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Je retourne la situation

Chapitre 1

Le plan est lancé

Travesti / Trans
— Tu me jures que tu ne te branles jamais ? — Mais non chérie, je n’arrête pas de te le dire ! — Même en pensant à moi ? Sous la douche ? En regardant un site de cul comme tous les autres ? — Jamais ma chérie, je te le jure.
C’est la goutte de trop. Il me prend pour une imbécile et je ne supporte plus du tout ça. D’accord, il ne me trompe pas, enfin je n’en ai pas la preuve encore, mais il me ment ! Je le sais, car je l’ai vu faire. Il pensait que je faisais la sieste comme tous les dimanches après-midi, sauf que je n’arrivais pas à dormir. Donc je suis allée le voir discrètement pour lui faire peur, histoire de rire. Mais au lieu de le voir devant le foot, ou je ne sais quoi, il était en train de se branler, devant un film de cul. Et pas n’importe quel type de film. C’était une vidéo où un homme habillé comme une pute était en train de se faire baiser par une femme par un gros gode ceinture. Et le pire, c’est qu’il prenait son pied, il avait la bite en main et s’en donnait à cœur joie.
— D’accord, je peux te faire confiance, je suppose ? lui mens-je. — Évidemment chérie, pourquoi je te mentirais ? — On ne sait jamais les désirs cachés.
Je dois avoir ma vengeance. Je l’aime, je sais qu’il m’aime aussi, mais il me cache certains aspects de sa personnalité. Notamment d’un point de vue sexuel. Je me renseigne donc sur ces hommes qui aiment ce genre de pratique. J’ai été choquée au début, autant que je n’ai pas su lui dire que je l’avais vu. Après quelques recherches, je découvre que beaucoup d’hommes fantasment sur ce qu’on appelle "La féminisation" ou encore la "sissifaction". Ces hommes ne sont pas gay du tout, ils n’aiment que les femmes, mais recherchent d’autres façons de faire l’amour, ou plutôt de baiser. Je constate que ces hommes aiment généralement être habillés en femme, en salope, avec des vêtements très osés, très sexy. Je me mets à me dire que Théo porte peut-être mes fringues et sous-vêtements quand je ne suis pas là. Peut-être même qu’il joue avec son cul tout seul aussi.
J’élabore alors un plan, histoire de comprendre jusqu’où il va, et ce qu’il aime. Est-ce vraiment une vengeance finalement, ou alors j’entre dans son jeu ? J’aime ce petit côté interdit. Pourtant j’ai toujours refusé certaines pratiques avec Théo, notamment la sodomie qu’il me réclame régulièrement. Mais il se trouve que ce n’est pas enculer qui lui plaît le plus, mais être enculé.
Je place alors une caméra très discrète dans notre chambre, avec vue sur la commode afin de voir ce qu’il se passe. Je découvre une semaine plus tard en regardant les images, qu’il me pique mes culottes, mais aussi des vêtements. Il les porte longtemps, presque durant toute mon absence. Il s’habille de façon assez osée, avec mes robes moulantes, ou mes leggings. Il va jusqu’à mettre une de mes paires de talons. Nous ne faisons pas tout à fait la même taille, mais cette paire lui convient.
Mon plan est en marche, je veux aller au bout et voir où cela va nous mener. Je réserve donc un week-end dans une petite maison tranquille au bord de mer. Je m’occuperai de lui là-bas.
— Théo, ce week-end, on part ! J’ai réservé un petit logement, ça fait longtemps qu’on a pas bougé et il fait super beau.— Ah oui bonne idée Mégane (C’est mon prénom), t’as raison ça fait longtemps ! — On décolle dès vendredi, je m’occupe des valises, comme ça, je te récupère à la sortie du boulot et on part direct ! — Parfait, week-end en amoureux, ça va nous faire du bien.
Il ne sait pas si bien répondre. Le week-end ne promet pas d’être romantique, mais il va certainement changer notre vie.
Le vendredi, je finis plus tôt. J’en profite pour aller faire quelques courses pour ce week-end avant de faire les valises. Une fois mes achats nécessaires effectués, je rentre et prépare tout ce dont j’ai besoin. A 18h00 précises, je suis devant son travail. Il entre dans la voiture et l’on prend immédiatement la direction du logement. Nous sommes à 1h30 de route, ce qui n’est pas très loin, mais suffisamment pour être à l’écart de notre vie quotidienne.
Arrivés sur place, nous prenons possession de la maison, visitons toutes les pièces et nous installons. Alors que je commence à ranger les valises, Théo part sous la douche. C’est le moment de mettre mon plan à exécution, de toute façon, je ne peux plus revenir en arrière. Je récupère ses affaires du jour et les mets dans un sac bien scellé et caché pour ne pas qu’il les retrouve. Puis j’attends qu’il sorte de la douche. Au bout de quelques minutes, je l’entends râler :
— Mégane, tu peux me ramener mes affaires, j’ai rien pris avant la douche. — J’arrive chéri, mais il y a un problème, enfin tu vas en avoir un. — Que se passe-t-il ?— Il se trouve que je sais ce que tu fais pendant mes absences à la maison.
Il commence à devenir rouge, et faire le bête qui ne comprend pas.
— Ce que je fais quand t’es pas là ? De quoi tu parles ? dit-il d’un air innocent. — Ne fais pas celui qui ne comprend pas.
Et là je sors mon téléphone avec une vidéo de lui en train de se servir dans mes vêtements. On le voit choisir une culotte et une petite robe qu’il enfile. Il devient rouge écarlate, de plus il est encore nu, donc je vois son pénis prendre de l’ampleur. Même s’il essaye de le cacher, son excitation est là.
— Ah euh non, mais ça, c’était exceptionnel, je voulais juste voir l’effet que ça faisait. — Oui, prends-moi pour une conne Théo, je sais que tu le fais régulièrement ! Tu crois que je n’ai pas remarqué que mes vêtements ne sont pas toujours parfaitement rangés comme j’aime le faire ? — Bon oui tu as raison, avoue-t-il facilement, mais j’ai trop honte pour t’en parler. J’avais peur que tu me prennes pour un fou, et que tu me quittes. Tu sais je t’aime toi. — Je sais que tu m’aimes, et je t’aime aussi. — Tu me pardonnes alors ? — Presque, si tu veux être pardonné, tu vas devoir bien te comporter ce week-end ! — Oui, je serai le plus gentil et amoureux des hommes tout le week-end et plus encore. — Oh toi tu n’as pas compris. Ce n’est pas ça ce que je te demande, je te demande d’être la plus sexy et la plus amoureuse des copines ce week-end.
Il ouvre bien grand les yeux, ne sait rien répondre à ça. Je vois bien qu’il essaye de vérifier s’il a bien compris, mais je pense que c’est le cas. Ce week-end, je vais faire de lui ma parfaite petite femme, à mon service, et surtout le rendre très sexy. En effet, il n’a aucun vêtement masculin dans la valise, et il n’y a que des tenues que j’ai soigneusement choisies pour lui : des strings, des robes, des jupes, des talons, de la lingerie... et bien plus encore.
— Commençons par inspecter ton corps, tu sais qu’une femme se rase intégralement et de très près ? — Euh oui, enfin c’est ce que tu fais toi. — Alors c’est parti, rase-toi, les bras, les jambes, les fesses et tous les poils que tu trouves sur ton corps.
Une fois Théo rasé, nous passons à l’étape suivante :
— Très bien, maintenant, comment s’habille une femme Théo ? — Bah avec une culotte et un soutien-gorge pour commencer. — Très bien, tu maîtrises ton sujet. Mais pour toi, j’ai prévu mieux qu’une culotte, je t’ai pris de magnifiques strings. Enfile donc ce premier ensemble pour ce soir.
Je lui tends un string noir, assez large pour commencer tranquille avec le soutif assorti. Évidemment, il n’a pas de seins pour le remplir. Je sors de mon sac l’un de mes achats du jour, deux prothèses mammaires imitant des seins taille D, autant faire les choses en grand. Puis nous continuons son habillage. Comme j’ai prévu d’aller manger dehors, je lui donne une petite robe blanche (histoire que sa lingerie soit visible à travers) très mignonne, lui arrivant tout juste à mi-cuisse. Je passe ensuite par la case maquillage, où je prends un malin plaisir à le maquiller à fond. Vient un nouvel achat de l’après-midi : une perruque de cheveux mi-longs, brune comme moi. Pour finir sa tenue, j’ai évidemment prévu des talons noirs de dix centimètres.
— Tu sais marcher avec des talons, j’imagine ma chérie, lui dis-je. — J’ai déjà essayé une de tes paires, mais jamais un si haut talon.— Tu vas vite t’y faire, ce n’est qu’un début.
Une fois habillé, je le regarde sous tous les angles : la robe est bien à sa taille, courte pour être sexy, le string se voit légèrement comme prévu. Par contre un détail me gêne : il bande comme un taureau dans son string le coquin.
— Tu ne peux pas sortir comme ça ma belle, dis-je en le regardant. — Oui, j’ai un petit plus qui n’a rien de féminin... — On va régler ce problème rapidement, branle-toi ! — Pardon ? dit-il, choqué.— Branle-toi, éjacule quoi ! Ça devrait pas te prendre bien longtemps, vu comment tu bandes.
Il soulève sa jupe, écarte son string sur le côté et commence de doux va-et-vient. Je le regarde, il est debout sur ses talons, cette vue me fait mouiller aussi, mais je reste de marbre pour le moment. Après 2/3 minutes, il commence à faire de petits cris, signes qu’il va éjaculer. Je lui tends un mouchoir pour ne pas qu’il en mette partout. Une fois son affaire terminée, je passe à une étape importante de mon plan : le priver de sa bite.
— Parfait, maintenant que ta bite a retrouvé une taille normale, on va pouvoir t’équiper pour le week-end. Ne bouge pas.
Je me suis mise à genoux devant lui, non pas pour le sucer, mais pour lui installer une mignonne et minuscule cage de chasteté rose. Je ferme le cadenas, garde la clé autour de mon cou et lui montre le résultat.
— T’es sérieuse ? — Une femme, ça n’a pas de pénis ! Et tu vas pas te branler tout le temps pour cacher tes érections ! Ne t’en fais pas, tu n’auras pas besoin de ta bite ce week-end. — Tu veux dire qu’on ne va rien faire du week-end ? — Bien sûr que si, on va faire plein de choses, mais entre femmes, donc sans ta bite. Bon allez, assez perdu de temps, on file au restaurant, j’ai super faim, pas toi ? — Comment ça ? Tu as vu à quoi je ressemble ? Je ne peux pas sortir comme ça ? — Et pourquoi ça ? — Bah je suis travesti en femme Mégane ! — Tu es une femme, regarde-toi, tu es belle, sexy, féminine... Allez en route !
Sur ce, nous quittons la maison de location direction un petit restaurant un peu plus loin. Théo a quelques difficultés à s’habituer aux talons, mais avec ce que je lui réserve demain, dix centimètres c’est des chaussons.
A suivre...
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