Je ne la reconnais plus. Nous sommes à peine arrivés dans à la maison après une vingtaine de minutes de route, la voiture pas encore arrêtée. Myriam me met la main sur l’entrejambe... — Je veux encore ta bite ! Je la regarde sans vraiment la reconnaître. Que lui arrive-t-il ? Elle pourtant si distante depuis longtemps avec le sexe. Non pas que nous ne fassions plus l’amour, mais épisodiquement. Sans grande originalité. La séance de cinéma m’a vraiment plu. La pipe extraordinaire dans la voiture. N’en parlons pas ! Et là, elle me regarde avec des yeux brûlants d’excitation. Ce regard que je ne lui avais pas vu depuis si longtemps. Je n’ai pas le temps de réfléchir bien longtemps. Myriam me sort de ma rêverie quand ses mains s’attaquent à mes boutons de braguette... — Que t’arrive-t-il ?— Je ne sais pas. J’ai une envie folle de baiser depuis ce matin. Encore ce langage. Mais elle m’excite au plus haut point cette nouvelle Myriam. Et mon sexe qui se tend dans ces mains en est la preuve. Me voilà la queue raide sortie de mon pantalon... — Viens. Rentrons et baise-moi. Fais de moi ce que tu veux ! Qui résisterait à une telle invitation. Je sors de la voiture, le sexe au zénith et la suis dans le garage vers la porte de service. Nous sommes devant la porte, elle me prend la queue d’une main et s’agenouille pour me la prendre en bouche. Et quelle prise en bouche. J’arrête de réfléchir et m’abandonne à cette douce fellation. Une main glisse vers mes bourses qu’elle caresse tandis que son autre main me masturbe d’un mouvement tournant en même temps que sa tête va-et-vient sur ma queue. Sa langue ne reste pas inactive et tourne autour de mon gland. Elle lève la tête pour voir l’effet qu’elle me procure et je vois un sourire de satisfaction et de désir dans ses jolis yeux bleu-vert. Au bout de quelques minutes je la relève en lui disant... — Ah tu veux que je te baise. Alors je vais te baiser comme tu le mérites ! Je l’attrape par-dessous les fesses pour la porter et me retourne pour la déposer sur le capot de la voiture. Ses jambes toujours nouées autour de ma taille. Mon sexe tendu contre le tissu de sa culotte trempée par l’excitation de la situation. J’arrache les boutons de son chemisier et tire sur son soutien-gorge pour en libérer ses seins. Ma bouche prend possession d’un téton tendu et l’aspire, la faisant gémir de plaisir. Une main vient se glisser entre nous deux et arrache sa culotte. Je glisse ma queue contre sa chatte et m’y enfonce d’un coup. Nous arrachant à tous deux un gémissement de plaisir... — Vas-y, prends-moi salaud ! Je commence mes va-et-vient puissants, guidé par mon excitation due à cette femme que je ne reconnais plus. Cette femme distante se conduisant comme une chienne. Une idée me vient. Puisqu’elle se conduit comme une chienne. Je vais la prendre comme tel. Après quelques minutes de ce traitement de mes coups de reins puissants et de mon pouce qui lui masturbe le clito. Myriam attrape un orgasme comme je ne lui avais jamais vu. Elle tremble de partout. Plus aucun son ne sort de sa bouche pourtant grande ouverte. Elle en a le souffle coupé. Ses yeux grands ouverts me fixent sans me voir. Mon sexe est serré par les contractions de sa chatte. Je me retire vite pour ne pas jouir sous l’effet qu’elle me procure... — Alex. C’est… c’est si fort. Bon sang. Si bon !
Profitant de son état second je la retourne sur le capot face contre celui-ci. Elle se laisse faire. Encore essoufflée de cet orgasme fulgurant. Je lui écarte les fesses. Et glisse mes doigts dans cet antre bouillant pour les lubrifier. Et viens lui titiller la rosette avant de la perforer d’un doigt. Son anus se resserre d’un coup autour ce celui-ci... -... Alex. Non. Pas ça ! Mais excité comme je le suis. Je n’entends plus rien. Ou ne veux pas attendre. Je vais prendre ce qu’elle m’a toujours refusé. Je lui attrape une main et lui bloque le bras derrière le dos pour l’empêcher de bouger... — Tu veux te conduire comme une chienne. Alors je vais te prendre comme une chienne ! Face plaquée contre le capot, son cul projeté en arrière. Je guide mon gland contre son cul et le fais entrer d’un coup. Puis j’attends un peu que son anus se détende... — Arr... Alex. S’il te plaît... Mais je n’écoute pas et m’enfonce jusqu’à la garde. Lui arrachant un cri de douleur. Elle tourne la tête et je vois une larme couler sur sa joue. Je suis prêt à abandonner en voyant cela mais... — C’est mon cul que tu veux salopard. Alors vas-y. Encule-moi comme il faut ! Je sens son anus se détendre. Voyant mon hésitation... — Vas-y. Depuis le temps que tu en rêves. Prends-le mon cul. Qu’est-ce que tu attends ? Ce ton de provocation et de défi ôte mes dernières hésitations. J’entame un léger mouvement du bassin. Et je recommence. Myriam commence à gémir. Hummmmm. Continue. Mes allers-retours se font plus profonds tout en restant légers pour ne pas la blesser. J’entends ses gémissements devenir des gémissements de plaisir... — Vas-y Alex. Continue. C’est bon... si bon. Je ne l’aurai jamais cru... Ses yeux avec encore ses larmes, me regardent suppliants. Me suppliant de ne pas arrêter. Tous deux libérés. Je me laisse aller à approfondir mon mouvement. Maintenant, je la prends sauvagement. Elle hurle son plaisir comme la chienne qu’elle est devenue... — Ouiiiiii. Continue. Viole-moi-le. Alex. C’est trop bon ! Je lui lèche le bras. Et c’est elle en prenant appui de ses deux mains sur le capot qui rue son joli cul sur ma bite. En hurlant de plus belle. Lâchant une main et se masturbant le sexe en même temps... — Je vais jo... Alex. Je vais jouir ! Je continue de plus belle. Encouragé par ses cris et sa prière. Quand elle se cabre d’un coup et comme son orgasme précédent. Elle se crispe. Mon sexe est serré et comprimé. Je ressens comme jamais ses contractions de plaisir qui déclenchent ma propre jouissance, libérant dans ses intestins mes jets de plaisir. En tremblant moi aussi de tous mes membres. Mes jambes ayant du mal à me porter. Je m’affaisse sur contre son dos. Attendant tous deux que nos sens retrouvent le calme. Après cette séance. Nous sommes montés tous les deux prendre une rapide douche et nous sommes couchés très vite. Épuisés et repus par cette soirée sortant de l’ordinaire. Nous nous sommes vite endormis dans les bras l’un de l’autre... J’ai à peine le temps de penser à éclaircir le mystère de ce changement si soudain...
