Je m’assieds sur le canapé entre les deux filles qui sont bien occupées à regarder le porno. Anne a une main active dans son slip de bain et l’autre qui caresse un de ses deux jolis seins. On peut voir qu’elle mouille abondamment. Le slip de bain rouge a une grosse tache foncée et je vois les deux jolis tétons qui pointent tels de fiers chevaliers. Patricia a elle gardé son chemiser mais elle mouille tout autant. Je sens que je vais passer un après-midi torride avec ces deux cochonnes en chaleur. Je déboutonne le chemisier de Patricia, l’enlève tout en douceur. Celle-ci me facilite la tâche tout en continuant de regarder le film. Je lui retire son haut de bain. Ses deux jolis seins apparaissent très droits. Ils sont plus fermes que ceux d’Anne, mais moins volumineux. Au niveau de l’écran, une ravissante blonde est train de faire une pipe majestueuse pendant qu’elle se prend un mandrin dans l’anus. Les poussées de la personne qui l’encule lui font réaliser une gorge profonde à l’autre lascar. Elle ne peut pas crier tellement, elle a la bouche pleine. On remarque qu’elle ne va pas tarder à jouir, son bassin ondule de bonheur sous les assauts rapides et énergiques. Je me déshabille très rapidement et me mets tout nu. J’ai le sexe qui est dur comme une barre de fer. J’en profite pour glisser le godemichet et le gel sous mes vêtements sur la table basse. Je me mets à quatre pattes en face d’Anne. J’entreprends de lui baisser et retirer son slip de bain. Une fois ses mollets libérés du slip, celle-ci m’ouvre ses jambes en ciseaux. Je suis aux premières loges pour lui contempler sa vulve trempée. D’une main j’écarte les grandes lèvres trempées, ma langue s’engouffre à l’intérieur de ses petites lèvres pour remonter tout doucement vers le clitoris. Elle redescend aussi tout doucement avec délicatesse. Cela déclenche des : — Oh, oh, oh, oh oui, continue.— Ne t’arrête pas, oui, oui. L’extrémité de ma langue explore maintenant sa petite grotte d’amour qui est toute reluisante de cyprine. Que c’est bon.Je fais cela deux, trois, dix fois.
Anne tout en continuant de regarder le film lâche : — Oh oui, oh oui, continue.— Oh, oh, que c’est bon.— Oui, oui, oui.— Encore, encore, oui. Ma bouche atteint maintenant son petit abricot tout dur qui est sorti de sa coquille. Avec ma bouche, je l’aspire et je le titille avec la langue. Cela déclenche des cris et des ondulements du bassin de ma belle. Elle est en train de monter au septième ciel et ne tient plus. Dans un cri, ses deux jambes se resserrent sur ma tête. — Oh, oh, je ne tiens plus.— C’est trop fort. J’ai la bouche complètement trempée, mais c’est tellement bon. Je laisse Anne se reposer un peu. Patricia est toujours autant captivée par le film. Mais la petite tache au fond de son maillot de bain a grandi, je passe tout doucement ma main. Je suis sûr qu’elle mouille. Suite au doux passage de ma main, la belle a écarté machinalement ses jambes. Je lui caresse ses jolis seins en passant sur son aréole et le joli téton qui est tout dur. À l’écran, deux jeunes femmes sont en train de faire un soixante-neuf. Patricia n’en perd pas une miette. Je pense qu’elle s’instruit. Je m’enhardis à glisser une main dans le slip trempé. Je caresse tout doucement la belle petite toison brune qui est trempée. Un doigt glisse dans la jolie fente trempée, il remonte tout doucement et redescend. Ma belle me dit : — Ne mets pas ton doigt dans mon vagin, je veux rester vierge.— Que c’est bon, continue.— Tu me fais du bien. Machinalement, elle retire son slip et ouvre ses jambes pour faciliter les caresses. Un doigt atteint son petit clitoris gonflé que je titille. Cela déclenche des ondulements du bassin. A ce moment, Anne qui a récupéré, vient vers Patricia, lui prend la main pour la soulever doucement du canapé. Elle s’allonge sur le tapis les deux jambes en ciseaux tout en forçant doucement sa cousine à se mettre sur elle. Celle-ci a compris. Les deux filles sont tête-bêche avec les jambes complètement écartées. Elles entament un cunnilingus. Anne qui est dessous a écarté les grandes lèvres de Patricia et lui laboure ses petites à grands coups de langue. Patricia n’est pas en reste et lui fait la même chose tout aussi énergiquement. On voit les deux corps qui ondulent de plaisir tel un voilier sur un océan de bonheur. Étant délaissé, je réfléchis rapidement et je sors le gode. Je le mets en mode vibration et je l’introduis dans le vagin tout détrempé d’Anne. Cela décuple encore ses ondulements du bassin. Patricia se l’approprie d’une main et entame des allers et retours langoureux dans la chatte de sa cousine. Je prends le gel et avec ma bouche je lèche tout doucement la petite chatte de Patricia. Anne s’occupe à présent de son clitoris. Sa petite chatte est trempée par le désir. Je mets un peu de gel sur son petit anus. Le froid du gel lui fait resserrer ses jolies fesses, mais Anne qui a compris mon stratagème lui écarte avec ses deux mains. J’ai ainsi une superbe vision de son petit œillet tout serré. Je glisse un doigt en douceur en même temps je tourne mon doigt. Cela permet à son petit sphincter de se dilater légèrement et Patricia : — Non, non, je n’ai pas envie. Anne rétorque : — Tu vas voir, cela va te faire du bien.— Tu vas jouir, essaie au moins. Patricia écarte alors les fesses. Je continue à lui enduire de gel et je glisse deux doigts puis trois. Je tourne mon doigt pour bien la dilater. Je ne sens plus sa réticence, mais plutôt du désir. Ça y est, Patricia est prête pour son dépucelage anal. Tout en continuant de lui astiquer son petit œillet avec mes doigts, j’approche mon pénis tout raide et tout dur de désir. Je pose mon gland sur son œillet et pousse. Mon gland est entièrement rentré. Patricia me dit : — Cela fait mal, va doucement. Alors tout doucement je pousse et tout mon chibre est aspiré. Ca y est, Patricia n’est plus vierge du cul. Suite et fin si vous me le demandez
