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Retour à Palavas

Chapitre 8

Orgie / Partouze
Chapitre 8

Nous remontons lentement de la plage du Cap d’Agde, le bras d’Alex passé autour de mon épaule. Comme celles qui l’ont précédée depuis mon arrivée à Palavas, cette journée nous a donné, à tous les deux, beaucoup de plaisir. Et j’ai, cette fois, la satisfaction d’être à son initiative !
Nous nous asseyons, nus, à la terrasse d’un bar, et nous discutons de tout et de rien. Très vite, la curiosité d’Alex reprend le dessus, et il cherche à savoir ce que j’ai fait avec Sandy, lors de ma première venue ici.
— Je vais être indiscret, mais je me demande si cette journée d’aujourd’hui a été pour toi très différente de celle que tu as passée avec ta copine…— C’est obligatoirement différent, puisque c’était avec une fille !
Je fais exprès de ne pas lui répondre vraiment, pour exacerber sa curiosité. Mais il insiste.
— Si j’ai bien compris, vous vous êtes exhibées, c’est ça ?— Tu as bien compris.— Sandy s’est caressée devant des voyeurs ?— Oui, elle s’est même fait jouir.— Et toi ?— Moi ?
Je sais que je ne peux plus jouer ce petit jeu plus longtemps. Je décide de tout lui raconter…
Oui, moi aussi, je me suis masturbée, et j’ai joui. Nous nous sommes fait arroser de sperme par les voyeurs. Puis je me suis "occupée" de Sandy, pendant que des mecs – et même une femme – nous touchaient et nous caressaient. En fin de journée, nous sommes retournées toutes les deux dans les dunes, et Sandy a rencontré deux hommes qu’elle connaissait. Nous avons fait l’amour en public tous les quatre, en échangeant nos partenaires. C’était la première fois que je faisais ça...
Je sens Alex très excité par ce que je lui confie, et avant de poursuivre, il va nous chercher deux verres au bar. Il en revient, lorsque j’aperçois la femme de la plage, avec sa chevelure auburn, qui l’accoste.
— Vous étiez très beaux tous les deux tout à l’heure, lui dit elle.— Merci ! Vous aussi vous savez, je vous ai observés du coin de l’œil.— C’est ce que nous voulions , répond son mari.— Penses tu que ta petite protégée serait intéressée par une nouvelle balade sur la plage ? Dans un endroit plus discret... enchaîne-t-elle en tutoyant Alex.
Son regard s’est fait coquin. Elle détaille son anatomie, et elle vient de tourner la tête vers moi. Je regarde Alex, l’air interrogatif, écoutant leur conversation.
— Rien que nous quatre, poursuit-elle en se mordant la lèvre, avec une expression perverse.— Venez vous asseoir avec nous! Et nous verrons bien! Mais je pense que si tu... — Clémence, dit elle, en l’interrompant pour se présenter.— Alex… Bien, Clémence, je pense que si tu sais y faire, Ambre ne pourra rien refuser, car elle est très gourmande tu sais.
Ils se dirigent vers moi, tous les trois, et s’assoient à notre table.
— Ambre, je te présente, Clémence et...?— David, enchaîne l’intéressé. — David. Mais il semble que tu le connaisses déjà un peu, non ? me dit Alex en souriant.
Nous discutons tous ensemble un moment, et les verres s’enchaînent. L’alcool commence à faire son effet, et le jour décline. Le coucher de soleil est magnifique.
Clémence a décalé sa chaise pour se rapprocher de moi. Être tous nus me permet de détailler son corps, que j’ai déjà vu cet après-midi. Elle est très jolie. Oh combien sexy, avec ses jolis seins fermes, en poire ! Mais ce sont surtout les expressions coquines de son visage qui suscitent mon désir.
Ses regards sont sans équivoque, et j’ai envie d’elle. Elle me parle à mi-voix, sa bouche contre mon oreille. Ses propos se font crus. Elle évoque nos exhibitions de cet après-midi, le plaisir que nous avons pris, toutes les deux. Elle me dit qu’elle est bi…
— Moi aussi, lui dis-je.— J’aimerais faire l’amour avec toi, ajoute-t-elle, au creux de mon oreille.— Juste avec moi ? Ou aussi avec Alex ?— A ton avis…— Et… David est d’accord ?— Plutôt deux fois qu’une. Et il a très envie de te baiser. Si Alex est prêt à te partager !— Depuis tout à l’heure, je crois qu’il ne demande que ça...
Clémence a passé son bras autour de mon épaule, et nous échangeons des sourires complices, qui n’échappent pas à Alex. Ses yeux brillent en nous regardant, pendant que les doigts de Clémence s’emparent de mon téton dressé.
Alex se lève et et il retourne au bar, pour commander deux autres bouteilles, pendant que David rapproche aussi sa chaise, sur ma gauche.  Alex ne me quitte pas des yeux, pendant que la barmaid le sert, et il peut voir Clémence m’embrasser langoureusement.
Sa langue est douce, entre mes lèvres. Sous la table, elle prend ma main, et la pose sur le sexe de David, qui commence instantanément à bander. L’alcool, l’érotisme de la situation, le souvenir de ce que j’ai vécu ici, avec Sandy… Je suis une fois de plus dans un état second, tout s’emballe dans ma tête...
Alex revient vers nous, tout sourire, avec les bouteilles et des gobelets, et il nous lance :
— Allons sur la plage !
Nous nous levons et nous reprenons le chemin de la plage. David nous guide, et Alex marche à côté de lui, tandis que Clémence et moi, nous les suivons, son bras passé autour de ma taille.
Lorsque nous arrivons dans un repli entre les dunes, caché derrière des hautes herbes, nous étalons nos serviettes.
Alex remplit les verres, et nous trinquons. Au plaisir de vivre nu, au sexe.
Très vite, Clémence reprend son petit jeu avec moi, sous les yeux de David et d’Alex. Elle m’embrasse dans le cou, elle caresse mes seins, pendant que ma main s’aventure au creux de ses cuisses.
Manifestement encore plus habituée que moi à s’exhiber, elle ouvre grand ses jambes, pour leur montrer sa chatte, et elle écarte mes genoux pour que je l’imite. David effleure déjà sa queue, du bout des doigts, en nous matant.
Je surprends les regards de nos hommes, et mes yeux se posent sur leurs sexes. Ils bandent tous les deux. C’est nous voir nues, et surtout nos minous, qui les mettent dans cet état. J’ai envie de leurs bites à tous les deux. Alors, je vais m’exhiber encore pour eux, comme une petite salope.
Moi aussi, j’ouvre grand mes cuisses. Ils le voient bien, mon abricot tout juteux ! Clémence comprend aussitôt ce que je veux. Sa main remonte, ses doigts ouvrent mes grandes lèvres. Je regarde un court instant mon petit coquillage tout rose, au milieu de mon corps uniformément bronzé, et je renverse ma tête en arrière, pour savourer la suite.
Ma nouvelle amante sait par cœur comment faire monter le désir chez une autre femme. Elle lèche ses doigts, puis elle commence par effleurer doucement mon petit bouton, mes petites lèvres toutes trempées. La pression de ses doigts se fait progressivement plus forte, et je m’ouvre presque toute seule, tant elle m’excite.
Alors, Clémence enfonce deux doigts dans mon intimité, sans la moindre difficulté. Tout de suite, elle les fait aller et venir, très vite. Sa paume vient claquer contre mon clito, avec de petits bruits humides. Je mouille, je coule maintenant. Je gémis doucement.
J’aperçois Alex, avec David, jouant tous les deux aux voyeurs, se branlant d’une main, leur verre dans l’autre main. Clémence les regarde avec un air provocant, en me doigtant encore plus fort, plus vite. Elle leur fait un petit signe, que je ne vois pas…
Bientôt, je m’aperçois que David et Alex se sont placés de chaque côté de nous. Alex caresse mes seins, en tirant sur les pointes, comme j’aime, et je mouille un peu plus encore. Il présente un de ses doigts devant ma bouche, et je le suce en lui décochant un regard coquin, qu’il interprète aussitôt :
— Tu veux sucer ma bite, me demande-t-il ?— Oui… A moins que tu n’en aies pas envie…
En guise de réponse, il approche son gland de ma bouche, qui s’en empare immédiatement, goulûment. J’empoigne sa tige, pour la pomper avec gourmandise. Ma main coulisse tout le long de son sexe, ma langue tourne autour de son gland, lèche le frein, je me penche pour enfoncer son pieu le plus loin possible au fond de ma gorge.
Je suis obligée de m’écarter un peu, de temps en temps, pour reprendre ma respiration, et David en profite à un moment pour m’offrir, lui aussi, son sexe.
Je suis sur un petit nuage, comblée. Deux bites pour moi toute seule… Et Clémence, pas jalouse, qui me lèche et qui me doigte… Un rêve.
Je prends David dans ma bouche, tout en tenant encore la queue d’Alex dans ma main. Les yeux fermés pour mieux savourer cette situation torride, je le suce à son tour, je joue du bout de ma langue avec son gland, je le branle aussi. Lorsque j’ouvre les yeux et que je reprends ma respiration, leurs deux bites sont là, à portée, tendues vers moi.
J’alterne. Je les prends l’un après l’autre entre mes lèvres, et au bout d’un moment, je ne cherche plus à savoir lequel des deux remplit ma bouche. David caresse Clémence, qui continue à fouiller et à lécher mon minou.
C’est un concert de gémissements de femmes en chaleur, qui sonorise les dunes.
Puis j’entends Clémence qui appelle Alex, qui lui dit qu’elle le veut aussi. Elle se jette littéralement sur lui, et se lance dans une fellation, digne d’une actrice porno. Elle prend sa queue dans sa bouche, en entier, jusqu’à étouffer.  Une vraie "gorge profonde", que je tente d’imiter avec David…
Alex maintient la tête de Clémence, en appuyant sur sa nuque, jusqu’à ce qu’elle fasse signe qu’elle étouffe. Alors seulement, il se retire de sa bouche, elle prend une grande inspiration et elle éclate de rire, en lançant un « oh putain ! Quelle bite ! » sonore.
Alex me regarde de nouveau, alors que je continue de caresser le sexe de David, et sa main revient sur ma chatte, ses doigts titillent mon clito. C’en est trop. Je crie presque.
— Baise moi, Alex… Baise moi, vite !!
Il s’agenouille entre mes cuisses, et il commence à me pénétrer. Je m’ouvre sans effort, tant je coule. Je sens mes petites lèvres qui s’écartent sous la poussée de son gland… Je gémis de nouveau.
Pas longtemps, car David réinvestit aussitôt ma bouche, et il tire sur les pointes de mes seins tendus. A côté de nous, Clémence s’exhibe, à quatre pattes. Elle ouvre aussi son minou en grand, avec ses doigts, nous montrant sa fente dont jaillissent de petites coulées de cyprine. Puis elle écarte ses fesses, sur son petit œillet sombre. C’est de la folie…
Je n’arrive plus à sucer David, tant je crie. C’est alors qu’Alex me demande :
— Ambre, tu veux être très salope ? Tu veux que David te bourre lui aussi?
Je crie trop pour pouvoir répondre, et je hoche juste la tête. Il n’en faut pas plus pour que David me tire par les cuisses, pour m’approcher de lui, et qu’il me pénètre d’un seul coup de reins. Jusqu’au fond de mon intimité.
Sentir sa bite pilonner ma chatte, juste après celle d’Alex… Je feule de plaisir. Ma respiration est courte, hachée, et il accélère encore. Mes petites lèvres sont en feu.
Excitée elle aussi par ce spectacle, Clémence se précipite vers moi, et vient chevaucher mon visage. Sa chatte est là, ouverte, sous mes yeux. Sa sève coule sur mon nez, mon menton, et elle vient se coller sur ma bouche. Je plonge ma langue dans sa grotte, je bois sa mouille… Et Alex m’encourage :
-  Oui Ambre ! Bouffe la bien, vas y !
Il se place devant elle, il attrape ses cheveux, et il plante ta queue, pleine de ma cyprine, dans sa bouche. Elle a ouvert ses lèvres, dès qu’elle a vu son gland approcher, et elle empoigne sa queue pour la sucer. Elle le pompe comme une vraie salope, mais ça ne lui suffit pas…
— Défonce-moi !!! lui crie-t-elle
Je vois Alex saisir ses fesses, et la faire s’agenouiller, en levrette, près de moi. Je suis aux premières loges, pour voir son gland explorer ses fesses, sa fente, comme s’il ne savait pas quel orifice choisir. A moins que ce soit pour l’exciter encore plus…
Finalement, il pénètre sa chatte, sans ménagement, mais aux cris que pousse Clémence, elle aime ça ! La bite d’Alex va et vient entre ses petites lèvres à un rythme d’enfer, elle réclame encore :
— Vas-y ! Bourre moi…. Oui !!— Et ça, tu aimes, lui demande-t-il, en claquant son cul à la volée.— Oui… Oh, encore !
Les jolies fesses de Clémence sont zébrées par les marques de ses doigts, et ce spectacle plaît manifestement aussi à David ! Il m’installe dans la même position que sa femme, à côté d’elle, et il m’enfile d’une seule poussée.
Putain, ce que c’est bon ! Nous échangeons des regards complices et coquins avec Clémence, et nous nous embrassons. Excité par mon attitude, David se déchaîne, et me tringle de toutes ses forces. Je souffle, je râle, je crie de plaisir. C’est alors qu’Alex s’adresse à David, d’une voix haletante.
— Ambre aussi est très coquine, tu peux la fesser! Elle aime ça! N’est ce pas Ambre?
Je n’ai pas le temps de répondre, que la main de David s’est déjà abattue sur mon petit cul, avec un claquement sec et sonore. Je me cambre de douleur et de surprise, et il continue, encore plus fort, pendant que la langue de Clémence joue avec la mienne.
C’est Alex qui prend l’initiative de changer de position. Il se retire de la chatte de Clémence, et il vient devant nous, tenant son sexe à pleine main, et nous présentant son gland rougi.
— Sucez-moi toutes les deux !
Nous ne nous faisons pas prier. C’est à celle de nous deux qui le prendra le plus profondément, qui le sucera avec le plus de gourmandise. En un mot, à celle qui sera la plus salope. Alex ferme les yeux, pour savourer cette double fellation, dont beaucoup d’hommes rêvent. Mais il en veut encore plus…
— Ambre, crache sur ma bite ! Je vais enculer Clémence.
Je lui obéis. Je caresse son gland et sa tige, pour les enduire de ma salive. Puis il s’agenouille derrière Clémence. Elle se cambre, le visage enfoui dans sa serviette, attendant son assaut.
Voir sa femme ainsi offerte excite David, qui me démonte la chatte comme un taureau en rut, et je devine qu’Alex la pénètre, lorsque j’entends Clémence gémir et l’encourager.
— Oooooh… Oui… Oh je la sens bien, elle rentre… Oh, mon petit cul ! Doucement… Oui, comme ça… Encore !… Vas-y !
Je vois tout son corps avancer quand, après t’être retiré un peu, Alex s’enfonce en elle d’un seul coup, jusqu’aux couilles. David triture mes petits nichons, et j’ai l’impression que mon abricot va exploser sous les assauts de sa queue. Je suis au bord de l’orgasme, je crie, sans plus savoir ce que je dis.
— Oui, vas-y… Oh putain, putain !… Je viens… Ouiiiiiii !
Je gicle, surprenant David, qui dit à Alex :
— Ouah ! C’est une femme fontaine, dis donc !— Oui… Quand elle prend son pied très fort, c’est une vraie inondation.
Et c’est maintenant au tour de Clémence de perdre toute retenue. Elle hurle.— Oui, vas-y !… Défonce moi ! Encule moi, plus fort !
Elle jouit, comme moi. Sans retenue, sans pudeur. Et Alex se retire, sans avoir éjaculé, la laissant agenouillée, ses fesses toujours soulevées laissant voir son anus dilaté.
Alex s’allonge sur le dos, exténué, et il m’attire vers lui, pour que je l’embrasse. Je suis toujours à quatre pattes, et ma position doit l’inspirer, malgré les efforts qu’il vient de déployer, car il me demande, avec une expression perverse dans les yeux :
— Tu veux que je t’encule toi aussi? Tu veux être salope? Très salope!— Tout ce que tu veux, mon Alex…— Tu es vraiment une salope, me dit David, en m’administrant une fessée.
Clémence nous a rejoint, et elle crache entre mes fesses, avant d’explorer mon petit trou avec un doigt.
— Tu es toute serrée, ma chérie, laisse moi te préparer.
Elle alterne, lèche ses doigts, caresse mon anus, puis recommence. Lorsque je sens un deuxième doigt pousser contre ma rosette, je lâche un long soupir, et mon petit trou s’ouvre, pour la laisser explorer mon cul.
Alex suit la scène, en se branlant, tout comme David. Le spectacle que nous offrons toutes les deux est totalement indécent.
— Tu aimes ça, petite salope, me demande-t-il ?— Oh oui ! Ça m’excite de me conduire comme… Oh oui, Clémence… comme une pute.— Elle est prête, Clémence ?— Je crois que oui, répond la jolie rousse. Regarde son petit trou, bien ouvert.— Oui, oui, je suis prête… Prends moi, Alex !
Alex est étendu sur le dos, sa queue dressée à la verticale, et Clémence me guide, pour que je vienne le chevaucher, en lui présentant mon petit cul. Le buste en arrière, en appui sur mes bras tendus, je me laisse descendre doucement vers son dard, que Clémence guide entre mes fesses.
Je sens son gland appuyer contre ma rosette. Il me prend par les hanches, pour contrôler la pénétration de son membre épais dans mon anus si serré. C’est une sensation incroyable, entre douleur et plaisir absolu, au moment où mon œillet s’ouvre, comme s’il allait éclater, mais c’est moi qui m’empale maintenant.
Je descends, descends… Je ne me rendais pas compte à quel point son sexe est long et épais. Je ne m’en plains pas, au contraire ! Je crie, j’ai envie que tout le monde sache ce que je fais, ce que je ressens.
— Oh oui… Oh c’est bon… Ohlala, ta bite dans mon petit trou…. Tu me remplis…. Ooooooh, tu vas l’exploser ! Oh oui, j’aime ça, encule moi à fond…
Je contracte tous les muscles de mes cuisses, pour monter et descendre sur son pieu. Mes petits nichons tressautent. Devant nous, Clémence et David suivent nos ébats, et sans m’en rendre compte, je leur offre aussi le spectacle de ma chatte ouverte, d’où sourdent des filets de mouille. Ce qui inspire David, qui demande à Alex :
— T’es d’accord pour qu’on prenne Ambre en sandwich ?— Bien sur. Elle est tellement coquine, ça va lui plaire, surtout avec Clémence qui nous mate.— Et je ne serai pas la seule, rajoute celle-ci.
En effet, je lève les yeux, et j’aperçois deux voyeurs qui nous observent, sur la dune. Cela ne refroidit pas nos ardeurs, bien au contraire.
David s’installe entre nos jambes, et nous marquons une pause. Le temps qu’il me pénètre.
C’est une sensation inégalable. Clémence, du bout des doigts, ouvre ma chatte. Le gland de David se fraie un passage, entre mes petites lèvres, et s’enfonce dans ma fente. Des ondes de plaisir me parcourent, ma sensibilité est à son paroxysme. Mon clito darde, mes tétons pointent vers le ciel étoilé, et je gémis comme un animal blessé, sans interruption, tout le temps que le membre de David disparaît lentement dans mon intimité.
Ces deux queues en moi me rendent folle. Je me contracte, pour serrer ces deux bites dans mes orifices. Je suis remplie, comblée. L’attente me semble interminable, puis soudain, David commence des mouvements de va-et-vient, qui me font coulisser en même temps sur le membre d’Alex, dur comme du bois.
J’ai l’impression de devenir folle, tant les sensations qui naissent entre mes cuisses et entre mes fesses, irradient dans tout mon corps, et me font perdre toute retenue et toute fierté. Je suis une salope, offerte à ceux qui me baisent, soumise.
Dans un dernier moment de lucidité, j’aperçois Clémence qui nous regarde, en se laissant peloter par les voyeurs.
David la voit aussi, et il se met à pilonner mon abricot, au risque de me faire tomber. Je suis soulevée, chaque fois qu’il me pénètre de toutes ses forces, et je retombe ensuite sur le sexe d’Alex, planté dans mon petit cul.
J’ai l’impression de ne plus être qu’un objet à leur merci, et qu’ils vont me déchirer, tant leurs membres sont durs, et enfoncés profondément en moi. Des douleurs brèves et vives me font hurler parfois, mais c’est finalement le plaisir qui prend le dessus.
La sueur ruisselle sur mon corps, ma mouille gicle sur les deux hommes. Et soudain, un orgasme me terrasse. Je ne pensais pas jouir si vite. J’ai l’impression que je suis en train de mourir. Je crie, mais je ne fais que les exciter davantage.
Alors, ils me baisent et m’enculent encore plus fort. Et j’en redemande…
— Oui, encore… Oh, salauds ! C’est trop… bon…. Oooooooh, ma chatte, mon cul ! Vous allez me déchirer… Si, comme ça ! Encore !… Je viens !!! Oh putain, putain…
Et je jouis à nouveau, mais je ne me calme toujours pas non plus. J’avais déjà connu des orgasmes multiples, sauf que là, ça dépasse tout… Le plaisir renaît, au fond de mon ventre. Je me contracte sur les deux pieux qui me perforent. J’arrive à onduler des hanches… Et un troisième orgasme me transporte sur une autre planète. Puis un quatrième, qui me laisse anéantie.
Je suis maintenant inerte, comme si j’avais perdu connaissance. David se retire et me soulève, dégageant ainsi mon petit trou, dilaté et irrité par les innombrables passages de la bite d’Alex. Je me laisse tomber sur ma serviette, étendue sur le dos, mes seins que soulèvent ma respiration haletante, pointés vers le ciel, mes cuisses encore écartées.
Je ne sais pas comment, mais Alex et Davis se sont retenus, ils n’ont pas éjaculé.
David empoigne Clémence, et l’oblige à s’étendre près de moi. Nos visages sont côte à côte, et elle me regarde en souriant.
Alors, David et Alex se placent juste au dessus de nous. Ils s’abandonnent à leur tour à cette jouissance qu’ils ont refoulée si longtemps, leurs mains ont empoigné leurs sexes, qu’ils branlent furieusement, en fermant les yeux.
Clémence et moi, nous sommes comme hypnotisées par leurs glands découverts, qui tressautent et frémissent, avant de lâcher enfin de longs jets de sperme, accompagnés de grognements et d’ahanements de fauves. Le foutre épais et chaud atterrit sur nos visages, nos cheveux, nos épaules ou nos seins, et nous ouvrons la bouche, nous tirons nos langues, pour pouvoir en boire le plus possible.
Je regarde Clémence, son visage et sa chevelure souillés, et nous éclatons de rire.
— Putain, qu’est ce qu’on a joui, lui dis-je en l’embrassant sur la bouche.— Oui, c’était génial. Trop contente d’avoir abordé ton homme cet après-midi. C’est un sacré bon coup !— Le tien est très bien aussi.
Les deux hommes éclatent de rire tous les deux à leur tour, et ils nous entraînent sur la plage, pour un bain de minuit, sous la pleine lune. Alex en profite pour me serrer contre lui, m’embrasser, me caresser. C’est si agréable.
Mais il se fait tard. Nous devons revenir sur Palavas. Nous quittons Clémence et David, à regret, et nous repartons dans ma petite voiture.
Nous sommes si épuisés que nous parlons peu, pendant le trajet. Lorsque nous sommes sur le point d’arriver, je demande à Alex :
— Veux tu finir la nuit avec moi ? Je n’ai pas envie de me retrouver seule, après tout ça.— Tu me poses la question ? Bien sur ! Mais je crains de ne pas être à la hauteur, si tu me demandes de te faire l’amour maintenant..— Rassure toi, je suis aussi fatiguée que toi. Mais demain matin, après une bonne nuit...
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