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Retrouvaille post-confinement

Chapitre 1

La balade

Inceste
Je me souviens qu’il faisait un temps magnifique. Accroché à la fenêtre, je regardai le ciel sans nuages d’un azur implacable. Le chant des oiseaux ainsi que la légère brise donnaient à ce cadre un parfum de liberté. Il faut dire que le confinement finissait aujourd’hui, il était désormais autorisé de sortir de chez soi. J’avais eu la mauvaise idée au début du confinement de retourner chez mes parents. A 27 ans, je m’étais dit qu’il serait plus simple pour ma santé mentale d’avoir accès à une maison et un jardin plutôt qu’à mon petit appartement. Ma sœur était également venue chez mes parents pour le confinement au dernier moment. Bien que je sois content de ne pas être le seul enfant à la maison, j’appris avec fracas que la chambre où j’avais l’habitude de dormir était en travaux et ne pouvait pas être utilisée. Résultats: J’étais obligé de partager la même chambre que ma sœur Tatiana.
Elle avait 22 ans et était une gentille personne, mais devoir partager mon intimité avec elle était un calvaire. Je dormais sur un matelas dans sa chambre, et n’avais pas de réel lieu pour me ressourcer. Bien évidemment, je ne pouvais pas me masturber. J’avais tenté une nuit, mais elle avait balbutié "y a pas un truc qui fait du bruit ?". Depuis, je ne m’étais pas touché. L’eau étant limitée, je ne pouvais pas non plus me branler sous la douche bien que j’en ai souvent eu envie. Je crois bien que c’était le plus long moment sans aucune activité sexuelle de ma vie, ce qui me rendait parfois très agressif.
Je souriais en observant par la fenêtre les feuilles d’un saule frémir sous la brise. Tout cela était fini désormais. Je pouvais dès à présent sortir et rentrer dans mon appartement. Je jubilais à cette idée. Seulement, une nouvelle vint me gâcher mon plaisir. Tatiana arriva dans la chambre et lança:
— Bah alors, Adam, t’es pas prêt ?— Prêt pour quoi ? lui rétorquai-je.— Bah aujourd’hui y a Tata Spoutnik qui vient et on va se balader en forêt.
Elle comprit à mes yeux que je n’avais pas compris, puis elle rectifia:
— Maman n’a pas dû te le dire, mais il y a Tata et tout qui viennent aujourd’hui. Du coup, dès qu’ils arrivent on va aller faire une randonnée dans les bois et un pique-nique. Les parents sont en train de préparer les sandwichs là.
Je restai un moment stupéfait. Non. Non ! NON !
Le dernier jour du confinement et j’allais être obligé de passer ma journée avec ma famille. Cela semblait horrible dit comme ça. Il faut savoir que je n’étais pas trop famille, encore plus de ce côté là. C’est d’ailleurs moi qui avais surnommé ma tante Spoutnik. A la base, je l’appelais Dr Robotnik comme le méchant de Sonic qui possédait une grosse moustache orangée. Ma sœur n’ayant pas la référence avait contracté en Spoutnik et désormais tout le monde l’appelait comme ça. Je n’ai aucune haine ou rancune envers ma tante, c’est juste que je m’ennuie profondément lorsque je suis avec elle et ses enfants. Elle a 5 fils et 2 filles. Les fils sont les plus âgés, et les filles ont respectivement 28 et 18 ans. Quand j’étais enfant, je jouais beaucoup avec celle plus âgée que moi. Elle s’appelait Caroline. Lorsque nous étions plus jeunes, nous pouvions nous extirper de table pour aller jouer ailleurs, ce qui me permettait d’esquiver le repas si pénible.
Mais lorsque nous avons grandi, impossible de quitter cette table infernale. C’est la raison pour laquelle depuis mes 20 ans, j’avais complètement évité ma tante et ses enfants, fuyant ce problème, trouvant toujours une excuse pour ne pas être là.
Mais là... j’étais coincé. Je n’avais aucune excuse puisque j’étais en confinement ici. Je n’eus pas le temps de souffler que j’entendis la sonnette retentir. Mon sang ne fit qu’un tour. Je descendis les escaliers doucement et allai saluer ma famille. J’eus le droit à toutes les remarques du style "ah bah tu étais pas mort toi ?" ou "Mais qui êtes vous ?". Je souris à chacune de ces blagues en feignant la joie de les revoir. Ils étaient presque tous là, excepté deux garçons. J’arrivais face à ma cousine Caroline, cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vue, je crois même que je n’avais jamais répondu à son invitation d’ami sur Facebook. Je m’avançais vers elle et lui fit la bise "ça fait longtemps !" s’exclama-t-elle.
Effectivement, elle avait changé depuis la dernière fois que je l’avais vue, c’est-à-dire depuis plus de 8 ans. Elle avait toujours cette mâchoire carrée encadrée par des cheveux châtain très clair. Son sourire semblait gigantesque, mais ses yeux pétillaient de joie. Elle m’avait toujours inspiré un côté sauvage, du genre amie de la nature. Lorsque nous étions petits, nous avions beaucoup joué à un jeu que nous avions baptisé "Le monde des animaux" et dans lequel nous étions des animaux. Le jeu était assez banal en somme, nous vivions la vie d’animaux pour survivre, mais tout en restant très sage. Par exemple, j’étais souvent un crocodile, mais je ne mangeais pas de viande parce que j’étais un gentil crocodile. Je changeai souvent d’animal, mais elle, elle était toujours un cheval. C’était définitivement son animal totem. Une folie et une fougue dans le visage. Elle avait toujours le même corps bien charpenté, mais devenu féminin avec une poitrine raisonnable.
Elle était assez grande avec des épaules qui pourraient me faire complexer. Lorsque nous étions enfants, alors qu’elle n’avait qu’un an de plus que moi, elle arrivait à me porter sur son dos lorsqu’elle faisait le cheval, et ce malgré ma grande taille.


Toute la famille de ma tante était préparée pour la randonnée. Chaussures, sac à dos, bob, lunettes de soleil, gourdes, toute la panoplie.J’enfilais des affaires plus appropriées et rejoignis tout le monde. Nous nous déplaçâmes en voiture jusqu’à un petit village vieillot. Parfait pour débuter notre périple. Nous nous séparions les provisions pour que les sacs ne soient pas trop lourds pour certains et trop légers pour d’autres. Je serrai mon sac et me préparai pour la balade. Même si j’étais assez mécontent d’avoir été pris dans le traquenard, j’étais néanmoins content de sortir en forêt sous ce beau soleil.

Nous marchâmes une bonne heure, puis, essayant de faire un effort, je me mis à côté de ma cousine Caroline et lui demandai ce qu’elle pouvait raconter de beau. Nous parlâmes de nos vies, ce que l’on faisait actuellement. Elle me dit qu’elle avait trouvé un atelier pour pouvoir peindre, et qu’elle avait déjà des expositions de prévues. J’étais très impressionné par son parcours, elle était partie en Chine, en Australie et en Nouvelle-Zélande, sans un sou en poche et vendant ses tableaux. Tandis qu’elle parlait, je constatais à quel point elle était énergique. Elle portait un débardeur marron et un short beige assez court lorsqu’elle montait ses jambes. Elle avait une odeur de nature. C’est assez difficile à expliquer, mais elle l’avait toujours eue. Cette odeur de soleil et de voyage sur la peau. J’étais content de lui parler, mais rien de transcendant. Soudain elle me demanda:
— Tu restes dîner chez tes parents ce soir ?
Je ne savais même pas qu’après la balade, j’allais devoir assister à un repas défiant toute théorie de l’espace temps. Je répondis alors:
— Je ne sais pas encore, et toi ?— Moi dès qu’on rentre de la balade, je dois repasser à l’atelier.
Quelle petite veinarde, me dis-je.
Nous étions arrivés sur un talus et il y avait une grosse pente de 2 mètres. Je descendis et aperçus ma cousine en difficulté. Elle se tenait à une racine, qui rompit. Elle tomba en avant, mais je l’attrapai par les hanches. L’impact me fit reculer ainsi que mes bras, mais son corps vint se plaquer au mien. Je lui demandai si ça allait, elle me répondit juste merci. Mes mains sur ses hanches et son corps à cette proximité me donnaient une sensation bizarre. La flagrance de ses cheveux volant près de moi, je ressentis une sorte de vague de chaleur dans tout mon corps, comme un bien-être. Comme aimanté à elle, je me reculais, mais ce fut difficile pour moi. Je lui souris et lui dis :
— Dis donc ça te déranges pas d’arracher les racines dans la nature toi ?— C’est elle qui m’a lâchée!
Nous continuâmes de marcher. Je me posais toujours la question de ce que j’avais ressenti. Était-ce le confinement et le manque de contact humain ? Il est vrai que je ne câline personne de ma famille. Une carence en affection peut-être ? Quoi qu’il en soit, j’oubliais vite cela et lui demandai:
— Au fait, tu exposes où?— Là, j’ai quelques salles sur Paris, mais c’est galère pour les faire partir de mon atelier.— Il se trouve où?— Aux Andelus, je ne sais pas si tu connais ?— Oui oui, j’habite à 15 minutes.— C’est top ça ! Tu rentres comment chez toi ?— Mon père devait me ramener ce soir, comme je suis venu en train, mais si tes parents restent dîner je ne sais pas.— Bah si tu veux, je peux te déposer, si c’est à 15 minutes, ça ne me fera qu’un petit détour.
Mon cœur s’emballa, la chance me souriait, je pouvais échapper aux repas interminables. Merci, ma cousine, merci !!!
Nous arrivâmes dans une clairière pour pique-niquer. Je partageais une serviette avec Caroline. Je la regardais manger et boire au goulot de sa gourde. Elle ressemblait à une aventurière à qui rien ne pouvait résister. Soudain, des perles d’eau glissèrent le long de ses lèvres jusqu’au menton, et s’échappaient jusqu’à sa poitrine en se cachant entre ses deux collines. Elle me regarda et sourit avec insouciance. J’attrapai un brin d’herbe et la chatouillait avec. D’abord sur les oreilles, puis le visage, je tentai ensuite son torse en essayant de descendre plus bas. Je m’arrêtai alors. Je me rendis compte de ce qui était en train de se passer. J’essayais d’être en contact avec elle, de m’approcher. J’étais attiré par elle, par un maléfice dont je ne connaissais pas la cause. Je freinais ensuite mes élans le reste de la balade.
Arrivés chez nous, j’expliquais à ma famille qu’il était plus simple pour moi de rentrer avec Caroline, car j’avais des impératifs tôt demain matin, etc.
J’attrapai mes affaires et les rentrai dans le coffre de ma cousine. Dans la voiture, nous discutâmes de tout et de rien. Elle m’expliqua qu’elle avait eu un appel comme quoi l’alarme de son atelier avait sonné et que cela l’inquiétait. Je songeai à quel point j’étais égoïste. Elle aurait pu aller voir son atelier au lieu de faire la balade, mais elle avait préféré attendre et profiter de sa famille. J’étais véritablement impressionnée par ma cousine retrouvée. Je lui proposais alors de d’abord passer à son atelier voir s’il n’y avait pas de problème et que je pourrais l’aider avant qu’elle ne me dépose chez moi. Après tout, je n’étais plus à ça près.
Nous arrivâmes aux Andelus, et à son atelier. De l’extérieur, on aurait dit un hangar blanc. Je la suivis le long d’un couloir qui donnait sur un foutoir coloré. Il y avait un plan de travail, avec des verres dans lesquelles se trouvaient des centaines de pinceaux différents. Sur les côtés des toiles vierges ou entamés. Ce qui était frappant, c’est que partout des tâches de différentes couleurs et de diverses formes trônaient, donnant un aspect cartoonesque. Elle partit voir la porte qui avait déclenché l’alarme. Moi je restais ébahi devant une toile qu’elle était en train de faire. Je n’aurais su dire ce que c’était, mais mon imagination voyait représenter le chaos dans un océan brutal. Elle revint et je lui demandai:
— Alors ?— C’est bon, c’était une fausse alerte.
Elle poussa un long soupir, et sortit une boîte en métal d’où elle extirpa un joint et un briquet. Avant de l’allumer, elle me regarda et dit:
— Excuse-moi, ça m’a tellement stressée que j’ai besoin de me détendre un peu.— T’inquiète, je comprends.
Je regardais tous les pots de peintures, de gouaches, d’aquarelle. Des verres pour laver les pinceaux qui avaient des couleurs féeriques. Elle cracha de la fumée, elle ressemblait de plus en plus à une cow-boy. Elle s’approcha de moi et me demanda en me tendant le joint:
— Tu veux ?— C’est gentil, mais ça ne fait aucun effet.— Comment ça ? s’interrogea-t-elle.— Eh bien, en fumant je ne ressens pas l’euphorie ou autre. — C’est dingue ça ! Jamais ?— La seule fois, je crois que c’est mon ex me faisait des soufflettes. Sinon non.
Elle fit une moue, puis me dit:
— Approche-toi, je vais t’en faire une.
Elle aspira la fumée, puis s’approcha de moi. Ses lèvres à quelques centimètres des miennes, elle expulsa la fumée dans ma bouche. Je ressentis un effet, mais je mentis:
— Rien de plus je crois, réessaie pour voir.
Le joint incandescent remplit sa bouche, et elle l’approcha de la mienne, cette fois-ci plus proche. J’avançais moi aussi et nos lèvres s’effleurèrent. Elle souffla la fumée en moi et j’inspirais tout. Je ressentis la puissance de cette soufflette. Et mes mains saisirent ses hanches. Ce mouvement provoqua un magnétisme sur nos lèvres et je l’embrassai tendrement. Elle me rendit mon baiser à sa façon, encore plus encore. Puis sa langue trouva la mienne. Je sentais sa peau de soleil, c’était tellement agréable. Je ne voulais perdre aucune miette de ses baisers. Dans notre fougue, je la poussai contre le plan de travail, et sentis que mon pénis se réveillait après des semaines de sommeil profond. J’étais si excité. Elle posa sa main sur ma joue tout en m’embrassant frénétiquement. Je n’en pouvais plus. Je plaçais mes mains sur le haut de son torse et déchirai son débardeur avec une telle force qu’elle sursauta.
Face à moi, sa poitrine était à nu, de beaux seins qui voulaient se faire prendre. Je voulus déchirer son short, mais plus difficile, alors je lui ôtais son bouton, et le vêtement tomba de lui-même à terre. J’étais en rut. Ma cousine Caroline était face à moi, avec pour seule couverture un string noir. Elle me poussa de sa paume, décrochant nos embrassades, mais me regardait avec une telle intensité que nous restions connectés.
Elle vida de la peinture bleue sur une palette et plongea un pinceau dedans. Elle l’appuya ensuite sur la base de son cou et le fit descendre jusqu’à son bas-ventre. Je compris le message. Je me mis à genoux face à elle et fis descendre son dernier rempart. Je me retrouvais face à son sexe nu, épilé et tatoué d’un petit dauphin sur l’aine. Elle écarta un peu ses jambes, me lançant au visage le parfum de sa chatte. Cela m’avait tant manqué. Je déposais mes lèvres sur son clitoris, puis ma langue vint jouer avec. J’avais un tel appétit. Et dire que c’était ma cousine. Elle caressait mes cheveux pendant que je la léchais avec gourmandise. Elle poussa des petits gémissements qui me poussaient à continuer. Puis elle me redressa pour l’embrasser de nouveau. J’attrapais de la peinture rouge et plongeai ma main dedans. J’agrippai ensuite son sein droit, sentant mon mamelon sous ma paume. Je n’ai jamais su pourquoi j’avais fait cela, peut-être pour marquer mon territoire.
Elle ôta ma ceinture et je retirais ce qu’il me restait de vêtements. J’étais en manque, je la désirais comme un fou.
Elle s’assit sur l’établi et écarta ses jambes comme un appel. Son intimité semblait jaillir de ce lieu comme une couleur unique et indescriptible. Comme si l’univers avait dans sa course laissé s’échapper une entité cosmique irréelle. Ses yeux de jade étaient si intenses. Son corps nu, couvert de peinture et sa chatte flamboyante m’appelait. Je posais mon gland sur son clitoris, elle se mordit la lèvre inférieure. Je poussais sans difficulté pour la pénétrer. Elle me regardait la bouche ouverte en exagérant ses grimaces comme si elle allait défaillir. Cette sensation de chaleur autour de ma couronne était somptueuse. Ma cousine était si accueillante. J’attrapai toutes les parcelles de son corps et commençai à faire des va-et-vient de plus en plus violents, comme pour rattraper le temps perdu. Elle se laissait aller de temps à autre à s’allonger dans les peintures, mais je la rattrapais par la nuque. Je voulais qu’elle voit qui était en train de la baiser.
Elle me griffa avec une main qu’elle avait plongée dans du jaune. Au fur et à mesure de nos ébats, nous ressemblions tous les deux à une toile pleine de peinture. Une œuvre qu’aucun n’artiste n’aurait pu songer. Un tabou incestueux faisant offense à ce que l’on pourrait appeler de l’art. J’aimais le bruit de sa chatte et l’odeur du frottement qui s’en dégageait. J’aimais l’odeur de sa peau qui évoquait le voyage. Ses cris et ses grimaces me faisaient craquer. C’est comme si elle ne maîtrisait plus son propre corps, piloté uniquement par son plaisir. J’aimais cette vision. Soudain, elle me poussa avec ses jambes, puis se mit à quatre pattes sur l’établi, elle me sourit:
— Tu te rappelles quand on était petit, j’étais le cheval que tu montais. Maintenant, monte-moi encore avec toute ta fureur !
Ses mots m’excitèrent de plus en plus. Je sentais mon cœur battre dans mon sexe en érection. Je montais sur le plan de travail et éjectat ce qui me dérangeait. Je l’attrapai par les hanches et poussai mon pénis en elle. Je ne sus pas si c’était la position, mais l’entrée était plus difficile. Mon gland pénétra ma cousine, mais sa chatte devenue plus inhospitalière retenait ma peau, me décalottant de plus en plus le sexe. Si bien que j’eus peur de me péter le frein, cependant je forçais néanmoins vu le plaisir procuré. Je retrouvais sa petite chatte humide et la limais de plus belle. Son cul tendu vers moi ne méritait que pénitence et je la bombardai de toutes mes forces, ne me ménageant pas. Mes assauts furent si brutaux qu’elle s’allongea. Je la retournai pour la prendre en missionnaire. J’aimais avoir cette vue de tout son corps plein de peinture, cela faisait ressortir les parcelles de chair d’un éclat unique.
J’attrapais ses seins et poursuivis mes mouvements avec une bestialité telle que ce qui sortait de ma bouche ressemblait plus à des grognements qu’à une voix humaine. Cela semblait lui plaire. Nos deux corps dégoulinaient de sueur et de gouaches. Dans cette œuvre où tous les sens étaient mobilisés, je crus défaillir par ces plaisirs interdits. Je sentis monter en moi la jouissance. Ma cousine me demanda de venir sur elle. Je sortis mon pénis de cet antre si divin et me masturba d’une main. Caroline agrippa mon pénis et me branla aussi. Nos doigts se croisaient sur mon sexe prêt à l’éruption. Je commençais à faiblir dans mes mouvements, mais ma cousine en serrant ses phalanges autour de moi continuait le mouvement avec vigueur. Le plaisir montait en moi. C’était si divin. Ça montait, ça montait. Ses yeux dans les miens. Sa poitrine généreuse. Sa chair en ébullition. La peinture donnant un aspect irréel. Ma cousine une œuvre d’art.
Je sentis la première giclée, elle sortit comme une déchirure. Puis vint la deuxième. C’était incroyable. Toutes les giclées s’écrasèrent sur le ventre, les seins de ma cousine et un bout de son menton. Elle poursuivit la masturbation pour laisser s’échapper chaque perle d’ivoire de mon urètre. C’était magique. Je venais de faire quelque chose d’absolument grandiose que seuls ceux ayant parcouru les abîmes insondables du cosmos interdit pouvaient effleurer. J’avais purgé le fruit d’un confinement interminable sur ma cousine oubliée. Des sillons blancs ornaient désormais son corps peinturé.
Je souris, et songeai qu’il ne manquait à ce tableau que ma signature.
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