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Retour de réveillon pour ma salope de belle-mère

Chapitre 3

Je prête son cul et sa langue

Erotique
Putain, je me rendis compte alors à ce moment précis que j’avais été très imprudent. Les hommes dehors pouvaient être des flics qui venaient inspecter les coins chauds de la région parisienne. J’imaginai alors les conséquences de cette situation et les explications que j’aurai dû donner à mon épouse !
De toutes les façons, il était désormais inutile de penser au pire. Les mecs dehors n’avaient rien à voir avec des fonctionnaires de police et bien au contraire d’ailleurs.
L’un d’entre eux frappa à la vitre arrière. Je n’étais pas spécialement rassuré, mais je l’ouvris de quelques centimètres. J’avais même oublié que ma bite était encore dans la bouche de ma belle-mère ! De son côté et vu sa posture, la pauvre était incapable de voir ce qu’il se passait.
J’avais une vague idée de ce que ces hommes allaient me demander.
— Bonjour Monsieur, c’est la première fois que vous venez ici, je pense. Nous ne vous avons jamais vu. C’est un endroit très connu dans la région, car c’est un lieu de rencontre un peu chaud si vous voyez ce que je veux dire. — Oui, oui, nous, nous sommes juste arrivés il y a quelques minutes et nous allons bientôt repartir. Nous voulions nous amuser un peu. — C’est ce que nous avons vu et nous nous demandions si vous nous laisseriez nous amuser nous aussi avec elle. Elle semble bien chaude votre dame et savoir bien encaisser si on en juge l’ouverture de sa chatte et sa rapidité à avaler votre jus.
Je ne sus pas quoi répondre immédiatement, car au fond de moi, j’avais envie d’accepter ce qu’ils me demandaient tout en pensant que cela n’était absolument pas raisonnable. Ma femme allait trouver étonnant le temps que j’allais mettre pour raccompagner ma belle-mère, les hommes devaient être une dizaine dehors et je ne voulais pas non plus qu’elle prenne trop chère avec toutes ces bites.
— Vous savez, elle n’est plus toute jeune et je ne sais pas quoi vous dire. Je préfère lui demander et voir si elle est prête à cela.
En fait, je crevai d’envie de la livrer à ces mâles en rut. Je voulais continuer la soumission, je voulais la contrôler et qu’elle accepte toutes mes envies.
Ma belle-mère ne bougeait toujours pas et devait sûrement être très inquiète de ce qu’il se passait. Il y avait une heure à peine, elle n’était qu’une femme de 72 ans qui rentrait tranquillement chez elle après le réveillon de Noël et elle se retrouvait maintenant avec une bite dans la bouche, après avoir été fistée du vagin et avalé mon sperme deux fois.
Je pensai qu’elle avait compris très vite ce que j’imaginai alors pour elle.
— Dis donc ma salope, tu veux continuer à t’amuser ou tu préfères rentrer chez toi maintenant ? Je dois avouer que j’adorerais te voir te faire prendre par ces messieurs qui me semblent très sympathiques et excités. Cela te fera de jolis souvenirs en plus !
Je lui retirai alors ma bite devenue petite et molle pour lui permettre de répondre. C’était quand même la moindre des choses, car je déteste les personnes qui parlent la bouche pleine !


Elle ne dit rien pendant quelques secondes, car tout cela devait tourner très vite dans sa tête. Nous étions en plein délire et elle ne savait pas quoi faire en réalité.
— Je ne pense pas que cela soit raisonnable, je ne les connais pas et j’ai peur qu’ils me fassent mal. Que dirait aussi ma fille si elle apprenait tout cela ? — Ne t’inquiète pas, tout se passera bien et je reste près de toi. Tu n’as pas eu mal avec moi, si ? Alors pourquoi veux-tu que cela soit différent avec eux ? Et puis tu sais, c’est peut-être la dernière fois que tu vivras cela. En plus, ta fille ne saura rien, car on ne lui dira rien, c’est aussi simple que cela. Je leur dis oui alors ? — Je veux bien, mais que cela ne dure pas trop longtemps.
J’avais une nouvelle fois gagné et cela me donna l’impression d’être encore plus fort, d’être le meilleur, d’être un dominant. J’allais faire avec ma belle-mère ce que j’avais toujours rêvé de faire avec mon épouse.
Avant de répondre aux types dehors, je déchirai une nouvelle fois son collant pour récupérer une autre partie et en faire un bandeau.
— Par contre, tu n’auras pas le droit de voir ce qu’il se passe. Tu sentiras juste leur bite aller et venir en toi, tu les feras jouir les uns à la suite et si tu es une bonne salope, tu auras le droit de jouir quand tu voudras. Tu sentiras tout, mais tu ne verras bien, cela ne te dérange pas au moins ?
En fait, je me branlai totalement de la réponse qu’elle allait me faire. Elle n’avait que d’un choix, celui d’accepter.
— Non, non, allez-y.
J’attachai alors assez fermement le collant autour de sa tête et afin qu’elle soit incapable de voir qui allait la défoncer.
Je m’adressai alors à l’homme qui m’avait interpellé précédemment.
— Bon, c’est d’accord, mais il y a évidemment quelques conditions. La première est bien sûr de ne pas la brutaliser. Elle n’est plus toute jeune et je souhaite qu’elle profite de ce qu’elle va vivre, pas qu’elle ait mal. C’est compris ? — Ben évidemment, on n’a pas l’habitude de faire mal aux dames nous. — La seconde condition et j’en suis désolé pour vous est de mettre un préservatif. Vous êtes sûrement tous clean, mais je ne veux pas qu’elle se chope une merde. OK ? — C’est ce que nous faisons à chaque fois. Nous ne savons pas qui passent ici alors nous ne prenons aucun risque de notre côté. — La troisième est de ne pas faire trop durer le plaisir. Elle commence à être fatiguée et a envie de rentrer chez elle. Vous la pénétrez, vous la ramonez, vous vous videz et vous partez. On est d’accord ? — Aucun problème de nouveau, nous avons les couilles bien pleines et ça ne devrait pas durer très longtemps. Nous non plus, nous n’avons pas envie de nous attarder ici. — C’est parfait alors, vous êtes combien au final ? — Une petite dizaine environ, ce sont toujours des habitués. Sinon Monsieur, peut-on l’enculer aussi, car vous avez bien ouvert sa chatte et vu son âge, ça risque d’être trop large par le haut ? — Bien sûr, vous pouvez évidemment, mais encore une fois, vous y allez calmement au début. Vous vous lubrifiez bien dans sa chatte et après, vous la défoncez par le cul si vous le voulez. Classique quoi, non ? — Oui, c’est très clair et parfait pour nous. On va bien s’en occuper. — OK alors que le premier se prépare.
Personnellement, je préférai rester dans la voiture et du côté de ma belle-mère. Je n’avais pas spécialement envie de sortir pour les retrouver et faire la discussion avec des personnes qui ne devaient quand même pas avoir la grande classe !
Je restai avec elle aussi, car j’avais en tête un nouvel amusement. Il fallait bien que j’en profite également, car bientôt tout cela serait fini. Je plaçai alors mes fesses à hauteur de son visage, mais en ne l’écrasant pas pour qu’elle puisse respirer. Je positionnai ma rondelle au niveau de sa bouche et la collai à ses lèvres.
— Vas-y, lèche-moi le cul maintenant, ça fait longtemps qu’on ne m’a pas fait cela et j’adore cette sensation.
Elle ne dit aucun mot et je sentis le bout de sa langue commencer à titiller mon anus. C’était trop bon, mais cette position ne me permettait pas de voir avec détails ce que faisait le groupe de mecs.
Je devinai juste que le premier avait commencé, car ma belle-mère me lécha plus fort en émettant des petits couinements.
Les mecs étaient peut-être très excités, mais l’abattage allait prendre quand même un peu de temps. Il fallait leur laisser le temps de se vider et les sensations devaient être assez faibles, car ma belle-mère était déjà bien élargie.
Régulièrement, je tournai la tête, mais je ne pouvais pas voir s’ils la baissaient ou l’enculaient.
— Monsieur, Monsieur, c’est dommage quand même d’éjaculer dans la capote, on pourrait nous aussi se vider dans sa bouche.
J’avais le cul bien nettoyé maintenant et ce que me proposait le mec m’excita gravement. Je retrouvai même de la vigueur et ma tige commença à se redresser. J’imaginai ma belle-mère recevoir le sperme de ces hommes et cette image me rendit totalement dingue.
Sans lui demander, je répondis positivement.
— Je suis d’accord, ce serait dommage effectivement. Très bien alors, ceux qui veulent se vider dans sa bouche peuvent le faire, mais vous déposez tout sur sa langue sans en mettre à côté. — Merci beaucoup !
Le mec qui m’avait posé la question fit le tour de la voiture la bite à la main tandis qu’un autre commença déjà à la buriner de nouveau. Il donna des coups très appuyés et la défonça complètement. Elle ne dit rien et attendit de recevoir sa première éjaculation.
Je sortis du véhicule pour laisser la place au queutard. Il entra dans la voiture et se plaça au-dessus de sa bouche.
— Ouvre la bouche salope vite, je sens que ça vient. Tire la langue à fond.
C’était effectivement une grosse salope, car elle s’exécuta sans rien dire. Elle ouvrit la bouche comme une grande en faisant ce que le mec venait de lui demander.
Il se branla quelques secondes et plusieurs jets de sperme épais se déposèrent sur sa langue rose et humide. Elle poussa alors un soupir qui en disait long sur ce qu’elle vivait.
— Maintenant, tu vas avaler ce que le monsieur vient de te donner.
Une nouvelle fois, elle le fit sans contester, soumise comme jamais, elle devait tout accepter et prenait sûrement du plaisir à être à 72 ans un objet sexuel.
Les hommes passèrent les uns après les autres et ma belle-mère devint totalement folle. Plusieurs fois, son corps se tendit complètement et elle cria certaines fois assez fort et sans aucune retenue.
Elle dut jouir de la chatte et surtout du cul, car j’imaginai bien ce que c’était là que les mecs devaient la ramoner en priorité.
Je ne sais pas en combien d’orgasmes elle eut et combien de bites éjaculèrent dans sa bouche. Je ne comptai même plus et je m’en foutais même, mon plaisir se limita à voir ces mecs la défoncer à la chaîne et lui donner leur sperme.
Je fus surpris de me rendre compte que certains mecs, 3 ou 4, je crois, ne vinrent pas vider leur jus dans sa bouche. J’étais très étonné, car je sais parfaitement que cela reste l’un des fantasmes les plus courants pour un homme normalement constitué !
Notre petit jeu dura quand même une quarantaine de minutes, chaque participant avait tenu son engagement et s’était vidé très rapidement.
Enfin, le dernier vint terminer en se vidant avec force sur la jolie langue de ma belle-mère. Elle fut obéissante jusqu’au bout et avala une fois encore sans laisser la moindre goutte s’échapper.
Le bruit laissa enfin place au silence et je décidai qu’il était temps de mettre un terme à nos exercices physiques et de reprendre notre trajet. Mon épouse avait tenté de nous joindre plusieurs fois et je me demandai déjà ce que j’allais pouvoir raconter comme excuse.
Ma belle-mère était toujours sur la banquette arrière, les jambes relevées et attendait la suite des événements. Ne voyant rien, elle ne pouvait pas se douter que la tournante était terminée.
Avant de lui rendre sa liberté, la curiosité me poussa à faire le tour de la voiture pour voir l’état de sa chatte et de son cul. Après le fist qu’elle avait subi, les assauts d’une dizaine de mecs avaient dû laisser de nouvelles traces.
— Reste encore tranquille, remets-toi gentiment de tes émotions, repense à tout cela, je vérifie quelque chose et on pourra repartir. Ils ont tous fini et se sont barrés les couilles vides. Tu as bien travaillé et ils auraient quand même pu te dire merci non ?
Elle ne répondit rien.
Je fis alors le tour de la voiture et j’arrivai devant son entrejambe. Je compris alors pourquoi certains mecs n’étaient pas venus se vider sur sa langue, car du sperme coulait encore de son anus.
Les enculés n’avaient pas tenu leur engagement et s’étaient tout simplement vidés au fond de son rectum. Elle avait dû, bien sûr, sentir ce jus chaud se déverser en elle, mais n’avait rien dit pour en profiter au maximum et alors que je leur avais interdit.
Cette vision fut pour moi un électrochoc et je bandai de nouveau quelques secondes plus tard. J’avais envie de la pénétrer moi aussi et de mêler mon sperme à celui des autres hommes.
Ce fut plus fort que moi, il fallait que je la défonce aussi par l’anus.
— Remonte plus haut dans la voiture. Je suis désolé, mais j’espère que ton anus ne te fait pas trop mal, car il va encore souffrir un peu. Tu vas être encore enculée, mais par moi cette fois-ci.
Elle remonta en s’aidant de ses coudes, je montai dans la voiture et refermai la porte. Nous étions tranquilles encore pour quelques minutes, celles de ma dernière jouissance pour la journée.
Son cul était tellement dilaté que je rentrai d’un coup. Le sperme à l’intérieur mélangé à la mouille anale rendit l’introduction tellement facile. Elle se fit dans un bruit d’une incroyable obscénité.
Je commençai à la buriner à fond, je la défonçai complètement, je rentrai, je ressortis, je ne me posai aucune question, je me foutais si elle jouissait ou si elle avait mal, je la bourrai comme un dingue, c’était tellement bon.
— Tu vas jouir encore salope ? — Oui, c’est trop bon, ta bite est chaude, je la sens bien malgré tout, je l’imagine entrer en moi et trembler par la montée de ton sperme. Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps, continue, défonce encore plus fort. Je sens que ça vient de mon côté.
Je m’exécutai et je sentis une nouvelle fois son corps se tendre. Elle venait de jouir et cette sensation déclencha ma jouissance. C’était la troisième fois cet après-midi, un record pour moi !
Nous restâmes immobiles quelques secondes, mais il était temps de revenir dans le monde réel. J’étais bien encore à l’intérieur de son cul. Ma bite reprit sa taille normale, mais son cul était tellement distendu que son anus ne m’expulsa pas encore.
— Bon, tu as le cul rempli de sperme et je pense qu’entre eux et moi, il y en a pas mal encore. Il ne faut surtout pas que tu taches les sièges.
Je déchirai alors une dernière partie de son collant, la repliai et formai une boule faite de nylon.
— Mets ta main sur ton cul pendant que je sors et surtout fais attention à ce que rien ne parte.
Elle s’exécuta et je retirai alors sa main doucement en introduisant au même instant la boule directement à l’intérieur. Je l’enfonçai assez pour que son conduit soit totalement obstrué.
— Voilà ma belle, tu es parée pour reprendre la route et ce soir, en retirant la boule, tu pourras récupérer ce qu’il restera de cet après-midi et boire encore un peu de moi si tu en as envie. Remets tes vêtements et tes chaussures de pute, retire ton bandeau, sois de nouveau présentable et repasse devant. Fais vite.
Une fois assis l’un à côté de l’autre, je la regardai alors qu’elle repositionna sa culotte et redescendit sa jupe. Ma bite était sortie quelques secondes auparavant de son cul. Elle était devenue rapidement flasque et couverte encore de mouille ainsi que de traces de sperme.
— Attends, tu ne vas quand même pas me laisser comme cela si ? Regarde ma bite, elle t’a fait jouir et tu dois la nettoyer pour qu’elle soit de nouveau toute neuve. Prends-la dans ta bouche et lèche-la correctement.
Je sentis alors et pour la première fois de sa part un léger recul. C’est vrai que la vue de cette chose ne devait pas la faire rêver, mais elle sut qu’elle allait devoir encore accepter.
— Dépêche-toi maintenant, vite merde.
Sans un mot, elle approcha sa bouche humide de ma verge et l’avala en totalité.
— Oui, comme cela, pas trop vite ni trop fort. Elle est encore sensible. Fais cela doucement. Oui, comme cela, vas-y, encore oui. Merci.
Elle était propre désormais et il était vraiment temps de partir. Nous étions restés à cet endroit au moins 1h30 et les bouchons ne pouvaient pas tout expliquer.
— Merci ma belle, on peut y aller maintenant. Vite, repasse devant et on repart.
Nous remontâmes alors très rapidement dans la voiture. Je remis le contact et nous repartîmes vers son domicile.

Cet après-midi fut l’une des plus excitantes de ma vie et je pensai déjà à la prochaine.
— Je tenais à vous remercier pour cet après-midi. Elle fut très agréable et c’est toujours un plaisir d’être en votre compagnie. Quand revenez-vous nous voir ? J’adorerais vous raccompagner de nouveau.
Fin
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