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Retrouvailles en famille

Chapitre 2

Inceste
Cela faisait maintenant une heure que je me retrouvais dans une situation compliquée. Ma tante m’avait demandé de dire à mes parents que je restais plusieurs jours chez eux. Mon oncle étant fermier, il était d’astreinte toute la semaine, c’est donc naturellement bien sûr, que j’avais proposé mes services pour réparer le vieux mur en pierre du jardin avant qu’il ne tombe. J’étais très stressé par la situation. A mesure que tous les membres de la famille disaient au revoir, je sentais le stress monter petit à petit. Non seulement je venais de dépuceler ma cousine de 18 ans, mais en plus sa mère le savait et me faisait du chantage sans que je sache encore vraiment ce qu’elle attendait de moi. Je suis maintenant seul avec ma tante, ma cousine et mon oncle qui sont en train de défaire le clic-clac du salon pour que je puisse dormir, les chambres étant encore en travaux.
— C’est très gentil de t’être proposé pour m’aider à remonter le mur Laurent. Me dit mon oncle, tout sourire.
Je ne sais pas très bien quoi répondre. Dans le visage de ma tante, je vois une réelle satisfaction. Elle me fait signe de répondre rapidement.
— C’est tout à fait normal, je réponds, et puis tu sais, je suis ici pour trois semaines avant de retourner à Paris donc si je reste avec papa et maman, je vais devenir dingue.
La réponse a l’air de convenir à ma tante qui me fait un hochement de tête. Après avoir terminé de déplier le canapé, Éric prend son manteau et repart à la ferme pour s’occuper des derniers vêlages. Il dit à ma tante de ne pas l’attendre pour se coucher, ce à quoi elle répond :
— Tu sais, le temps que je range tout cela, tu seras peut-être revenu. Sinon bonne nuit mon chéri. Et il referme la porte.
Me voilà maintenant en tête à tête avec la petite que je viens de dépuceler et sa mère qui nous a surpris. Je suis complètement tétanisé. Je décide tout d’abord de m’excuser.
— Tata, excuse-moi vraiment, dis-je presque en pleurant de honte.
J’ai 30 ans, et pourtant j’ai l’impression de me retrouver dans la peau d’un gamin de 10 ans qui a fait une bêtise. Mais là, cette bêtise est énorme. Je vois ma cousine sourire et ma tante répondre en rigolant à son tour.
— Bon je vais me coucher, je te laisse t’excuser Laurent, mais tu as intérêt d’être convainquant sinon maman risque de tout raconter. Et Floriane s’en va, me laissant seul avec ma tante Claudie.
Plus un bruit. Une ou deux minutes passent sans qu’aucun de nous deux semble vouloir parler. Qu’attend-elle de moi ? Et puis elle se tourne en direction de la cuisine et marche d’une démarche chaloupée que je pressens un peu exagérée. Je me surprends encore une fois à la mater de fond en comble. Sa robe moulante moule parfaitement ses fesses fermes et rebondies. Elle a beau avoir 60 ans, ma tante est juste ultra-sexy. Elle se retourne et me fait signe de la suivre. Je m’exécute avec la boule au ventre. Quand je rentre dans la cuisine, je vois ma tante s’asseoir sur la table qui se trouve en plein milieu en remontant doucement sa robe. Elle est arrivée à mi-hauteur de ses magnifiques jambes et elle continue à remonter tout doucement sa robe. Elle se penche sur la droite puis sur la gauche afin que la robe passe ses fesses et qu’elle se retrouve en petite culotte en dentelle noir sur la table. Qu’elle est belle. Je sens mon entrejambe tressaillir.
J’ai toujours reluqué ma tante, mais de là à la voir en train de se déshabiller devant moi... je suis complètement abasourdi.
— En première excuse, tu as intérêt à bien me lécher mon grand. Dit-elle tout simplement. — Je... quoi ? Je n’ai plus de mots. — Tu m’as bien comprise et je ne vais certainement pas me répéter. Alors, dépêche-toi de venir me lécher. J’attends cela depuis maintenant plus de trois heures. Tu ne peux pas savoir comment je mouille.
Tout en tremblant, je m’approche de ma tante qui me sourit. Même son visage semble avoir traversé les âges. Oh, bien sûr il y a quelques rides, mais elles sont là pour sublimer encore plus cette femme. Ma tante m’attrape par le bras et me sert de sa main droite le visage très fort.
— Tu m’as entendue ou pas ? Je t’ai dit de te dépêcher !
Et je reçois une première claque. Je ne comprends pas ce qui m’arrive. Je me mets alors à genoux tel un enfant venant de se faire gronder. Je sens alors les effluves de son entrejambe remonter à mes narines. Un déclic se passe dans ma tête et je ne suis plus moi-même de nouveau. Décidément les femmes de cette famille ont le don pour me faire sortir de moi. Je m’approche alors tout doucement de sa culotte en dentelle noir et me retrouve très rapidement en train de lécher celle-ci en essayant de récupérer de nouveau le liquide précieux de ma tante. Elle ne se cache pas pour jouir. J’ai l’impression que cela ne la dérange pas de réveiller sa fille qui dort juste au-dessus de nous. Plus je lèche sa culotte, plus ma tante me pousse la tête dans son vagin. Très rapidement, je sens le désir monter en moi. Je lui fais alors signe d’enlever tout de suite sa culotte afin que je puisse voir son vagin, mais elle m’attrape fermement le bras.
— Est-ce que je t’ai demandé d’enlever ma culotte ? Un silence règne. Je ne sais quoi répondre... je préfère ne rien dire.
Elle me remet une gifle. Celle-ci n’est pas forte, juste pour me faire comprendre que c’est elle qui décide. Je me remets donc tout de suite au travail. Je sens ses doigts parcourir ma nuque et elle m’enfonce la tête de plus en plus dans son entrejambe, à tel point que j’ai du mal à respirer à cause du tissu. Si seulement elle voulait bien l’enlever, au lieu de cela, j’essaye de reprendre mon souffle comme je peux, tellement elle appuie ma tête contre son sa culotte. Mais je m’en fous. C’est trop bon. Sans pouvoir la lécher complètement, je sens quand même sa culotte de plus en plus mouillée, et je peux goûter de plus en plus ce liquide qui me rend complètement dingue. Je sens mon sexe grossir de plus en plus dans mon pantalon à mesure que mes coups de langue s’accélèrent sur le tissu en dentelle. Elle me fait mal en serrant fort ma nuque, mais le plaisir monte intensément en même temps. Tout d’un coup, elle me rejette. Je la vois se relever et partir vers le frigo.
Elle sort une bouteille d’eau et la passe sur le visage. Elle jouit encore toute seule et je suis tellement excité que je sors ma bite de mon pantalon pour commencer à me branler. Elle a l’air d’aimer que je la regarde si intensément, car elle descend tranquillement la bouteille d’eau sur le début de son décolleter. Elle jouit de plus belle toute seule, sans même toucher quoi que ce soit de son corps. C’est hallucinant comment j’ai envie de la prendre là, tout de suite. Alors elle se retourne et me montre la fermeture éclair de sa robe. Elle me fait signe de la descendre. Je m’approche comme un lourdaud et la prends par les hanches. Tout de suite elle se retourne et me gifle une nouvelle fois. Elle ne rigole pas et je la sens réellement en colère.
— Est-ce que je t’ai dit de me toucher ? gronde-t-elle. Tu ouvres ma fermeture, mais tu ne me touches pas.
Je m’exécute en prenant bien soin de ne pas la toucher. A mesure que je descends d’une main sa fermeture, je me branle plus vite de l’autre. Je ne sais pas pourquoi, mais cette situation me met dans un état de transe. Elle se retourne pour commencer à enlever sa robe devant moi. Je vois pour la première fois qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses petits seins en poire sont tout bonnement à croquer. J’ai envie de les prendre et de mordre ses tout petits tétons qui pointent dans ma direction. Je sens mon sperme monter à mesure que je me branle. Je vais éclater quand tout d’un coup ma tante me met un violent coup de point dans le ventre.
— Il est hors de question que tu jouisses sans que je te l’aie demandé ! me crie-t-elle.
Le souffle coupé, je mets quelques secondes à me reprendre. Donc c’est ça ? Je suis son esclave ou quoi ? Qu’est-ce qu’elle attend de moi ? Que je me fasse abuser et taper à longueur de journée ? Il en est hors de question. Je suis prêt à me rebeller quand je la vois s’approcher de moi et me rouler une pèle monumentale. L’excitation revient tout de suite. Je sens alors la chaleur de ses mains qui se pose sur ma bite. Elle me sert le gland très fort pourtant elle ne me fait aucunement mal. Je sens même mon sperme qui ne demande qu’à sortir. Je ne vais pas pouvoir tenir. Je pense qu’elle l’a compris, car elle se met tout de suite à genoux pour accueillir ma semence. Je me laisse alors venir et ma jouissance est profonde. Ça fait maintenant trois fois que j’éjacule pourtant je sens qu’il m’en reste énormément. Ma tante caresse mon gland sur ses seins pour étaler mon sperme partout sur eux. Je suis complètement en extase. Quand le plaisir redescend un peu je la regarde me sourire.
Je ne sais pas quoi dire. Qu’est-ce qu’il se passe ? D’abord sa fille dans le garage, maintenant elle. J’ai affaire à deux salopes. Elle rompt le silence d’une voix calme et posée.
— Je viens de te faire une fleur, mais ce sera la dernière, tu m’entends ? Il est hors de question que tu jouisses tant que je ne te l’ai pas demandé. Tu as compris mon neveu ?— Oui d’accord.
Me voilà complètement à ses ordres. Je fais tomber les dernières barrières. Je suis complètement et irrémédiablement fou d’elle, de son corps, de son autorité même. Elle me demande de me mettre aussi à genoux. La voilà qui m’embrasse de nouveau à pleine langue. Quand elle s’arrête je m’arrête, quand elle en veut encore je me remets à l’embrasser. C’est elle qui me fait signe avec sa langue que je peux continuer et pas l’inverse. Je me plais. Je suis sa chose. Elle peut faire ce qu’elle veut de moi, du moment que j’ai le droit de la toucher, de la caresser, et de l’embrasser à nouveau. Elle s’arrête et regarde sa poitrine. Je vois une grosse goutte de sperme perler à côté de son téton droit. Elle la prend du bout de son doigt et la rapproche de sa bouche. Je la vois alors poser délicatement cette goutte de sperme sur sa langue et l’avaler.
— Tu vas aller prendre ta douche. Je vais faire ton lit en attendant. Quand tu auras fini, je veux que tu ailles dire bonne nuit à ta cousine. Mais attention je te préviens, tu ne la touches pas. Il est hors de question que tu la retouches tant que je ne l’aurais pas décidé tu m’entends ?
Je fais un hochement de tête. Donc elle veut que je me tape sa fille aussi ? C’est à n’y rien comprendre. Je m’exécute et rentre dans la douche quelques minutes après. Je décide de prendre une douche froide afin de me remettre les idées en place. Mon sexe est complètement exténué et tout mon corps réclame de l’apaisement. Toutes ses émotions sont complètement folles. Après être propre et lavé de tout cet inceste, je sors de la douche et frappe à la porte de ma cousine qui se trouve juste à côté.
— Oui, rentre.
Quand j’ouvre la porte, je suis hypnotisé par le spectacle. Ma cousine est sur son lit. Elle porte juste son soutien-gorge et elle est en train de se caresser son vagin. Mais je suis où putain ? Cette fois rien ne se passe en moi sauf de la peur envers ma tante qui m’a demandé de ne rien faire à sa fille. Je ne sais pas pourquoi, mais elle m’a enchaîné et jeté la clef. Je me sens complètement à elle. Je décide donc de faire demi-tour.
— Si tu sors, je serais dans l’obligation de tout raconter, me dit ma cousine.
Tout en disant cela, elle continue à se caresser et pousse des petits gémissements de plaisirs. Elle me fait encore de l’effet malgré la soirée éprouvante. Mais l’énervement l’emporte.
— Mais qu’est-ce que vous me voulez à la fin ! — Que ton bien Laurent, que ton bien. Viens me lécher, j’en ai marre de me doigter.
L’envie remonte et pourtant je retrouve ma clairvoyance.
— Je ne peux pas Floriane. Je ne peux pas... Ta mère... elle m’a demandé de ne pas te toucher tant qu’elle ne l’aura pas décidé.— La connasse putain ! Elle m’avait dit que je pourrais faire ce que je voulais de toi ! Son plan c’était de te faire l’amour pour voir si tu étais un bon coup pour ma première fois !— Quoi ?
C’est comme si elle venait de me mettre une claque.
— Oui Laurent, j’avais envie d’être dépucelé, et ma mère a monté ce plan afin que je ne le fasse pas avec un inconnu. Mais comme je l’ai devancée, elle est en train de me le faire payer... Putain... Ce n’est pas contre toi qu’elle en a, c’est contre moi.
Ses mots me mettent mal à l’aise. Donc ma tante souhaitait que je dépucelle sa fille ? Elle voulait que je le fasse ?
— Mais pourquoi elle me fait du chantage ? Finalement, j’ai fait ce qu’elle voulait ? Je t’ai dépucelée ?
Ma cousine se relève. Je ne peux m’empêcher de poser mes yeux sur sa chute de rein quand elle se penche pour attraper sa robe de chambre. Elle se rapproche de moi tout doucement avec un nouveau sourire aux lèvres. Je n’aime pas ça du tout et je décide de la refroidir tout de suite.
— J’ai... j’ai fait la promesse à ta mère que je ne te toucherais pas sans son accord. Je ne le ferais pas Floriane.
Je la vois se mettre en colère. Elle dégrafe mon pantalon dans la hâte sans me quitter des yeux, et sort ma queue rapidement sans que je n’aie le temps de dire quoi que ce soit. Elle commence à me branler et je sens de nouveau le désir monter. Je ne sais comment mon sexe est encore capable de bander, mais pourtant il s’exécute aux moindres désirs de ses deux femmes. Ma cousine se met à genoux et commence à lécher mes boules en remontant sur mon gland.
— Si c’est la guerre qu’elle veut, me dit-elle en commençant à prendre en bouche mon gland, c’est la guerre qu’elle va avoir. — Non Floriane, je ne peux pas, je n’ai pas droit de te toucher.
Plus elle enfonce mon sexe dans sa bouche, plus je sens qu’elle est elle aussi en train de faire tomber mes dernières barrières.
— Techniquement Laurent, ce n’est pas toi qui me touches.
Elle commence à faire des va-et-vient ultra-violents. Je sens le fond de sa gorge venir caresser le bout de mon gland. En quelques secondes, je sens la jouissance revenir tellement cette jeune fille m’excite. Elle rajoute ses mains pour me branler en même temps et il ne faut pas 2 minutes avant de sentir mon sperme sortir pour aller s’écraser au fond de sa bouche. Floriane lèche les dernières gouttes de sperme qui sortent de mon gland et se relève.
— Bonne nuit, cousin, et fais attention à elle. Quand elle a quelqu’un à ses ordres, elle ne sait pas s’arrêter crois-moi.

Elle m’embrasse sur la joue et retourne se coucher en enlevant ses habits. Je revois une dernière fois son petit fessier avant qu’il ne soit caché par la couverture qu’elle est en train de remonter sur elle. Je fais demi-tour et commence à fermer la porte quand elle m’interpelle.
— Et crois-moi une nouvelle fois quand je te dis que nous deux ce n’est pas fini ? Ce n’est très certainement pas ma mère qui va décider à ma place, elle va le regretter amèrement.
Et me voilà en train de descendre tranquillement les marches. Il est grand temps que j’aille me coucher. Je n’en peux plus. Je repense à ce que ma cousine m’a dit. Je me retrouve donc dans une guerre ouverte entre la mère et sa fille qui souhaitent m’avoir pour elles toutes seules. En gros, je suis le dindon de la farce. Je me surprends à sourire, mais comment je vais faire pour me sortir de cette situation ? Je me retrouve en bas et j’entends des petits cris en provenance du salon. Je m’approche tout doucement pour apercevoir le spectacle. Ma tante est sur un fauteuil, la robe encore remontée en bas et descendue en haut sur ses seins et est en train de se branler. A la bouche, elle porte mon caleçon rempli de sperme sec de ma première baise avec sa fille. Elle le lèche, le rentre dans sa bouche et crie de jouissance, faisant des va-et-vient avec ses doigts dans son vagin. Je ne sais plus quoi faire. Cette soirée ne s’arrêtera donc jamais.
Claudie me voit et me fait signe de m’asseoir sur le fauteuil en face.
— Tu ne bouges pas, tu ne parles pas, et tu ne te touches pas. C’est entendu ?
Je hoche la tête. Je suis de nouveau très excité par la situation, mais la fatigue me fait dire qu’il vaut mieux de toute façon que je profite du spectacle. Ma tante recommence alors à se branler mon caleçon sur son nez et commence à me parler comme si j’étais en train de la pénétrer. Ça fait bizarre.
— Vas-y Laurent, rentre bien, rentre bien, dit-elle en criant.
Mon sexe refait rapidement des siennes. Je suis fatigué et pourtant la vue de cette femme en train de citer mon nom en se branlant me rend tout chose. Elle continue :
— Mets un doigt dans mon cul, vas-y doucement.
Et je la vois alors écarter ses doigts et ses jambes et se rabaisser dans son fauteuil. Son pouce reste dans son vagin, mais son index commence alors à titiller son anus. C’est à ce moment précis qu’elle rouvre les yeux et me regarde profondément. Elle sourit en même temps qu’elle est en train de se doigter l’anus ? Je n’en peux plus. J’ai envie de la prendre, mais elle me refait signe de ne rien faire. Je pose mes mains sur mes jambes et les serre fort au point de me faire mal afin d’essayer de me calmer, mais elle se remet à jouir en enfonçant un deuxième doigt dans son anus.
— Ouuaaaaaa, putain je vais jouir je vais jouir viens Laurent et bois dépêche-toi, me dit-elle en hurlant.
J’arrive avec précipitation, la bouche ouverte, tel un mendiant près de son entrejambe pour voir qu’elle éjacule. Le spectacle est magnifique elle se relève et écarte les jambes en criant de plaisir afin que je reçoive tout le jus dans ma bouche. Je me retrouve à quatre pattes, ma tante debout, les jambes écartées, en train de jouir dans ma bouche. C’est la première fois que je vois une femme sortir autant de jus de son vagin. Ça ne s’arrête pas, elle jouit une seconde fois de plus belle et cette fois elle s’assoit littéralement en hurlant sur ma bouche. Je peux enfin rentrer profondément ma langue dans son vagin tout chaud et je sens toutes les contractions de ses muscles par la jouissance. Je ne m’arrête pas et en parallèle je vais titiller son anus avec l’un de mes doigts.
Au vu de la position, je peine à trouver l’entrée, mais sans s’arrêter de jouir et de contracter son vagin, ma tante empoigne ma main et rentre mon doigt dans son anus, la voilà qui recommence à jouir, elle se frotte en même temps complètement sur ma langue et mes lèvres.
— aaaaaaahhh, putaiiiiinnnnn, que c’est bon !!! vas-y, vas-y répète-t-elle en rentrant elle aussi un doigt dans son anus pour m’aider à faire des va-et-vient. Elle éjacule à nouveau et je sens le liquide chaud et salé rentrer dans ma bouche. Je l’avale à pleine gorgée pour retourner à l’assaut de son vagin. Je sens les contractions se calmer. Elle redescend à nouveau et se relève pour m’enlever à son vagin. Je suis frustré, je serais bien resté comme cela des heures. Et puis on entend une voiture arriver. Ma Tante me fait signe d’aller au lit. Je cours sous les couvertures et j’ai juste le temps de la voir de dos, la robe remontée au-dessus de ses fesses admirablement dessinées. Elle se retourne, me fait un sourire et me dit avant de monter :— On va bien s’amuser ces prochains jours.
Et elle court dans l’escalier au moment où j’entends la clef d’Éric rentrer dans la serrure. Je le vois alors rentrer doucement. Je suis sous la couverture et j’essaye de faire le moins de bruit possible. Au lieu de monter dans la chambre parentale, je le vois ouvrir la porte à côté des toilettes. La chambre d’amis. Dans l’entrebâillement, je vois un lit avec un réveil et des affaires à lui par terre. Je comprends alors. Ils font chambre à part. Il va falloir que j’éclaircisse aussi ce mystère. Décidément, la sœur de ma mère me réserve des surprises.
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