Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 100 J'aime
  • 0 Commentaire

retrouvailles avec Anne

Chapitre 3

Erotique
Dans l’épisode précédent, Patricia a connu son premier orgasme tout en restant vierge. Elle souhaite également rester vierge, mais en même temps, elle a découvert le plaisir.
Anne est encore occupée à lui faire du bien au niveau de ses jolis seins bien fermes. On peut remarquer les deux jolis bouts qui sont tous durs et ont subi les assauts de la langue de ma dulcinée.
Patricia revient tout doucement à la réalité. Anne lui dit :
— Alors tu as apprécié et bien joui.
Patricia :
— Je n’ai jamais connu ce plaisir, j’étais comme transportée sur un nuage et je flottais.— J’ai mes jambes comme du coton, mais c’est tellement bon, merci ma cousine.
Anne répond :
— Toi qui me critiquais sans cesse, tu as enfin connu le plaisir.
J’ajoute :
— Alors les filles, j’existe aussi, vous oubliez que je suis avec vous.— J’espère que je vous ai donné beaucoup de plaisir.
J’ai eu une réponse commune des deux créatures :
— Béta, c’est toi qui nous as donné tous ces plaisirs.
— Attends tu vas voir.
Sur ces paroles, les deux filles se précipitent sur mon sexe renaissant. Elles le prennent en main et me masturbent. Anne me caresse mon gland, passe ses doigts sur sa fente toute gonflée par le sang.
J’en profite pour introduire deux doigts sur ses petites lèvres. Je remonte de haut en bas d’abord tout doucement. Je sens son bas-ventre qui ondule comme les vagues avec la houle.
Je mets deux doigts dans son vagin. Je commence un va-et-vient très lent au départ puis de plus en plus rapide. Je passe sur son point G. Cela déclenche des soupirs et des :
— Oh, oh, oh, oh, salaud que tu me fais du bien.— Continue.
Les deux filles me masturbent de plus en plus vite. Je vois leurs seins qui balancent sous leurs gestes. Cela m’excite encore plus.Je ne tiens plus et libère ma semence sur le ventre d’Anne.
Mes deux doigts font des allers et retours très rapides dans le vagin d’Anne. A cette cadence, elle ne tient plus et jouit à nouveau, je sens son vagin qui se rétracte sur mes doigts. Elle m’envoie une giclée de cyprine sur ma main.
Cela se termine par un cri bestial de ma dulcinée. Ces petits exercices nous ont épuisés tous les trois. Tout le monde se rhabille. Les slips sont trempés. Nous repartons, et arrivés chez Patricia, celle-ci me dit :
— Mes parents sont partis en Espagne, ils ne rentrent que vendredi prochain.— Cela te dirait de venir mercredi en début d’après-midi.— Nous avons une piscine hors sol, amène ton maillot de bain.— Anne sera là et on pourra se baigner et peut-être faire autre chose.
Sur ces paroles, elle me fait un gros bisou que je lui rends.
Nous repartons pour que je ramène Anne chez elle. Je suis vidé. En route, Anne me dit :
— Patricia aurait pu me consulter avant de t’en parler.— Je suis désolé, je pensais que toutes les deux, vous aviez vu cela ensemble.— Je peux refuser si tu n’as pas envie.— Non au contraire, on va bien s’amuser.
Je ramène Anne chez Elle. Nous nous roulons un palot d’anthologie. J’en profite pour à nouveau lui caresser, lui triturer et lui sucer ses magnifiques seins tous bronzés.
Anne me dit :
— Je dors chez ma grand-mère, je ne te dis pas de monter.— Nous avons déjà bien joui et je suis crevé.— Je me réserve pour mercredi et je me rendrai directement chez Patricia.
Je rentre donc chez moi la tête pleine d’étoile. Je me dis "vivement à mercredi". Pendant les vacances, j’ai entamé un chantier un gros chantier de peinture chez ma mère. Je n’ai pas de délai impératif pour la fin, donc je peux m’absenter des après-midi.
Au niveau de la peinture, je deviens beaucoup moins productif. Je repense sans cesse à cette sortie de boîte et l’après-midi en prévision. Ces deux filles vont m’épuiser.
J’ai soudain une lumière et le lundi en fin d’après-midi, je décide d’aller à Saint-Nazaire en sex-shop. Je prends du lubrifiant intime et un gode vibrant. Le mercredi matin avec mon pinceau dans la main, je n’arrête pas de me faire des films pour l’après-midi.
En début d’après-midi je prends la direction de la maison des parents de Patricia. Il n’y a pas de voiture. Je me dis que c’est super, que nous n’allons pas être importunés. Je sonne à la porte. Patricia vient m’ouvrir. Elle est en maillot de bain plus un chemisier ouvert en bas. Je remarque qu’elle a une tache d’humidité en bas de son slip de bain. Elle me dit :
— Entre, Anne est déjà arrivée.
La coquine a un regard lubrique. Je ne la connaissais pas comme cela, aurait-elle des envies ?
J’avance dans la maison, pas très rassurée, et Patricia me suit. Plus j’avance plus j’entends des soupirs des :
— Oh, oh, oh, vas-y.
C’est sûr, il y a des personnes à partouzer et à faire l’amour. Cela m’inquiète. Moi qui pensais être tranquille avec les deux filles, je suis coincé. Patricia a beaucoup évolué en trois jours et elle s’est drôlement débridée. Je me dis :
— Elle rattrape le temps perdu.
Patricia me dit :
— Ne sois pas timide, vas-y entre.— Nous t’attendons et nous avons trouvé une cassette aux parents que nous avons mis dans le magnétoscope.
J’avance encore et découvre Anne qui est seule enfoncée dans le canapé. Elle regarde la télé. C’est un film porno qui est à l’écran. Elle aussi est en slip de bain et elle a une main active dedans. C’était donc cela les sons et bruits que j’entendais. Je suis à présent rassuré.
Patricia ajoute :
— Nous avons trouvé une cassette aux parents que nous avons mis dans le magnétoscope.— C’est très instructif.
Elles ont récupéré une cassette aux parents et mise dans le magnétoscope. Le film, je m’en souviens parfaitement "Blanche fesse et les sept mains". Je regarde sur le magnétoscope, cela fait déjà trente minutes qu’elles regardent le film. C’est aussi pour cela que Patricia a son slip de bain tout humide. Je les soupçonne de s’être doigtés en regardant le film.
Je vous propose d’écrire la suite et fin de cette histoire qui a plus de trente ans, mais qui est vraie si vous me le demandez.
Diffuse en direct !
Regarder son live