Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 65 J'aime
  • 1 Commentaire

Retour de l'internat

Chapitre 5

Expériences

Orgie / Partouze
Je me doute que cette première scène n’était qu’un échauffement…J’ajuste ma tenue, passe un doigt sur mes lèvres et mon menton pour m’assurer de n’y avoir rien laissé. Nous reprenons nos divagations au gré des caves, mais plus serrés les uns aux autres qu’auparavant. Nous sommes désormais trois amants, et non deux maîtresses avec leur instructeur. Nous sommes aussi chauds comme la braise, le désir à son apogée.Je prends mon temps, me permets de regarder les groupes en pleine action, d’apprécier leurs performances, leur plaisir, leur niveau de perversité. Je me projette, m’imaginant à la place de telle ou telle femme, et même des hommes, allant jusqu’à envisager de mettre un gode-ceinture. Mon esprit s’emballe : tant de possibilités !Il faut bien que je me donne des limites, ne serait-ce que pour parvenir à choisir. Pour cette fois, j’écarte ceux qui s’approchent trop du sado-maso ou s’accessoirisent à outrance. Je rejette aussi les groupes où une seule femme est présente, car il n’est pas question que Cassandra ne fasse pas partie du voyage. Je limite enfin mon choix aux groupes à trois participants, et trouve mon bonheur : deux femmes s’embrassent tendrement, l’une d’entre elles serrée de près par un homme séduisant, collé à son dos.Je saisis Cassandra par la main et l’entraine à l’abri d’une colonne, avec un double avantage : bénéficier de la dite-colonne, qui peut éventuellement jouer un rôle dans la scène, et profiter de son ombre relative. Je plaque Cassandra contre la pierre et m’empare immédiatement de sa bouche, dans un délicieux méli-mélo de langues. Peter comprend le message et se colle à mon dos.
Je sens battre fort le cœur de Cassandra dans sa poitrine, ressens son désir pour moi, son impatience d’en découdre. Je frissonne de plaisir alors que les mains de Peter s’aventurent sur la peau satinée de mon dos, remontent jusqu’à mes épaules, pour redescendre sur mes flancs et ma taille. Son souffle chaud et humide ravage ma nuque, me mettant dans un état d’excitation folle. Cassandra n’est pas en reste, caressant du bout des doigts mes cuisses, se glissant sous ma jupe moulante à la découverte de mes fesses.Ce ballet à quatre mains est délicieux, mais presque douloureux tant il est lent. J’en veux plus, beaucoup plus, et plus vite, mais je dois m’adapter à la vitesse du trio qui nous sert d’exemple. Je prends plaisir à imaginer la suite, comment je vais faire jouir Cassandra, comment Peter va me prendre, ou prendre Cassandra, ou nous-deux à la fois. Si quelqu’un d’autre va se joindre à nous… Je le redoute, et en même temps le désire, comme si c’était l’accomplissement de notre orgie, la récompense d’un spectacle plus qu’excitant.A l’image de son modèle, Cassandra s’affaisse sur ses talons, le long de la colonne, arrêtant son visage à la hauteur de mon intimité. Très lentement, tout en me dévisageant, elle retrousse ma jupe, dévoilant la peau nue de mes cuisses, puis mon entrejambe ruisselant, mon sexe frémissant et enfin mes fesses blanches contrastant avec la pénombre. J’appuie mes mains sur la colonne, écarte les pieds, et sous l’action des caresses de Peter, me cambre, lui offrant ma croupe.Cassandra découvre avec bonheur mon sexe luisant. La cyprine coule abondamment depuis ma vulve jusqu’à mes cuisses. Les mains de Cassandra contournent toute la zone, effleurant l’intérieur des cuisses, les fesses, le mont de Vénus, sans pour le moment toucher au cœur du plaisir. Je gémis de concert avec mon avatar, à l’acmé du désir, impatiente à en pleurer. Je me trémousse d’un pied sur l’autre, frustrée de la lenteur de l’action, mais surexcitée, sur le point de jouir.Enfin, Cassandra immobilise ses mains sur mes fesses, approche son visage et prend mon sexe offert à pleine bouche. Emprisonnant entre ses lèvres toute ma vulve. Faisant jouer sa langue contre mon clitoris, déjà bien gonflé et hyper-sensible, et mes lèvres. Simultanément, les mains de Peter passent sur mon ventre et remontent caresser mes seins tendus à l’extrême. Il se contente d’effleurer la peau fraiche et douce du bout des doigts, découvrant lentement mes globes, les soupesant, les contournant, retardant le plus possible toute action trop agressive. La pulpe de ses doigts rencontre la texture granuleuse des mamelons, ainsi que les tétons dressés. Il reprend son parcours, repassant à la base des seins, m’électrisant entièrement. Je suis aux abois. La double action de Cassandra et Peter déclenche un premier orgasme, que je ponctue d’un râle de soulagement.Cassandra prend un plaisir fou, elle qui avait été laissée de côté lors du premier round. Elle met toute sa science dans son cunni, enroulant sa langue autour de mon clitoris, écartant les lèvres douces, pénétrant mon vagin de sa langue ou de ses doigts. Elle abandonne un instant le clitoris, se concentrant sur la recherche du point G, puis le stimule savamment. Longuement. Mes jambes commencent à trembler. Elle sait qu’elle est sur la bonne voie et amplifie ses caresses, jusqu’à mon explosion incontrôlable. Je crie ma jouissance, et Peter doit abandonner momentanément son action pour me retenir, tant mon orgasme est violent et menace mon équilibre.
Mon modèle a joui elle aussi, longuement et bruyamment, mais ses acolytes ne semblent pas en avoir fini avec elle. Alors que la femme à genoux reprend ses caresses buccales, l’homme descend ses mains et s’attaque à l’intimité de la jeune femme. Peter l’imite avec plaisir, avide de me donner du plaisir. J’oriente mon visage vers mon avatar, à la fois excitée et inquiète de la poursuite des opérations. Deux orgasmes, n’est-ce pas assez ? Manifestement pas ! Je sens les mains expertes de Peter s’approcher de mes fesses et les tends vers lui, m’abandonnant.Peter ne s’arrête pas à mon postérieur, que j’estime pourtant appétissant : il effleure des doigts l’arrière de mes genoux, déclenchant d’agréables frissons dans mon dos, remonte le long de mes cuisses. Puis il passe sur l’intérieur des cuisses, fait une pause, et de sa paume, recouvre mon sexe. Cassandra se retire légèrement, et se contente de souffler doucement sur mon clitoris. Je gémis. Sentir le souffle chaud de Cassandra, imaginer sa langue à quelques millimètres, finalement, est presque pire que le précédent cunni, car mon esprit en fusion complète ce qui n’est en réalité que suggéré, menacé.Peter resserre ses doigts et en glisse deux entre mes lèvres gonflées. Sans aucune difficulté, tant je suis inondée de mes précédents orgasmes et de mon désir. Il reste de longues secondes à cet endroit. La tête rejetée en arrière, les mains tremblantes cherchant un appui sur la colonne, je râle de plaisir. Enfin, il dépose la pulpe de ses doigts à l’entrée du vagin, puis décrit de larges cercles, testant la chaleur et l’élasticité de la zone. Mais vas-y, pénètre-moi ! De tes doigts, de ton sexe, de tout objet qui passe à proximité, mais bon sang, pénètre-moi !Peter ne se fait pas prier plus longtemps et pousse, enfonçant deux doigts jusqu’à la garde. Je soupire d’aise, expirant longuement. Peter entame de lents va-et-vient, découvrant cet intérieur torride et sensible, testant mes réactions, mes contractions. Repliant ses doigts, il cherche la zone du point G, se familiarisant avec mon sexe. Un troisième doigt rejoint les premiers. Je sens l’entrée de mon vagin se resserrer merveilleusement autour des intrus, les épouser, les enlacer. J’ondule de plaisir.Peter joue ainsi quelques instants, effectuant des rotations du poignet, s’enfonçant plus ou moins. Ma cyprine coule maintenant abondamment, lui facilitant la tâche. Il se retire, me laissant frustrée et impatiente. Il suce ses doigts avec gourmandise, s’imprégnant de mon goût. Une sensation nouvelle s’empare de mon bas-ventre, celle d’un gel qu’on étale généreusement. Mon esprit s’emballe, la nouveauté est proche !Peter refait son apparition, avec quatre doigts. Je sens mon corps résister par réflexe, mais avec beaucoup de douceur, Peter pousse, et mon périnée se détend avec délice. Je m’ouvre alors sans limite. Une vague de sensations envahit tout mon corps, alors que mon sexe, comme animé d’une vie propre, en réclame toujours plus. Le dernier doigt de Peter se mêle à la fête et tout son poing est englouti, aspiré.
Je vibre de tout mon être. Les parois de mon vagin se referment autour de la main de Peter, réclamant une stimulation totale. Peter se contente de micromouvements, laissant le tsunami se propager inexorablement en moi, par vagues successives. Je perds toute contenance. La violence de mon orgasme est inédite, d’une longueur sans précédent. Peter le savoure tout du long, le poignet ravagé par les contractions de mon vagin.Il se retire doucement, me laissant pantelante, épuisée, en totale confusion. Je pleure doucement, recouvrant mes esprits lentement.Peter s’approche de son oreille. Ses mots ne sont qu’un murmure :
— Bravo, Mia. Tu as été merveilleuse…— … Merci… C’était… dingue…— Prends ton temps. On peut s’arrêter là tu sais, c’est déjà très bien pour une première fois
Je réfléchis quelques instants. Cassandra est toujours là, à mes pieds, à m’observer amoureusement. Même si elle a participé cette fois-ci, il me semble inconcevable que nous quittions les lieux sans qu’elle ait eu d’orgasme.
— Je peux… refaire un tour ? Au cas où ?— Bien sûr. Dis-nous si quelque chose te tente, et sinon on y va quand tu veux…
Je baisse maladroitement ma jupe sur mes fesses, puis me dirige vers la salle suivante, comme émergeant d’un rêve. L’esprit et le corps encore embués, je fais lentement le tour des caves, accompagnée de Cassandra et Peter. Je suis sur le point de renoncer lorsqu’un matelas d’eau attire son regard. Deux femmes nues s’y prélassent. L’occasion est trop belle.Je saisis la main de Cassandra et la mène vers un autre matelas identique, un peu plus loin. Je plonge mon visage dans le cou de mon amie et entreprend de la déshabiller tout en la caressant. Le travail de Cassandra est plus rapide, elle passe juste ma robe par-dessus ma tête, et enfin nous sommes nues comme des vers.Peter comprend qu’il n’aura sans doute pas son rôle à jouer cette fois-ci et s’éclipse, nous laissant une intimité bienvenue. Sans doute a-t-il repéré un groupe où il prendra du plaisir, selon ses goûts et non ceux les miens. Cassandra jette un coup d’œil à nos modèles. La scène n’est pas aussi symétrique que quelques instants auparavant : une des deux compagnes a commencé à masser l’autre. Cassandra prend l’initiative d’endosser ce rôle. Sans doute l’ai-je bien mérité, au vu des efforts déployés depuis le début de la soirée. Cassandra m’allonge sur le dos, se saisit du bol contenant une substance gluante parfaite pour l’occasion, et le verse presque entièrement sur mon corps, avant de me recouvrir du sien.Elle embrasse longuement mes lèvres. Je savoure sa langue habile et gourmande, tandis qu’elle commence à onduler, à glisser dans toutes les directions. Le délicieux échauffement créé par le frottement de nos deux corps m’électrise immédiatement, stimulant de larges surfaces de nos peaux lubrifiées. Son ventre appuyé contre mon mont de Vénus me fait gémir. Elle se plaque plus encore contre moi, cherche le contact, l’adapte pour mon plaisir.Elle remonte doucement mêler nos poitrines. Nos seins doux et fermes se tendent sous cette merveilleuse pression, s’écrasant, se déformant, luttant avec délice. Cassandra prend son temps comme seule une femme peut le faire avec une autre femme. Nous sommes toutes les deux sur le point d’avoir un orgasme, mais plus mental que vaginal ou clitoridien. Nous nous dévorons des yeux, partageant encore plus parfaitement notre plaisir par le regard.
Cassandra se laisse glisser en avant. Ses seins passent furtivement devant mon visage mais m’échappent tels deux anguilles. Puis c’est au tour de son ventre, délicieusement caressé par mes cheveux, mon nez, mes lèvres. Elle s’appuie sur ses bras, se relève sur les genoux, le sexe à une encablure de ma bouche assoiffée, mais elle ne me laisse pas l’entreprendre, elle se met à reculer, toujours à genoux, sa vulve se massant sur mon buste dans un bruit de succion terriblement érotique.Elle se cambre, la tête en arrière, tandis qu’elle se masturbe sur chaque partie de mon corps. De divines décharges de plaisir l’assaillent, à chaque fois que ses lèvres se déforment, s’écartent, se referment autour d’un membre, d’un os, d’une articulation. Elle met un point d’honneur à ne rien oublier, se massant sur un genou, une cheville, un poignet, longeant une cuisse, un tibia. Tout en contrôle, elle s’interdit de jouir sans moi, se contentant de frissons vertigineux et du bonheur de s’unir à sa compagne.Je regarde à droite et à gauche et m’aperçoit que plusieurs hommes se sont approchés, les yeux brillants de désir. Excités mais respectueux, ils commencent à se masturber, ne perdant pas une miette de la scène délicieuse qui se déroule sous leurs yeux. Nous sommes tout à notre plaisir et en même temps ravies de donner tant de plaisir à ces hommes.Elle remonte jusqu’à mon pubis, reste un instant à cheval sur moi, me sourit, en prévision de l’assaut final. Elle modifie sa position et s’installe en ciseaux. Nos vulves entrent en contact, nos lèvres intimes s’entremêlent. Chacune en appui sur nos poignets, nous entreprenons un ballet orgasmique, ondulant l’une contre l’autre, stimulant nos clitoris dans un univers de glisse infinie. Nous captons le clapotis des verges décalottées s’accélérer, le souffle et les gémissements des voyeurs nous accompagner. Nous ne cherchons pas longtemps notre rythme, sentant notre plaisir atteindre son paroxysme. Un ultime coup de rein et nous explosons, jouissant en silence, bouche bée, serrées dans les bras de l’autre, alors que dans le noir, notre orgasme en a déclenché bien d’autres.Nous savourons cette plénitude de longues minutes, alors que les voyeurs se dispersent. Cassandra me guide vers une salle que je n’avais pas encore remarquée, où nous pouvons faire un brin de toilette et nous rhabiller. Nous rejoignons Peter qui nous attend, et sans un mot, remontons au rez-de-chaussée. La nuit est déjà avancée, il est temps de profiter d’un repos bien mérité.
Diffuse en direct !
Regarder son live