Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 97 J'aime
  • 6 Commentaires

Retrouvailles familiales… et plus si affinités

Chapitre 1

Inceste
[[NB : Cette histoire est la première partie d’un triptyque que je suis en train d’écrire. Elle sert donc d’introduction à cette partie du récit, mais aussi à l’ensemble de la mini-série. Il sera donc peut-être pour certains un peu long à démarrer… mais je pense que le jeu en vaut la chandelle. Bonne lecture !]]
** Première partie : Que c’est bon, la complication **
La cloche sonna. Elle sonna 16 heures, la fin de l’avant-dernier cours, et les quelques minutes de repos avant que ne commence le dernier cours. Et le dernier cours semble toujours le plus long… pour Victor, ce jour-là de la semaine, c’était particulièrement vrai.
Victor sortait de deux heures de philosophie, et ce n’était déjà pas une matière passionnante. Mais il savait que lorsque la cloche sonnerait à nouveau, quinze petites minutes plus tard, ce serait pour annoncer le début de deux heures de chimie, cours dont le seul côté positif était de rendre par comparaison les autres cours beaucoup plus intéressants… mais il faut bien avouer que c’est une bien maigre satisfaction.
Autant dire que Victor était impatient de retrouver ses amis et de profiter au maximum de ces 15 minutes. Il ne faisait pas forcément partie des garçons les plus populaires du lycée, même si c’était un beau jeune homme, plutôt grand, modérément athlétique (mais athlétique quand même), avec des yeux bleus et des cheveux châtains, coupés courts. Il s’en fichait de ne pas être très populaire, et il faisait partie d’un groupe d’amis assez large mais assez soudé rassemblant des élèves de différentes classes, de la seconde à la terminale, et dans les trois filières générales que regroupait le lycée. C’est assez rare de voir un groupe d’amis à la fois aussi proches et aussi différents par les âges, les parcours ou les classes sociales.
Pour prendre deux exemples extrêmes parmi la petite dizaine de jeunes qui composait le groupe, nous pouvons comparer la situation de Victor et d’Alix. Victor avait 18 ans et était en terminale scientifique. Ses parents étaient, sans être riches, plutôt aisés et assez âgés (50 et 54 ans). Ils vivaient tous les trois dans une grande maison située dans un petit village loin de tout, Charanty, juste à l’ouest du parc du Morvan, dans la Nièvre. Alix, elle, avait 16 ans, et était en seconde. Elle n’était donc pas officiellement dans une filière, mais il ne faisait de doute pour personne qu’elle irait en section littéraire (ce qu’elle fit effectivement). Fille unique, elle vivait seule avec sa mère qui, à seulement 32 ans, travaillait beaucoup comme serveuse dans un bar-restaurant de Selan, ville où elles vivaient (dans un appartement minuscule dans les faubourgs de la petite ville) et où était situé leur lycée, pour s’occuper de sa fille (le père d’Alix les avait abandonnées lorsqu’elle avait 4 ans). Ils étaient donc très différents, mais ça n’empêchait pas les deux jeunes gens de s’apprécier beaucoup, et s’ils n’étaient pas en couple, les rumeurs parmi les autres membres du groupe annonçaient leur liaison chaque semaine (et étaient démenties chaque semaine).
Victor le matheux, encore un peu immature et peu passionné par l’école (il réussissait plutôt bien principalement parce qu’il n’y a pas grand-chose d’autre à faire à Charanty que ses devoirs, et que ça valait toujours mieux que de regarder « Question pour un champion » trop fort avec ses parents) était donc bien différent d’Alix la littéraire, plus jeune, travailleuse par conviction que l’école était le meilleur moyen de monter dans les classes sociales, et beaucoup plus mature que les filles de sa classe (ce qui participait aussi au fait qu’elle était très bien acceptée dans le groupe, composé en majorité d’élèves de terminale). Ils étaient tous les deux intelligents, et s’entraidaient, Victor en math et Alix en philosophie (même si elle n’avait encore jamais eu de cours, mais elle comprenait mieux « l’esprit » de la discipline).
Mais revenons à notre histoire. Victor était donc plus qu’heureux de retrouver ses amis à 16 heures. Même si certains finissaient à cette heure-là, ils passaient la récréation tous ensemble, avant de se séparer à la fin, qui allant en cours, qui rentrant chez lui. Victor faisait partie des malchanceux, nous l’avons vu ; Alix, avec la majorité du groupe, s’apprêtait à rentrer chez elle. Les 15 minutes passèrent à toute allure, et la cloche sonna rapidement l’heure de la dispersion. Ils savaient qu’ils se reverraient le lendemain, mais dans l’esprit d’un jeune homme ou d’une jeune fille, quelques heures peuvent êtres très longues.
Victor se rendit donc, comme il y était contraint, à son cours de chimie, et se mit à attendre, devant la porte, avec ses camarades de classe. Le fait que son « vrai » groupe d’amis se trouvât en dehors de sa classe faisait qu’il n’y avait pas plus que des camarades, même s’il s’entendait bien avec la plupart, dont certains étaient dans le même cas que lui. Au bout de cinq minutes, un pion vint les voir et leur annonça que le cours était annulé, leur professeur ayant dû s’absenter.
Imaginez la joie de Victor ! Le problème était que maintenant son bus était parti, et que le prochain de viendrait pas avant 18 h 30 (il n’y avait pas de bus pour Charanty toutes les dix minutes, vous vous en doutez bien). Il sortit tout de même du lycée et appela Alix, sachant qu’elle habitait près du lycée, et que quelques minutes suffisaient pour y aller.
« Allô, Alix ?— Oui ? Tu n’es pas en cours, toi ? Ne me dis pas que tu as encore séché, dit-elle en rigolant !— Non non, j’te rassure. Mais M. Schlumpeter est absent…— Ah oui ? Tu veux passer chez moi en attendant ton bus ? Ma mère devrait rentrer à 17 h, tu pourras la rencontrer, je crois que tu ne l’as jamais vue.— Merci ! J’arrive alors. Y’a un bus 3 qui arrive, je peux le prendre, hein ? »

C’est ainsi que 10 minutes plus tard, Victor se trouva chez Alix pour la première fois (vu l’exiguïté de l’appartement, et malgré sa proximité avec le lycée, les amis n’avaient pas l’habitude de s’y rencontrer). Cette dernière fit un café à Victor, bien qu’elle même n’en bût pas. La mère d’Alix les trouva quelques minutes plus tard assis à la table du salon, devisant de tout et de rien.
« Ah, salut maman ! dit Alix en allant embrasser sa mère. Je te présente Victor, un copain du lycée. »
En voyant la mère d’Alix arriver, Victor eut du mal à cacher sa réaction d’adolescent. Si Alix était une jolie fille, avec des yeux en amande d’un bleu profond, ses discrètes taches de rousseur, ses cheveux blonds longs et bouclés et ses courbes naissantes qui laissaient présager de la très jolie jeune femme qu’elle était en train de devenir, sa mère était tout simplement sublime. Elle ressemblait à sa fille, le même regard en amande d’un bleu profond, le même visage un peu rond, les mêmes taches de rousseur, peut-être un peu plus visibles cependant (probablement à cause de sa peau encore plus claire que celle de sa fille). Mais ses cheveux, noués dans un chignon très sérieux, étaient roux, et les formes de la jeune femme n’avaient bien entendu rien à voir avec celles de l’adolescente. Encore en tenue de serveuse, c’est-à-dire une robe noire moulante, ses formes ressortaient d’ailleurs très bien, de sa poitrine opulente jusqu’à ses fesses rebondies, de ses jambes fines recouvertes de collants (à moins que ce ne fussent des bas) noir mat jusqu’à son ventre plat. Le chignon qu’elle portait laissait libre sa nuque gracile, qui appelait les baisers.
Victor se reprit le plus vite qu’il put, et s’il est peu probable qu’Alix – qui regardait sa mère – se rendit compte de quoi que ce soit, sa mère, elle, était en bonne position pour remarquer l’état dans lequel son entrée avait mis le jeune homme. Mais si ce fut le cas, elle ne laissa rien transparaître. Elle avait probablement l’habitude.
« B-bonjour, Madame.— Oh, s’il te plaît, appelle-moi Juliette. Donc voilà enfin le fameux Victor, dit-elle en souriant, faisant rougir sa fille.— Oh, maman… Il est ici parce que son dernier cours a été annulé, et qu’il n’a pas de bus avant 18 h 30.— Et tu habites où pour avoir si peu de bus ?— Charanty.— Charanty ? Je connais ce village… Quel est ton nom de famille ?— Dunedain.— Non, ça ne me dit rien. Bon, je vous laisse, les jeunes, il faut que je me change. »
L’apparition du nom de Charanty avait transformé la mère d’Alix. Très souriante jusque-là, elle devint d’un coup un peu figée, et elle semblait pressée de quitter le salon pour se rendre dans la salle de bain, comme pour s’y laisser le temps de se refaire une attitude. Comme si Charanty lui rappelait de terribles souvenirs…
Pendant que la mère d’Alix se douchait et se changeait, les deux amis continuèrent de discuter jusqu’à ce qu’Alix propose à Victor de rester manger chez elle. Le dernier bus étant à 20 h 30, il aurait le temps de rentrer, d’autant que le jeudi matin (ceci se passait un mercredi), il n’avait pas cours. Victor accepta, mais il fallait bien sûr d’abord demander à la mère d’Alix et prévenir les parents de Victor. Alix se rendit alors dans la salle de bain au grand étonnement de Victor, sans même frapper, et il se dit qu’elle avait de la chance de pouvoir voir sa mère nue… Après que cette dernière eût accepté (à condition que ce soit Alix qui cuisine, ce qu’elle aimait faire) et que les parents de Victor eurent été prévenus, il lui en parla en l’aidant à cuisiner :
« Tu vas voir ta mère comme ça quand elle se douche, toi ?
— Oui, répondit-elle en rigolant. L’appart’ est petit, il n’y a pas tellement de place pour la pudeur… et puis c’est ma mère, pas une étrangère ! »
Le fait d’imaginer Alix et sa mère se baladant nues dans l’appartement rendit à sa bite la dureté déjà acquise lorsqu’il avait vu la mère d’Alix pour la première fois, et lorsque celle-ci s’était rendue dans la salle de bain occupée par sa mère. Heureusement que ce jour là il portait un pull long qui cachait la bosse qui s’était formée !
C’est ce moment que choisit la mère d’Alix pour sortir de la salle de bain, vêtue seulement d’une serviette. Il fallut à nouveau quelques secondes à Victor pour refermer sa mâchoire et regarder ailleurs ; sa bite était tellement tendue qu’elle commençait à lui faire mal. Effectivement, la pudeur ne semblait pas être la ressource naturelle la plus abondante de cet appartement !
« Excusez-moi, les jeunes, je n’ai pas pensé à prendre mes vêtements propres. Continuez, je ne fais que passer ! »
Victor ne s’en rendit pas compte – et s’il l’avait su il n’aurait pas compris pourquoi – mais l’attitude de sa mère énerva Alix. Sans rien dire, chacun continua son travail. Au bout d’un moment, la mère d’Alix sortit de sa chambre. Même si Victor s’était préparé au retour de la mère d’Alix, il lui fallut toute sa concentration pour ne pas à nouveau laisser tomber sa mâchoire. Bien qu’il ne fît pas chaud, la mère d’Alix n’était vêtue que d’une jupe arrivant au-dessus des genoux montrant beaucoup de ses jambes parfaitement épilées, et d’un débardeur qui mettait en valeur sa poitrine, le tout très coloré. Ses cheveux étaient noués en une tresse dont la pointe, qui tombait vers l’avant, venait au repos se ranger dans le décolleté, au milieu des seins. À nouveau, Alix eut un petit pic de colère, et à nouveau Victor n’en vit rien.
Mis à part les œillades qui se voulaient discrètes de Victor sur la mère d’Alix, et celles d’Alix elle-même qui allaient de l’un à l’autre, le repas se passa très bien et dura, tant les convives discutèrent et prirent du plaisir à le faire. Le dessert – une tarte qu’avait faite Alix en été et qui avait été décongelée pour l’occasion – était à peine posé sur la table lorsque vint l’heure pour Victor d’aller prendre son bus.
« Oh, c’est dommage que tu ne puisses pas manger de ma tarte, elle est très bonne !— Sinon, reste encore un peu, Victor. Je t’amènerai chez toi en voiture. Mais dans pas trop longtemps quand même : je travaille tôt demain, et toi aussi jeune fille ! Tu as d’ailleurs une interro, et tu dois réviser encore un peu. »
C’était la première fois que Victor l’entendait utiliser un ton maternel avec sa fille. Enfin, maternel au sens où il l’entendait, lui, c’est à dire comme sa propre mère lui parlait le plus souvent.
« Je ne peux pas venir avec vous ?— Non. Tu le verras demain, de toute façon ! Tu reliras ta leçon pendant que je l’amènerai, et je t’interrogerai lorsque je serai rentrée. Ensuite, au lit ! »
Après qu’ils eurent mangé la tarte d’Alix, qui, comme annoncé et malgré sa décongélation, était très bonne, sa mère retourna dans sa chambre enfiler des collants et un pull avant de sortir. Alix et Victor en profitèrent pour échanger encore quelques mots, puis Victor et la mère d’Alix se rendirent à sa voiture, une vieille Punto.
« Je te déposerai devant chez toi. Tu salueras tes parents et tu leur diras que je n’avais pas le temps de les saluer.— D’accord. Et merci beaucoup pour avoir accepté que je reste et pour me ramener ; j’ai passé une très belle soirée — Pas de souci. »
Si toute la soirée la mère d’Alix s’était montré très bavarde mais peu inquisitrice, l’atmosphère dans la voiture était plutôt lourde, comme si le fait de se rendre à Charanty la plongeait dans un passé difficile qu’elle n’aurait pas voulu revivre. C’est du moins ce que se dit Victor, et il s’en voulut de l’y faire aller ; mais il n’osa rien dire et se contenta de fermer son visage, prenant sa part dans l’alourdissement de l’atmosphère.
Au bout d’un certain temps, alors qu’ils n’étaient plus très loin de la destination, la mère d’Alix prit la parole :
« Écoute, Victor, j’ai quelques petites choses à te dire. N’aie pas peur ; je vais m’arrêter sur le bord de la route et il va falloir qu’on discute un peu. »
Victor fut très étonné par cette annonce, et il pensa qu’elle voulait lui faire un petit conte moralisateur parental sur Alix (du style « Si tu lui fait du mal, gare à tes fesses… » ou un truc dans le genre). Sa première question sembla lui donner raison.
« Que ressens-tu pour Alix ?— Euh… je ne sais pas trop. C’est… compliqué.— Ça, c’est normal. Mais quand tu auras entendu ce que j’ai à te dire, les choses ne vont pas se simplifier, et vont devenir un peu plus compliquées. »
Victor sentit son estomac se contracter. Il n’avait aucune idée de ce que la mère d’Alix pouvait bien lui vouloir. Il ne savait vraiment pas trop ce qu’il ressentait pour Alix. Que sait-on de l’amour à 18 ans ? Alix était jolie, il s’entendait très bien avec, ils rigolaient bien, partageaient des opinions qui, même si elles étaient souvent contradictoires, les rapprochaient paradoxalement. Mais il ne la connaissait que depuis quelques mois, depuis qu’une de ses amies de collège qui avait sauté sa troisième l’avait cooptée dans le groupe, en septembre. Ils étaient un peu plus proches l’un de l’autre que des autres, mais de là à dire plus… De surcroît, ils avaient deux ans de différence, ce qui peut sembler négligeable, mais pas forcément à leurs âges.
« Je vais te raconter une histoire, dit-elle après quelques secondes de silence, sur un rythme effréné et presque sans reprendre sa respiration. En fait, si je connais Charanty, c’est parce que j’y ai grandi. J’étais fille unique, et mes parents, qui m’eurent trop tôt, ne s’occupaient pas beaucoup de moi. Vers 11 ans, j’ai commencé à me rebeller, sans que mes parents ne comprennent vraiment comment réagir. D’embêtement mineur, je devins problème ; de parents très permissifs, ils devinrent très sévères. La jeune fille que j’étais ne comprenait rien… et ce changement de comportement ne fit qu’aggraver mon état de rébellion. Je leur ai mené la vie dure ; ils me le rendirent bien, allant jusqu’à m’envoyer en pension à Dijon, à 13 ans. Je le vécus comme un abandon (et je suis toujours convaincue que c’était une sorte d’abandon), et je devins une véritable furie, justifiant après coup leur décision.
Un an plus tard, j’apprenais que ma mère était enceinte. Par mesure de rétorsion, même si je n’en avais pas conscience à l’époque, je devins une furie sexuelle. La pension était mixte, même si les dortoirs ne l’étaient pas. Je couchais avec la moitié des élèves, en majorité des filles (c’était plus facile) et avec la moitié des profs, en majorité des hommes (c’était plus facile aussi). Jusqu’à ce que je me fasse surprendre avec un professeur, et que nous soyons tous deux renvoyés de la pension.
Mes parents durent me reprendre chez eux et m’envoyèrent au lycée du coin. Ils ne portèrent même pas plainte, mais la justice n’a pas besoin de plainte dans ces affaires-là. Ils ne s’intéressèrent même pas au devenir de ce prof. Moi, malgré mes problèmes de comportement, je réussissais très bien à l’école, et je fus donc envoyée en seconde au lieu de la troisième, dans ce même lycée où vous êtes aujourd’hui, Alix et toi. »
L’histoire décrivant les exploits sexuels de la jeune Juliette avait eu de l’effet sur Victor, créant une bosse bien visible dans son pantalon. Mais malgré cela, c’est à ce moment-là qu’il commença à deviner où elle voulait en venir. C’est à ce moment aussi que Juliette changea de comportement. Jusque là, elle avait développé son monologue en regardant au loin, par le pare-brise, les mains toujours serrées sur le volant. Mais en disant « Alix et toi », elle s’était retournée pour voir Victor, et avait posé sa main sur la cuisse du jeune homme, ce qui avait eu pour effet de renforcer son érection ; mais son esprit, pour une des rares fois de sa vie, s’était complètement détaché de sa bite. Il attendait d’entendre la suite de l’histoire, et ni sa bite ni la main de sa voisine qui commençait à lui caresser la cuisse ne l’en détournaient. Il ne s’en était même pas rendu compte.
« Toute l’attention de mes parents s’étaient tournée vers leur deuxième enfant, mon jeune frère, qui n’avait qu’un an à ce moment. Mais je n’en étais pas jalouse : l’attention de mes parents ne m’intéressait absolument plus. Par contre, l’attention des garçons du lycée me fut vite acquise. À nouveau je couchai le plus possible, même si je prenais bien garde à ne le faire qu’avec des élèves, de peur de me faire à nouveau renvoyer et peut-être d’envoyer un autre homme en prison. Le sort de mon prof de pension m’inquiétait, moi, et je ne fis presque pas d’entorse à cette règle. »
Tandis qu’elle parlait, sa main continuait de caresser la cuisse de Victor, approchant lentement de son entrejambe. Lui ne remarquait toujours rien.
« L’amour et la fidélité m’étaient des notions étrangères. Jusqu’à ce que je tombe sur Paul, le père d’Alix. Entre temps, j’avais soufflé ma seizième bougie. Il m’a fait découvrir ce qu’était l’amour, et je me rangeais plus ou moins. Lors de certaines fêtes, il nous arrivait de faire de petites orgies, mais en dehors de ces moments je lui étais fidèle, et je crois qu’il l’était aussi. J’étais amoureuse, jeune, stupide. Et je voulais un enfant, à peu près à l’âge où mes parents, eux, m’avaient eue.
Paul, lui, disait que c’était trop tôt. Il avait probablement raison. Mais je ne voulais rien entendre ; j’avais mon frère à la maison, dont il m’était rigoureusement interdit de m’occuper, mais qui me donnait une image de la maternité qui me faisait terriblement envie. Sans le prévenir, j’arrêtai de prendre la pilule et je demandai que nous cessions de participer aux orgies, ce que Paul accepta. Deux mois plus tard je lui annonçai que j’étais enceinte, sans lui dire que j’avais arrêté de prendre la pilule. Il prit peur mais ne s’enfuit pas ; pas encore. »
La main de Juliette avait maintenant rejoint la bosse du pantalon de Victor, la caressant tout doucement, sans éveiller son attention pour autant. Peut-être Juliette même ne l’avait pas remarqué.
« Nous décidâmes ensemble de garder l’enfant. Le bac était presque là, et il avait déjà trouvé une place en alternance dans une boîte du coin. Nous nous dîmes que nous ne serions pas riches, mais qu’au moins nous serions ensemble. Une fois que nous eûmes pris cette décision, il ne me restait plus qu’à l’annoncer à mes parents. Mes parents étaient plutôt conservateurs, mais ils me posèrent tout de même une alternative : l’avortement ou la porte. Je choisis la porte, et ne les revis pas depuis ce jour.
La suite, tu la connais, je pense. Je m’installai chez ses parents, puis nous prîmes le petit appartement où je vis encore aujourd’hui et nous nous mariâmes. Un jour, Paul nous abandonna. J’ai cru comprendre depuis qu’il avait trouvé un poste d’ingénieur en Inde, ou un truc dans le genre. Il n’y a jamais eu de divorce, ce qui fait que, jusqu’à aujourd’hui, je garde son nom, et celui d’Alix. Et je ne veux sous aucun prétexte retrouver l’ancien. Je pense que tu l’as deviné, maintenant.
— Duned… »
Victor n’eut pas le temps de finir de prononcer son nom ni celui de jeune fille de la personne assise à sa gauche – et qui se trouvait être sa sœur – parce que cette dernière le bâillonna de ses lèvres. Choqué par ce mouvement, il ne réagit pas immédiatement, puis laissa entrer la langue de sa sœur dans sa bouche et lui rendit son baiser. Il se rendit compte alors que sa main était posée sur sa bite, l’agrippant maintenant assez fermement, et il poussa un gémissement qui se perdit dans la bouche de Juliette.
L’attitude de Juliette peut paraître surprenante. Mais elle est en fait parfaitement explicable. Beaucoup de choses s’étaient mélangées dans sa tête depuis qu’elle avait reconnu en Victor son petit frère. Il faut déjà comprendre que malgré son physique avantageux, Juliette consacrait sa vie entière à Alix et à son travail, et n’avait quasiment pas eu de relations sexuelles depuis le départ de Paul, il y a plus de 10 ans. Cette frustration avait trouvé dans la masturbation un exutoire naturel, et elle se mit à lire de la littérature érotique, jusqu’à ce qu’elle lise « Les Exploits d’un jeune Don Juan » de Guillaume Apollinaire. Dans ce livre, le jeune héros se retrouve à coucher successivement avec ses deux sœurs, et notamment la plus âgée, qui revient après être partie un certain temps. Pour une raison qui, cette fois-ci, reste obscure, elle s’était identifiée à cette grande sœur partie au loin se marier, et avait commencé à fantasmer sur son petit frère qu’elle n’avait pas revu depuis longtemps. Voir arriver le sujet de ses fantasmes honteux ne l’avait pas laissée de glace, on le comprendra aisément. Mais il faut encore ajouter à la frustration et à des années de fantasme le fait que la situation entre Alix et Victor ressemble beaucoup à celle entre elle et Paul, ce qui avait contribué à mélanger encore les choses dans son esprit, jusqu’à ce qu’elle perde la tête au moment où elle revivait son passé en le racontant. Ce qui était arrivé n’était absolument pas prévu – du moins pas consciemment.
Victor, lui, savait qu’il avait une sœur, même si ses parents ne lui en avaient jamais parlé, et il n’avait jamais amené la discussion sur le tapis. L’enfant qu’il fut s’était longtemps demandé qui elle était et à quoi elle ressemblait. L’adolescent qu’il s’apprêtait à ne plus être avait transformé ces rêveries en fantasmes, les mêmes finalement que ceux de sa sœur. Ajoutés au fait que Juliette était une très belle femme et que Victor était bourré d’hormones (sa bite reprenait sa place habituelle dans la hiérarchie des priorités), ces fantasmes expliquaient très facilement l’acceptation de la situation par le jeune homme.
Sans briser le baiser, Juliette déboutonna le jeans de Victor et, descendant un peu son caleçon, sortit sa queue et se mit à la masturber, tout doucement, tout en suçant sa langue. En gémissant, Victor sortit de sa torpeur et se mit à caresser les gros seins de sa sœur et les sortit de son débardeur après avoir levé son pull, ce qui fit qu’elle se mit elle aussi à gémir. Ils continuèrent ce jeu jusqu’à ce que le jeune homme brise le baiser et dise :
« Ouh, Juliette, je vais jouir ! »
C’était la première fois qu’il l’appelait « Juliette » sans tiquer. Retrouvant ses anciens réflexes, elle répondit :
« Jouis dans ma bouche, ou tu vas tout salir. »
Sans cesser de le masturber, elle descendit rapidement son visage sur le vit de son frère et en emboucha le gland. Il était grand temps : deux va-et-vient supplémentaires suffirent à faire lâcher à Victor, pour la première fois sous l’action d’une femme, son foutre. Juliette en avala les premiers jets, mais garda les derniers, moins puissants, en bouche. Une fois certaine qu’elle avait tout pris, elle remonta vers le visage de son frère, ouvrit la bouche pour lui montrer son sperme, et l’avala avant de l’embrasser à nouveau fougueusement. La bouche de Juliette avait un autre goût, plus salé ; et Victor aimait ça. Ils continuèrent à s’embrasser jusqu’à ce que, à bout de souffle, ils s’arrêtent pour chercher de l’air.
Sans rien dire, Juliette ralluma le contact et se remit en route pour la maison de Victor. Ils n’échangèrent pas un mot jusqu’à ce que le panneau annonçant l’entrée dans la commune de Charanty apparaisse. Elle s’arrêta juste avant et dit à Victor, probablement sous le coup de remords :
« Il va falloir qu’on discute. Mais là, on n’aura pas le temps… J’ai cru comprendre que tu n’avais pas cours demain matin ? »
Toujours sous le choc, il réussit à répondre :
« Non, je commence à 14 heures.— Bon, le bar est encore ouvert ; je vais appeler pour savoir si je peux poser une demi-journée de congé : ils m’en doivent plein. Si c’est le cas, viens chez moi à 9 heures. C’est l’heure à laquelle commence Alix. »
Et ce fut le cas. En se couchant ce soir-là, de millions de questions se pressaient dans sa tête. Pourquoi Juliette, sa sœur qu’il avait si souvent rêvé de rencontrer, avait-elle réagi justement comme il en rêvait ? Comment cela allait-il continuer ? De quoi allaient-ils parler le lendemain ? Et puis il y avait Alix. Sa nièce. Il comprit à ce moment-là qu’Alix était sa nièce. Étrangement, probablement parce qu’il n’avait jamais eu de fantasme oncle/nièce, ses quelques flirts avec elle lui semblaient plus tabous que le fait d’avoir éjaculé dans la bouche de sa sœur… Mais même au-delà de la question de savoir comment elle allait prendre le fait de se savoir reliée par le sang au garçon avec lequel elle était sur le point de sortir, il avait l’impression de l’avoir trompée, même s’il ne s’était jamais rien passé entre eux ; et trompée avec sa propre mère… Elle le haïrait si elle le découvrait. Il ne voulait ça à aucun prix. Mais il ne voulait pas cesser sa relation avec Juliette pour autant. Il était complètement perdu et très excité, et il lui fallut deux masturbations – pendant lesquelles, dans son esprit, Alix et Juliette se mélangeaient – pour réussir malgré tout à trouver le sommeil. Et lorsque le réveil sonna, il le trouva déjà réveillé, et à nouveau cogitant.
Le bus qu’il avait pris le déposa en ville vers 8 h 45. Pour être sûrs de ne pas croiser Alix, ils avaient convenu de se retrouver cinq minutes plus tard dans une rue de la ville où Alix n’avait aucune raison d’être. Lorsque Victor atteignit le point de rendez-vous, Juliette y était déjà, au volant de sa voiture. Elle lui fit signe d’entrer et de se mettre à la place passager. Victor était gêné. Devait-il lui faire la bise, lui serrer la main ou lui rouler une pelle directement ? À peine était-il dans la voiture qu’elle répondit à cette question informulée :
« Agissons normalement, au moins jusqu’à la maison. »
Victor hocha la tête, mais ce « jusqu’à la maison » eut un effet immédiat sur son pantalon. Juliette était habillée comme la veille, dans son uniforme de serveuse ; probablement l’avait-elle revêtu pour cacher à sa fille qu’elle n’allait pas au travail. Mais, comme la veille, Victor la trouvait terriblement sexy dans cette petite robe noire, et il remarqua que, malgré le froid, elle n’avait pas mis de collants. Il se mit à rêver qu’elle n’avait pas mis de culotte non plus, et il ne dut qu’à ses trois éjaculations de la veille et de la nuit de ne pas exploser directement dans son pantalon, sans même s’être touché, à cette seule idée.
Ils arrivèrent rapidement dans l’immeuble de Juliette. Étant derrière elle dans les escaliers, il avait tout loisir de regarder ses fesses, que la robe moulait beaucoup ; il ne vit aucune trace de culotte, ni même de string. Sa bite était tellement dure qu’il avait du mal à monter…
Mais il y parvint tout de même. Il s’assit à la même place que la veille, tendu de plus d’une façon, et mata encore un peu le cul de sa sœur pendant qu’elle préparait les cafés. Une fois ceux-ci prêts, elle s’assit en face de lui, et ils purent engager la discussion.
« Tu… vous…— C’est bon, je suis ta sœur quand même ! Tu peux me tutoyer, dit-elle en rigolant.— Juliette, tu sais, j’ai attendu très longtemps de te rencontrer. Mes… nos parents ne m’ont jamais dit même un seul mot sur toi.— Tu peux dire tes parents. Je ne les considère plus comme mes parents depuis longtemps.— Si j’avais su que tu habitais si près de Chantilly, j’aurais cherché à te rencontrer depuis longtemps, mais je t’ai toujours imaginée être partie très loin d’ici. J’en ai souvent rêvé moi-même.— Oui, je voulais partir loin, mais les premières années étaient difficiles ; nous avions peu d’argent, et après le départ de Paul les choses se compliquèrent encore. Finalement, on est resté. Moi aussi j’ai souvent voulu te voir. J’avais la haine contre tes parents, mais même jeune, je ne t’en ai jamais voulu à toi. Mais je n’avais pas envie de me rapprocher d’eux, donc je n’ai jamais essayé. »
Ils apprirent à se connaître ainsi pendant plus d’une heure, plaisantèrent beaucoup et se trouvèrent des points communs, tant physiques que dans les goûts. Tout au plaisir de leur discussion, ils en oublièrent presque leur petite aventure de la veille… presque.
« Bon, dit Juliette après être allée refaire un café, il faut aussi qu’on reparle d’hier.— Hmmm, oui, répondit Victor, gêné.— Je ne sais pas trop ce qui m’a pris de faire ça, Victor. Je ne m’attendais pas à te rencontrer comme ça, j’étais un peu perdue. Je suis déso… »
Pour la première fois, Victor avait pris l’initiative. Pour l’empêcher de s’excuser, il s’était levé et l’avait bâillonnée de ses lèvres, un peu comme elle lui avait fait la veille. Mais cette fois-ci, il mit immédiatement la langue, et Juliette répondit tout aussi vite à son baiser. Une fois celui-ci terminé, il chuchota à son oreille :
« J’ai beaucoup aimé ce qu’on a fait hier, Juliette. Je n’ai pas envie que ça s’arrête. »
Juliette reprit les devants et, s’étant levée, embrassa son frère. Elle aussi avait très envie de continuer, et ce n’est que pour Alix qu’au milieu de ses réflexions nocturnes elle avait décidé de s’excuser et d’arrêter. Le simple « Je n’ai pas envie que ça s’arrête. » de Victor avait suffit à briser cette bonne résolution…
Malgré leur différence d’âge, ils étaient tous deux de même taille. En l’embrassant, Juliette poussa Victor contre le mur et l’y plaqua, écrasant son corps – et notamment ses seins – sur le corps du jeune homme, qui en échange plaquait douloureusement son érection sur l’entrejambe de sa sœur. Le fait qu’elle utilisait son corps pour plaquer Victor lui laissait les mains libres, et elle en profita pour libérer sa longue chevelure rousse et frisée, ajoutant encore à son côté sauvage. Tandis que le baiser – et l’étreinte – continuaient, Victor plaça ses mains, elles aussi libres, sur les fesses de Juliette et les massa. S’engaillardissant, il remonta sa jupe et les massa à nouveau, mais cette fois-ci sans qu’aucun tissu ne vienne le déranger : elle n’avait effectivement pas mis de culotte (ce qui disqualifie un peu sa bonne résolution…).
Mettant fin au baiser, elle lui dit dans un souffle :
« Tu aimes mon cul ?— Oh oui !— Si t’es sage… non, si tu me fais jouir trois fois, tu l’auras. Allez, viens dans la chambre. »
Victor défaillit presque en entendant ça. Juliette prit une main de Victor et l’emmena jusque dans sa chambre. Elle le poussa sur le lit, la jupe toujours relevée au-dessus de ses fesses découvrant sa chatte parfaitement épilée. Elle grimpa à son tour sur le lit, se mit à genoux par-dessus Victor, et sans un mot colla son abricot, déjà trempé, sur le visage du jeune homme. Même inexpérimenté, il ne lui fallut guère de temps pour comprendre ce qui était attendu de lui, et il se mit à laper comme un chien les lèvres de sa sœur. Cette dernière bougea un peu, lui permettant d’accéder plus facilement au clitoris, ce que le jeune homme – grâce aux histoires érotiques qu’il lisait – comprit aussi rapidement. Tout en agaçant de sa langue le clitoris, il posa sa main gauche sur la fesse droite de Juliette et poussa encore plus fort son bassin contre son visage. Sa main droite ne resta pas inoccupée ; il fit pénétrer un doigt dans son vagin, initiant un va-et-vient qui eut comme résultat de faire augmenter la force des gémissements de Juliette. Sentant qu’elle commençait à défaillir, il augmenta graduellement la rapidité de son doigt et de sa langue en gardant un rythme coordonné jusqu’au déclenchement de son orgasme. Victor sentait les contractions du vagin de Juliette sur son doigt, il entendait ses cris, mais il n’arrêta pas son travail, prolongeant encore et encore cet orgasme qui fut le meilleur pour Juliette depuis longtemps, jusqu’à ce que, épuisée, elle se retire elle-même et se couche à côté de son frère-amant.
Une fois.
Mais Victor ne lui laissa aucun répit. À peine était-elle couchée que, toujours habillé, il se coucha sur elle est l’embrassa fougueusement, partageant avec elle son propre goût intime. Ce goût si particulier qu’elle n’avait plus senti ailleurs que sur ses propres doigts depuis si longtemps ne mit pas beaucoup de temps à l’exciter de nouveau. Reprenant comme à son habitude le contrôle des événements, elle fit rouler Victor sous elle. À califourchon sur lui, elle ouvrit sa robe et l’enleva par la tête. Victor n’avait jamais rien vu d’aussi beau que cette jeune femme à la peau diaphane rehaussée par le rouge flamboyant de ses cheveux ondulés, aux larges aréoles roses, aux tétons saillants – les premiers qu’il voyait en vrai depuis que sa mère avait cessé de l’allaiter –, au regard dont le bleu n’adoucissait en rien le feu que l’on y voyait se consumer. L’univers entier semblait avoir disparu ; ne restait plus au monde que ce corps qu’il aimait et allait aimer.
Une fois que le regard de Victor eût fini d’exciter sa sœur, elle lui donna ses seins. Victor ne se fit pas prier et lécha, caressa, pinça et mordilla même ces appâts tant convoités, faisant à nouveau gémir leur propriétaire. Une fois satisfaite, Juliette descendit sensuellement le long du corps de Victor – ses yeux, presque démoniaques, ne quittant pas les siens – jusqu’à ce qu’elle arrive au niveau de sa braguette. Toujours sans le quitter du regard, elle ouvrit son pantalon et le descendit, comme la veille, en même temps que son caleçon trempé de liquide pré-éjaculatoire. Elle lécha l’intérieur du caleçon, goûtant à nouveau à ce liquide qui habitait ses rêves depuis qu’elle y avait goûté la veille. L’excitation de Victor était extraordinaire, et il n’en pouvait plus d’attendre que sa sœur l’embouche. Elle aussi n’attendait plus que ça ; retrouvant le regard de son frère qu’elle avait perdu au moment où elle léchait son caleçon, elle commença sa fellation.
Victor trouvait ce sentiment incroyable. La veille, il n’avait pas eu une vraie fellation ; déjà masturbé depuis un certain temps, les lèvres s’étaient à peine refermées sur son gland qu’il avait éjaculé. Mais là, il pouvait profiter pleinement de l’expertise de sa sœur. Elle commença par lécher les 15 centimètres de sa queue, du gland jusqu’aux testicules, qui eurent droit à leurs coups de langue aussi. Puis elle fit le chemin inverse, salivant excessivement sur cette queue tant désirée. Une fois arrivée de nouveau au gland, elle le prit enfin en bouche. Elle jouait de sa langue sur son gland, tout en le masturbant d’une main. Puis elle descendit un peu la tête, serra les lèvres un peu plus fort, et commença à le masturber de la bouche. Victor était aux anges ; par un réflexe peut-être conditionné par son éducation sexuelle aux films porno, il mit ses mains sur sa tête et accompagna le mouvement, cherchant toujours à la faire descendre un peu plus bas. Au bout de quelques coups, elle sortit la bite de sa bouche pour dire :
« Tu veux que j’aille plus loin, hein ? Faisons un 69, je serai dans une meilleure position… Plus tu me feras plaisir, plus je descendrai loin. Vu ce que tu m’as montré tout à l’heure, je ne doute pas que tu me feras aller loin ! »
Juliette aimait les jeux, et Victor n’oubliait pas celui qui avait été lancé quand ils s’embrassaient contre le mur du salon. Il accepta donc très facilement le marché.
Juliette, toujours nue, se retourna. Victor, attrapant ses fesses, se mit aussitôt à la lécher. Il commença par enfoncer aussi loin qu’il le pouvait sa langue dans le vagin de sa sœur, agaçant d’une de ses mains son clitoris, inversant ainsi la technique utilisée avant. Profitant quelques secondes de ce traitement, elle attendit un peu avant de remboucher la queue de son frère. Que ce plaisir partagé était bon ! Le plaisir que recevait Juliette ne faisait que grimper. Sans même plus penser à sa promesse, elle tentait d’aller le plus loin possible. La bite de Victor n’était pas petite, mais elle n’était pas non plus extraordinairement grande : elle devait se situer pile dans la moyenne. Par contre, elle était clairement dans la moyenne haute au niveau épaisseur des queues qu’il lui ait été donné de goûter, ce qui ne faciliterait pas le passage dans la gorge. Victor sentait sa bite entrer de plus en plus loin dans la bouche de sa sœur. De temps en temps, elle se retirait et crachait sur sa queue pour augmenter la lubrification. Il n’avait jamais subi de fellation, et il trouvait la sensation magique. La langue experte qui jouait de son gland, puis sentir ce même gland buter contre la gorge, provoquant parfois un réflexe de vomissement vite contrôlé. Mais jusque là, elle n’avait pas encore réussi à avaler l’intégralité du large vit.
Pendant que sa sœur s’occupait de sa bite, Victor continuait de caresser son clitoris de son pouce droit en la pénétrant de sa langue. Mais sa main gauche ne supportait pas l’inactivité… Juliette mouillait énormément, et sa cyprine, mélangée de la salive de Victor, coulait abondamment. Victor en recueillit le maximum de sa main gauche, et particulièrement avec son index. Une fois qu’il le jugea assez lubrifié, Victor se mit à caresser l’anus de sa sœur, juste au-dessus de son nez. Il fit ainsi plusieurs allers-retours, humidifiant de plus en plus la raie de sa sœur, puis il tenta de lui pénétrer la rondelle – ce qu’il fit sans mal – et commença à synchroniser les mouvements de sa langue dans son vagin, de son pouce sur son clitoris et de son index dans son cul.
Déchaînée par les caresses inexpérimentées mais néanmoins efficaces du jeune homme, Juliette sentit un orgasme monstrueux l’envahir. Plus tout à fait consciente de ce qu’elle faisait, elle continuait de faire entrer la queue de Victor dans sa gorge jusqu’à ce que ses lèvres touchent son pubis, ce moment se trouvant être en même temps l’acmé de son orgasme. Toute à son plaisir, et alors que Victor continuait à la ramoner, elle en oublia même qu’elle ne pouvait plus respirer, sa gorge étant bouchée par un gros corps étranger…
Heureusement, Victor, sentant que sa sœur avait la totalité de sa queue en bouche, atteignit à son tour l’orgasme. Il lâcha une énorme quantité de sperme bien au fond de la gorge de Juliette, la tirant subitement de sa torpeur, et libérant sa respiration. Le mouvement rapide qu’elle fit pour retirer sa tête fit que Victor continua à éjaculer en dehors de sa bouche ; il recouvrit le visage, les cheveux et la poitrine de la belle de son sperme gluant. Le cri rauque qu’elle poussa tout en avalant de l’air recouvrit le cri de jouissance de Victor, qui s’inquiéta ; mais avant qu’il pût demander si tout allait bien, il entendit : « Oh oui, putain, que c’est bon ! » Et sa sœur, encore recouverte de sperme, se retourna subitement et se jeta sur Victor pour lui rouler une pelle passionnée.
Deux fois.
Après avoir un peu récupéré, les amants se levèrent. Ils allèrent se doucher l’un après l’autre bien sagement. Victor y alla en premier, et lorsqu’il sortit il vit Juliette, complètement nue, lui demandant de réchauffer deux pizzas, qu’il trouva dans le petit congélateur intégré au frigo. Épuisé, il s’assit sur une chaise, ne pensant même pas à aller espionner sa sœur qui se douchait, ce que celle-ci fit rapidement au demeurant. Ils n’avaient, jusque là, échangé presque aucune parole ; mais pendant qu’ils mangeaient, Victor ne put se retenir de commenter ce qui venait de se passer.
« Oh Juliette, c’était… ouhaou, ce qu’on a fait !— Oh oui, ça fait longtemps que j’attendais de revivre quelque chose comme ça, dit-elle avec un large sourire.— C’est incroyable, on dirait qu’on est lié même par nos fantasmes… J’ai toujours cru que je ne connaîtrais de gorge profonde que dans mon imagination.— J’aime beaucoup les gorges profondes. Je me sens tellement… remplie quand je sens mes lèvres toucher le pubis d’un homme… S’il fallait tout t’avouer, je te dirais que bien souvent, depuis que je suis seule, un de mes plaisirs est de prendre un de mes godes et de me masturber la bouche avec, pendant que mon vibro fait son boulot en bas… »
Juliette avait dit ça avec un œil coquin, comme si son but était de réveiller les ardeurs de Victor. Que cela fût son but ou non, il était atteint ; et malgré ses masturbations nocturnes et le fait d’avoir rempli la gorge de sa sœur quelques dizaines de minutes plus tôt, il ne fallut pas plus au vit de Victor pour retrouver son état turgescent. L’ayant deviné, elle se leva, le prit par la main et l’emmena dans sa chambre.
Cette fois-ci, il n’y avait plus de précipitation. Cette fois-ci, tout se passait calmement. Victor avait remis ses habits, il n’en avait pas pris de rechange. Juliette, elle, était en nuisette. Mais malgré la vision de sa sœur en tenue si affriolante, il n’y avait plus l’urgence et la sauvagerie qu’ils avaient mises dans leur précédent rapport. Ils s’assirent côte à côte sur le lit et s’embrassèrent, sans que leurs yeux ne se quittent. D’abord, ils goûtèrent simplement les lèvres de l’autre, puis leurs langues reprirent la danse qu’elles commençaient à connaître par cœur. Mais cela se passait toujours calmement, toujours sans précipitation. Et leurs mains étaient toujours l’une dans l’autre, dans une étreinte que l’on pourrait qualifier – s’il ne s’agissait pas de mains liées par le sang – de romantique.
Puis, lentement, Juliette commença à déshabiller Victor. Entre chaque oripeau enlevé, ils reprenaient leur baiser et, mis à part lorsque le tee-shirt de Victor passa sur sa tête, ils ne cessèrent à aucun moment de plonger l’un dans les yeux de l’autre.
Victor savait ce qui était en train de se passer. Il savait que d’ici quelques minutes, il perdrait sa virginité, et qu’il la perdrait par sa sœur de 11 ans son aînée. Il repensait à ce que la télévision lui enseignait, et il se demanda s’il ne devait pas mettre un préservatif. Juliette ne semblait pas s’en inquiéter : il savait, par Alix qui l’avait dit lors de l’une de leurs discussions, qu’elle avait un stérilet et il ne s’inquiéta donc pas plus.
Lorsqu’il fut complètement nu, Juliette poussa Victor sur le dos et, toujours en nuisette, sans autre forme de procès et sans rompre le baiser, elle inséra son gland dans son vagin. Victor et Juliette gémirent de concert, la langue de l’un toujours dans la bouche de l’autre, et tous deux fermèrent les yeux. Rompant le baiser, par de petits va-et-vient de son bassin, Juliette descendait toujours plus bas, jusqu’à ce qu’elle pût enfin s’asseoir sur Victor. Ça y était : il n’était plus puceau, et il était fiché jusqu’à la garde pour la première fois dans un vagin.
Les va-et-vient de Juliette se faisaient de plus en plus rapides. À chaque coup, leur étreinte retrouvait un peu plus la sauvagerie qu’elle avait eue plus tôt, jusqu’à ce que, s’oubliant totalement, Juliette alla le plus vite qu’elle pût et atteigne l’orgasme une nouvelle fois dans un grand cri rauque. Il y avait si longtemps qu’elle attendait cette sensation si particulière de sentir au fond d’elle une queue bien dure qu’elle vit des étoiles et s’effondra sur son frère haletant qui, lui, n’avait pas encore atteint son deuxième orgasme de la journée (il devait à sa nuit agitée de ne pas l’avoir atteint).
Trois fois.
Il fallut quelques minutes à Juliette pour se remettre de son orgasme, la queue de son frère un peu plus molle, mais toujours fichée dans son vagin. Reprenant ses esprits, elle recommença un peu à bouger le bassin, ce qui eut comme effet immédiat de rendre toute sa dureté à la bite de Victor, et les deux amants recommencèrent à s’embrasser. Juliette leva son bassin et fit sortir de ses entrailles la queue bien dure de son frère. Sans explication et sans cesser de l’embrasser, elle tendit la main et ouvrit sa table de nuit, sortant du tiroir un lubrifiant qu’elle utilisait pour se masturber plus facilement. Le feu était revenu dans ses yeux.
Elle cessa de l’embrasser et lui dit :
« Bon, tu as gagné, mon chéri. Mets-toi assis et ne te touche pas. Regarde-moi me préparer. »
Elle n’avait pas besoin de préciser ce à quoi elle pensait. Tout le temps qu’elle avait pris à retrouver ses esprits, Victor ne pensait qu’à la petite phrase de Juliette. Elle avait joui trois fois : il pouvait avoir son cul. Avait-il mal compris ? Parlait-elle d’autre chose, d’une position comme la levrette par exemple ? Là, il n’y avait plus de doute ; il avait bien compris, et son excitation atteignit de nouveaux paroxysmes. Il aurait son cul. Et le même jour, il aura eu sa première fellation, il aura fait son premier cunni, touché ses premiers seins, fait l’amour pour la première fois et goûté à sa première sodomie. Il n’en revenait toujours pas.
Assis contre la tête de lit, les mains dans le dos pour être sûr de ne pas se toucher sans y penser, il regarda sa sœur se mettre à quatre pattes devant lui, écartant les jambes, découvrant sa rosette à son regard envieux. Elle se mit sur son coude gauche, augmentant encore l’inclinaison de son dos, et donc l’ouverture de sa raie, et découvrant un peu plus encore son anus palpitant d’envie. De sa main droite elle se caressa les fesses, puis fit glisser son index dans sa raie, de haut en bas, de bas en haut. Elle récupéra de son oignon encore trempé un peu de mouille et s’en servit pour se lubrifier, puis elle inséra son majeur dans son cul. Elle se doigta ainsi l’anus doucement, puis elle retira son doigt pour le lécher et ajouter de la salive à la cyprine déjà présente dans son cul.
Elle avait prévu de faire tout un show ; mais n’y tenant plus, elle se releva, prit le tube de lubrifiant et s’en mit une bonne quantité directement dans la raie. Insérant de nouveau son majeur – cette fois plus facilement – elle se doigta férocement le cul, ajoutant l’index, puis l’annulaire, en poussant des cris sauvages. Enfin, elle se mit à crier « Viens ! » N’attendant que cela, au bord de l’éjaculation sans s’être touché (et qu’il ne se fût pas touché relevait du miracle), Victor s’approcha, prit du lubrifiant, fit quelques va-et-vient sur sa queue et présenta son gland à l’entrée de l’anus de sa sœur.
Ce fut Juliette qui fit le mouvement qui fit entrer le gland de Victor, d’un coup d’un seul, dans son cul, ce qui les fit crier d’un même cri. Puis Victor poussa, s’enfonçant toujours un peu plus, centimètre par centimètre, en entendant Juliette gémir. Il y avait bien longtemps que la rondelle de Juliette ne s’était pas ouverte comme ça. Finalement, presque à bout de souffle, Victor pénétra en entier l’anus de sa sœur. Juliette lui demanda de ne plus bouger, le temps qu’elle s’y habitue, puis ce fut elle qui entama le mouvement de va-et-vient. Lorsqu’elle atteignit le bout, elle se renfonça la queue dans son cul, toujours doucement. Mais Victor ne l’entendait pas de cette oreille. Presque rendu fou par l’excitation et le désir, il donna une grande claque sur la fesse de sa sœur et se mit à lui pilonner le fion, d’un coup, sans la prévenir, tout en agrémentant ses mouvements par des claques sonores. Les deux amants remplirent la chambre du petit appartement de cris.
Juliette se sentait noyée dans les sensations et avait perdu toute notion de ce qui se passait autour d’elle. N’existaient plus que son cul, pénétré, et ses fesses, frappées. Douleur, plaisir, honte, bonheur, soumission, maîtrise, tout ne faisait plus qu’un dans son esprit. Chaque claque, chaque mouvement dans son cul augmentait la sensation de perte de repères. Elle n’en pouvait plus, voulait supplier pour que ça s’arrête, mais seuls des cris de jouissance et des « encore » ou des « plus fort » sortaient de sa bouche, lorsqu’elle arrivait à en faire sortir autre chose que de la bave. Victor, lui aussi, était noyé. Il s’acharnait sur sa sœur comme un diable sans même écouter ses cris, sans plus du tout s’occuper de ce qu’elle ressentait. Il n’était plus lui-même, il ne vivait plus qu’à travers sa bite.
Juliette était au-delà de l’orgasme. En avait-elle un très long et très fort, ou n’en avait-elle pas du tout ? Était-ce du plaisir ou n’en était-ce pas ? Elle aurait voulu que ça continue toujours et que ça s’arrête tout de suite. Victor, lui, sentait son éjaculation arriver. Sans ralentir, ni cesser, ni prévenir, il déchargea tout au fond de l’anus de sa sœur et s’écroula sur elle dans un râle rauque et puissant.
Les deux amants restèrent ainsi, Victor sur le dos de Juliette, sa bite ramollie toujours dans son cul, reprenant petit à petit leurs esprits.
Diffuse en direct !
Regarder son live