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Je retourne la situation

Chapitre 2

Travesti / Trans
Je traîne Théo dans sa nouvelle apparence jusqu’au restaurant. Il n’est pas très à l’aise dans sa petite robe et ses talons hauts, mais moi ça me fait mouiller très fort. Lorsque l’on est installé, j’en profite pour le travailler et voir s’il va davantage s’ouvrir à moi concernant ses penchants originaux.
— Alors ma chérie, tu fais ça depuis combien de temps ? je lui demande.— Disons que j’ai commencé à avoir envie d’essayer des vêtements de femmes très jeune, mais que j’ai réellement commencé à en essayer régulièrement quand on s’est installé ensemble.— Et pourquoi tu aimes les vêtements de femme ? — C’est difficile à expliquer. Ils sont plus doux, plus diversifiés, et je les trouve beaucoup plus attirants. — Si tu avais une tenue à porter, qu’aimerais-tu mettre ? — Euuh... J’adore les strings, c’est particulièrement excitant à porter, après j’aime beaucoup les robes courtes près du corps, ou même les leggings... — Mh oui je vois, des vêtements assez provocants du coup ? — Oui enfin non, je cherche pas à ressembler à une pute.
Je sais qu’il ne veut pas trop en dire, car sur les vidéos que j’ai vues de lui chez nous, son but est clairement de ressembler à une pute. Mais je ne vais pas le brusquer trop vite, le week-end est encore long. On continue notre dîner en discutant de plein de choses du quotidien, pas forcément liées à son travestissement.
De retour à la maison de location, nous sommes assez fatigués, mais je suis aussi très excitée. J’embrasse donc Théo, que j’ai décidé de baptiser Vanessa lorsqu’il sera dans sa nouvelle apparence féminine. Il est très réceptif à moi et me montre qu’il est également excité. Je n’en doutais pas, il vient de passer quelques heures en robe talon, en public, cela doit le fasciner. Je commence à le toucher, comme si c’était une femme, ses seins, ses jambes, ses fesses... Il en fait tout autant et cela me plaît beaucoup. Alors que nous nous dirigeons vers la chambre, il commence à me déshabiller. Il découvre alors ma lingerie, c’est-à-dire une très belle guêpière noire, avec porte-jarretelles intégrés, les bas de nylon et enfin le mini-string qui accompagne le tout. Je vois qu’il aime beaucoup cette tenue. Je le déshabille aussi de sa robe afin que l’on soit tous deux en lingerie.
— Comment trouves-tu ma lingerie Vanessa ? — Super sexy, tu devrais en porter tous les jours. — T’aimerais porter ce type de lingerie toi aussi ? je lui demande. — Oh oui, c’est super sexy !
Il est très excité, et s’ouvre facilement. Alors que l’on commence à se chauffer de plus en plus, il entreprend de me faire un cunni que je ne le lui refuse pas. Je suis déjà toute mouillée de toute façon. J’apprécie grandement ce moment où j’atteins presque l’orgasme. Puis il me demande :
— Tu peux me sucer Mégane, j’en peux plus ?— Bien sûr que non Vanessa, tu es une femme, tu n’as pas de bite, rappelle-toi ! — Oui, mais enfin, on va bien faire l’amour ?
— Oui, mais sans ta bite. — Comment je peux faire l’amour sans ma bite ? demande-t-il, très surpris. — Tu vas le découvrir, mais demain, là je suis fatiguée, je vais me coucher.
Je décide de le laisser bien frustré, même si je le suis un peu aussi, il n’en sera que plus docile demain. La nuit est difficile, je me surprends à me toucher dans mon sommeil. Je suis certaine que sans sa cage, cette petite salope de Vanessa se serait branlée dans la nuit. Mais maintenant, c’est moi qui contrôle ses orgasmes, et j’adore ça !!
Au petit matin, je me réveille en pleine forme. À côté de moi, je vois ma chérie dans sa lingerie de la veille, encore endormie. Je décide de la prendre en photo, pour garder des souvenirs, et avoir un moyen de pression si nécessaire en plus des vidéos. Je me lève la première et pars me doucher pour me préparer. Il est déjà presque midi, la journée est bien entamée. Je m’habille aujourd’hui d’un legging très moulant avec un t-shirt à bretelles ne couvrant presque pas la totalité de mon ventre. Je me fais une queue-de-cheval pour avoir l’air plus stricte et dominante.
Quand Vanessa se lève enfin, elle est très gênée. L’excitation de la veille est descendue, mais je compte vite la faire repartir à la hausse. J’envoie directement Vanessa se doucher et lui prépare une tenue pour débuter la journée. Cette tenue se compose d’un porte-jarretelles et de bas noirs. Elle se complète d’un string ficelle et d’un soutien-gorge acceptant ses prothèses taille D. Enfin, je lui mets à disposition une minijupe plissée très courte, et une brassière assortie. Sa tenue n’est pas adaptée pour sortir, car elle est très provocante. De plus, la jupe risque de ne pas cacher grand-chose des attaches du porte-jarretelles, ni même du bas de ses fesses. Pour finir, je lui donne des sandales à lanières et plates-formes de quatorze centimètres. Il va avoir l’air d’une parfaite petite potiche qui fait le trottoir comme il doit aimer. Évidemment, lorsqu’il voit ce que j’ai prévu pour lui, il n’est pas ravi, enfin, il l’est, mais fait le timide. Bientôt, il ne demandera que ça !
Toute la journée, je m’entraîne à me comporter comme une vraie petite femme, une femme qui marche de manière sensuelle en talon, qui laisse deviner ses fesses sous sa jupe quand elle se penche. Je fais de lui une parfaite domestique, car elle passe le balai, puis fait la vaisselle avant de laver à la main nos vêtements et sous-vêtements d’hier. Pour la récompenser, à ma façon, je viens me positionner derrière elle pendant qu’elle lave son string de la veille. Ses fesses sont parfaitement accessibles, alors je la caresse et commence à tourner autour de son petit trou. Je vois qu’elle trémousse, se penche légèrement en avant, tout ça inconsciemment. Puis je pose mon doigt sur son trou, et commence à en forcer l’entrée. Elle ne s’y oppose pas, au contraire, elle devait attendre ça. Je dépose un peu de lubrifiant pour rendre l’accès plus agréable et commence à lui doigter le cul. Perchée sur ses quatorze centimètres de talons, elle me fait vraiment penser à une chienne en chaleur...
— Ne bouge pas, je vais te chercher une surprise, lui dis-je.
Je vais dans ma valise chercher un nouvel accessoire indispensable à la vie que Vanessa va mener à partir de maintenant : un plug anal. Je reviens me positionner derrière elle, et viens présenter la pointe de celui-ci sur son anus. Il entre à ma grande surprise très facilement, je me dis que Théo devait s’amuser avec son cul auparavant.
— Tu aimes cet accessoire ? — J’ADORE ! répond Vanessa. — Vas-y marche un petit peu avec, tu vas voir c’est génial comme sensation.
Elle fait quelques aller-retour devant moi, comme un mannequin qui se montre devant son public. Ce plug la fait encore plus rouler du cul, déjà qu’avec les talons, elle avait tendance à le faire beaucoup, là c’est carrément érotique comme démarche.
— Une petite balade au bord du lac, ça te dit ma chérie ? — Euh, je me change, alors je ne peux pas sortir comme ça Mégane... — Non bien sûr, sinon on va croire que tu fais le trottoir, viens j’ai quelque chose pour toi.
Je demande à Vanessa de se mettre nue afin d’enfiler une tenue plus correcte. Je fixe un serre-taille autour de la taille, et viens le serrer au maximum, car je trouve qu’il n’a pas une silhouette assez féminine encore. Puis il passe un nouveau string avec de la dentelle, et de petits nœuds roses. Ensuite, je lui donne une robe moulante (d’où l’intérêt du corset), qui lui arrive juste au-dessus des genoux. Étant donné que celle-ci est très serrée, elle va devoir faire de tout petit pas de potiche pour marcher. Pour finir, je lui demande de remettre les escarpins de quatorze centimètres. Ils sont hauts, mais donnent un aspect classe à sa tenue. Bien évidemment, elle a gardé sa cage et son plug bien au fond de son cul. J’ai appris durant l’élaboration de mon plan, que la combinaison cage, plug, string et talons hauts est très excitante pour les travestis de son genre.
— On y va Vaness ? — Tu es sûre pour les talons, ils sont très hauts et ta robe me gêne pour marcher... — C’est bien le but ma chérie ! Tu as une démarche super féminine comme ça, tu ne trouves pas ? — Si tu as raison, même le corset me fait une super taille, et mes seins paraissent énormes. — C’est parce qu’ils le sont ça ! Allez ne traînons pas, on a une belle soirée qui nous attend.
On se balade pendant près de deux heures, Vanessa commence à ne plus en pouvoir sur ses talons, et je la comprends, car moi aussi j’ai mal aux pieds et je ne porte que des sandales de huit centimètres. Elle a pratiquement le double, et n’a pas autant l’habitude que moi. En plus le corset est très serré et sa respiration n’est pas naturelle. Mais je suis fière d’elle, elle apprécie ce moment malgré tous les obstacles sur son chemin que je lui ai mis. Ce soir, elle sera récompensée comme il se doit, enfin comme elle le mérite...
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