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Retour en Italie

Chapitre 3

Gay
Lors de mon dernier séjour en Italie chez mon ami le surlendemain, il me dit m’avoir préparé une nouvelle surprise sans que nous ayons à trop bouger ce soir, pas d’aire de repos. M’ayant bien chauffé tout l’après-midi, j’ai le feu au cul. Une envie de me faire prendre comme pas possible. Habitant dans un quartier calme, nous décidons de sortir nous dégourdir les jambes et qui sait trouver avec qui éteindre le feu qui ronge mon cul. Il est tard, environ 23h. nous quittons la maison et ô surprise, à peine sortis, nous croisons trois voisins adossés contre le mur, en train de discuter entre eux à voix basse, fumant des cigarettes. Je connais deux d’entre eux pour avoir baisé avec eux chez mon ami. Je me souviens d’eux comme étant endurants, et surtout de bons baiseurs. Mon trou et ma bouche en gardent un bon souvenir. L’un deux, Y., m’aperçoit et siffle. Une manière de m’interpeller sans crier ni se faire entendre par le voisinage (discrétion oblige). Je m’arrête et me retourne.  Mon ami s’éloigne un peu de moi et Y. vient vers moi, me sourit et me tend la main. Il est de taille moyenne, brun, cheveux fins, yeux mi-jaune mi-vert. Je me souviens qu’il a une bonne bite, assez épaisse, et surtout sait s’en servir. Il est actif/passif. Il embrasse divinement bien et surtout il est tendre et sensuel. Après quelques banalités, il me confie qu’il est chaud et qu’il a envie de baiser avec moi. Un peu surpris, je ne m’attends pas à ce qu’il me fasse cette proposition alors que ses amis sont à trois quatre mètre de nous. Il me prend la main et la pose sur son entrejambe. Une bosse dure confirme ses dires. Ne voulant pas me faire remarquer par M. et R. qui regardent en notre direction, je veux dégager ma main. Mais il la tient fermement, lui faisant faire un va-et-vient sur sa queue à l’étroit dans son jean. Je ne sais plus quoi faire. Mon ami est à quelques mètres, son téléphone à la main. Il réitére son envie. Ses yeux brillent d’envie et de désir.  Pour couper court, je lui dis « Et tes amis ? » Un petit sourire se dessine au coin de la bouche de Y. Il me regarde profondément, maintenant toujours ma main sur sa bite (mes doigts la caressent tous seuls, sans qu’il insiste), et me lance : « Si tu veux, ils te baisent aussi ». Jouant le fier, je rétorque : « Ah bon ? Comment tu peux être sûr de ça ? ». Il sourit de toutes ses dents et appelle les deux voisins qui ne perdent rien de la scène qu’on leur offre. Sans me rendre compte, on est tous les deux de trois-quarts. Donc M. et R. ne ratent rien de la scène, pas plus que mon ami, dont je comprends d’un coup le stratagème, il avait préparé son coup avec ses amis. De gêne, je baisse les yeux. Le bruit de pas me fait relever la tête. Ils s’approchent de nous. Regard lubrique et deux bosses déformant leurs entrejambes. Ils se mettent autour de moi, avec l’impression d’être encerclé.
« Ecoute, on est chaud. On sait que tu aimes il cazzo, que tu suces bien et que tu as un bon cul. Sois gentil et fais-nous plaisir », me lance doucement M. qui pose sa main sur mes fesses et qui commence à les caresser. R., intimidé, ne fait que regarder. Ne voulant pas me faire surprendre par un autre voisin dans cette situation (ou plutôt c’est l’excitation qui me fait réagir comme ça), je demande à Y. où allons-nous baiser ? Que veulent-ils exactement que je leur fasse ? Mon ami suit tout cela de loin en caressant son entrejambe par-dessus son bermuda. Avec un sourire, il me pousse vers l’entrée du garage de la maison de ses parents. A peine entrés que tous les trois me touchent le corps. M. pousse sur mes épaules, me signifiant que je dois me mettre à genoux. Pas le temps de réfléchir. Me voici en position. Il fait sombre dans le garage. Seule la torche du portable de mon ami éclaire la scène. Je pense qu’il fait des photos ou qu’il filme. M. baisse son bermuda et je sens une queue me frôler le visage. Sans réfléchir, je la mets dans ma bouche et je commence à sucer. Sa bite a toujours ce petit goût de beurre mélangé aux noisettes. Elle est de bonne longueur et moyennement épaisse (dans les 18 par 4 centimètres). Je la suce goulûment. Je salive. Je sens une main qui me pousse plus ma tête jusqu’à ce que mon nez se colle à son pubis. C’est Y. qui me fait ça. Un signe pour entamer une gorge profonde. Il pousse au maximum. Je sens le gland de la queue de M. s’enfoncer au point d’avoir un haut-le-cœur.  Mes yeux sont en larmes. Il se retire lentement. Je n’ai pas  le temps de reprendre mes esprits qu’une autre bite remplace celle de M. C’est Y. Elle est longue et épaisse aussi. Son pubis fourni m’enivre (eh oui les Italiens sont moins épilés que nous). Il dégage une odeur de parfum sans agresser. Je le suce aussi ou plutôt c’est lui qui me baise la bouche. Au début, le rythme est lent, puis il accélère la cadence de plus en plus. Ma bouche est ouverte, et mes lèvres sont à peine posées sur cette bonne queue. Je le laisse faire, et j’aime ça. Je me sens faillir, fondre. J’aime me sentir un objet sexuel. J’aime être traité comme une salope...  Pendant que je me fais limer la bouche, je sens une main sur mes fesses. J’arrête de sucer et je me retourne, c’est R., à genoux en train de caresser mes fesses. Je le laisse faire et je retourne à ma besogne. M. et Y. se relayent dans ma bouche. R. déboutonne mon bermuda, le baisse voyant que je n’ai pas de caleçon. Il écarte mes fesses et titille mon trou de balle avec son doigt mouillé avec sa salive. Une onde de chaleur m’envahit. J’alterne entre les deux queues de M. et Y. Ce dernier me coince entre ses mains et accélère le rythme. Je sens sa bonne teub se contracter. Dans un râle étouffé, je sens son sperme inonder mes joues. Chaud et crémeux. Je ne fais rien, juste prendre sa queue en bouche pour finir de le nettoyer en avalant son dernier jet de jute. A peine le temps de tout avaler que M. me dit d’ouvrir grand la bouche. Je m’exécute en tirant la langue. Il pointe son gland et le pose sur mon visage : une avalanche de foutre m’inonde. J’ai du mal à tout retenir.  Par excitation je prends sa queue en bouche pour avaler. Ensuite, je nettoie les deux bites. Entre temps, R. est en train de me doigter le cul. Deux doigts coulissent sans peine. Avec l’excitation, je ne me rends compte de rien, tellement pris à sucer les deux queues. Il me demande de mettre à quatre pattes. Je sens son gland sur ma rondelle, je me détends le maximum. Je le sens pousser doucement. A peine le gland entré qu’il s’arrête, se retire et répète l’opération trois fois sans oublier de lubrifier avec sa salive. Histoire que mon trou s’habitue à l’intrusion de son gland qui me paraît conséquent. L’entrée de mon trou se dilate, laissant le bout de la pine de R. me pénétrer. Je sens ce serpent de chair entrer lentement. Mes parois anales se dilatent, épousent sa forme. Elle me paraît énorme. Il garde cette cadence une dizaine de minutes avant de débuter un pilonnage en règle. J’ai l’impression d’être torpillé. Il me baise vraiment bien. Je commençe d’abord à gémir, puis à couiner comme une pute. De peur de réveiller le voisinage, Y. me met sa queue dans la bouche pour étouffer mes cris. J’avale goulûment cette bite, tout en continuant de me faire prendre de manière quasi sauvage. La queue d’Y commence à durcir.  Je salive sur ce manche de chair qui me défonce également la bouche. Dans un râle, R. tombe sur moi ôte son préservatif et lâche toute sa purée. Je sens son sperme sur mes fesses. Il est vite remplacé par M. qui se masturbe dans son coin. Vu la quantité de foutre autour de mon cul, sa queue n’a aucun problème à me pénétrer. Elle glisse comme dans du beurre. R. quitte ma bouche et prend la place de M. Tous les deux se succèdent dans mon cul. Ils prennent tous les deux le temps d’enlever leur capote et jouissent sur mon visage en m’inondant et me traitant de salope à jus...  Alors qu’Y me baise la bouche avec sa longue et grosse bite. Il jute sur mes lèvres. J’avale un peu de son nectar avec plaisir. Il ést bon. Je nettoie ces trois queues en aspirant les quelques gouttes qui restent à ma disposition. J’ai du mal à me lever tant mes genoux me font un peu mal. En rentrant chez mon ami, je prends une douche pour me nettoyer du reste de sperme et surtout apaiser mon cul. J’ai du mal à marcher normalement et surtout à m’asseoir. Mon ami fait couler deux cafés puis nous regardons la vidéo de mes exploits. Quelle salope tu es, me dit-il. J’espère revoir R., M. et Y. et qu’ils me baisent à nouveau avant que je ne reparte. Peut-être chez mon ami qui aime me baiser et me donner sa queue en plus des trois autres.
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