Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 85 J'aime
  • 1 Commentaire

Retour de vacances coquines

Chapitre unique

Erotique
Retour de  vacances coquines. Comme chaque année depuis que je suis adolescent et capable de voyager seul, je reviens d’un mois et demi de vacances passées chez mon oncle (frère de ma mère) et ma tante sur la côte landaise. Ils habitent un peu à l’écart d’une petite ville une maison typique du pays et couchent au rez-de-chaussée. De mon côté, je couche à l’étage que je partage avec Julie, leur fille adoptive qui a vingt deux ans. Nous avons grandi ensemble, nous retrouvant à chaque vacance, sans que rien ne vienne troubler notre camaraderie mais cet été là, tout a changé. Fin juin, mes parents avaient voulu fêter mon anniversaire – dix huit ans – et mon passage en seconde année du DEUG que je bossais avec sérieux. C’était le dernier jour de ma présence à leurs côtés : je devais prendre le dernier train pour arriver à destination peu avant minuit. Quelle n’a pas été ma surprise lorsque j’ai aperçu la silhouette de Julie sur le quai de la gare.·        Je comptais voir mon oncle mais cela me fait très plaisir d’être accueilli par une aussi jolie fille !·        Çà me fait plaisir à moi aussi… J’étais impatiente de t’accueillir. Viens vite, je vais te montrer que je sais conduire… j’ai mon permis depuis Noël l’an passé.·        Félicitations… J’ai hâte de le passer moi aussi… En région parisienne, la conduite accompagnée n’est pas évidente…·        Parle-moi de Paris… Ici, la vie est plutôt monotone… Il y a peu de distractions ! Tout en bavardant de choses diverses, nous sommes arrivés à la maison de mon oncle André et de ma tante Amanda qui m’attendaient avec une certaine impatience. Après les effusions d’usage, ma tante et Julie m’ont accompagné à l’étage où je me suis installé sommairement !·        Demain il sera temps de déballer mes affaires. Là, je suis vanné par le voyage.Aussitôt Julie ajoute un commentaire :·        Oh… le pauvre chou. Il a trop fait la fête avec les copines…·        Non, ce n’est pas ce que tu crois… La fin d’année a été assez rude avec les partiels… D’ailleurs les copines, je n’en ai pas ! Juste quelques camarades… ·        Tu verras, quand nous irons à la plage, tu auras l’embarras du choix bien que nous soyons encore en juillet.·        Tu as raison… Juillet n’est guère propice ! On verra au mois d‘août ! Mais comme d’habitude, je ne reste que la première quinzaine…Après une toilette sommaire dans la salle de bains séparant ma chambre de celle de Julie, je me suis couché et me suis endormi rapidement. Si la première partie de la nuit a été reposante, il n’en a pas été de même sur le matin car je me suis mis à rêver de Julie et de sa silhouette attirante… Mais je ne rêvais pas : Julie s’était glissée dans le lit à mes côtés et je sentais ses petits seins se coller dans mon dos.·        Chut… Ne dis rien, j’ai envie de sentir ta chaleur… Tourne-toi et prends moi dans tes bras, un jeune comme toi çà me changera !Sur le coup, je ne relevai pas la fin de sa phrase mais j’y repensai après le petit déjeuner pris en compagnie de mon oncle, de ma tante et de Julie. Que voulait-elle dire… un jeune comme moi ? Avait-elle l’habitude de baiser avec de séniors ? Je me promis de l’interroger dès que j’en aurais la possibilité. Après le petit déjeuner pantagruélique, nous sommes remontés dans nos chambres et alors que j’étais sous la douche, Julie est entrée sans aucune gène dans la salle de bains. Elle était intégralement nue… Décidemment depuis les dernières vacances estivales, elle avait beaucoup changé.·        Laisse-moi entrer… On va se laver mutuellement…
·        Si tu veux… On ne dira rien à ta tante et à ton oncle.·        Oh… mon oncle, ce n’est pas la première fois qu’il me voit à poil… Il m’a même baisée plus d’une fois quand ma tante est absente !·        Sérieux ?·        Oui… et depuis je me partage avec des séniors… ses copains… Ce n’est pas comme ces jeunots que ne pensent qu’à leur plaisir et à ajouter un nom à leur tableau de chasse.·        Je connais quelques filles de la fac’ qui sont pareilles… ·        Ne me dis pas que tu as succombé ?·        Non… les études c’est du sérieux… Pas le temps de batifoler !·        On va se rattraper ! Tu vas me baiser sous la douche… j’en ai envie depuis un certain temps !Julie s’est mise à genoux devant moi et a embouché mon sexe ! Je n’avais jamais été à pareille fête. Certes j’avais perdu mon pucelage et baisé plusieurs fois avec une cousine de ma mère, mais c‘étaient des ‘coups vite fait’ qui n’avaient rien à voir avec ce qui se profilait.·        Çà me changera ! Je sens que çà va être bon !·        Si tu le dis… Fais-toi plaisir !·        Oh oui, je vais bien en profiter ! Une jeune bite, je n’en ai jamais eu !Dès que j’ai été au goût de  Julie, celle-ci s’est relevée, et en me tournant le dos elle a mis ses mains sur ses petites fesses en me disant de me faire plaisir et de bien la baiser.Les dernières assertions de Julie me trottaient dans la tête : qui pouvait bien l’avoir dépucelée ? Quels étaient ses amants ? Ce jour-là, je me promis de l’interroger, je voulais en savoir plus mais je ne voulais pas l’effaroucher avec des questions si personnelles. Mais en fait, c’est elle-même qui s’est confiée !·        Tu dois t’interroger… C’est ton oncle qui m’a dépucelée… Ce jour-là, il était avec son copain Serge et pour le quatre heures, ils m’ont demandé de leur servir une cannette. J’y étais habituée car ton oncle aime bien être servi. Comme c’était début juin et les premières chaleurs, j’étais très légèrement vêtue. J’avais juste un tablier sous lequel j’étais nue et un T-shirt à manches courtes.·        Un peu comme aujourd’hui !·        Oui ! Mais ce dont je ne me doutais pas, c’est que Serge a glissé ses mains entre mes cuisses et il est remonté jusqu’à ma chatte qui bien évidemment n’était couverte que par un string très mini dont il a fait glisser le fond sur le côté. Il a commencé à me branler la chatte. Je n’avais jamais baisé et ce n’est pas les branlettes que je m’offrais dans la chambre qui pouvait me satisfaire.·        Et tu t’es laissé faire !·        Oui… Je me doutais qui allait se passer… Deux mâles en rut, j’ai immédiatement pensé que c’était le moment de me laisser faire !·        Ne me dis pas que tu t’es tapé les deux ?·        Si… Mon oncle a présenté sa bite devant ma bouche – je savais ce que je devais faire - pendant que Serge me masturbait la chatte. C’était bon ! Ce coquin de Serge avait des préservatifs dans la poche et en a tendu un à mon oncle en lui disant qu’il avait la priorité ! Mon oncle m’a allongée sur la table de cuisine et sans beaucoup de préparation, il s’est introduit dans ma chatte qui n’avait jamais été à pareille fête… puis ce fut le tour de Serge…·        Mais pourquoi n’as-tu pas protesté ?·        J’en avais trop envie. Je savais déjà que mon oncle n’espionnait quand je prenais ma douche, alors je me suis laissé faire. Après tout s’est enchainé… j’avais une dizaine d’amants, tous autour des quarante ans et je dois te dire que toute cette bande de joyeux drilles, sont de bon queutards. D’ailleurs l’un d’eux est le médecin de famille et il m’a fait prendre la pilule, comme cela, ils peuvent tous me baiser sans craindre de me faire un môme…·        Ben dis donc… t’es drôlement dessalée !·        On va bien en profiter… Ta jeune bite me changera… Je te retrouve à la sieste !·        OK… Je t’attendrai !Désormais, je passais mes nuits dans les bras de Julie qui me fit découvrir les joies du sexe. Avec elle, j’ai expérimenté presque toutes les positions classiques jusqu’à cette soirée où nous avions un peu exagéré sur les boissons alcoolisées. Julie m’a demandé de la sodomiser en disant que jusqu’à présent, elle s’était toujours refusée à cette pratique, qu’elle voulait que ce soit moi qui lui ouvre cette porte. C’était en quelque sorte, un cadeau qu’elle me faisait !·        Regarde, je me suis préparée… J’ai un Plug dans mon sphincter et mon cul est préparé à ton intention.·        T’es vraiment une belle garce…·        Je ne peux demander cela à un de mes amants… Il irait s’en vanter auprès de ses copains qu me baisent…·        Autrement dit, avec moi tu es tranquille !·        OUI ! Vas-y ! Fais-toi plaisir ! Ce n’est pas souvent qu’une fille t’offrira de prendre ce pucelage.·        Mets-toi comme si je voulais te baiser en levrette ! C’est ce qui me semble le mieux !Après m’être couvert, je suis entré brièvement dans la chatte de Julie avant de glisser ma bite entre ses fesses et de mettre mon gland contre son sphincter. Celui-ci s’est ouvert sous la pression et progressivement ma bite est entrée dans le cul de Julie qui s’est écriée :·        Vas-y… C’est presque aussi bon que dans la chatte !·        C’est une première pour moi… je n’ai jamais sodomisé une de mes copines !·        Alors, profite ! Tu me fais du bien et prends du plaisir !La posture de Julie était effectivement très jouissive. J’entrais dans son sphincter en faisant attention de ne pas en ressortir afin de ne pas ouvrir l’anneau plissé plus qu’il n’était possible. Et Julie m’encourageait ! Heureusement que ses parents n’étaient pas là car elle était déchaînée, faisant claquer ses fesses contre mon pubis… Je sentais mon plaisir monter dans mes reins et Julie n’était pas avare sur la description de ses sensations ! Mais bientôt, je sentis que le plaisir était là et que je n’allais pas tarder à emplir le fond de la capote de mon foutre.Vous décrire cela n’apporterait rien à ce récit, toutefois, l’un et l’autre avons pris beaucoup de plaisir.Le seul commentaire de Julie « C’était divin ».Pour tromper ma tante, nous commencions la nuit dans un lit pour la finir dans l’autre, mais j’étais un peu jaloux car cette coquine n’avait pas cessé de rencontrer ses amants habituels. Quand elle sortait des bras de l’un d’entre eux, Julie déployait avec moi des trésors de coquinerie, qui au petit matin nous laissaient épuisés mais ravis.Hélas, tout a une fin… Les vacances chez mon oncle et ma tante étaient terminées et j’ai rejoint mes parents qui m’attendaient sur une plage de la Méditerranée. Tout fier de ma nouvelle science, j’en ai fait bénéficier quelques coquines qui se laissaient faire le soir sur la plage.
Diffuse en direct !
Regarder son live