Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 164 J'aime
  • 3 Commentaires

le retour de mon ex.

Chapitre 2

Erotique
La route est longue de la Bretagne aux Alpes, après deux heures de route, Marie s’allonge pour dormir la tête sur mes genoux, en fait de dormir elle me masse la queue, lorsqu’elle est raide, elle ouvre mon pantalon et l’avale, sa langue tourne autour de ma queue. Je je passe ma main sous son pull pour saisir un sein, elle réagit, sa bouche monte et descend le long de ma queue, mes doigts jouent avec son téton qui devient raide, sa fellation se fait plus rapide, moi j’étire son téton, elle étouffe ses gémissements en serrant ses lèvres sur ma queue.J’essaie de rester discret lorsque ma queue crache mon jus dans sa bouche, elle avale tout et nettoie consciencieusement ma queue qu’elle garde dans sa bouche, sa tête tourne pour me fixer avec un regard de salope contente de son exploit, heureusement, la radio a couvert nos petits bruits.
— On va faire un petit arrêt, j’ai besoin d’aller aux toilettes, nous annonce Mélina.
Mélina et Paul partis, Marie se met à genoux sur le siège en me tournant le dos, comprenant son message, j’investis sa chatte pleine de mouille et la prends sans ménagements avant le retour des autres. Ccette salope pose un pied sur le plancher de la voiture, ouvrant le compas de ses jambes pour mieux être investie par ma queue chaque fois que je m’enfonce en elle, un clapotis se fait entendre. Nous ne tardons pas à jouir tous les deux en libérant des cris de plaisir, Marie a juste le temps de s’essuyer avant le retour du couple qui nous retrouve sagement assis.
— Je vais m’allonger à mon tour, je vais dormir un peu.
Lorsque je pose ma tête sur ses genoux, Marie écarte ses jambes, ma bouche se retrouve à la hauteur de sa chatte, comprenant l’invitation, je commence à lécher son clito et le haut de ses lèvres, elle prend sa main dans la bouche pour étouffer ses gémissements. Je glisse deux doigts dans sa chatte, les bougeant délicatement, Marie se tend comme un arc, les dents mordant sa main, son plaisir passé, elle me fait voir sa main sur laquelle l’empreinte de ses dents est bien visible et elle commence à discuter avec notre fille, moi je m’endors.
Arrivé au Grand Bornand, on s’installe dans les deux chambres du chalet, les jeunes vont louer leurs skis et prendre l’abonnement des remontées mécaniques, Marie se déshabille.
— Je vais prendre une douche, tu viens avec moi ?
Je la retrouve sous l’eau chaude de la douche, nous échangeons de longs baisers et nos mains parcourent le corps de l’autre, ma queue ne tarde pas à montrer une belle érection sous les caresses de Marie, elle pose une main sur le fond de la douche et l’autre sur ma queue et la guide sur son œillet, une petite poussée et ma queue disparaît dans son fondement. Je lui saisis les hanches pour mieux la posséder, je la prends assez lentement, mais de puissants coups de reins pour bien m’enfoncer au plus profond, Marie commence à jouir rapidement, elle saisit mes couilles pour les malaxer, je ne tarde pas à jouir à mon tour, la remplissant de mon foutre.
Après le restaurant, direction le lit.
— Je suis morte, je n’ai plus l’habitude de jouir autant.— Pourtant tu demandes beaucoup, tu as été gâtée aujourd’hui, il me semble ? — J’ai bien joui, c’est vrai, cela me manque depuis six mois, maintenant, je t’ai pour me satisfaire.— Ne me dis pas que tu es restée sans sexe six mois, cela ne te ressemble pas, tu es trop gourmande.— Je vais en boîte le vendredi et le samedi soir, et je trouve toujours deux ou trois mecs pour baiser chaque soirée.— Tu es toujours une salope en chaleur, tu es belle et je me doute que tu t’habilles comme une pute ?— Je te ferai voir mes tenues, tu vas craquer toi aussi.
— Tu les porteras encore pour sortir avec moi ?— Bien sûr, si tu le veux ?
Le lendemain, les jeunes partent sur les pistes de ski, nous achetons des combinaisons et le nécessaire pour faire de la balade en raquette, que nous testons en petite balade, je retourne au magasin pour demander une carte avec les lieux ou faire des promenades. je laisse Marie au lit et je vais au village acheter un rasoir, j’ai oublié le mien, je traîne un peu avant de rentrer. Je referme la porte du logement, j’entends des gémissements, des cris de plaisir, interloqué, je me dirige sans bruit vers la chambre, je reste stupéfait devant le tableau que m’offre Marie.
Elle est allongée nue sur le lit, les fesses soulevées par un oreiller, elle active un gode dans sa chatte d’une main, de l’autre, elle tire une chaînette reliée à des pinces crocodiles dont les dents s’enfoncent dans ses tétons, et elle jouit de sa chatte, gicle des jets de mouille, elle m‘aperçoit.
— Viens vite, je veux ta queue.
Je me déshabille, ma queue est raide d’envie, je me place entre ses jambes que je remonte sur mes épaules, ma queue investit son cul qui s’ouvre comme une fleur, chaque fois que je m’enfonce, mon bas-ventre pousse sur le gode et le repousse dans sa chatte. Au travers la fine peau qui sépare ses orifices, je sens le gode qui frotte sur ma queue, une sensation qui me fait bander encore plus fort, Marie continue de tirer sur la chaînette et se caresse le clito, elle jouit sans arrêt, poussant des cris stridents. Je la possède un bon moment et je cesse avant de jouir, elle reste allongée, pantelante, reprenant son souffle, l’oreiller sous ses fesses est trempé de mouille, un instant plus tard, elle me regarde.
— Encore, encore.
Je retire le gode et ma queue prend sa place, il faut peu de temps pour que Marie commence à jouir, je prends le gode et le pose entre ses lèvres ouvertes et le pousse pour le faire entrer dans sa chatte avec ma queue, petit à petit, il s’enfonce entièrement dans sa chatte dilatée par les deux queues. Elle a les bras en croix, la bouche ouverte pour crier sa jouissance, quand je recule, je retire aussi une partie du gode et j’enfonce les deux en même temps, de l’autre main, je prends la chaînette pour étirer ses tétons, ses cris redoublent ainsi que sa jouissance, à mon tour, je jouis, libérant mon foutre, je la laisse sur le lit, le gode dans la chatte et me dirige vers la douche, je suis tranquillement assis dans un fauteuil, feuilletant une “BD”, Marie arrive toujours nue.
— J’en ai les jambes coupées, c’est la première fois que ma chatte est doublement investie, quelle sensation d’avoir la chatte ainsi dilatée et remplie.— Il est temps de t’habiller, les enfants arrivent dans un quart d’heure.— On va faire de la raquette, il fait beau.— Je suis incapable, j’ai mal aux jambes, tu m’as tuée.— Je te propose de faire un petit tour du village faire les magasins.
Bien sûr une femme et les fringues, Marie a craqué sur une robe bleue et une paire de chaussures à hauts talons, le soir, elle préfère reposer sa chatte et se contentera de me faire une pipe.
— Je suis en pleine forme mon homme ce matin, va faire un petit tour et reviens dans une demie heure.
Marie me donne un autre aperçu de sa gourmandise sexuelle, je l’entends crier sa jouissance depuis l’escalier, elle a posé un énorme gode ventouse sur la table du salon en bois brut donc solide, elle prend appui des deux mains sur cette table et monte lentement son corps et se laisse retomber de tout son poids. Sa chatte est complètement dilatée, ce gode doit faire le double de ma queue et vu sa longueur, elle doit avoir l’utérus percuté à chaque descente, elle pousse un hurlement de jouissance, à chaque fois. Elle a posé les pinces sur ses tétons et passé la chaînette autour de son cou, sous l’impact de chaque descente, ses seins taille "95C" tirent vers le bas, les pinces mordent la chair tendre de ses tétons, des gouttes de sang perlent dessus, je la laisse terminer sa séance de gode.
— Aide-moi à me relever chéri.
Elle se laisse tomber à genoux, de sa chatte distendue et qui reste ouverte coule un flot de sa mouille qui s’étale sur le sol.
— Encule-moi chéri.
Je lui donne satisfaction, je rentre de plus en plus facilement dans son rectum, je lui pistonne le cul le plus vite possible jusqu’à ma jouissance.
Diffuse en direct !
Regarder son live