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Retour à Palavas

Chapitre 2

Erotique
Chapitre 2

Mes jambes flageolent encore pendant mon trajet à pied pour rentrer chez moi, tant Alex m’a donné de plaisir. A la jouissance s’ajoute le soulagement d’être rassurée, de pouvoir croire de nouveau dans mon pouvoir de séduction sur les hommes, après le fiasco de ma relation avec Thomas, et la trahison de Zoé.
Après une bonne douche, je reste en tenue d’Eve, pour manger légèrement en me repassant dans ma tête le film de ce cours de voile, et de ce qui a suivi dans le vestiaire. Puis je m’installe dans un fauteuil, avec quelques livres que je me suis promise de lire. Les images qui continuent de me revenir, et la curiosité de ce qui m’attend demain m’empêchent de me concentrer. J’abandonne un premier bouquin après avoir lu le premier chapitre, sans avoir réussi à rentrer dans l’histoire. J’essaie un deuxième titre, a priori plus palpitant, avec le même résultat...
La pendule affiche 23h25, et je décide de me coucher. Je veux être en forme demain! Pour Alex...
Mais allongée nue sur mon lit, je ne trouve pas davantage le sommeil. Presque sans y penser, mes mains parcourent mon corps, en me remémorant le ballet de ses doigts sur ma peau. Et puis, son sexe, que je caresse encore en pensée. J’ai envie de le sucer. Je n’en ai pas eu le temps aujourd’hui et je le regrette. Alors, lorsque mes doigts partent à l’assaut de mon clito sorti tout seul de son étui, lorsque de mon autre main je commence à fouiller ma chatte qui coule comme une fontaine, je sens que je vais jouir encore.
Je m’abandonne à ce plaisir solitaire. Je le fais durer, cessant de me caresser lorsque l’orgasme monte, puis reprenant mes attouchements, de plus en plus fébriles. Stoppant à nouveau. Recommençant. Encore et encore. Et soudain, je ne peux plus m’arrêter, je sens que je viens.
Je jouis, si fort que j’arrive rarement seule à un tel plaisir. Je ne peux pas étouffer mes cris, ni m’empêcher de répéter d’une voix rauque "Alex... Alex", tandis que, tétanisée,  je suis secouée de spasmes.
Alors seulement, je m’endors comme une masse. Une longue nuit me permet de me remettre de mes émotions, et je me réveille en pleine forme. Il est 10h passées...
Petit déjeuner sur la terrasse solarium, après m’être enduite d’huile solaire. Je constate avec plaisir que je commence à bronzer. Ma peau mate prend très vite une couleur caramel, et il ne me faudra que quelques jours pour y parvenir à ce rythme. Sans marque de maillot... Alex devrait apprécier.
La journée s’avance (trop) doucement. J’ai tellement hâte de le retrouver... Je regarde ma montre toutes les cinq minutes. Pour tromper mon attente, je décide de faire un tour à la plage, avant mon cours de voile.
Je mets un maillot de bain très sexy. Trop pour manœuvrer sur un voilier! Mais je repasserai me changer avant le cours. C’est un mini bikini "triangles", avec un "vrai" string en bas, qui laisse mes fesses nues. J’enfile une petite robe de plage, et me voilà partie.
Arrivée sur le sable, je marche vers le bout de la plage, du côté de la Maguelone. Je sais, pour y être déjà allée qu’elle n’est pas surveillée, et qu’elle est fréquentée par des nudistes. Je ne veux pas trop m’éloigner, pour ne pas perdre de temps en revenant pour mon cours avec Alex, et je m’arrête lorsque j’aperçois les premiers estivants sans maillot, même s’ils sont encore en minorité, et qu’il y a beaucoup de monde.
J’étale ma serviette de plage, et j’enlève le haut. Seins nus, je m’allonge sur le ventre, et je commence à lire une revue. Je reste dans cette position un bon moment, savourant la chaleur du soleil sur mon dos, mes fesses, mes cuisses. J’adore cette sensation. Puis je me retourne. Je dénoue les liens de mon string, et je fronce le triangle de tissu, pour m’exposer au maximum.
Au bout d’une petite demi-heure, je ressens le besoin de me baigner, pour me rafraîchir. Je regarde autour de moi: il y a juste deux mecs nus, sans doute gays. J’ai l’impression d’apercevoir aussi un couple, mais ils sont loin. Tant pis. J’ai trop envie. Je pose mon string sur ma serviette, et je vais me baigner, en tenue d’Eve.
Tout en nageant, je pense encore à Alex. Comme ce serait bon de nous baigner tous les deux, sans maillot. J’imagine ce qu’il me ferait...
La sensation des vagues fouettant et massant mon corps est délicieuse, et je traîne un long moment. Puis je sors de l’eau, et je reviens sur ma serviette. Un coup d’œil à l’heure, sur mon téléphone: 15h40, déjà ! Je n’ai plus le temps de retourner chez moi pour me changer! Je dois aller au cours avec ce minuscule maillot...
Je m’essuie, et je remets mon bikini et ma robe. Puis, direction le club de voiles. J’arrive juste à l’heure, et je trouve Alex en conversation avec un groupe de jeunes et des parents.
Un sourire éclaire son visage, et il me dit bonjour en déposant une bise sur ma joue. Sage. Trop! Mais je comprends qu’il veut rester discret, et tant mieux. Il me demande d’aller me mettre en tenue et de prendre un gilet, et je me garde bien de lui dire que je suis déjà en maillot sous ma robe. Surtout, je me demande quelle tête il va faire en le découvrant...
Lorsque je ressors du vestiaire, le gilet ouvert, je vois avec satisfaction qu’il est seul maintenant. Et ses yeux brillent en apercevant mes fesses nues. Alex met le catamaran à l’eau, et il m’aide  monter. Oh, ses mains en haut de mes cuisses! Leur contact m’électrise déjà!
— Très sexy, ton maillot, me dit-il pendant que je me hisse sur le trampoline.— Je suis désolée, il n’est pas très adapté. J’étais à la plage, et j’avais oublié l’heure. Je n’ai pas eu le temps de passer en prendre un autre chez moi.— Mais il est très bien. J’adore!— Merci Alex, dis-je en minaudant.
Je boucle mon gilet, pendant que le voilier s’élance. Il n’y a que peu de vent, et Alex est obligé de tirer des bords pour faire avancer notre bateau. Je serais bien incapable de barrer comme il le fait et je me contente de gérer le foc. Je suis obligée de me déplacer à quatre pattes sur le trampoline à chaque changement d’amure, et je lui offre - plus ou moins consciemment - un joli point de vue sur mes fesses, et sur mon minou à peine caché par mon string.
— Avec une démarche pareille, je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps, avoue-t-il pour mon plus grand plaisir.— Tu crois? lui dis-je, pendant qu’il place le Hobiecat vent arrière.
Je viens contre Alex, et il écarte les jambes pour que je puisse me lover contre son torse. C’est maintenant le calme plat, et nous avançons à peine.
Il se fait caressant. Il ouvre mon gilet, et il commence à jouer avec l’un de mes seins, qui pointe si fort que ma petite aréole s’échappe du soutien-gorge. Je renverse ma tête en arrière, pour lui offrir mes lèvres, et je lève mes bras pour entourer son cou. Dans ce mouvement, mes seins remontent et il s’occupe de mes deux petits nichons, tournant mes tétons avec la pulpe de ses doigts. D’autant plus facilement que les triangles des bonnets ont glissé, et que je suis quasiment topless...
La main d’Alex descend, se glisse à l’intérieur de mon string. Oh oui!... Ses doigts s’agitent d’avant en arrière entre mes grandes lèvres, les écartant, ils trouvent ma fente déjà entrouverte, pleine de mouille.
Derrière mon dos, ma main descend aussi le long de son ventre, force l’élastique de ton bermuda. Ça y est, je la sens, sa queue qui ne cesse d’occuper mes pensées depuis hier. Elle est là, déjà dure et gonflée, épaisse, comme je les aime pour coulisser dans ma chatte étroite..Nous ne nous occupons plus de la marche du bateau, qui dérive doucement et s’approche du rivage, une petite bande de sable coincée entre les rochers. Alex a pris mon petit bouton d’amour entre son pouce et son index, et il le masse avec délicatesse, il le fait tourner, m’arrachant des gémissements de plaisir. Au comble de l’excitation, je lui rends ses caresses en branlant son sexe tendrement.
Soudain, il réalise que le cata est proche de la côte, et il m’écarte pour reprendre la barre et border les voiles. Il me montre la petite plage, en me disant :
— Et si nous nous arrêtions là ? J’ai trop envie de toi…— Oh oui, mon Alex. Moi aussi j’ai envie de toi, de ta bite dans ma chatte, d’être à poil au soleil avec toi.
Mon état d’excitation est tel que j’oublie toute retenue. J’utilise des mots crus, et je suis en train malaxer mes seins nus et de me doigter devant lui. Pour être plus à l’aise, j’ai dénoué un des liens de mon string, qui pend le long de ma cuisse.
Me voir dans cet état lui fait perdre ce qui lui restait de sang froid. Alex ouvre son short, et libère son pieu dressé, tout près de mon visage. J’en rêvais…
Je prends ta tige entre mes doigts, qui montent et descendent, découvrant son gland gonflé, sur lequel se posent mes lèvres. Des petits baisers légers d’abord. Puis la pointe de ma langue qui l’agace, l’entoure, lèche la longue tige dure comme de la pierre. Et enfin… Je le prends dans ma bouche. Je le suce avec gourmandise.
Je lève les yeux vers Alex, et je lui jette un regard coquin, pendant qu’il murmure « Oh, c’est bon !!! »
Nous ne sommes plus qu’à quelques mètres de la plage, et il écarte mon visage, pour contrôler l’arrivée de notre voilier sur le sable. A peine s’est il immobilisé qu’il me tire par les pieds, au bord du trampoline, et qu’il arrache mon pauvre string.
Sa tête plonge entre mes cuisses, et je sens son souffle sur mon mont de Vénus tout lisse, sa bouche qui se plaque contre ma chatte affamée, sa langue…. Oh sa langue ! Je n’attendais que ça ! IL dévore mon abricot gorgé de sève. Je gémis, je crie, appuyant mes deux mains sur sa tête comme si je voulais l’empêcher de mettre un terme à ce cunni, divin. Je coule, et ma cyprine macule son visage en se mêlant à sa salive.
C’est trop bon. Mes cuisses se serrent autour de sa nuque, je me raidis, je me cambre… Et je jouis, je gicle déjà sur ses joues, dans sa bouche.
Je n’ai pas repris mon souffle qu’Alex se relève, et qu’il se débarrasse en un éclair de son short de bain. Je contemple sa queue dressée le long de son ventre, et je jette sur le sable mon soutien-gorge, inutile.
— Je te veux, rugit-il. Je veux te baiser.— Oh oui, baise moi. Défonce moi. Fais moi jouir encore. Fais moi hurler. Je veux être à toi.
Je me suis relevée aussi, et je passe mes bras autour de son cou. Je l’embrasse, à pleine bouche, et tandis que nos langues se mêlent, il me porte contre un rocher. Ses lèvres descendent sur mes seins, il mordille les pointes, pendant que je le caresse fiévreusement.
C’est un soulagement quand il me retourne et me fais écarter les cuisses. Enfin. Je pose mes mains sur le rocher, et je me cambre. C’est à peine s’il a besoin d’ouvrir ma fente avec ses doigts, tant elle est déjà ouverte et trempée, et son gland s’enfonce en moi, facilement, profondément.
Il commence à aller et venir dans mon intimité, et très vite, ses coups de reins se font de plus en plus brutaux, me décollant du sol. Je gémis, je crie de bonheur, mais j’ai du mal à conserver l’équilibre.
Alors, sans se retirer, Alex me fait m’agenouiller sur le sable, et il me baise à nouveau, plus fort. D’autant plus que je me cambre, et que je bouge mon bassin pour mieux me faire perforer. Lorsqu’il ralentit, c’est moi qui contractes les muscles de mon fourreau, comme pour broyer ce gland qui me fait grimper au septième ciel.
— Tu aimes quand je te baise comme ça ? Me demande-t-il.— Oh ouiiii. Je voudrais que ça n’arrête jamais.— Tu me sens bien ?— Ou… Oui… Et toi, tu aimes ça ? Dis-je en contractant de nouveau ma chatte.— J’adore… Tu es vraiment cochonne… Tiens ! - et il s’enfonce d’un seul coup au plus profond de mon minou, en agrippant mes hanches.— Ooooooh ! Salaud… Oh oui, c’est trop bon… Continue…
A ce moment-là, Alex me tire les cheveux. Sur un chemin qui surplombe la plage, j’aperçois un homme qui nous observe, en se masturbant. La vision de ce voyeur nous excite un peu plus. Alex  se retire presque entièrement, et sa main s’abat sur ma fesses. Une grande claque sonore, qui va sûrement les faire rougir.
— Ça te plaît de te faire fesser en public ?— Oui… Oh putain, ça m’excite. Encore…— Comme ça ? Me demande-t-il pendant que les gifles se succèdent, et que je me cambre encore davantage pour lui offrir mon petit cul.— Oui… Défonce moi… Je vais jouir…— Moi aussi… Ça vient… Oh je ne vais plus pouvoir me retenir !— Je viens… Oh oui, je jouis… Je te veux ! Je veux ton foutre !
Je suis secouée de longs spasmes, et je le sens cracher un premier jet de semence dans ma chatte. Il se retire et il se colle contre moi, et je sens des flots de sperme gicler, couler sur mes reins, mes fesses.
Je reste agenouillée sur le sable un court moment, et je relève la tête. Notre voyeur est parti. Alex m’aide à me relever. Il m’embrasse, il me touche encore, pendant que ma main caresse son sexe qui vient de me donner tant de plaisir.
— Ca t’a plu ? Me demande-t-il.— A ton avis… Et je ris.— Moi aussi. J’ai pris un pied d’enfer. J’ai envie de recommencer.— Quand tu voudras, Alex. On va se baigner ?
Nous plongeons dans l’eau. Nous nous embrassons encore, et nous rions pour un oui pour un non. Mais il est l’heure de rentrer, et nous remontons sur le catamaran.
Je décide de ne pas remettre mon bikini, tant je me sens bien, et j’enfile juste mon gilet de sauvetage. Tout au long de notre courte navigation, je sens le regard d’Alex sur mon corps nu, et ce n’est qu’à l’approche de l’école de voile que je remets mon maillot.
Pendant que je repasse au vestiaire, il remonte le bateau et  range le matériel. Il n’a pas encore terminé quand je le rejoins.
— Ambre… Aimerais tu qu’on sorte ensemble ce soir ?
Je frémis en entendant ces mots, que j’espérais.
— Si tu veux… Tu ne peux plus te passer de ton élève ?— Je crois que non.— Tant mieux. Où veux tu m’emmener ?
Une longue et belle soirée s’annonce...
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