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Retour en Tunisie

Chapitre 1

arrivée à Djerba

Lesbienne
Christine est heureuse de l’appel de son amie Inès, elle décroche.
— Bonjour Inès, je suis contente d’avoir de tes nouvelles, je pensais justement à toi.— C’est gentil Christine. Je voulais savoir comment tu allais.— Très bien, et toi ?— Moi ça va, on ne peut mieux et je me disais que comme les grandes vacances sont dans deux mois, cela pourrait être sympa de se revoir. Tu as prévu quelque chose pour juillet ou aout ?— Non, on ne s’est pas encore décidées avec Ophélie.— Super, alors vient chez moi, je vous invite.
L’appel entre les deux copines dure une petite heure, elles ont beaucoup de choses à se raconter ; Inès lui narre notamment comment sa relation avec Sana a évolué. De soumise, elle lui a limité progressivement tous ces droits et maintenant sa compagne, en toute conscience est devenue une soumise docile et dévouée. Christine est toute retournée par les révélations de son amie, car celle-ci ne manque pas de lui décrire tous les jeux pervers en lui réservant toutefois une surprise quand elles se verront. Fébrile, Christine boit toutes ces paroles.
Ines connaît assez bien son amie pour savoir que celle-ci est excitée, mais aussi déceler les blancs dans la discussion, sa copine n’est pas aussi épanouie qu’elle le pensait. Elle la pousse à se dévoiler. Elle apprend alors qu’Ophélie a quitté son mari quelques semaines après son retour en France, puis est venue s’installer chez elle. Au début, leur relation était excellente, or depuis quelque temps, elle la trouve plus irritable, même possessive, elle a l’impression de ne pas la satisfaire complètement. Il n’y a que pendant les rares week-end où elles sont toutes les deux que sa compagne est adorable. Ce à quoi Inès réagit rapidement :
— Ne cherche pas midi à quatorze heures ma chérie, Ophélie ne sera pleinement elle-même que si elle se sent toujours contrainte. Elle a découvert l’année dernière des sensations qu’elle ne connaissait pas, mais maintenant, il lui en faut plus. Rappelle-toi notre première rencontre quand tu es venu à la maison, je t’ai dit : « Regarde comme elle te dévore des yeux. Tu sais Christine, si elle t’aime comme je le vois, elle fera tout pour toi, même se faire marquer ». Tu te souviens. — Oui très bien, répond Christine.— Ce qui compte pour elle, c’est avant tout d’être, elle se pliera à tes conditions.— Et puis j’ai ajouté un peu plus tard dans la soirée : « Son parcours en tant que soumise n’est qu’à son début, elle adorera vivre une soumission totale et inconditionnelle. Tu as commencé à la révéler, tu te dois de poursuivre pour elle et aussi pour toi. »— Oui c’est vrai. — Est-elle marquée, poursuit Ines ?— Je ne lui ai pas suggéré.— Ce n’est jamais trop tard, ne t’inquiète pas, mais comme tu n’as pas poursuivi complètement sa formation, je ne t’en blâme pas, elle te fait inconsciemment une crise. Ce n’est pas toujours facile, et puis tu sais Christine, j’ai eu moi aussi des déboires, et crois mon expérience, laisse-toi aider. Je suis là, tu le sais bien. Si tu veux, on passe quinze jours ensemble. La première semaine, je prends en charge ta chérie pendant que tu profites de la région la journée. Je m’occupe de tout, j’ai des amis qui seront heureux de te concocter une semaine de rêve. — Cela me gêne Ines, nous n’avons pas trop les moyens, Ophélie vient de se faire licencier...— Oh, je t’arrête Christine. Il n’est pas question d’argent... Dis-moi simplement oui, comme cela, je les appelle de suite et tu passeras de merveilleuses vacances, tu en as besoin, j’en suis convaincu. Tu dors à la maison, comme cela, on se verra souvent et la journée, tu profites du programme, tu te laisses porter. Moi pendant ce temps, je reprends en main ta chérie et la deuxième semaine, vous vous éclatez ensemble. Je te prêterais des jouets, tu les connais pour certains, mais il y a aussi de nouveaux qui te plairont à coup sûr. Tu verras, elle te manquera un peu la première semaine, mais après, il faudra que je mette des boules case toute la journée, s’exclame Ines tordue de rire. Alors, on fait comme ça ?
Christine n’a pas répondu de suite à son amie, mais quelque temps plus tard, elles se rappellent pour se mettre d’accord sur la période de vacances. La nouvelle condition de Sana a largement pesé dans le choix de Christine.

Il y a un an, elle découvrait de nouveaux jeux avec sa belle-sœur. Au début, elle avait des scrupules à jouer la dominatrice puis insidieusement, elle y prit goût, elle devenait inventive, perverse. Cette nouvelle sexualité la comblait au-delà de ses espérances, elle n’avait jamais autant joui. Elle avait même découvert qu’elle était une femme fontaine. Pour rien au monde, elle ne voudrait revenir en arrière. Par contre, Ines vient de lui suggérer un autre horizon, un chemin encore plus dérangeant qu’elle avait repoussé dans un premier temps.
Depuis quelque temps, allongée à côté de sa chérie dans leur lit, elle se réveille la nuit, le corps en ébullition. Plusieurs fois, l’excitation est tellement forte qu’elle gagne la salle de bain pour apaiser son corps, une serviette entre les dents pour étouffer son cri. Avoir sa chérie sous son emprise totale fait son chemin jour après jour. Il y a un an, elle avait une position tranchée, mais aujourd’hui pour se dédouaner, elle se dit que si Ophélie est heureuse, pourquoi se poser toutes ces questions. En ce qui la concerne, elle a envie de vivre cette expérience, elle en est maintenant persuadée et cela quelque soient les conséquences. Elles prendront donc des vacances en Tunisie.
Samedi arrivée à Djerba. Arrivées à Djerba à 16 heures, Ophélie et Christine sont accueillies par une chaleur écrasante. En ce début d’aout, la température est particulièrement haute avec des pointes la journée à 38° et la nuit à 29°. Heureusement, elles n’ont pas attendu longtemps sous cette chaleur car Ines est là pour les réceptionner. Dès qu’elle les voit avec leurs valises sortant du hall, elle s’avance vers Christine qu’elle étreint avec effusion puis se tournant vers Ophélie, elle lui flatte la joue comme on caresse un chien, la scrute de haut en bas et déclare :
— Ta robe te va à ravir... Je constate que tu es toujours aussi belle, néanmoins je te préfère avec ton joli crâne tout lisse, lui dit-elle en tirant le foulard, tu n’es pas d’accord Christine ? Je serais toi, je lui interdirais ces cheveux broussailleux.
Ophélie abasourdie ne réagit pas. En la voyant, on ne pourrait croire que cette belle blonde de 35 ans, le sosie de la chanteuse du même prénom, soit aussi peu sûr d’elle.Pourtant en l’apercevant, on est bluffé... Ouah, quelle beauté. Une figure illuminée par des yeux verts ainsi qu’une grande bouche au sourire éclatant, une plastique de rêve avec une poitrine importante, mais orgueilleuse côté face et pour couronner le tout, des fesses callipyges côté pile, tout cela réuni sur une silhouette fine et élancée d’un mètre soixante-douze. Elle a tout pour elle !
— Alors Ophélie, tu n’es pas d’accord, relance Christine. En tout cas moi, je partage l’avis d’Inès, tu es beaucoup plus belle rasée. On va s’occuper de ta beauté ce soir ma chérie, comme cela on en parlera plus.— On laissera faire Sana, relance Ines.
Ebaubie Ophélie suit Christine et Ines bras dessus bras dessous pour s’installer à l’arrière de la voiture. Les derniers événements lui reviennent alors en mémoire.*****Ophélie accueille avec joie les quinze jours de vacances qu’elles vont passer ensemble, par contre, elle s’interroge lorsque son amante lui précise qu’elles partiront en Tunisie où Ines propose de les loger chez elle. C’est une concession à faire, lui dit Christine. Cette année, les finances sont au plus bas, elles ne peuvent adopter que cette solution pour profiter malgré tout d’un long séjour. Ophélie approuve donc le choix, mais elle reste dubitative quant à l’impact d’Ines sur leurs vacances. Cette belle quadra est très complice avec sa chérie, son influence ne la rassure pas.
Depuis les vacances dernières, Inès s’est prise d’affection pour Christine, certains pourraient même dire qu’elle la considère comme sa fille de cœur. Cette grande brune au port altier est remarquable par son aura, son charisme. Elle ne passe jamais indifférente, du haut de ses un mètre soixante-dix-huit avec son corps longiligne, musclé, entretenu par une hygiène stricte, des hanches légèrement marquées et nonobstant une poitrine lourde, elle impose la retenue.
C’est peut-être d’ailleurs pour ça qu’elle s’est prise d’affection pour la jeune Française. Elle a tout de suite reconnu sous la belle "gueule d’ange", une personnalité forte, une jeune femme qui a du "chien". Sportive et intransigeante avec son corps, d’une force de caractère peu commune, Christine lui ressemble beaucoup, mais à l’opposé, sa fraicheur, sa spontanéité l’avait scotchée, sa fougue, sa témérité à refuser l’ordre établi avait fini par l’interpeller. Et puis voir une jeune femme de 28 ans à la frimousse ronde et son air fripon, légèrement plus petite que sa compagne de sept ans son ainée, lui dicter ses volontés, lui ordonner l’humilité, lui imposer l’obéissance ne pouvait que séduire une femme qui a l’habitude d’être écoutée.
Christine n’avait que sommairement retranscrit la discussion avec Ines et passé sous silence le déroulement des deux semaines telles que lui a suggéré son amie. Ophélie était loin de s’imaginer les desseins que la Tunisienne avait prévu à son égard.
Ce matin avant de partir, Christine lui a demandé de mettre son bandeau noir. Normalement lorsqu’elles partent en Week-end toutes les deux, Christine lui pose le collier de cuir, c’est le signe qu’Ophélie rentre dans son personnage, une soumise, elle sait qu’à partir de ce moment, elle ne peut plus parler sans l’assentiment de son amante, elle doit se soumettre à tout type de jeux pervers que Christine lui impose. Si par inadvertance, elle oublie cette consigne ou se rebelle à propos d’un ordre donné, elle encourt une punition. Elle l’accepte comme composante indissociable du jeu.
Aujourd’hui, c’est le bandeau, car avec l’avion, elle ne peut mettre le collier. De plus, Christine lui ordonne de se changer pour mettre la djellaba qu’elle lui a achetée et lui interdit tout sous-vêtement. Ophélie pique un fard immédiatement, « comment va se passer le passage en douane pense-t-elle immédiatement », mais s’exécute sans mot dire. Elle cache ensuite ses cheveux avec le foulard que lui tend sa chérie puis enfile ses escarpins. Elle est prête à partir quand Christine lui dit qu’elles vont profiter à fond de leur séjour pour encore mieux se découvrir. Elles n’ont pas fait de week-end ensemble depuis fort longtemps et Christine compte se rattraper pendant leur séjour, c’est vrai qu’elle l’a un peu délaissée ces temps-ci. Elle lui promet de la nouveauté. À partir de maintenant, elle accepte tout comme d’habitude, elle ne veut entendre sa douce voix que lorsqu’elle l’autorise à parler.
En riant, elle lui dit qu’elle aimerait quand même qu’elle désobéisse un peu, car voir ses fesses zébrées est un doux spectacle.
Sur ces dernières paroles, Ophélie rougit et elle hoche la tête en signe d’accord. Christine l’embrasse alors passionnément. ******Ophélie se demande maintenant au vu de son arrivée sur le sol tunisien quel sera le déroulement de leur séjour.
Dans ses pensées, elle ne voit pas qu’elles sont arrivées, c’est au bruit du moteur éteint qu’elle émerge. Les bagages descendus de la voiture, la maîtresse de maison sonne trois fois puis quelques instants plus tard, la porte s’ouvre. Ophélie rentre en dernier et c’est à ce moment qu’elle aperçoit Inès caresser le crâne chauve d’une personne en tunique agenouillée à l’entrée. Celle-ci a le buste droit et attend que tout le monde soit à l’intérieur pour se lever et fermer la porte. Ensuite sur un ordre bref, cette jeune femme se dirige vers Christine pour la délester de ses bagages et c’est alors qu’Ophélie reconnait la fille, cette jeune femme aux longs cheveux noir ébène rencontrée l’année dernière ici même : Sana !!!
Elle est magnifique, habillée d’une tenue qui ressemble à un kimono-veste en coton fin et empiècements ajourés au crochet. La tenue minimaliste couvre tout juste ses fesses et les deux pans retenus par une ceinture flottante ne font que renforcer sa sensualité et découvrir ses charmes à chaque mouvement. Elle a toujours la taille aussi fine avec des hanches de madone. Or Ophélie a du mal à reconnaitre la jeune femme rebelle au regard pétillant qui aujourd’hui s’affiche sereine et parfaitement docile.
Elle est cependant rapidement interrompue dans ses pensées.
— Tu rêves Ophélie, lui dit Christine. Va donc aider Sana à déposer tous les bagages dans la chambre.
Ce à quoi Inès ajoute :
— Sana, tu en profites pour lui donner le cadeau. Ah oui, tu regardes dans ma salle de bain, il y a des ciseaux et des rasoirs. Ophélie sera plus belle le crâne rasé, alors tu t’appliques ma chérie. Je compte sur toi.
De retour après plus d’une heure, Ophélie est écarlate. Non seulement elle s’est aperçue qu’il manquait la valise avec ses vêtements, que la jeune Tunisienne allait lui faire disparaître sa chevelure et de plus elle devait enfiler la même tenue que Sana, c’est la goutte de trop. En plus sur le trajet, elle a le temps de détailler avec fascination mêlée de crainte les ornements de sa collègue. Elle ne peut manquer l’énorme collier en métal qui cache tout son cou, le cadenas de grande taille et l’anneau à l’avant dont une laisse à gros maillons est accrochée. Tout cet attirail doit peser, le sien en comparaison est un jouet de petite fille. Elle se rappelle sa première balade l’année dernière, accoutrée de son jouet, la honte qu’elle ressentait alors avec celui-ci, elle n’ose même pas y penser.
— Vous en avez mis du temps, s’exclame Ines en les voyant s’approcher. Mais dis-moi Sana, il ne faut pas plus d’une demi-heure pour donner la robe à Ophélie et lui couper ses cheveux.— Oui, lui répond timidement Sana... c’est... je veux dire... Ophélie ne voulait pas porter la tenue, il a fallu que je lui dise que je serais puni si elle ne la passait pas. Je l’ai suppliée et en râlant, elle l’enfin mise.— D’accord Sana, dit-elle, radoucie.
Se levant d’un seul coup, Inès se plante alors devant Ophélie, la regarde, la force à baisser les yeux et sans prévenir, lui retourne une gifle magistrale.
— Pour qui te prends-tu pour refuser un cadeau ? hurle Ines en lui mettant un deuxième revers sur l’autre joue. Eh bien puisque la tunique ne te plaît pas, enlève-la, poursuit-elle furieuse. Allez à poil, continue la Tunisienne d’une voix glacée.
Jamais personne ne lui avait donné de claques jusqu’à ce jour. Déstabilisée, meurtrie dans sa chair et son amour-propre, honteuse et humiliée, elle n’arrive pas à réfléchir, elle obéit sans révolte.Ophélie tire sur sa ceinture, laisse tomber le kimono à ses pieds, et comme une gamine prise en faute par sa mère, elle courbe la tête en couvrant de son mieux avec ses mains son sexe et ses seins. Ines sourit.
La grande Tunisienne ne peut rêver meilleure réaction. Dans un premier temps, elle regrette de ne pas maîtriser sa colère, corriger durement cette fille en la giflant sèchement par deux fois est une erreur, et puis après coup, elle se rend compte que son instinct ne la trompe pas. Elle a en face d’elle une femme désorientée, incapable de se rebeller face à l’autorité, une femme qui n’est à ce moment précis qu’une petite fille implorant le pardon de sa génitrice.
Evidemment, cette situation la ravit énormément. Elle profite de son avantage pour sceller cet accord tacite ; en se soumettant après cette humiliation cuisante, Ophélie vient d’accorder à la Tunisienne un chèque en blanc. Celle-ci compte bien s’en servir et même plus.
— Sana va me chercher le sac et toi, à genoux, crie-t-elle sur Ophélie. Tu es chez moi ici !!! Quand comprendras-tu que tu ne fais pas ce que tu veux dans ma maison...
Laissant sa phrase en suspension, elle voit revenir Sana qui lui dépose le sac. Elle attrape alors rapidement les poignets d’Ophélie, lui retourne dans le dos et demande à sa compagne de lui mettre les menottes en cuir. Ainsi fait, Ines prend un bâillon-boule, le place dans la bouche d’Ophélie puis l’attache derrière la tête.
— Tu vois ma chère, là on est sûre que tu ne pourras pas parler, lui susurre Ines à l’oreille.
Tu as eu raison de venir Christine, il y a encore beaucoup de travail pour éduquer cette soumise. Mais ne t’inquiète pas, je sais ce qui est bon pour elle...Allez mets-toi à genoux ici, dit-elle à Ophélie en lui appuyant sur les épaules... Oui, assise sur tes talons, mais tiens-toi droite, baisse la tête et fais-toi oublier si tu ne veux pas que je te le fasse regretter.Alors que Sana s’est agenouillée à côté d’Ophélie, toutes deux dans la même position d’attente, Ines et Christine, indifférentes à leurs deux soumises, babillent ensemble autour d’un thé glacé. Ines aborde tout de même le "cas Ophélie", sachant que les deux amies se sont déjà mises d’accord sur le déroulement du séjour et notamment la formation d’Ophélie, elle sera prise en charge par Ines. La discussion n’est qu’une parodie pour informer la belle blonde, l’humilier et accessoirement, la prévenir qu’elle n’aura pas de faux fuyant.
— Tu vois Christine, le problème c’est que ta chérie n’écoute pas. Je croyais qu’elle adopterait de suite une attitude de soumise. Tu m’as bien dit qu’elle voulait ardemment retrouver les frissons lorsqu’elle est contrainte, privée de liberté d’agir, obligée de se retrouver dans des situations humiliantes et perverses.— Je suis d’accord avec toi Inès, je crois qu’elle a besoin d’être dressée, répond Christine avec un petit sourire à l’attention de sa copine. Tu pourrais me donner des conseils.— Je vais faire mieux que ça. Tu es mon amie aussi, je vais te faire bénéficier de mon expérience. Pour l’éduquer convenablement, le mieux serait que ta princesse passe quelque temps avec moi pour qu’elle apprenne à bien se comporter. Ne t’inquiète pas, je vais l’assouplir et la modeler comme il se doit.
Par contre, il serait préférable que cela se passe en dehors de ta présence pour qu’elle ne soit pas distraite. Tu es d’accord ?
— Si tu penses que c’est le mieux, je me rallie à ton expertise.— Super !!! tu ne vas pas le regretter.
Mais dis-moi, pour que je sois efficace, j’aurai besoin de savoir ce qu’elle aime, ce qu’elle n’aime pas, ce que tu aimerais, ce qui te fait fantasmer et enfin quel type de correction tu affectionnes lorsqu’elle désobéit. Cela me sera utile pour aborder correctement son éducation et être efficace.Redressant sa tête pour voir la réaction de sa chérie face aux demandes d’Ines, Ophélie se fond dans le regard de Christine pour la prier de ne pas tout dévoiler. C’est peine perdue. Elle ne voit pas de soutien, même pire, elle se fait rabrouer sèchement.
— Baisse la tête Ophélie, lui ordonne Christine. Tu ne vas pas faire ta prude maintenant, et puis avec Ines, nous n’avons pas de secrets. En plus, je parie que pour elle, nos petits jeux ne sont que des enfantillages.
Et elle reprend la discussion avec son amie. Elle lui raconte justement en détail l’un des derniers Week-ends marquants.Au cours de ces deux jours, Ophélie, par son comportement, a forcé Christine à lui infliger une réelle correction. Pendant un mois, elle a gardé des stries sur les fesses. Elle a beaucoup pleuré sous la cravache, mais aussi fou que cela puisse paraitre, elle n’a jamais évoqué par la suite son postérieur meurtri, par contre, elle redemandait des Week-end tels que celui-ci, elle aimait ces moments rien qu’à elles deux.
Il faut dire qu’Ophélie avait été comblée, jamais elle n’avait eu autant d’orgasmes démentiels que pendant ce séjour. En effet, la punition infligée, la cravache rangée, Christine redevient l’amante passionnée.
Elle commence par apaiser les douleurs de sa chérie, d’une main légère, elle enduit de pommade les fesses de son amante, la cajole. Les larmes séchées, elle s’emploie ensuite à libérer la tension d’Ophélie, elle la sature de mots doux, la caresse, embrasse la moindre surface de peau, et enfin enflamme le corps de sa belle. Elle n’a de cesse de titiller, agacer, triturer les tétons orgueilleux, lécher, aspirer, mordiller le bouton décalotté et investir de trois puis quatre doigts la fente humide pour enfin en apothéose, rentrer sa main dans l’antre béant, dilater les parois et se frayer un chemin jusqu’à la porte de l’utérus. Elles sont toutes les deux en nage, Ophélie braille à tue-tête et ce n’est pas de douleur. Christine, galvanisée par ses cris, ne laisse alors aucun répit à sa chérie, une fois le vagin apprivoisé, elle accélère le tempo par des allers-retours vigoureux.
Ophélie est en transe, des sons gutturaux puissants rythment le va-et-vient et lorsque Christine sent l’orgasme arriver, poing fermé, elle pousse une dernière fois celui-ci au plus profond et s’immobilise.
Ophélie ouvre alors démesurément la bouche pour hurler son plaisir.
Christine n’en a pourtant pas fini, toujours abutée au tréfonds, les muscles internes lui massant l’avant-bras, elle pince de son autre main le clito turgescent et un deuxième puis un troisième orgasme viennent foudroyer son amante.Ce n’est qu’après être revenue à elle qu’Ophélie sent le corps étranger se retirer doucement de son vagin. Elle est un pantin désarticulé, elle n’a plus aucune force, elle est vidée, elle glisse et s’allonge, anéantie.
— J’en arrive à me demander si inconsciemment, elle ne me provoque pas, dit Christine à son amie, plus je suis sévère avec elle et plus elle prend son pied après.— Intéressant ! Cela nous ouvre une multitude de perspectives. Tu vois autre chose ?— Lors de nos jeux, j’ai commencé par l’exhiber doucement, c’était soft au début. Je lui ai demandé plus ensuite et je me suis aperçue que même si elle est parfois anxieuse, son ego refuse les situations scabreuses, il suffit que je la contraigne pour que tous ces tabous sautent, les situations perverses ou franchement vulgaires la font couler comme une fontaine... D’ailleurs, je suis presque sûre qu’en ce moment, ça doit être poisseux entre ses cuisses.— A bon, tu crois dit Ines en se levant. Ah oui tu as raison, renchérit-elle deux doigts dans la vulve d’Ophélie. C’est une sacrée garce que tu as là.
Sur sa lancée, Ines ne fait pas que constater, elle appuie de son autre main pour obliger Ophélie à se courber, imprime un va-et-vient langoureux puis, tournant ses doigts, elle titille le point G. les fesses s’écartent progressivement, les reins se creusent puis le fessier remue perceptiblement sous le va-et-vient de plus en plus rapide. Ines est stupéfaite, elle sourit en déclarant : « mais dis-moi Christine, tu m’avais caché que ta soumise est chaude comme la braise. Je ne sais pas si c’est l’air de la Tunisie, mais c’est les grandes eaux. » retirant enfin sa main Ines la présente à la française. Ophélie en pleurerait presque de frustration et l’instant d’après, honteuse, elle se maudit de ne pas pouvoir maîtriser ses pulsions.
— Tu ne croyais pas que j’allais te faire jouir là parce que tu en as envie. Il faut le mériter ma belle. Allez redresse-toi et nettoie-moi ton jus, lui dit-elle en essuyant sa main sur ses joues, elle lui présente ensuite ses doigts à nettoyer.
Elle est surprenante ta chérie, pour avoir des dispositions, elle en a je te prie de me croire... Mais dis-moi Christine, j’ai vu qu’elle est très accueillante, sa vulve se dilate rapidement, mais qu’en est-il de son p’tit trou.
— Et bien je dirai qu’elle est encore étroite, mais avec une préparation adaptée, elle devient merveilleuse. L’élasticité de son sphincter est prodigieuse, de plus elle miaule tout le temps, ce qui m’excite comme ce n’est pas permis. Par contre une fois, je l’ai sodomisée après lui avoir rougi copieusement son fessier, alors là on est plus dans le même registre. Elle crie sans cesse, rapidement sa voix devient rauque, je ne te dis pas la puissance de l’orgasme au final.
J’étais dubitative l’année dernière quand tu m’en as parlé, mais maintenant, je suis obligé de constater qu’elle adore quand je la force à obéir, sa libido est exacerbée, elle est encore plus réceptive, ses orgasmes sont décuplés sous la contrainte.
— C’est encourageant. En tout cas, une soumise doit obéir, je suis tout à fait d’accord avec toi.— Tout à fait.— Mais tu ne m’as pas dit ce qu’elle n’aime pas ou ce qu’elle te fait croire qu’elle déteste.— Je n’ai jamais testé, mais mon frère me disait qu’elle refusait souvent la fellation et surtout elle refusait ne serait-ce que goûter son sperme, alors avaler il n’en était pas question.— OK je vais voir ce que je peux faire. J’ai ma petite idée.
Et tu ne m’as pas dit ce que tu aimerais toi. C’est important et même primordial que ta soumise puisse te faire plaisir.
— J’ai bien deux fantasmes, mais je ne crois pas qu’elle y soit prête. — Oh tu ne sais pas. Rien n’est impossible, par contre on en parlera toutes les deux, elle aime les surprises de toute façon, n’est-ce pas ma petite Ophélie, lui dit-elle en se tournant.
Je vais d’abord t’apprendre le lâcher-prise ma belle, renchérit-elle. L’année dernière, tu as reçu un choc en apprenant que tu pouvais jouir formidablement soit à la suite d’une humiliation provoquée ou de contraintes. Passé le déni, tu t’es révolté pour enfin tenter de négocier et gérer par toi-même ta libido. Après réflexion, tu sais maintenant que cette sexualité différente fait partie de toi et on est là pour te conduire et accepter ta vraie nature.
Donc on explorera ensemble la domination qui te convient le mieux. Tu ne te l’avoue pas encore, mais on le sait toutes les deux, tu ne vas pas pouvoir te cacher éternellement, tu es faite pour la soumission. Reste à savoir quel sera ton degré de docilité. D’après ce que tu me dis Christine, elle aime et recherche les sensations fortes, je vais faire ce qu’il faut pour lui faire découvrir et comme elle a de bonnes prédispositions, on pourra dépasser certainement le stade de la soumission occasionnelle. Tu m’as dit qu’elle n’a plus de travail, n’est-ce pas Christine.
— Oui tout à fait.— Ne présageons pas de l’avenir, mais je crois qu’une aussi belle femme avec ces talents cachés ne peut rester sans occupation. Obéir et servir à plein temps me semble une activité que l’on ne peut ignorer.— Je te laisse la découvrir Inès, tu es la plus expérimentée pour déceler ces qualités.— Bon, ce n’est pas tout ma chère Christine, il se fait tard, tu dois avoir faim et le repas est prêt.
Ophélie est honteuse à l’écoute de tout ce que révèle sa chérie. Alors qu’elle revit certaines scènes, elle est choquée par ses perversions, toutes les pensées contradictoires se bousculent dans sa tête, mais parallèlement, elle ne peut contenir la fièvre de son corps, elle est en ébullition. Plongée dans ces incertitudes, elle croit par contre entendre « Obéir et servir à plein temps » ; cela l’interpelle, mais comme la phrase entière lui a échappée, elle se recentre sur elle pour essayer de se calmer.
— Ah oui j’ai oublié de te dire que ta formation commence ce soir. Regarde-moi Ophélie, comme cela, je saurais que tu as tout compris.
Donc Christine t’a confié à moi, on ne va pas perdre de temps. Voici le programme pour les jours à venir. Tu n’as plus à te préoccuper de quoi que ce soit. Je vais penser pour toi, décider pour toi, je vais te chouchouter. Tu vas découvrir le plaisir d’être choyée comme un bébé. A partir de maintenant, tu ne te déplaceras qu’avec Sana. Pour commencer, elle va t’équiper d’un collier et d’une laisse que tu conserveras tout le temps où tu seras chez moi, bien sûr elle va t’enlever ton bâillon. Tu la suivras ensuite aux cuisines pour manger, aux toilettes pour tes besoins, à la douche et enfin vous irez dormir toutes les deux. Comme tu ne pourras te servir de tes mains, c’est elle qui te nourrira, t’aidera pour tes besoins naturels, assumera ton hygiène corporelle. Dernière précision, je t’autorise à parler si c’est absolument nécessaire, mais limite tes paroles au strict minimum, car évidemment Sana n’a pas le droit de dire un mot. Je compte sur toi pour être gentille... Allez-y, vous pouvez nous laisser, bonne soirée à vous deux.
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