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Retour d'un séminaire

Chapitre 2

Gay
Retour d’un séminaire (suite)
Après que le routier soit parti et que mes tortionnaires se soient rhabillés, je pensais que mon cauchemar allait prendre fin.J’attendais toujours nu et à genoux au centre de la pièce. J’étais complètement brisé moralement. J’attendais les ordres et j’étais prêt à faire n’importe quoi.
Soudain, Karim brise le silence et me dit : « Lève toi. Va à l’évier et débarbouille-toi. T’es plein de sperme, grosse salope ».Je me lève et me rend à l’évier se trouvant dans les toilettes. Je me débarbouille le visage à l’eau claire. Il n’y a pas de savon. Je me sèche avec du papier.Je leur demande si je peux m’asseoir sur la cuvette des WC afin de satisfaire à un besoin urgent. Ils acceptent et me regardent faire mes besoins en riant et en faisant des commentaires plus que déplaisants. Ils continuent à m’humilier. Dans l’état moral où je me trouve, je ne m’en rends pas compte. J’agis comme un zombie.Je termine mes besoins et retourne à l’évier.J’entreprends de me rincer et laver le cul, le mieux possible, avec mes mains. Je me rince également les jambes qui sont remplies de coulées de sperme et de matières fécales. Pendant que je me lave tant bien que mal, Ahmed fouille mes affaires. Dans la poche intérieure de ma veste, il trouve un agenda qu’il feuillette.A un certain moment, il dit à son copain : « Eh, regarde. Suivant son agenda, il ne doit rentrer chez lui que dimanche après-midi. Nous ne sommes que samedi matin. Personne ne va s’inquiéter avant demain ».Sur ce, Karim enchaîne en disant : « C’est impec. Et en plus, maintenant, il a le cul propre. On va encore pouvoir s’amuser avec lui. »Lorsque j’ai terminé mon semblant de toilette, Karim m’ordonne de me replacer au centre de la pièce, à genoux. Après avoir trouvé, les clefs de ma voiture, Ahmed fait une boule avec mes vêtements et quitte la pièce. Je comprends à ce moment que mon cauchemar continue.Karim s’approche de moi et sort sa queue de son pantalon. Il me dit : « En attendant que Karim revienne, lèche-moi la queue et suce-moi un peu, salope. Mets-y du tien et fais cela convenablement. Fais moi bander. »Sans le moindre sentiment de révolte, je lèche et suce la queue de Karim. Je lui lèche même les couilles que j’ai sorties moi-même de son pantalon. Je m’applique à ma tâche. Je n’ai plus de force morale pour tenter de me révolter.Je sens la queue de Karim grossir et se durcir sous ma fellation.A ce moment, Ahmed rentre dans les toilettes et dit à Karim d’arrêter et qu’il est temps de quitter les lieux avant de se faire remarquer. Karim retire sa queue de ma bouche et la remet dans son pantalon.Ils parlent à voix basse mais je comprends qu’ils veulent changer d’endroit.Je remarque également qu’Ahmed tient dans sa main un gros marqueur.Il s’approche de moi et me griffonne quelque chose sur la poitrine. Je peux lire, en caractère d’imprimerie, le mot PUTE, écrit en grand entre mes seins, à l’encre verte.Il me redresse la tête et se met également à me griffonner sur le front et sur les joues. J’apprendrai par la suite qu’il a écrit sur mon front, les mots : BAC A FOUTRE. Sur chaque joue, il y a une flèche qui part de mes tempes vers ma bouche.Ahmed me fait relever mais m’oblige à rester penché vers l’avant. Je sens qu’il écrit également sur mon dos. Je sens le feutre courir sur mon dos, depuis mes omoplates jusqu’au bas du dos.J’apprendrai également par la suite qu’il a écrit, en grand, au milieu de mon dos, les mots TROU A BITES. Il a ensuite dessiné une grosse flèche partant de ce mot et s’arrêtant juste au dessus de la raie des fesses.
Ce que j’ignorais à ce moment, c’est que le feutre était doté d’encre fluorescente.Ils me disent qu’il est temps de partir et me poussent dehors. Je me retrouve tout nu, dehors, en direction du parking. Il est 6 heures du matin. Il fait toujours nuit noire.Mes deux agresseurs me poussent vers ma voiture dont ils ouvrent le coffre. Ils m’obligent à y monter. Je m’exécute et le coffre se referme sur moi, me voilà dans le noir complet.Durant le trajet vers ma voiture, j’ai été éclairé par les gros phares d’un camion garé sur le parking. Je suppose que c’était le routier qui avait abusé de moi. Les occupants des autres voitures ont donc pu me voir déambuler, à poil, le temps de rejoindre ma voiture distante de quelques dizaines de mètres. Plusieurs coups de klaxon ont retenti durant mon trajet.J’entends une portière s’ouvrir et le moteur démarrer. Il n’y a qu’un de mes tortionnaires dans ma voiture. L’autre a du récupérer son propre véhicule.Ma voiture démarre et reprend l’autoroute. Après un certain temps, je sens que l’on quitte l’autoroute pour emprunter une nationale. Je sens cela car la façon de rouler n’est plus la même.On roule encore pendant un temps que je ne peux estimer puis le véhicule s’arrête. Une portière claque et j’entends une voix dire : « Bouge pas. On va s’occuper de toi ».Le coffre de ma voiture s’ouvre et on me fait sortir. Je me trouve sur une petite route longeant un petit bois. De l’autre côté de ce petit bois, je distingue des lumières éclairant un parking d’une route à plusieurs voies.Mes tourmenteurs me conduisent à l’orée de ce petit bois, juste au début de ce qui semble être un sentier.Ils me disent que si je veux récupérer mes vêtements et ma voiture, je n’ai qu’à emprunter le sentier. Je devrai le suivre et je retrouverai tous mes effets à l’autre bout. Ils m’abandonnent sur le bord de la route, remontent dans mon véhicule et partent. Je vois les phares de ma voiture s’éteindre à environ 400 mètres de l’endroit où je me trouve.Prenant mon courage à deux mains, je m’engage sur le sentier.J’ai à peine fait une dizaine de mètres que je me retrouve face à face avec un homme. Ce dernier paraît âgé de plus de 60 ans.Directement le vieil homme attrape mes couilles et les malaxe avec fermeté en me disant : « Alors, salope, on se promène à poil dans les bois. » Il me fait placer les mains sur la tête et me dit de ne pas bouger.Le vieil homme tout en me malaxant les couilles, commence à me masturber. Soudain, il se penche et se met à me sucer. Je ne peux m’empêcher de bander.Il me suce la queue en l’enfonçant profondément dans sa bouche. Il me lèche les couilles et me fourre un doigt, puis deux dans le cul.C’est la première fois que je me fais sucer par un homme mais je ne peux m’empêcher d’en éprouver du plaisir. Je bande de plus en plus.Je sens que je vais bientôt jouir.Les doigts du vieil homme se retirent de mon cul. A ce moment, je sens d’autres mains qui me caressent le corps. Deux mains m’écartent les fesses et un sexe dur se pose sur mon anus. Il force un peu et me pénètre. Je tente de me soustraire à cette pénétration mais une claque sur mon dos stoppe ma tentative. Une voix se fait entendre et me dit : « Ta gueule, salope. T’es ici pour te faire enculer. Tu te tais et tu ne bouges pas. »L’homme derrière moi commence des va et vient puissants, m’agrippant aux hanches.Mon trou du cul ayant été déjà ouvert, reçoit sans difficulté la bite de l’inconnu. Je ne sens plus aucune douleur. Je sens juste un sexe qui me laboure les intestins.Malgré moi, je commence à ressentir du plaisir avec le vieux qui me suce et l’autre qui m’encule.Je ne me reconnais plus.Ne pouvant me retenir, je lâche plusieurs jets de sperme dans la bouche du vieux. Ce dernier ne recrache rien. Il se relève et approche sa bouche de la mienne. Il m’embrasse. Il m’oblige à ouvrir la bouche et je sens mon propre sperme me couler dans la bouche, mélangé à ma salive par la langue du vieux qui continue à me caresser les couilles.Pendant ce temps, l’inconnu me jute dans le cul. Je sens ses jets de sperme chaud me tapisser l’intérieur des intestins.Le vieux quitte les lieux et l’inconnu me retourne, me penche en avant et me fais nettoyer sa queue toute molle.Lorsque j’ai terminé mon nettoyage, il me donne une claque sur les fesses, me dit que j’ai un beau cul et s’en va.Je reprends alors ma route vers l’autre bout du sentier.J’effectue une centaine de mètres sans rencontrer personne. Je me cogne les pieds à plusieurs reprises sur des branches.Soudain, je suis éclairé par une lampe torche. Celle-ci détaille mon corps de la tête au pied.Je suis aveuglé mais je remarque néanmoins qu’il y a deux personnes face à moi.Une voix me dit : « Ainsi, t’es un bac à foutre. Tourne-toi. Et en plus, t’es un trou à bites» Lorsque la lampe torche s’éteint, je remarque qu’il s’agit de deux jeunes assez costauds.Un des deux ouvre son pantalon, sort une bite de bonne taille à demi bandée. Il m’ordonne de me pencher et de le faire bander. Je dois le lécher puis le sucer.Le deuxième se place derrière moi et me triture les fesses et le cul. Il s’exclame : « Oh, il a déjà servi. Il est plein de sperme. Je vais pouvoir l’enculer sans problème. »Ce disant, il m’enfourne sa queue dans mon cul et me l’enfonce jusqu’au bout. Je sens les poils de son pubis sur mes fesses. Il se met à m’enculer avec rage, sortant tout à fait et rentrant à fond.L’autre bande complètement et j’ai du mal à contenir sa grosse queue dans ma bouche.Après quelques minutes, ils décident de changer de place.La bite de mon enculeur étant plus petite, je peux les sucer sans problème.Malgré mes diverses pénétrations, je ressens une forte douleur lorsque le second m’encule sans fioritures.Quelque chose en moi s’est brisé car je me mets à bander et à me branler avec ma main disponible.Les deux jeunes éjaculent presqu’en même temps, un dans mon cul, l’autre dans mes fesses.Voyant que j’étais occupé à me masturber, un des jeunes me donne une gifle et m’ordonne de cesser et de partir.Je pars sans demander mon reste, la queue bandée. Je n’ose plus me toucher de peur d’être vu par les deux jeunes qui m’ont promis une raclée si je continuais à me branler.J’arrive au bout du sentier. J’ai du sperme qui coule le long de mes jambes. J’ai du sperme séché sur le visage.Le jour s’est levé. Je vois ma voiture.Je m’approche d’elle lorsque je vois Karim et Ahmed s’approcher.Je pense qu’ils vont me rendre mes effets et me laisser aller.Karim me dit alors : « Ne soit pas si pressé. Nous sommes samedi 8 heures 30 et tu ne dois rentrer que demain. On a 24 heures devant nous pour s’amuser avec toi. »Le cauchemar continue.
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