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Retrouvailles sensuelles

Chapitre 2

Le nouvel amant de Lydia

Hétéro
Une fois sortis du cinéma, Maxime et Lydia déambulèrent dans les rues pendant quelques minutes, ce qui les conduisit jusqu’aux pieds de l’immeuble de Lydia. Maxime pensa alors tout naturellement qu’elle allait lui proposer de monter prendre un verre, mais elle n’en fit rien. Lydia décida au contraire de le narguer un peu en le laissant choir tout seul comme un con sur le trottoir.




Après leur fol étreinte au cinéma, Maxime pensait que tout était désormais arrangé et qu’ils se laisseraient naturellement aller aux joies des plaisirs charnels. Mais Lydia ne l’entendait pas de cette oreille. Bien qu’elle avait encore très envie de faire l’amour avec son ex, elle n’avait pas digéré ses nombreuses infidélités et était bien décidée à se venger.




Le lendemain matin, Lydia se réveilla avec un léger sentiment de frustration. Elle aurait bien aimé qu’un homme soit présent à ses côtés, qu’elle puisse se blottir dans ses bras, se sentir cajolée, aimée et désirée, et surtout vigoureusement pénétrée par une bonne et grosse bite. En se préparant pour aller au travail, elle eut envie de sentir particulièrement sensuelle. Elle prit alors le temps de parcourir son grand dressing, hésitant longuement sur le choix de sa tenue vestimentaire, le but étant de susciter le désir parmi ses collaborateurs masculins. Son choix se fixa finalement sur une petite robe noire lui moulant magnifiquement bien les fesses.




Lydia s’attarda également sur le choix de ses sous-vêtements. Elle opta pour un joli soutien-gorge sans bretelles tout en dentelle délicate et donnant un beau volume à sa poitrine. Elle l’assorti à un sublime string taille haute ne laissant aucune marque à travers sa robe. Elle prit également soin de se maquiller subtilement, appliquant un léger mascara autour de ses yeux et un rouge à lèvres rendant ses lèvres particulièrement pulpeuses. Elle enfila ensuite une petite veste en jean et une jolie paire d’escarpin à lacets, venant sublimer ses jolies chevilles.




Ainsi vêtue de ses plus beaux apparats terriblement sexy, Lydia se rendit ensuite à son agence située à quelques pas de chez elle. Dans la rue, elle perçut rapidement les regards des hommes se portant sur son superbe corps, en particulier sur son magnifique cul. Cela lui procura une grande satisfaction. Elle aimait toujours autant se sentir désirée.





Une fois arrivée à son bureau, le premier collègue que Lydia rencontra fut le jeune Marc. Elle l’avait recruté il y a seulement quelques semaines en tant que stagiaire. Marc était un très beau jeune homme âgé d’une vingtaine d’année, très serviable et un peu réservé. Il était très motivé par son nouveau travail, à tel point que Lydia se retrouvait un peu en lui et l’appréciait beaucoup.




Marc lui proposa un café, ce que Lydia accepta avec grand plaisir. Il vint lui apporter à son bureau. Lydia lui suggéra de s’asseoir et ils commencèrent à discuter. D’habitude lorsqu’ils échangeaient c’était simplement au sujet du travail, mais cette fois Lydia lui posa des questions plus personnelles. Elle lui demanda de raconter le déroulement de son week-end. Il répondit par quelques banalités. Il avait fait son ménage et reçu quelques amis chez lui… Rien de très captivant, mais Lydia fut surtout satisfaite d’entendre que Marc ne parlait pas de petite amie.




Tout en l’écoutant, elle décida de commencer à le séduire. Elle le regarda fixement et se rendit vite compte que son regard envoûtant commençait à faire effet. Marc semblait légèrement désarçonné. Elle se pencha alors vers lui, prenant la tète dans ses mains, laissant ainsi apparaître son somptueux décolleté. Cela vint accroitre le trouble de Marc qui ne savait plus où poser son regard. Lydia lui fit alors un joli petit sourire, de manière à lui faire comprendre qu’elle avait perçu son trouble. Puis, elle se remit à parler du travail et évoqua le sujet d’un nouvel immeuble à vendre. Elle se leva et alla chercher le dossier rangé dans une armoire située derrière son bureau. Cela permit à Marc de contempler les sublimes fesses de Lydia, ainsi que ses jolies jambes.




Lydia se déplaça ensuite jusqu’à lui pour lui donner le dossier en main propre. Il commença alors à en tourner les pages, mais elle lui stoppa la main afin de lui montrer les détails auquel il ne prêtait pas attention. Cela lui permit d’être désormais très proche de lui et elle en profita même pour poser délicatement une main sur son épaule. Puis, voyant les autres collègues arriver, dont un qui parlait bruyamment au téléphone, Lydia décida de fermer la porte de son bureau.




Elle s’installa à nouveau derrière son bureau, prit une posture plus hiérarchique, et exprima à Marc :

— Voilà mon cher Marc, j’ai décidé de vous confier la responsabilité de la vente de cet immeuble. Je suis certaine que vous ferez du bon boulot. Je suis très satisfaite de votre travail depuis votre arrivée. Cela étant, ce ne sera pas une vente facile, mais ne vous inquiétez pas je serai là pour vous aider. Sachez que vous pouvez venir me voir à tout moment, à la moindre question. Pour vous, ma porte sera toujours grande ouverte mon cher Marc.



Elle accompagna cette déclaration d’un petit regard coquin très équivoque. Un peu surpris par cette dernière phrase légèrement ambiguë, Marc l’a remercia pour sa confiance, puis se leva et se dirigea vers la porte. Lydia se leva à son tour afin de le raccompagner et lui adressa encore quelques encouragements :

— Allez Marc, j’ai confiance en vous. Je compte sur votre force de persuasion auprès des clients.



Marc était très élégant. Il portait un pantalon de costume slim lui moulant joliment les fesses et une chemise blanche assortie d’une cravate. En le raccompagnant, Lydia prit soin de poser subtilement une main sur son dos à proximité de ses fesses et ajouta encore quelques mots :

— Servez-vous de votre charme. Vous êtes bel homme. C’est un atout majeur. D’ailleurs, je vous trouve particulièrement charmant aujourd’hui.



Cette fois, la situation n’était plus vraiment ambiguë. Lydia le draguait ouvertement. Elle avait très bien envie d’avoir une relation intime avec son employé modèle. Afin de ne pas éveiller les soupçons, elle reçut durant le reste de la journée, chacun de ses collaborateurs dans son bureau et leur fit à chacun d’entre eux un petit numéro de drague. Cela l’amusait follement. Elle se sentait un peu salope, mais cela lui plaisait beaucoup de se sentir désirée par tous ces hommes.




Puis, en fin d’après-midi, Marc revint à l’agence alors que Lydia était la seule à être encore présente. Il se lança alors dans un compte-rendu de sa journée, du réseau qu’il avait commencé à déployer, mais Lydia ne le laissa pas développer :

— Parfait Marc. C’est du bon boulot. J’étais certaine de votre efficacité. Et si nous allions boire un verre afin de décompresser un peu après cette dure journée.



Agréablement surpris, Marc accepta avec enthousiasme la proposition de Lydia. Ils s’installèrent à la terrasse d’un bar située à proximité de l’agence. Marc était encore très intimidé par Lydia, mais commença à se détendre au bout du deuxième verre de vin. Lydia lui demanda comment il se sentait au sein de l’agence. Elle lui confia avoir ressenti avec lui une grande alchimie qui le démarquait très clairement des autres professionnels.




Elle le complimenta à nouveau pour son travail, son dynamisme et sa conscience professionnelle, et lui fit entendre qu’elle avait pour lui de grandes ambitions. Marc fut à la fois gêné et très fier de ces beaux compliments. Il l’a remercia pour la confiance accordée et lui confia à son tour qu’il appréciait beaucoup sa manière de manager l’équipe, qu’il se sentait bien intégré dans l’agence et qu’il avait envie de s’y impliquer corps et âme.




Lydia avait remarqué que Marc ne comptait jamais ses heures, qu’il était souvent le premier arrivé à l’agence et le dernier à partir. C’était un sacré bosseur, tout comme elle. Cela leur permettait de passer plus de temps ensemble et de créer des affinités. Elle se demandait aussi ce qu’il en était de sa vie privée. Marc lui confia alors qu’il était célibataire depuis peu. Sa copine l’avait quitté récemment. Il avait désormais choisi de se consacrer pleinement à son nouveau travail afin de parvenir à l’oublier.




Comme il commençait à se faire tard, Lydia lui signifia qu’elle allait rentrer chez elle afin de se reposer, bien qu’elle n’avait pas vraiment envie de le quitter dès maintenant. Gentiment, Marc lui proposa de la raccompagner jusqu’à son domicile. Une fois arrivé en bas de l’immeuble, il s’apprêtait à lui dire au revoir et à lui faire la bise. C’est alors que Lydia se jeta dans ses bras, blottie sa tête contre son torse, ferma les yeux et le serra très fort. Marc fut réellement surpris par ce câlin si soudain, mais il se laissa aller, la serra également tendrement dans ses bras et respira la bonne odeur de ses cheveux. Il posa sur sa tête un doux petit baiser et lui caressa délicatement le dos.




Lydia s’agrippa aux fesses fermes et musclées de son nouveau compagnon. Elle le serra encore un peu plus fort et ressentit en elle un grand désir lui parcourir le corps. Cela étant, elle préféra ce soir-là ne pas aller plus loin de manière à ne pas paraître comme une femme trop facilement accessible.




Elle releva la tête, lui fit un petit bisou sur la bouche pour lui dire au revoir et déclara :

— Allez rentre bien mon Marco, et repose-toi bien surtout. Je compte sur toi pour être en pleine forme demain matin. Je prendrais le temps de t’écouter sur l’avancement de la vente. Passe une très bonne nuit mon chéri !



Marc aurait aimé qu’elle lui propose de monter dans son appartement, mais il se montra gentleman et ne laissa rien paraître. Il était déjà très heureux de leur rapprochement. Il avait évidemment remarqué qu’elle l’avait appelé « mon chéri » et l’avait même affublé d’un gentil surnom : « mon Marco ». Il s’en alla, enchanté, comme sur un petit nuage.




Quant à elle, Lydia se sentait à nouveau très frustrée. Elle aurait aimé pouvoir faire l’amour dès ce soir avec Marc, mais était convaincue d’avoir pris la bonne décision car elle ne voulait pas apparaître comme une femme trop facile à conquérir. Afin de ne pas devoir se coucher avec ce sentiment de frustration, elle trouva un substitut. Elle décida d’appeler Maxime et de lui proposer de venir manger avec elle. Ce dernier accepta sans la moindre hésitation et débarqua chez elle à peine quinze minutes plus tard.




Lorsqu’il arriva, Maxime fut saisi par la sublime robe moulante de Lydia, d’autant plus qu’elle avait enlevé sa veste, et que cela lui faisait un magnifique dos nu. Il distinguait la fine dentelle de son soutien-gorge et ne put s’empêcher de lui dire :

— Ouah, comme tu es belle ! Elle est vraiment sexy ta robe dis-donc. Tu dois les rendre dingues tes employés. — Tu ne crois pas si bien dire. Je n’ai pas arrêté de me faire draguer toute la journée. — Ah ah… tu m’étonnes. Ils doivent bien en profiter les salauds avec une si belle patronne.



Maxime et Lydia mangèrent ensuite rapidement un plat de pate bolognaise. Puis, comme au bon vieux temps, Lydia vint s’asseoir sur ses genoux et passa ses bras autour de son cou. Tandis qu’il lui caressait les jambes, elle vint poser ses lèvres sur sa bouche et l’embrassa avec fougue. Maxime sentit alors en elle une grande envie de lui faire l’amour et se hâta à accomplir les préliminaires.




Tandis que leurs langues s’entremêlaient, il lui caressa la cuisse, lui écarta les jambes et fit glisser ses doigts sous sa robe, atteignant rapidement sa petite chatte particulièrement humide. Il s’étonna alors :

— Bah dis-donc ma coquine, t’es sacrément mouillée. A mon avis il n’y a pas que moi qui t’ai excitée aujourd’hui.



Elle ne répondit pas à cette accusation, et se leva pour l’entrainer dans sa chambre. Mais Maxime la stoppa. Il se plaça derrière elle, remonta sa robe jusqu’au niveau de ses hanches, passa un doigt sous son string et la doigta énergiquement. Puis, il la fit s’asseoir sur le bord de la table qu’il désencombra rapidement et embrassa Lydia avec force de manière à la faire partir en arrière.




Rapidement, elle se retrouva allongée sur la table. Maxime lui souleva les jambes, lui défit les lacets de ses escarpins, lui retira un à un, et se mit à embrasser chaque partie de ses jambes avec délectation, des pieds jusqu’aux cuisses.




Il écarta un peu la ficelle de son string et fit rapidement remonter ses baisers au niveau de sa vulve, qu’il lécha tendrement, tout en lui signifiant son plaisir retrouvé :

— Humm… ça fait longtemps que je n’avais pas bouffé ta petite chatte. Ca m’avait manqué. Elle est toujours aussi bonne putain !



Lydia se laissa aller à ce merveilleux cunnilingus. Elle se mit à gémir, respira de plus en plus fort. Maxime lui lécha le sexe avec plus d’énergie. Il serrait fermement dans sa main la ficelle de son string, qui de l’autre côté rentrait bien entre les fesses de Lydia. Elle se mit à soupirer de plaisir et se saisit fermement de la tête de Maxime dans laquelle elle planta ses griffes. Maxime quant à lui s’agrippa aux fesses de Lydia.




Elle se retrouva bientôt sur le flan et Maxima lui asséna une belle claque sur la fesse tout en continuant à la lécher énergiquement. Lydia avait toujours adoré la sensation procurée par une bonne fessée tandis qu’elle se faisait lécher. Elle se mit à gueuler de plaisir :

— Oooohhh putain… Maxime… t’es un putain de sauvage… vas-y continue comme ça… je sens que je vais bientôt jouir…



Sa chatte était toute trempée et Maxime put y insérer très facilement deux doigts. Il se mit à la masturber avec vigueur tout en jouant du bout de la langue avec son clitoris. Lydia sentit des vibrations lui parcourir tout le corps. Elle se mit à trembler et sentit un très bel orgasme arriver.




Elle avait attendu ce moment toute la journée et se mit à repenser à Marc, à la manière très affectueuse avec laquelle ils s’étaient séparés. Son esprit s’égara et tandis que Maxime s’apprêtait à la faire jouir, elle s’exclama :

— Ooohhh ouiiiiii… ouiiiiii c’est bon… vas-y mon Marco… tu vas me faire jouir putain !



Maxime s’est évidemment rendu compte qu’elle s’était trompée de surnom. Une fois l’acte terminé, il lui demanda qui est ce Marco dont elle avait gueulé le nom. Lydia fut un peu confuse et hésita un moment avant de répondre :

— Euh non… je me suis juste trompée… je voulais dire Maxou mon chéri.  Lydia lui avait formulé cette réponse avec un petit sourire narquois laissant deviner qu’il s’agissait d’un mensonge. Mais elle n’en était pas du tout gênée. Elle jubilait au contraire. Sans même le vouloir, grâce à ce lapsus, elle avait pu accomplir sa deuxième petite vengeance.




Suite à ce bel orgasme que Maxime venait de procurer à Lydia, pas question de laisser planer des tensions entre les deux amants. Lydia avait commis une légère gaffe en se trompant de prénom, mais cela l’amusait plutôt, surtout qu’elle voyait bien que cela avait atteint Maxime en plein cœur. Afin d’apaiser sa colère, elle décida de lui faire plaisir à son tour.




Lydia prit Maxime par la main et l’emmena dans sa chambre. Elle lui indiqua de s’allonger sur le lit et vint se placer à califourchon sur son ventre. Puis, elle se pencha et l’embrassa tendrement tout en passant la main dans ses cheveux. Maxime se laissait faire docilement. Il appréciait que Lydia mène la danse et le domine un peu. Il posa ses mains sur ses fesses et les malaxa vigoureusement. Lydia se mit à remuer le bassin et frotta énergiquement son sexe contre sa bite endurcie.




Puis, elle glissa sa main sous son T-Shirt et le caressa tendrement tout en lui donnant de doux baisers partout sur le visage, dans le cou et bientôt sur le torse. Elle remonta son T-Shirt et se mit à lui lécher les tétons, mais Maxime n’aimait pas cela car cela lui procurait trop de chatouilles. Lydia le savait très bien et s’amusait à le provoquer. Alors qu’il se débattait timidement, elle se saisit de sa queue et commença à la caresser à travers le pantalon. Puis, du bout des doigts, elle ouvrit délicatement sa braguette, déboutonna son pantalon et libéra le gros membre de son boxer. Elle le branla un instant, puis saliva sur son gland afin d’humidifier sa bite qu’elle n’allait pas tarder pas à prendre en bouche.




Une fois de plus, Maxime put profiter pleinement des talents de suceuse de la belle Lydia. Tout en lui massant légèrement les couilles, Lydia lui titillait le gland du bout de la langue. Puis, elle se mit à lui lécher la bite dans toute la longueur et vint lui gober les couilles tout en le masturbant magnifiquement, d’abord tout en douceur puis plus vigoureusement. Lydia adorait ça. Elle prenait un réel plaisir à prodiguer des fellations. Cela l’excitait terriblement de voir l’effet que cela pouvait procurer aux hommes.




Maxime prenait réellement son pied. Il avait déjà très envie de faire gicler tout son sperme et lui suggéra alors de ralentir un peu le mouvement. Mais Lydia n’en fit rien. Elle continua de plus bel, s’amusa à reprendre en bouche le pénis de Maxime et le suça avec le plus grand enthousiasme. Elle parvenait à lui aspirer la queue tout en faisant aller sa langue tout autour de son gland et en continuant à le branler. Une vraie prouesse technique dans l’art de fellation dont Lydia est la reine.




Comme il s’apprêtait à éjaculer, Maxime lui proposa de s’arrêter de le sucer. Lydia ne l’écouta toujours pas et enfourna sa bite bien humide au fond de sa bouche. Elle lui fit une magnifique gorge profonde tout en faisant rouler ses couilles dans la paume de sa main. Maxime n’eut pas d’autres choix que d’éjaculer dans sa bouche. Lydia avala tout son sperme. La sensation de ses muscles en action sur son pénis en plein orgasme lui procura un extraordinaire bien-être. Ce fut pour lui une réelle extase.




Puis, Lydia s’en alla un instant à la salle de bain pour se rafraichir un instant. Elle en ressortie vêtue d’une très jolie nuisette rouge foncé mettant magnifiquement en valeur sa silhouette grâce à sa coupe à mi-cuisse légèrement fendue sur le côté. Certaine de son pouvoir d’attraction, Lydia vint s’allonger à côté de Maxime et fit mine de vouloir dormir. Fou de désir, il se rapprocha, la serra dans ses bras pour la cajoler cherchant par ses caresses à l’exciter à nouveau.




Maxime avait remis son boxer dans lequel il se sentit bientôt trop à l’étroit tant il bandait à nouveau comme un taureau. Tout en caressant tendrement la belle Lydia, il vint frotter son sexe endurci contre ses fesses. Mais Lydia ne le laissa pas aller plus loin. Elle lui fit comprendre qu’elle avait besoin de dormir et qu’elle n’y parviendrait pas s’il restait dans son lit. Elle lui demanda donc de partir. Maxime en fut très déçu mais n’eut pas d’autres choix que de lui obéir. Il quitta l’appartement de Lydia particulièrement frustré et en colère. Lydia avait ainsi réussi à assouvir une nouvelle fois sa vengeance.
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