texture et en saveur. Je laisse glisser mes lèvres sur son membre, l’enserrant délicieusement. Un râle rauque échappe à Peter. Il mouille abondamment. Son double semble également au comble du ravissement. Sa dulcinée vient de changer d’approche : à genoux, les ongles plantés dans ses fesses, elle le pompe dorénavant sans retenue.Je l’imite et me mets à sucer le sexe de Peter de tout son long, emplissant ma bouche et ma gorge de son membre turgescent, me retirant et l’enfouissant en moi en cadence, plus profond à chaque fois. Le rythme devint complètement fou à l’autre bout de la cave, et je me mets au diapason, bavant copieusement, la bouche écartelée par le membre large de Peter.Alors que le gémissement de l’homme de l’autre côté de la salle ne laisse plus aucun doute quant à l’issue du combat, je glisse mon majeur dans l’anus de Peter. Celui-ci perd tout contrôle, crie et jouit violemment, se déversant à grands flots de sperme dans ma gorge. Je suis au bord du vomissement mais aux anges.Je lutte. Peter ne semble jamais vouloir s’arrêter d’éjaculer, et je dois laisser échapper quelques gouttes de fluide, mais je me reprends et nettoie longuement le sexe de mon amant, avant de me relever, satisfaite. Je l’ai fait jouir, je l’ai possédé, j’ai partagé son plaisir. Cassandra nous rejoint, m’enlace, me félicite, pendant que Peter tente de reprendre son souffle. Enfin, il redevient lui-même :
— Excellent début, Mia !— Merci…— Stop ou encore ? Tu sais qu’on arrête quand tu le souhaites…— Euh… Encore ?— Avec plaisir. Trouve-nous d’autres modèles alors !
Je me doute que cette première scène n’était qu’un échauffement…
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