Après nos ébats nous avons décidé d’aller dans la piscine nus et de faire une petite bronzette sur les bains de soleil.
La propriété des parents de Patricia est entourée d’arbres. Cela nous permet ces fantaisies en toute tranquillité. Nous pouvons fourniquer, vaquer a nos occupations et rester tous les trois nus sans que l’on soit dérangé par un voisin voyeur. Je me suis endormi pendant environ une heure. J’avais sans doute besoin de récupérer de nos galipettes. Cette petite sieste m’a fait du bien. J’ai aussi pu recharger mes batteries. Je suis réveillé par Anne qui a été dans la piscine et est venue sur moi toute trempée. Ses deux jolis seins ont servi de gouttière pour m’arroser. Elle me taquine et a certainement envie de batifoler. Je me retourne alors et j’ai une vue sur ses deux poires gonflées et bronzées ainsi que sa petite chatte magnifiquement épilée en "V". Je vois son petit clitoris qui ressort de ses petites lèvres. Je suis sur que la coquine a envie de se faire fourniquer.
J’ai le droit à un joli sourire taquin. Patricia est en train de bronzer avec ses lunettes de soleil. On ne peut pas voir si elle dort. Je me lève de mon bain de soleil. Anne court vers la piscine en gloussant. On peut remarquer ses deux jolis obus qui ballotent de gauche adroite au gré de ses pas. C’est divin. Je la poursuis et la rattrape dans l’eau. Nos deux bouches sont aimantées et se trouvent par magie. Elle m’ouvre la bouche, la sienne a un gout de miel. Je sens sa petite langue qui fouille ma bouche. Je ne suis pas en reste. Mes mains ont emprisonnées ses deux jolis seins. Je caresse ses jolis tétons ainsi que ses jolies aréoles brunes. Ses seins ont la douceur de la soie.
Rapidement une main descend vers ses petites lèvres qu’un doigt explore par des allers et venues de haut en bas. La coquine est toute trempée et d’une main elle a attrapé mon sexe et décalotté le gland. Elle me masturbe sans ménagement ma bite. Anne soupire :— Hum, que c’est bon continue.— Caresse aussi mon clitoris, j’ai envie.
En même temps je me baisse et lui suce ses jolis tétons à tour de rôle.Je lui dis :— Je ne vais pas tenir à ce rythme.— Tu es en train de m’épuiser.— C’est toi qui m’as cherché, je vais jouir aussi.— Continue, ah, ah, ah, que c’est bon.— J’ai à présent deux doigts énergiques dans son petit vagin et je caresse son point G.— Je jouis, ah ah, ah, ah, que c’est bon. Je sens son petit vagin qui se rétracte sur mes doigts. La belle a joui. J’ai toujours mon sexe en érection.
Je veux encore lui garder du jus pour plus tard. Je lui dis d’interrompre la masturbation. Ensemble nous allons rejoindre Patricia.Est-elle vraiment endormie ? Elle a plié son petit slip sur ses petites lèvres et son clitoris comme pour les protéger du soleil. Je pense qu’elle n’a pas tort. Anne tout doucement et délicatement glisse un doigt entre ses deux petites lèvres. Elle remonte jusqu’au clitoris et redescend avec douceur et cela plusieurs fois.
Patricia écarte machinalement les jambes, elle dort et doit rêver. Tout doucement je lui aspire ses deux aréoles tour à tour. Elle soupire de plaisir.Anne continue ses caresses et s’attarde sur le clitoris. Soudain un petit jet de cyprine s’échappe de ses petites lèvres ouvertes. Je suis sur qu’elle a joui. Le plaisir finit par réveiller Patricia. Elle a le sourire des grands jours et nous dit:— Que c’est bon ce que vous me faites.— Je rêvais que j’étais à faire l’amour et que je jouissais.— J’ai encore mon petit anus dilaté mais que j’ai pris du plaisir et joui.— Je suis toute trempée, on va dans la piscine. Tous les trois, nous allons piquer une tête dans la piscine. Cela va nous rafraichir et calmer nos ardeurs.
Les filles décident d’aller faire les courses pour le soir. Nous décidons d’aller au Super U du coin pour prendre des crudités. Elles s’habillent c’est à dire une jupe ample et un teeshirt. Elles ne mettent ni slip ni soutien gorge. On peut voir les tétons qui pointent à travers la faible épaisseur de tissus, c’est super bandant. Je suis le seul à savoir qu’elles ont chacune leur petit minou à l’air libre. Anne me dit que c’est pour le reposer.Nous prenons ma voiture, c’est à deux kilomètres. Anne monte a coté de moi et Patricia derrière au milieu.
Nous arrivons au Super U. Patricia va prendre un chariot. Nous nous dirigeons vers le rayon fruits et légumes. Il est environ seize heures trente, il n’y a pas beaucoup de personnes dans le magasin. Nous prenons de la salade, des tomates, un concombre. En prenant le concombre Anne fait mine de se le mettre dans son petit minou. Heureusement que nous sommes pratiquement seuls.
En sortant de l’hypermarché, nous croisons un copain Marc. Les deux filles le connaissent aussi. Il nous apprend que lui aussi est en vacances.Il s’ennuie et projette d’aller vers la Baule ce soir. Les filles ne mettent pas longtemps à la convaincre de venir avec nous.
Anne vient donc avec moi avec toutes les victuailles et Patricia va avec Marc. Sur le chemin de retour Anne met ses pieds sur le tableau de bord et écarte ses jambes bronzées. Elle remonte sa jupe pour découvrir sa petite chatte. Devant moi elle commence à se caresser ses petites lèvres ainsi que son clitoris. Elle a vraiment envie. J’en profite pour glisser un doigt dans son vagin trempé. Il faut que je sois prudent, je conduit.je lui titille son clitoris qui est devenu tout dur. La belle ondule du bassin.
Nous arrivons chez Patricia qui est toute guillerette. Nous mettons les légumes dans la cuisine. Les deux filles crient :— tout monde à poil, celui qui ne veut pas peut repartir. Je m’exécute tout de suite et Marc est tout surpris. Il ne s’attendait pas à cette réaction. Je lui dis de s’exécuter et de ne pas s’en faire. Les deux filles après s’être déshabillées courent dans la piscine. On les entend rire et s’éclabousser dans la piscine.
Je propose à marc d’aller dans la piscine avec les filles. Sitôt dedans celle-ci s’amusent à passer entre ses jambes et lui toucher le sexe. Il a une érection de tonnerre.
Pendant ce temps je prépare les crudités pour le diner du soir. Marc qui a du scrupule, vient me voir dans la cuisine. Les deux cousines eux ne perdent pas de temps. Elles sortent de la piscine. Anne met une serviette au sol et s’allonge. Patricia lui emboite le pas et se met à quatre pattes sur elles pour lui sucer sa petite chatte. Les deux coquines sont en train de se sucer. On n’entend plus rien sauf les soupirs et les gémissements des deux coquines. — Hum, oh, oh, oh, c’est bon.— Continue, suce moi mon clitoris. Je crois qu’elles sont en train de nous provoquer. Marc s’avance bite à la main pour se mettre dans la petite chatte de Patricia. Des qu’il s’approche avec son sexe, Anne le prend en main, le masturbe aves de long geste et tout doucement d’abord. Elle coulisse avec ses doigts du gland dont elle recouvre le prépuce pour ensuite le décalotter et jusqu’à la base des testicules. A voir son visage, il apprécie cette petite gâterie. Patricia qui a senti le gland de marc effleurer et caresser ses petites lèvres. Elle a un geste de recul et dit:— Pas dans mon petit minou, je veux rester vierge. Avec Anne nous l’avions compris. Cela surprend Marc.
Je vais alors prendre le gel et tend le flacon a Anne qui stoppe son cunnilingus et enduit le petit anus de Patricia avec du gel. En continuant à masturber marc d’une main, elle met un doigt à Patricia pour dilater le sphincter. Elle met maintenant deux doigts, les tourne pour faciliter la sodomie. Depuis peu, la belle adore maintenant se faire prendre par le cul. Elle se rue de plus belle sur les petites lèvres et le clitoris d’Anne. Elle aspire son petit abricot devenu tout dur et passe ses doigts sur toute la longueur des petites lèvres. On peut voir son bassin onduler tel un bateau voguant sur l’océan avec des vagues. Le petit anus de la belle étant à présent dilaté, Anne dirige le gland de marc vers le petit trou. Celui-ci n’étant pas habitué est un peu surpris et après quelques secondes d’hésitation pousse d’un coup. Cela déclenche un:— Aie, oh.— Tu es trop gros, cela me défonce. En même temps Patricia introduit sa langue dans le vagin d’Anne. Cela décuple l’ondulation. La douleur due à la sodomie brusque et brutale s’estompe très rapidement et laisser place à un doux plaisir. Patricia ondule avec son petit cul comme sa cousine. Elle soupire et :— Oh oui, continue que c’est bon.— Vas-y défonce moi mon petit cul.— Que tu me fais du bien, oh, oh, oh, oh. Je ne vais rester comme un idiot et regarder ces trois personnes prendre un maximum de plaisir. Je tire doucement Anne par ses jambes et laisse marc sodomiser avec vigueur Patricia. Ma belle étant prête, elle écarte ses jambes à plus de quatre vingt dix degrés prête à accueillir mon sexe. Je peux voir sa petite chatte toute ouverte avec ses petites lèvres et son clitoris qui est sorti de sa coquille. Anne saisit mon sexe pour l’introduire directement dans son vagin complètement trempé. On peut remarquer ses petits poils qui sont eux aussi tous trempés. Je vais directement au fond. — Baise-moi fort.— Continue, surtout ne t’arrêtes pas, oh, oh, oh, oh, oh.— Que c’est bon, vas y, laboure moi.— J’aime sentir ta queue, elle est bonne. J’agrippe ses fesses pour mieux la pénétrer. Je suis dans un rythme endiablé.La belle en redemande toujours. J’entends Patricia qui crie:— Oh, oh, oh, oh, oh, vas-y défonce moi le cul.— Je veux jouir, que c’est bon. Elle crie de joie. Marc qui s’est retenu, décharge à présent dans on petit cul. Quand il se retire on peut voir le sperme qui coule de son anus et tel un torrent et arrose ses petites lèvres.
Anne met ses jambes et plus particulièrement ses mollets sur mes épaules. Avec mes deux mains je lui prends les fesses et la soulève légèrement. Dans cette position qui est un peu sportive, la pénétration est plus profonde. On peut voir mon sexe qui entre et ressort. Il est tout trempé de cyprine et la base de mes poils est également trempée. Ces grandes lèvres sont maintenant recouvertes d’un liquide légèrement blanc et opaque. C’est mélange de cyprine et de crème. Ses poiles pubiens sont également trempés. Suite au prochain épisode
