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Chapitre 6

Avec plusieurs femmes
Chapitre 6

Sandra et moi, nous prenons le chemin du club de voile, en nous tenant par la main, et en évoquant à demi-mots le moment intense que nous venons de passer toutes les deux. Pendant tout le trajet, Sandra essaie de me faire raconter ce qui se passe avec Alex, sur le catamaran, pendant les cours, mais je ne lui réponds que de façon très évasive.
Au bout de quelques minutes, le bâtiment du club et les mats des bateaux sont en vue. Je cherche des yeux mon beau moniteur, mais je ne l’aperçois qu’au dernier moment, en train de préparer notre Hobiecat. Je lis la surprise dans son regard, lorsqu’il découvre Sandra à mes côtés, mais il ne me pose pas de question, et il me dit bonjour en m’embrassant sur la joue, comme le ferait un prof avec son élève.
— Comment vas tu Ambre? Me demande-t-il en posant sa main sur ma hanche.— Très bien ! Sandra est venue chez moi, nous avons passé un très bon moment toutes les deux.
Je ne peux pas m’empêcher de me tourner vers la jolie métisse, et de repenser à son corps nu et à nos ébats. Nos regards n’échappent pas à Alex, il semble plonger dans un gouffre de perplexité, et un silence s’installe, que je romps en lui demandant :
— Nous nous sommes dit qu’elle pouvait venir avec nous faire un tour de catamaran. T’es d’accord ?— Oui bien sûr, aucun souci! Tu n’as pas de maillot Sandra?— Si, j’ai un bas de maillot sous ma jupe, répond Sandra. - Très bien! Allez chercher des gilets je vous attends au bord de l’eau, et je m’occupe de sortir le cata.
Nous allons toutes les deux au vestiaire chercher les gilets, et j’y laisse ma petite robe de plage. Si Sandra garde – pour l’instant – son débardeur et sa minijupe, je ressors pour ma part en maillot. Un modèle qu’Alex n’a pas encore vu ; un une pièce, constitué de deux étroites bandes d’un tissu blanc, extensible, partant de mon pubis, couvrant à peine mes tétons, et redescendant dans mon dos en se rejoignant à la naissance de mes fesses nues. Je ne l’ai pas encore porté en public…
Le gilet de sauvetage ouvert ne cache rien de ma tenue, et il me dévore littéralement du regard quand nous approchons de lui. Je sens aussi une pointe de curiosité dans ses yeux, lorsqu’ils se posent sur Sandra : que peut-elle bien porter sous son débardeur et sa minijupe ? Enfin, surtout en bas, car il ne fait aucun doute qu’elle ne porte pas de soutien-gorge.
Nous montons tous les trois sur le trampoline, Alex prend la barre et il m’ordonne de m’occuper des voiles, en reprenant le ton ferme du moniteur. Le cata s’élance sur l’eau. Le temps est idéal, avec une légère brise régulière et une mer calme.
Pendant que je m’active pour régler les voiles, bordant ou choquant les écoutes au gré des changements de cap, Sandra se prélasse sur le trampoline. A demi étendue, les mains derrière la tête, sa poitrine généreuse émerge de son débardeur, découvrant même en partie ses aréoles sombres.
Trop occupée par mes manœuvres, je ne peux pas surveiller ce que font Sandra et Alex, derrière moi. C’est à peine si je les vois, pendant que je me déplace à genoux sur la toile tendue, mais je sens leurs regards rivés sur moi. Sans doute parce que mon maillot ne cache pas grand-chose de mon anatomie.
C’est un gémissement de plaisir de Sandra, qui me fait me retourner. Un son que j’ai déjà entendu cet après-midi…
Elle est en train de se caresser. Elle joue avec les pointes de ses seins à travers son débardeur, et son autre main est sous sa jupe, retroussée, écartant son string. Un de ses doigts titille son clito, et va et vient entre ses petites lèvres. Oh putain ! Je sens mon désir pour elle qui revient. Et elle le devine.
— Approche Ambre, me dit-elle avec un air gourmand.
Je bloque les écoutes sur leurs taquets, et je m’approche d’elle, toujours à genoux. Je passe un bras autour de son cou, et je l’embrasse à pleine bouche. Sa langue s’insinue aussitôt entre mes lèvres, et je prends ses seins dans ma main. Ils sont durs comme du bois, et je les malaxe fiévreusement.
Sandra me débarrasse de mon gilet, et répond à mes caresses. Ses mains sont à leur tour sur mes fesses, puis se glissent entre mes cuisses. A travers le mince tissu de mon maillot, elle suit du bout des doigts les contours de mon petit abricot, la fente qu’il abrite, et d’où commence à couler un mince filet de cyprine.
Je jette un coup d’œil dans la direction d’Alex. Captivé par le spectacle que nous offrons toutes les deux, il bande, et la bosse qui déforme son bermuda en dit long sur son état. Malgré tout, il continue de barrer, en maintenant le bateau assez loin de la côte, pour nous mettre à l’abri des regards.
Je lui adresse mon sourire le plus coquin, pendant que Sandra embrasse mes petits nichons gonflés. Pour lui faciliter la tâche, je fais glisser les bretelles de mon maillot. Sa bouche s’empare d’un de mes seins, l’embrasse, le lèche. Elle mordille la pointe qui se dresse, et je gémis de bonheur. D’autant plus que ses doigts continuent de caresser mon minou, sous mon maillot.
De plus en plus excité par notre duo, Alex veut en voir toujours plus.
— Mets toi plus à l’aise Ambre, retire ton maillot, me demande-t-il, aussitôt épaulé par Sandra, qui renchérit :— Oui vas y, ma chérie, la nudité te va si bien.
Je dois avouer que j’ai envie d’être nue, et je ne me fais pas prier. Lentement, je fais glisser le long de mes jambes mon petit maillot, et je le tends à Alex, en le fixant avec un air provocant.
C’est maintenant au tour de Sandra de se donner en spectacle. En me regardant dans les yeux, elle se débarrasse de son gilet de sauvetage, soulève son débardeur, qu’elle fait passer par dessus sa tête, dans un geste sensuel. Ses superbes seins en poire, aux reflets chauds et aux pointes sombres, qu’elle presse entre ses mains pour les faire pigeonner encore plus, m’hypnotisent.
Elle m’attire contre elle, mon dos calé contre son ventre. Ma tête nichée au creux de sa poitrine, nous faisons face à Alex. Une de ses mains descend sur ma poitrine, et commence à jouer avec mes tétons. Elle sait s’y prendre pour m’exciter, la garce ! Elle les tourne entre ses doigts, les pince, me maintenant à la limite entre douleur et plaisir – juste quand la douleur se transforme en plaisir – et je ne peux retenir des petits cris.
L’autre main de Sandra descend encore plus bas. Sur mon ventre, à la naissance de mes cuisses, que j’ouvre grand. Elle caresse mes grandes lèvres, sur lesquelles perle ma mouille. Elle les écarte, avec deux doigts, ouvrant mon petit abricot juteux. Alex n’en perd pas une miette.
Je le regarde, je ferme les yeux quand le plaisir est trop fort, et que j’ai l’impression de chavirer. Sandra a délogé mon petit bouton. D’une main experte, elle lui offre toutes les variantes des caresses qui font monter le plaisir, de l’effleurement avec les pointes de ses doigts, au pincement de la petite hampe qu’elle tourne… Je feule, tant c’est bon. Je coule, ma cyprine inonde le trampoline, sous les yeux d’Alex, et l’expression de son regard démultiplie mon plaisir. Je sens que je vais venir. Je n’en peux plus. Je crie !
— Oui vas y, je vais jouir putain!— Vas y chérie, lâche toi, montre nous! , me murmure Sandra, en accélérant le rythme des mouvements de ses doigts.
Je respire de plus en plus vite, et tout mon corps est secoué de spasmes. J’essaie de retarder l’inéluctable, tout en lovant ma tête entre les seins de Sandra, que je lèche entre deux gémissements.
Alex se branle à travers son short, et lui aussi, il n’en peut plus. Il encourage Sandra, comme le ferait un supporter sur un stade.
— Vas y Sandra, elle est à bout, prête à exploser.— J’espère bien, répond-t-elle.— Oui, continue… Je vais jouir… Ooooh, putain, putain.. C’est bon… Ça y est !!!
Sandra fouille ma chatte à un rythme d’enfer, dans un grand bruit humide qui se mêle à celui de la mer. C’en est trop… Un orgasme explose dans mon ventre, et je me tords de plaisir en criant, et en giclant sur le trampoline.
Pendant que je récupère, haletante, Sandra continue de me doigter doucement, tendrement. Je relève les yeux vers Alex, et je lui souris, avec une expression perverse, en ouvrant mon minou pour qu’il puisse mater mon abricot juteux, béant, et les doigts luisants de mouille de Sandra qui en sortent et y entrent lentement.
Lorsque je reviens sur terre, Sandra me glisse à mi-voix :
— Et si tu t’occupais de moi, maintenant ?— Tu veux que je te fasse jouir aussi ?— Oui… commence par me foutre à poil, j’ai envie d’être nue, comme toi.
Sandra s’installe, en appui sur ses coudes, et je dégrafe sa jupe. Puis elle soulève ses fesses, pour que je fasse glisser son string. Je le lui retire, et je le lance à Alex.
— Regarde comme il est mouillé, lui dis-je en riant.
Il le porte à son visage, et il respire les effluves de la chatte de Sandra, l’odeur de sa cyprine alliée à son parfum capiteux.
Sandra me rappelle à l’ordre, en me prenant par le cou, et en guidant mon visage entre ses cuisses. A genoux, je me cambre, en offrant à Alex le spectacle de mes fesses et de ma chatte, et je pose mes lèvres sur le minou de Sandra, qui se cabre.
Je commence par l’embrasser, en appuyant de plus en plus ma bouche. Puis ma langue se glisse entre ses grandes lèvres, les écarte doucement, effleure son clito qui se dresse déjà, sorti de son étui. Je l’enserre délicatement, puis je l’aspire, je le suce.
— Oh oui c’est ça, vas y ! Bouffe moi!!! Hummmm c’est bon, me lance-t-elle en agrippant mes cheveux, et en prenant soin d’ouvrir ses longues jambes le plus possible.
Puis elle attrape l’arrière de ses cuisses pour les tenir et s’offrir entièrement à moi. Elle coule dans ma bouche, comme une fontaine, et je bois sa mouille. Elle n’arrête pas de gémir, de plus en plus fort, ses cris montent dans les aigus lorsque j’enfonce mes doigts dans sa fente.
Trop occupée, c’est à peine si je me suis rendue compte du fait qu’Alex avait viré de bord, et qu’il dirigeait le catamaran vers la côte. Pendant ce temps, Sandra, elle, tient toujours ses cuisses grandes ouvertes, la tête basculée en arrière elle me supplie.
— Oui oui oui oui.....OUIIII, oh là vache!! c’est bon...!— Ça te plaît, hein, ma petite salope ?— Oui… Oh continue comme ça… Tu vas me faire jouir.— Pas encore. Pas avant que je te le dise.
C’est à ce moment là que le voilier arrive doucement sur le sable, sans secousse. Alex se met à genoux et il vient à côté de nous.
Je frissonne, quand je sens sa main caresser mon dos, descendre entre mes fesses. Je sais où elle veut aller, et je me cambre un peu plus. Elle atteint son but… Mon petit abricot, qu’il masse, qu’il presse, comme pour en extraire le jus, qui coule déjà. Puis son majeur s’insinue entre mes petites lèvres, ouvre ma fente, et me pénètre facilement
— Oui, Alex, vas-y. Doigte moi la chatte pendant que je bouffe le minou de Sandra, lui dis-je en relevant la tête.
Je me déchaîne dans la grotte de la jolie métisse. Trois de mes doigts s’activent frénétiquement, pendant que je masse son clito avec mon pouce. Sans doute excité par ce spectacle, Alex glisse son index dans ma chatte inondée, et il me pistonne très vite. C’est un véritable concert de gémissements, de bruits humides, qu’accompagnent les claquements de sa main et de la mienne sur mes fesses et sur celles de Sandra.
— Ambre…. Oooooh Ambre ! C’est bon… Tu vas me faire jouir… Je t’en supplie, plus vite !, s’exclame Sandra.— Vas-y Ambre, elle est prête… Finis la, m’ordonne Alex en appuyant ma tête entre ses cuisses.
Un orgasme la terrasse. Elle crie son plaisir, mais je suis trop excitée, et je continue de la lécher et de la doigter. C’est encore pire lorsque je sens les doigts d’Alex sortir de mon sexe, remonter entre mes fesses, et caresser mon petit œillet plissé. Je repense à la nuit dernière, quand il m’a prise par mon petit trou. Comme c’était bon…
Pendant qu’il touche mon petit cul, il se rapproche de Sandra, qui s’offre toujours à mes doigts, appuyée sur ses coudes. De sa main libre, il pétrit ses superbes seins, qui rebiquent fièrement. Il prend les pointes sombres entre ses doigts, il tire dessus, il les tord, arrachant à Sandra de nouveaux gémissements.
— Approche Alex, lui dit-elle.
A ces paroles, il ouvre son short, et son sexe, tendu comme un arc se déploie. Je me rends compte à quel point nous lui avons fait subir un supplice de Tantale, en nous exhibant et en nous faisant jouir toutes les deux devant lui.  
Comme il approche sa queue du visage de Sandra, elle se soulève un peu, et gobe littéralement son gland gonflé, comme prêt à éclater. Elle se rue sur son engin, comme une possédée. Sans l’aide de ses mains, elle engloutit sa verge, l’enfonçant le plus loin possible jusqu’au fond de sa gorge. Des filets de salive coulent aux commissures de ses lèvres distendues.
Sandra n’en peut plus. Elle va jouir encore et, comme chez moi, le second orgasme est d’une violence incroyable. Elle hurle de plaisir, ses mains se crispent dans ma chevelure, et de longs jets de sa liqueur giclent dans ma bouche et sur mon visage. Malgré ça, je ne l’abandonne pas encore. Ma langue et mes doigts l’accompagnent, jusqu’à un dernier spasme qui nous laisse épuisées, toutes les deux.
Je me relève enfin, aussi épuisée que Sandra. Mes joues, ma bouche sont maculées de cyprine, qui coule sur mon cou, jusque sur mes seins.
Je découvre alors Alex, en train de se branler, devant nos deux corps nus, abandonnés. Il approche son sexe de mon visage. Malgré ma fatigue, je ne peux lui refuser ce plaisir, dont j’ai tant envie, moi aussi.
Sa main enserre sa tige épaisse, et il la guide vers ma bouche qui s’ouvre, gourmande. Oh putain ! Ce que j’aime le sucer ! Je tête son gland, je l’entoure de petits coups de langue, je l’aspire, comme si je voulais l’avaler. Ma main serrée va et vient le long de sa bite. Mes ongles se plantent dans ses fesses, tant je suis de nouveau excitée, malgré ma fatigue.
A coté de nous, Sandra "revient à elle", et elle veut sa part du festin. Sa main remplace la mienne. Elle branle Alex à son tour, elle lui masse les couilles, pendant que je continue de le sucer, comme une vraie salope. La tête renversée en arrière, les yeux fermés pour mieux goûter les sensations que nous lui procurons, il nous a saisies par les cheveux, et il grogne de plaisir, comme un fauve.
Nous l’avons rendu fou de désir. Il repousse ma tête, et je devine ce qu’il veut. C’est ce que je veux aussi. Je m’allonge sur le dos, sur le trampoline, je lève et j’écarte mes jambes. Mes yeux brillent d’une lueur coquine en regardant son sexe dressé.
— Vas-y Alex, baise moi, prends moi. Fais moi tout ce dont tu as envie.— Tu vas être servie, Ambre. J’ai envie de te faire hurler de plaisir, de démonter ta petite chatte à grands coups de queue.— Oui. Viens.
Il se positionne entre mes cuisses, en appui sur ses bras tendus, et d’une seule poussée, sans avoir eu besoin de le guider vers ma fente luisante de mouille, il me pénètre jusqu’au fond de ma grotte.
Dans l’état où nous sommes, pas besoin de préliminaires. Il me baise de toutes ses forces, à grands coups de reins. Mon corps rebondit à chaque fois sur le trampoline, qui n’a jamais si bien mérité son nom.
— Ouiiii…. Ooooh oui…. C’est trop bon. Prends moi comme une chienne, lui dis-je entre deux cris, pour l’encourager.
Sandra a commencé par caresser ses seins en nous regardant. Mais très vite, elle a eu envie de se joindre à nous. Elle me caresse la poitrine, elle pince mes nichons. Sa main descend sur mon ventre, mon mont de Vénus. Elle n’a pas à chercher mon clito, qui darde, et elle le frotte du bout de son majeur. Une décharge électrique me secoue, et je délire presque.
— Oh putain ! Putain ! Vous allez me rendre dingue… Ooooooh, ouiiii ! J’adore !
Alex empoigne Sandra par ses tresses, et il la force à mettre son visage sur mon ventre. Alors, il se retire de ma chatte, et il plante son mandrin plein de ma sève dans sa bouche. Ses lèvres pulpeuses sont distendues par son sexe, qui étouffe ses petits cris.
— Suce moi, salope, lui crie-t-il. Tu aimes qu’on te traite comme ça, hein ?
Elle ne peut pas lui répondre, mais le regard soumis et pervers qu’elle lève vers lui parle pour elle. A mon tour, je tords ses tétons dressés, et sa plainte monte dans les aigus.
Alex se retire de sa bouche, pour s’enfoncer à nouveau dans mon minou, et me baiser encore plus fort. Et il alterne, entre la bouche de Sandra et ma fente, pendant qu’elle torture mes petits nichons, et je feule en permanence.
Je contracte les muscles de mon fourreau, quand Alex est en moi, pour mieux le sentir quand il se frotte contre les zones sensibles de ma chatte, et lorsqu’il touche mon point G. Avec les caresses de Sandra, et la vue que j’ai quand elle le suce, je sais que je ne peux plus tenir longtemps. Je sens que je viens…
— Oh oui… ou...ouiiiiii !…. Encore… Fais moi mal Sandra… Oh j’aime… Et ta…Aex !..Ta bite… Je vais j… jouir. !… Je…. Aaaaaaaah ouii !!
Cet orgasme !…. Quel pied ! Je suis secouée de spasmes pendant de longues secondes, et j’ai l’impression que ce plaisir ne va pas prendre fin.
C’est à ce moment là qu’Alex éjacule. Je sens un flot de sperme envahir ma grotte. Il se retire, alors que de longs jets d’un foutre épais et crémeux continuent de jaillir de sa bite, qu’il tient à pleine main, et viennent mourir sur mon ventre et sur mes cuisses.
Je suis épuisée, dans un état second, et je reste étendue sur le trampoline, les bras en croix, les cuisses ouvertes sur ma chatte, dont s’échappe un mélange de cyprine et de sperme, créant une petite flaque sur la toile.
Mais Alex n’a pas baisé Sandra, et elle ne cache pas sa déception. Elle se ressaisit vite et, en minaudant, elle lui propose de se baigner avec elle.
Ils descendent tous les deux dans l’eau, et je les regarde s’avancer dans les vagues, qui éclatent sur leurs corps nus. Ils jouent ensemble, ils chahutent, et je ne peux m’empêcher d’admirer leurs physiques. Quelle chance pour moi de pouvoir faire l’amour avec une femme et un homme, beaux, libres, sans tabous. Je ne pense même plus à Thomas et à Zoé !
Je n’ai pas bougé d’un centimètre, lorsqu’ils reviennent vers le rivage. Ils ont de l’eau aux genoux, quand je vois Sandra s’agenouiller devant Alex. Elle prend son sexe entre ses mains. Elle le branle, pendant qu’ils échangent des paroles que je n’entends pas. Et elle se met à le sucer.
Elle a dénoué ses tresses, libérant une crinière toute frisée, et pendant un long moment je ne vois que sa chevelure, secouée au rythme des mouvements de sa bouche sur sa tige. Puis Alex la repousse, elle se relève, et il la conduit vers moi, en la tenant par la main.
Sandra est devant moi, debout, et une lueur étrange brille dans son regard. Et c’est sur un ton très dur, autoritaire, qu’Alex s’adresse à elle.
— Sandra, tu as vu dans quel état est Ambre ? Tu vas la nettoyer, avec ta langue.
Elle commence à se pencher, et il lui assène une grande claque sur ses fesses rondes.
— Mets toi à genoux ! Et cambre toi, écarte les cuisses, pour bien me montrer ta petite chatte de salope.
Comme elle ne s’exécute pas assez vite, il bloque ses poignets derrière son dos, et sa main vient cingler de nouveau le petit cul de la jolie métisse, qui pousse un cri de douleur.
Sandra commence par lécher mon visage et mes seins, sur lesquels sa mouille a séché. J’adore le contact de sa langue, un peu rappeuse comme celle d’un petit chat, et je me mets à caresser ses seins. Mais Alex intervient.
— Ne sois pas douce avec elle, me dit-il, ce n’est pas ce qu’elle attend. Pince la, fais lui mal.— Oh oui… c’est bon, me murmure Sandra, quand j’écrase entre mes doigts ses longs tétons sombres.
C’est alors que je comprends… Sandra est dans un jeu de soumission. Je n’ai jamais été tentée par la domination, mais soudain, nous retrouver dans cette situation m’excite.
— Maintenant, son ventre et sa chatte, lui ordonne-t-il. Sans oublier ses cuisses.
Et ce nouvel ordre est ponctué d’une nouvelle fessée, dont les claquements secs résonnent sur la plage.
Sandra ne ménage pas sa peine. Elle récupère sur la pointe de sa langue ma sève et son sperme, qu’elle savoure avec une expression gourmande. Sa bouche tourne autour de mon mont de Vénus tout lisse, et je saisis brutalement sa crinière, pour la forcer à insister entre mes cuisses, sur ma chatte qui coule de nouveau.
— Lèche mon minou, petite pute, dis-je à Sandra, en me prenant au jeu.— Fais ce qu’elle te dit, aboie Alex, en giflant de nouveau, à toute volée, la peau sombre de ce joli cul offert.
Sandra gémit, mais je sens sa langue et ses doigts s’activer plus fort sur mon petit fruit mur. Elle ouvre ma fente avec ses doigts, tête mon petit bouton, et soudain… Sa langue vrille ma fente… Je crie de plaisir.
Je ne sais plus si c’est sa langue ou ses doigts, qui vont et viennent dans mon intimité, tant les sensations qui me traversent sont fortes. Je devine la présence d’Alex près de nous, sans savoir ce qu’il fait, et soudain, j’entends sa voix grave.
— Tourne ta tête vers moi, Ambre. Et toi, Sandra, viens sur elle en 69.
J’obéis à mon tour. Ma tête se retrouve sur le bord du trampoline, et je vois Alex, debout sur le flotteur. Sandra vient s’agenouiller, son entrejambes au dessus de mon visage. Ce spectacle… Ses fesses marquées par les claques. Sa fine toison en ticket de métro. Son petit coquillage rose nacré, entrouvert, d’où coule sa mouille…
— Continue de la lécher, Sandra, ordonne Alex. Et toi, Ambre, regarde… Tu la veux, ma bite dans ta chatte, petite salope de métisse ?— Oh oui, baise moi, répond Sandra. Vas-y. Prends moi comme une chienne, défonce moi.
La bouche de Sandra s’est posée de nouveau sur ma chatte, et s’active. Mais je suis incapable de rester passive. Je bouge mes hanches, pour mieux m’offrir à la jolie métisse. Et de mes doigts, j’écarte ses petites lèvres, au dessus desquelles pointe son clito.
En gros plan, je vois le gland d’Alex s’approcher de sa proie. Il le guide de sa main enserrant sa tige épaisse, et il la frotte doucement à l’entrée de la grotte de Sandra.
— Tu veux toujours ? Demande-t-il.— Oui, oui… Viens, je t’en prie, supplie Sandra. Je n’en peux plus… Fais moi jouir, comme Ambre.
Alors, je vois sa queue s’enfoncer d’un seul grand coup de reins dans le petit minou de Sandra. Elle crie, et se cambre, sous la violence de cette pénétration, mais il la tient fermement par les hanches.
Il est déchaîné, et il ne lui fait pas grâce d’un seul millimètre de son sexe, raide comme un morceau de bois. Malgré ses plaintes, il s’est enfoncé jusqu’au tréfonds de son intimité, et il se met aussitôt à aller et venir entre ses grandes lèvres couleur d’ébène.
— Ça te plaît, de te faire prendre comme ça, hein, salope.— Oui, c’est bon… Oh ouiii ! Plus fort !… Baise moi !
Le bassin d’Alex claque contre les fesses de Sandra. De la cyprine luisante sourd à chaque fois que sa bite plonge en elle, avec de petits bruits humides qui me portent au comble de l’excitation.
Sandra, la surprise passée, me lèche et me suce de plus belle. Elle me doigte. Trois doigts, qui fouillent fébrilement ma fente en feu. Je soulève mon bassin, pour mieux m’offrir à ses caresses. Je sens sa poitrine se frotter contre mon ventre, au rythme des coups de queue, et je malaxe mes seins, sans même m’en rendre compte.
Ce ne sont plus que cris, halètements, et gémissements qui couvrent le bruit de la mer. Sandra coule dans ma bouche, et avec mes doigts, je triture son petit bouton, je le fais tourner, je le pince. Je ne sais pas si ses cris manifestent la douleur ou le plaisir – peut-être les deux – mais ils m’excitent et m’incitent à continuer, de plus en plus fort.
— Écarte ses fesses, Ambre, me commande soudain Alex.— Qu’est ce que tu vas faire ? s’inquiète Sandra, affolée.— Je veux ton cul !— Non !!! Ta queue est trop grosse… Je suis pas prête !
Alex et moi restons insensibles à la panique de notre belle métisse. Et il commence quand même à la préparer avec son pouce, enduit de salive et de cyprine.
Moi, je prends les fesses de Sandra, à pleines mains. Je les écarte, en plantant mes ongles dans les deux globes fermes. Je vois la queue d’Alex continuer à entrer dans sa fente et à en sortir, moins vite, et j’en profite pour lécher le petit bouton de ma complice, dont les dents viennent mordiller le mien, en réponse. Putain, ce que c’est bon ! Je ne sais plus sur quelle planète je me trouve, tant je suis excitée, dans un état proche de l’orgasme en permanence.
Et puis, le moment redouté par Sandra arrive. Alex se retire de sa chatte. Il remonte son mandrin entre ses fesses, que j’écarte de plus belle. Et je vois son gland s’enfoncer tout doucement dans la rosette, sombre et serrée. Presque imperceptiblement, au départ. Et Sandra gémit comme un animal blessé, pris au piège.
Il tire ses cheveux, pour l’obliger à se cambrer davantage, et j’enfonce mes doigts dans sa chatte inondée. A travers la mince paroi, je sens la progression de son pieu… J’imagine à quel point Sandra doit se sentir remplie, dilatée, et je la plains autant que je l’envie.
— T’aimes ça, te faire enculer, salope, demande Alex, d’une voix hachée.— Oui, avoue Sandra, piteuse.— Tu veux que j’arrête ?— Non, non !!! Continue… J’ai mal, mais c’est si bon..— Tu veux toute ma bite dans ton petit trou ?— Oui… Oh doucement… Oui, comme ça.
Je suis aux premières loges, pour voir la large queue plonger difficilement dans la rosette  étroite et sombre, qui semble prête à éclater. Sandra me doigte de nouveau. Elle me remplit… Combien de doigts ? Trois ? Quatre ? Ça n’a pas d’importance, c’est trop bon.
Toujours agrippée à ses fesses, je profite qu’elle reste presque immobile, pendant qu’elle se fait enfiler, pour lécher et sucer son clito. Elle hurle de plaisir, se cambre davantage au moment où mes dents se resserrent sur son petit bouton dardé, et excité par ce cri, Alex s’enfonce complètement d’une seule poussée.
Sans nous consulter, nous marquons une courte pause, et nous n’entendons plus que la respiration courte et sifflante de Sandra.
Puis Alex recommence à bouger dans son cul. D’abord tout doucement. De petits va-et-vient. Elle se met à onduler des hanches, presque imperceptiblement, et je masse ses seins gonflés. Les mouvements d’Alex se font un peu plus amples. Je fourre deux doigts dans le minou de Sandra… Je touche son point G… Et c’est comme si j’avais déclenché le détonateur d’une bombe…
— Oh vas-y Alex ! Baise mon petit cul… Défonce moi, crie soudain Sandra.— Tu en veux ? Tu vas être servie !— Oui, oui, comme ça… Plus fort !… Oh la vache…— Tiens, prends ça encore, dit-il en pilonnant de plus belle son anus perforé.— Oh ouiiiiii !! Continue Ambre… Tous… tous tes doigts…
Sandra replonge sa tête entre mes cuisses, tout en gémissant comme une bête à l’agonie. Elle bouffe mon abricot, me doigte furieusement. Je sens mon plaisir qui monte, monte. Mes quatre doigts sont dans sa chatte, tournant, coulissant dans sa grotte inondée. Et Alex… Il l’encule de toutes ses forces.
Sandra et moi sommes cramponnées l’une à l’autre, pour ne pas être désunies par la violence de ses assauts. Soudain, elle relève la tête, et se met à crier, en sanglotant.
— Oh Putain, je viens !… Je vais jouir !… Continuez… Oh non… C’est trop fort… Vous allez me faire mourir… Je… je… Ooooooooooh !!
Sandra gicle sur mon visage, dans ma bouche, en criant. Mais au lieu de se laisser aller après avoir succombé à la jouissance, elle empoigne une des fesses d’Alex, pour le forcer à la défoncer encore.
— Continue Alex ! Hurle-t-elle. J’ai encore envie de… Oh oui… Doigte-moi, Ambre, fiste moi ! Ohlala…. Vous allez me déchirer.
Alex continue à enculer Sandra sous mes yeux, et je me demande comment il trouve encore l’énergie pour la prendre avec autant de force. J’arrive péniblement à introduire mon pouce dans son abricot, prêt à éclater, mais je ne peux pas enfoncer toute ma main. Sa chatte est trop serrée… Je me doigte aussi, je pince mon petit bouton… Moi aussi, je vais jouir.
Sandra vient la première. C’est une fontaine qui se déverse dans ma bouche, sur mes joues, mon cou. Je la suis aussitôt. J’ai l’impression que je suis en train de mourir, tant mon corps et mon cerveau ne sont plus que plaisir. Nous hurlons toutes les deux.
J’entends les grognements d’Alex,ses cris étouffés. Sous mes yeux, il s’immobilise, ses cuisses se raidissent, ses mains se crispent sur les hanches de Sandra… Il ne parvient pas à étouffer un dernier cri, rauque, et il se déverse dans le petit trou de notre métisse.
En le recevant, Sandra jouit encore. Elle semble inépuisable.
— Oh putain ! Putain ! Qu’est ce que c’est bon ! Vous… vous m’avez comblée, tous les deux.— Ça t’a plu, ma salope ? lui demande-t-il, pendant que ses dernières giclées de foutre atterrissent sur ses fesses et sur mes seins.— Mmmmmmh… Oh oui, répond-elle d’une voix haletante, secouée par les derniers spasmes de l’orgasme.— Et toi, Ambre ? Tu as aimé ?— Oh Alex… C’était génial, lui dis-je. Cette nuit d’abord… Puis là, avec Sandra…
Nous sommes tous les trois à bout de forces. Nous nous laissons tomber dans l’eau, et nous nous éclaboussons, en riant. C’est Alex qui nous fait revenir à la réalité.
— Il va falloir rentrer. Il est tard. Mais comme c’était un cours de voile (il me lance un sourire coquin), c’est toi qui va barrer pour revenir au club.— D’accord. Mais je reste à poil, je suis trop bien !
Il remet son short, et il tire le cata pour le remettre à flot. Puis nous remontons tous les trois sur le trampoline, et Sandra remet juste son string.
Le retour se passe comme en rêve. Le vent léger et régulier propulse le voilier sur les vagues, et caresse mon corps libre. Je sens le regard d’Alex et celui de Sandra, sur mes seins, ma chatte, mes fesses, et je prends des poses qui ne leur cachent rien de mon anatomie. J’adore cette sensation ! A l’approche du club, Alex commence à s’inquiéter…
— Il faudrait peut-être que tu remettes ton maillot…— Pourquoi ? Je me sens bien.— Tu ne vas quand même pas revenir au club à poil !— Rassure toi. J’attends juste le dernier moment.
Il doit penser que je suis inconsciente. Et il n’a pas tout à fait tort. Le Hobiecat s’approche de la plage. Le soleil baisse à l’horizon, et il n’y a presque personne sur le sable. Juste un couple, et deux filles qui se baladent au bord de l’eau, et qui regardent notre voilier arriver.
Nous ne sommes plus qu’à quelques mètres du rivage, lorsque je renfile mon petit maillot, et je suis à peu près sure qu’ils ont vu que j’étais nue sur le bateau.
Le cata arrive doucement sur le sable, et nous descendons tous les trois pour le tirer au sec. Sandra est toujours topless, et elle remet sa minijupe et son débardeur, pendant qu’Alex s’occupe des voiles, et que je file au vestiaire.
A mon retour, ils sont en train de discuter, et je surprends leur conversation.
 - C’est une bombe cette nana, lui dit Sandra. Elle n’a pas froid au yeux et elle très douée!-  Je ne te le fais pas dire. Et j’ai l’impression que votre début d’après-midi...
Mais Alex se tait en me voyant approcher. Je me blottis contre lui, câline, pour lui demander.
— Tu as aimé, cet après-midi ?— Il faudrait être difficile pour ne pas aimer ! Et en plus, vous avoir toutes les deux, pour moi, c’était… génial ! Et épuisant.— Moi aussi, je suis épuisée, tu sais. Je ne suis plus capable de rien.— Moi non plus. Mais il faut que je repasse au bureau. Depuis hier, je n’ai rien fait.— Je me demande bien pourquoi, lui fais-je remarquer en riant.— Demain, c’est mon jour de repos. Veux-tu qu’on se retrouve ?— Tu me demandes ! Bien sur que oui. Je te veux même tout à moi. Toute la journée.— Tu as envie d’aller quelque part ?— Oui. Mais cette fois, c’est moi qui vais t’emmener… J’ai une petite idée, lui dis-je, l’air mystérieux.— Où ?— C’est une surprise, mais je crois que ça te plaira. Je viens te chercher chez toi, demain en fin de matinée ?— Tu ne veux vraiment pas de dire où tu m’emmènes ?— Non ! Je te laisse travailler...
Je lui offre mes lèvres, pour un long baiser, et j’embrasse aussi Sandra sur la bouche, avant de m’éloigner.
Un moment plus tard, avant de grignoter une salade, je profite d’une bonne douche, tout en me remémorant cette journée de folie, et en essayant d’imaginer ce que nous ferons demain, Alex et moi. Avant de m’endormir, d’un sommeil de plomb.
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