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Retour de vacances

Chapitre 3

Hétéro
Chapitre III

Nous arrivons à destination avec un peu de retard, Claire et Henry nous attend avec impatience, quand la voiture passe la grille de la propriété, ils viennent joyeusement à notre rencontre. Henry est en short et chemise ouverte sur un torse velu et épais où un début d’embonpoint apparaît nettement, Claire est toujours aussi belle que dans mes pensées, elle porte une petite jupe qui lui descend juste sous les fesses et qui couvre un mini short blanc. Une petite blouse sans manche laisse apparaître par transparence une paire de sein magnifique dont les bouts tendent sous le tissus. Après les banalités d’usages, Aline demande pour que l’on puisse se changer, c’est Henry qui répond :
« Pas question, par cette chaleur laissons nos corps respirer, vos tenues sont parfaites ».
Nous entrons, traversons un immense hall d’entrée, passons le living luxueusement meublé et par une grande baie vitrée nous accédons à une sorte de patio avec une magnifique terrasse et une piscine imposante par sa surface. Un jeune couple assis à la terrasse se lève et vient à notre rencontre.
Henry présente son fils Olivier et sa belle fille Nancy, Olivier est un beau garçon d’environ 25 ans, grand, svelte, athlétique. Nancy en bikini est une jolie blonde, assez grande avec de longues jambes fuselées un ventre plat et musclé et des seins qui atteignent facilement le 105 C. C’est le genre de fille que vous avez très difficile à regarder dans les yeux, votre regard étant littéralement scotché sur ses appâts.
Après les présentations et les politesses d’usage, nous nous asseyons tous autour de l’immense table, des boissons nous sont servies par une jolie petite brunette qui ne doit certainement pas avoir froid aux yeux. Les conversations vont bon train et sont très agréables, les blagues fusent et les rires fleurissent. La chaleur avec le soleil au zénith a encore augmenté de deux ou trois degrés, l’alcool aidant, nous sommes tous en transpiration.Henry se lève, me pose la main sur l’épaule et s’exclame :
« Si nous piquions une tête dans la piscine pour nous rafraîchir ? »
« Vu la chaleur ce serait avec plaisir mais nous n’avons pas de maillot » répond Aline.
Claire intervient affirmant qu’eux même, fervent adeptes de naturisme ne portent jamais de maillot et que la plupart du temps ils passent leur week-end nus. Aline sous l’effet d’un dernier vestige d’éducation austère, me regarde avec des yeux effarés. Benoît et Jenny ont rejoints Olivier et Nancy et entièrement nus se sont précipités dans l’eau bienfaisante. Devant mes yeux admiratifs, Claire quitte ses vêtements, malgré la situation, je ne peux m’empêcher de bander devant ce corps magnifique, Claire s’en aperçoit me sourit et dit :
« Ne soyez pas gêné, les premières fois c’est toujours ainsi, mais par la suite, on fait la différence. Venez Aline ».
Aline se lève, Claire lui enlève sa robe de plage, et descend son string jusqu’aux pieds, elle soulève ceux-ci et le string reste dans les mains de Claire qui le dépose sur le dessus du fauteuil. Prenant la main d’Aline et celle de son mari, ils vont rejoindre les autres. Je reste seul le sexe toujours tendu, j’essaie de penser à autre chose mais inexorablement je reviens au corps somptueux de Claire, à la poitrine imposante de Nancy, la petite bonne passe près de moi, je lui demande où sont les toilettes, je m’y précipite et comme un ado boutonneux, je me branle éclaboussant la porte de mon sperme épais. Après avoir bien tout nettoyé, je reviens sur la terrasse enfin apaisé, j’enlève mon short et ma chemise et vais faire trempette avec les autres.
Dans la piscine ce n’est que jeux et rires, les corps se touchent, je suis surpris de voir Aline s’amuser comme une folle, complètement libérée et aussi à l’aise. Dans un coin de la piscine, Nancy et mon fils Benoît sont étrangement soudés l’un à l’autre, tandis qu’à quelques mètres Olivier s’intéresse de très près à ma fille. Surpris je me rapproche d’eux pour les inviter à plus de décence quand Henry s’interpose, il m’explique qu’ils sont des adeptes de l’amour libre, de l’échangisme et que contrairement aux idées reçues, il faut s’aimer très fort pour accepter que son conjoint trouve du plaisir dans les bras d’un autre ou d’une autre selon le cas. Je croise le regard d’Aline qui contrairement à moi a l’air de prendre du plaisir à regarder les deux couples se lutiner dans la piscine, après tout, ils sont majeurs et consentant, je sors de l’eau et rejoint la terrasse où Claire est déjà assise bras et jambes écartés pour parfaire son bronzage. En me voyant elle se redresse, regarde mon sexe, sourit et me dit :

« Je vois que tu vas mieux, tu n’es plus aussi tendu ».
Mes yeux sont fixés sur ce corps sensuel et à ces paroles, je sens à nouveau le feu se répandre dans mes reins, mon sexe bande de plus belle, Claire me tend la main et m’attire vers elle :
« Viens près de moi, laisse toi aller, regarde comme ta femme prend du plaisir avec mon mari »
Je regarde vers la piscine et je vois Aline pendue au cou d’Henry, leurs bouches sont collées l’une à l’autre, je ressens une jalousie qui me fait mal, je détourne les yeux et je vais vers Claire plus par vengeance que par envie. J’ai à peine eu le temps d’embrasser Claire que la petite bonne vient prévenir sa maîtresse que le dîner va être servi, Claire regroupe tout le monde et nous passons dans la salle à manger. Aline me prend le bras, et à mon oreille me dit :
« Je n’ai fait que l’embrasser, rien de plus, si cela te déplaît, arrêtons tout, sache que c’est toi et toi seul que j’aime et jamais je ne me donnerais à quelqu’un d’autre sans ton accord »
Je l’embrasse tendrement, mes mains caressent son dos et ses fesses :
« Pardonne-moi mon amour d’être bêtement jaloux, prends du plaisir, donne toi, je t’aime »
Claire à disposé ses invités, les bouts de table sont libres, elle a pris la première place, je suis à sa droite, en face d’elle il y a son mari avec ma femme à sa gauche puis il y a Olivier et Jenny, à ma droite se trouve Nancy suivie de mon fils Benoît. Le repas est servit, les mets sont succulents, les vins sont tous des grands crus millésimés, l’alcool remplit son rôle, les mains se promènent sur les corps nus qui s’échauffent, nous terminons le dessert et le café, la petite bonne débarrasse la table. Nous passons au salon où est posé un plateau avec des verres et un plateau avec les alcools, nous prenons plusieurs verres, les femmes se lâchent, elles se retrouvent au centre de la pièces, elles s’embrassent, se caressent les seins, les fesses, nous offrent le spectacle de leur chatte dégoulinante et de leur anus légèrement ouvert. Je me remet à bander très fort, je regarde Henry assis en face de moi, je n’en crois pas mes yeux, il est monté comme un cheval, sa queue fait au moins 23à 26 centimètres et est aussi grosse que mon poignet, avec mes dix-huit centimètres, j’ai l’air à côté de lui d’un gamin sorti de la puberté. Claire vient vers moi, s’assied entre mes jambes, saisi mon sexe et le gobe goulûment.
« Tu ne dois pas t’ennuyer avec un sexe pareil à ta disposition »
Elle arrête de me sucer, continue à me branler avec la main, et me répond :
« Détrompe-toi, il n’arrive pas à me faire jouir avec son engin, tu verras que ta femme sera déçue, il souffre depuis son enfance d’éjaculation précoce et il ne peut donner aucun plaisir à une femme. Heureusement, j’ai mon fils et mes godes, sinon je serais une véritable insatisfaite, par contre, ses doigts sont d’enfer, pour une clitoridienne, c’est le summum ».
Claire recommence à me sucer, je pose les mains sur sa tête, la prends par les cheveux et rythme la cadence enfonçant mon pieu au fond de sa gorge. Lorsque je sens que je vais jouir, je la retire de sa bouche, l’attire sur moi et l’empale d’un coup sec, ses ongles griffent mes épaules et mon torse, elle gémit et commence des mouvements de bassins de plus en plus rapides. Elle secoue la tête, faisant voler ses cheveux dans tout les sens, elle gémit, râle, hurle et s’écroule sur moi victime d’un orgasme qui la fait trembler de la tête aux pieds. Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits, je l’installe dans le fauteuil, le cul en l’air, je passe mon gland entre ses lèvres détrempées, je me positionne devant son petit trou plissé, l’élargit un peu en y insérant deux doigts puis la pénètre d’un coup sec. Elle hurle d’abord de douleur, puis de plaisir, je m’enfonce profondément dans son conduit, me retire, pénètre à nouveau, je réitère le mouvement une vingtaine de fois tout en pinçant et étirant son clitoris, le faisant rouler entre mes doigts, sa respiration est de plus en plus rapide, une longue plainte venant du fond de son être résonne dans la pièce, elle se cabre, pousse son bassin vers moi et sous un orgasme démentiel, inonde le fauteuil d’un mélange de mouille et d’urine. Je me libère également et envoie de longues giclées de sperme tapisser son rectum, elle s’affaisse sur le siège, de son anus ouvert coule mon sperme, j’en recueille une partie sur mes doigts et les portes à sa bouche, l’odeur lui fait ouvrir les yeux, elle passe la langue, nettoie toute ma main avec avidité puis, ayant terminé elle passe sa propre main entre ses fesses et la porte à sa bouche pour sucer un doigt à la fois.
Pendant ce temps, Aline a juste eu le temps d’introduire le bout de la queue d’Henry entre ses cuisses qu’il décharge de longues giclées d’un liquide transparent. Il couche alors ma femme sur le dos, les jambes totalement ouvertes et s’occupe de son puits d’amour la pénétrant de ses doigts, tentant de trouver tous les points sensibles, accrochant le point G ce qui a pour effet de transporter Aline dans un état d’excitation certain mais qui ne lui suffit pas à atteindre les sommets espérés. Une succession de petites secousses envahissent son corps mais la laisse sur sa faim. Connaissant mon épouse, je sais qu’elle simule l’orgasme pour mettre un terme aux attouchements d’Henry, elle se redresse s’assied et prend son verre. Elle me regarde en souriant se lève et sort sur la terrasse.
Pendant ce temps, les jeunes se donnent l’un à l’autre sans retenue, Jenny sodomisée par son frère offre son sexe à Olivier pendant que Nancy la chatte sur sa bouche lui malaxe les seins étirant les bouts jusqu’à la limite du supportable. J’entends ma fille hurler de plaisir, je sors sur la terrasse et viens m’asseoir près de ma femme. Je l’enlace, la main sur sa poitrine et nous contemplons le spectacle. Jenny a jouit, avec une violence inouïe, son corps étendu au bord de la piscine est parcouru pendant plus de cinq minutes de tremblements qui la secouent de la tête aux pieds, les hommes, toujours en érection s’occupent maintenant de Nancy, lui réservant le même sort. Olivier couché sur le dos fait asseoir sa femme sur son sexe pour une sodomie profonde, Jenny sortie de sa torpeur parle à l’oreille de son frère qui s’écarte et lui laisse la place entre les cuisses du couple, de la main gauche elle oblige Nancy à s’étendre le dos sur le torse de son mari. Sa main droite caresse les lèvres gonflées et juteuses de Nancy, les écarte, s’enduit des sécrétions et les doigts rassemblés, pénètre son vagin jusqu’au poignet. Nancy gémit de plaisir, se caresse les seins, les étire et en présente un à ses lèvres pour le sucer. La main de Jenny s’est refermée et son poing laboure les chairs brûlantes de Nancy, soudain, un râle profond s’échappe de la bouche d’Olivier pendant qu’un « nooonnnnnnnn » qui veut dire « encore » résonne dans le patio. A la mine enjouée de ma fille et à la position de son bras, je comprends qu’elle masturbe la verge d’Olivier à travers les parois de Nancy et qu’elle les transporte ainsi dans un état de jouissance extrême. Ils hurlent maintenant de concert, ils sont tout prêt de l’explosion, Claire et Henry sont venu nous rejoindre, et tous les quatre nous sommes emportés par ce spectacle torride, machinalement, nos mains posées sur nos sexes, nous nous masturbons, Benoît s’est éclipsé vers la cuisine et les gémissements de la bonne augmentent notre excitation. Quand Olivier jouit, son postérieur décolle de plus de quarante centimètres du sol, poussant sa verge au plus profond des entrailles de sa belle qui sous l’effet de cette poussée, s’empale sur le poing et le bras de Jenny. Le cri que pousse Nancy avant de s’écrouler inanimée est indescriptible de part sa puissance, son orgasme dépasse tout ce que j’ai pu voir. Couchée sur le ventre, les jambes écartées, la main sur son sexe, elle râle et est secouée de spasmes, des petits jets d’urine giclent entre ses doigts et de son anus encore béant s’échappe des traînées de sperme.Votre avis pour une suite
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