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Retrouvailles sensuelles

Chapitre 3

Marc passe à l'action

Hétéro
Une fois Maxime parti, Lydia put bénéficier d’une bonne nuit de sommeil, mais le lendemain matin elle n’eut pas très envie de se rendre à l’agence. Elle envoya alors un message à ses collaborateurs pour leur dire qu’elle se sentait mal et qu’elle travaillerait depuis chez elle. Surtout elle avait une petite idée derrière la tête. Le gentil Marc ne tarda pas à lui envoyer un message afin de s’enquérir de sa santé. C’était bien entendu le seul employé de l’agence dont Lydia espérait obtenir une réponse. Elle lui proposa alors de passer chez elle afin de lui faire un compte-rendu détaillé de l’avancement de la vente qu’elle lui avait confiée.




Marc arriva chez elle en milieu de matinée. Lydia avait pris soin de prendre une bonne douche, mis du parfum et sentait divinement bon. Elle s’était légèrement maquillée et avait lissé ses cheveux, mais avait choisi de garder sa nuisette, qu’elle recouvrit juste d’un beau peignoir en velours noir et avait enfilé un joli petit string assorti à la nuisette. C’est dans cette tenue très sensuelle qu’elle vint ouvrir la porte à Marc et ressentit aussitôt son émoi. Le jeune homme était sous le charme et avait terriblement envie d’elle.




Il portait quant à lui un très élégant costard cravate. Lydia l’aida à retirer sa veste et en profita pour lui poser subtilement une main sur les fesses. Elle lui proposa ensuite de s’asseoir dans le canapé et lui apporta un café. Puis, elle vint se placer à ses côtés et allongea ses jambes sur le canapé, prenant ainsi une position légèrement suggestive.




Tandis que Marc lui parlait abondamment, Lydia se mit à lui caresser tendrement la nuque, puis elle passa la main dans ses cheveux et le regarda avec passion. Elle vint ensuite poser une main sur son genou et la fit remonter doucement sur sa cuisse. Marc en fut fortement gêné, mais il tenta de dissimuler son malaise en continuant de parler tant bien que mal.




Cependant, il avait de plus en plus de difficultés à trouver les mots et cela fit beaucoup rire Lydia. Elle se mit à lui caresser le visage et glissa un doigt dans sa bouche, s’amusant ainsi à le perturber dans son discours. A sa grande surprise, Marc entra alors dans son petit jeu très sensuel. Il y voyait clair dans les intentions de Lydia et prit plaisir à lui sucer langoureusement les doigts, puis il se saisit de sa main et l’embrassa affectueusement. Il fit ensuite descendre ses baisers au niveau de son poignet, remonta la manche longue de son peignoir et l’embrassa dans le creux du bras.





Marc passa dans le même temps une main sur sa cuisse et la caressa tendrement. Ravie de la tournure que prenait leur rencontre, Lydia s’étendit sur le canapé de manière à ce que son nouvel amant puisse se placer au-dessus d’elle. Il la recouvrit de tendres baisers se montrant très doux et attentionné. Elle dénoua la ceinture de son peignoir dévoilant ainsi sa superbe nuisette. Marc en fut ébloui et se sentit alors épris d’un immense désir. Il vint étreindre sa poitrine, l’embrassa dans le cou et vint à nouveau nicher sa bouche dans le beau décolleté de Lydia. Il y délogea ses jolis seins et les dégusta goulûment, avec bonheur et délectation. La belle Lydia en fut ravie.




Il se mit ensuite à explorer chaque partie de son anatomie, la caressa absolument partout, venant poser ses baisers sur l’ensemble de son corps, cherchant à y déceler les zones les plus érogènes. Il s’y prenait de manière très sensuelle et fit nettement monter la tension sexuelle. Lydia se sentit de plus en plus excitée.




Tandis que Marc lui embrassait les cuisses, elle glissa sa main sous son string, introduisit un doigt dans sa chatte et lui déclara :

— Hummm c’est trop bon ce que tu me fais mon chéri… tu m’excites bien comme il faut...



Elle retira le doigt de son string et l’apporta à la bouche de Marc. Il se délecta de ce long majeur couvert de cyprine. Lydia s’amusait beaucoup de cette situation. Elle lui demanda :

— Petit coquin… ça te plaît de goûter ma mouille ? — Humm… oui… c’est délicieux. — C’est un petit avant-goût. J’ai une requête à te faire. — Laquelle ? — Montre-moi ce que tu es capable de faire avec ta langue ! — Tu veux que je te lèche ? — Oui bien-sûr… vient lécher ma petite chatte de coquine ! 



Marc fut un peu surpris par l’utilisation de ce ton à la fois grossier et mignon. Mais cela vint aussi renforcer son état d’excitation. Il réagit à sa demande et dirigea à son tour ses doigts au niveau de son string et joua du bout de son pouce sur le bord de sa vulve cherchant à atteindre son clitoris qu’il stimula du bout des doigts.




La petite chatte de Lydia en devint encore plus mouillée. Marc tira doucement sur la dentelle de son string et se mit à la lécher tendrement. Dans le même temps, il fit remonter sa main jusqu’à la poitrine de Lydia et lui pressa les seins. Il joua un instant avec ses tétons, puis fit remonter son pouce jusqu’à son visage, le fit courir sur ses lèvres et l’introduisit à son tour dans la bouche de sa partenaire.




Alors que Marc lui prodiguait un merveilleux cunnilingus, Lydia se mit à lui lécher le pouce comme s’il s’agissait d’une petite bite. Cela lui procurait énormément de plaisir. Il fit glisser son doigt le long de sa langue et l’humidifia amplement de la salive de Lydia. Puis soudainement, il retira son pouce de sa bouche et vint à nouveau l’insérer dans son vagin. Il l’a doigté énergiquement tout en faisant jouer sa langue sur son clitoris. Elle poussa alors un grand soupir de satisfaction et était déjà au bord de l’extase. Visiblement, le jeune Marc savait bien comment s’y prendre pour exciter les femmes. Il cachait bien son jeu et devait avoir plus d’expérience qu’il n’y paraissait, notamment en matière de préliminaire.




Grâce à tous ses gestes doux et minutieux, il était parvenu à la rendre ivre de désir. Lydia avait désormais une folle envie de faire l’amour. Elle le tira brusquement par la cravate et amena son visage vers le sien. Elle lui attrapa la bouche et l’embrassa avec fougue. Tandis que leurs langues s’entremêlèrent langoureusement, Lydia fit glisser sa main sur son dos, puis la dirigea au niveau de ses fesses qu’elle prit plaisir à palper. Elle promena à nouveau sa main le long de son dos, puis descendit au niveau de son entrejambe, et découvrit avec satisfaction une sacrée bosse au niveau de son sexe. Elle ouvrit ensuite sa braguette, déboutonna son pantalon et se saisit de son outil et découvrit avec bonheur, une belle et grosse bite bien dure comme elle les aime.




Le jeune Marc était particulièrement bien monté, plus que Maxime. A présent, elle n’avait qu’un souhait, se faire ardemment pénétrer par cette énorme queue. Elle se redressa et indiqua à Marc de se lever. Il obéit et se mit debout. Lydia lui abaissa son pantalon jusqu’aux pieds et Marc se débarrassa avec hâte de ses chaussures et de ses chaussettes.




Lydia se mit debout à son tour et fit tomber son peignoir sur le sol. Elle dénoua le nœud de cravate de son amant, lui défit un à un les boutons de sa chemise tout en le caressant et en l’embrassant passionnément. Puis, elle vint poser ses baisers sur son corps. Puis, folle de désir, lui mordilla le cou, puis le torse et lécha un à un ses deux tétons. Elle se saisit ensuite de sa bite qu’elle branla un instant et se mit accroupie afin de le sucer.




A cet instant, Lydia se sentit vraiment salope. C’est la deuxième bite qu’elle suçait en moins de vingt-quatre heures, ce qui n’était pas un comportement si habituel chez elle. Mais elle ne culpabilisait pas pour autant. Maxime n’ayant pas hésité à le tromper effrontément. C’était à son tour d’en profiter.




Elle se laissa alors complétement aller au plaisir de la fellation :

— Hummm… mais c’est qu’elle est bonne ta grosse queue… j’espère que ça te plaît ? — Oohhh ouiiii… vas-yyy Lydia… c’est bon… tu suces comme une déesse… — Gardes des forces mon chéri… j’ai très envie que tu me baises !



Le jeune Marc était bien vigoureux et allait sans nul doute pouvoir satisfaire son désir. Lydia prenait réellement son pied et avait envie de prendre tout son temps, de découvrir toutes les aptitudes de son nouvel amant, mais aussi révéler ses compétences de mâle dominants.




Elle s’adressa à lui de la manière suivante :

— Mon chéri, tu sais j’ai beau être une patronne. En matière de sexe j’adore me sentir dominée. J’ai envie que tu sois mon maître. Je serai ton esclave soumise. Ordonne-moi ce que tu veux et je t’obéirai dans la seconde. Tu m’as bien compris ? — Hummm… oui c’est très excitant ce que tu me dis là… mais pour le moment je préfère me laisser guider par ton savoir-faire. Quand je me sentirai prêt je te donnerais mes instructions. — D’accord mon chéri. Tes désirs sont des ordres.



Elle se saisit alors d’un préservatif et l’inséra dans sa bouche afin de l’enfiler sur la queue de son nouveau partenaire. Puis, elle lui indiqua de s’asseoir sur le canapé, retira sa petite culotte et vint se placer sur lui à califourchon et déclara :

— Je sens que tu es un bon baiseur mon chéri. Ne soit pas trop tendre avec moi. J’adore le sexe hard. Tu peux te laisser aller complétement. Tu as compris ? — Hummm oui… j’ai bien compris… tu aimes la baise sauvage… — C’est exactement ça mon chéri. Vas-y putain, baises-moi maintenant !



Elle se saisit alors de son sexe et l’introduisit dans son vagin en poussant un grand gémissement d’allégresse. Marc la pénétra vigoureusement et fit descendre les bretelles de sa nuisette afin de pouvoir aisément lui lécher les seins. L’effet de sa langue sur ses nichons et de sa bite dans sa chatte lui procurait énormément de bien-être. Elle se mit à gémir de plus en plus fort, poussant des grands cris de satisfaction.




Marc s’y prenait magnifiquement bien et Lydia ne manqua pas de le complimenter :

— Humm oui… c’est bon mon petit Marc… tu es un bon amant… tu aimes ça baiser ta patronne hein… — Aaaaah ouiiii… ça te plait ? — Ouiiii… continue comme ça… je la sens bien ta grosse bite… vas-yyyy continue comme ça… si tu me fais jouir tu auras droit à toutes mes faveurs…



A ces mots, Marc se sentit surpuissant. Il avait très envie de la faire jouir et décida de se surpasser. Il retira son sexe du vagin de Lydia, s’agrippa à elle et la souleva. Lydia en fut toute étonnée, mais amusée par cette situation, elle se laissa faire. Tandis qu’il la portait dans ses bras, Marc lui demanda :

— Tu veux que l’on change de position ? Dis-moi comment tu aimes te faire prendre ? — En levrette mon chéri… j’adore ça… j’espère que tu sais comment t’y prendre ? — Oui. Tu peux me faire confiance.



Par chance, Marc avait déjà expérimenté cette position avec son ancienne copine. Il reposa Lydia sur le canapé. Elle retira sa nuisette et se mit à quatre pattes. Il lui indiqua de se cambrer le bassin et se pencha pour venir embrasser ses fesses. Marc se sentait empli d’un énorme désir et lui signifia de cette façon :

— Oh putain Lydia… comme il est beau ton cul… j’ai envie de le bouffer… — Ouiiiii vas-y mon chéri… fais toi plaisir… bouffe-moi le cul tant que tu voudras… mais ne me fais pas trop languir… j’ai encore vraiment envie de sentir ta grosse queue me pénétrer… — Oui bien-sûr… j’en ai trop envie moi aussi… tu me rend vraiment fou… j’ai envie de te démonter…



Lydia ne fut pas choquée par ce langage cru. Bien au contraire. Elle était ravie de constater que Marc se laissait aller et se montrait de plus en plus dominant.




Marc lui embrassa ardemment les fesses, allant même jusqu’à passer sa langue au bord de son anus. Puis, il se saisit de ses hanches et enfonça vigoureusement son sexe par derrière dans le vagin de Lydia. Tout en admirant la beauté de ses courbes, il alterna les va-et-vient de sa bite dans la chatte de Lydia. Elle se mit à onduler, donnant à son tour le rythme, le faisant ralentir ou accélérer la cadence. Puis, Lydia se redressa et s’adossa au dossier du canapé. Il la pénétra à nouveau et elle s’agrippa à ses fesses pour mieux le sentir rentrer en elle.




Bien que cette position ne soit pas parmi les plus simple à exécuter, Marc parvint à pénétrer Lydia bien en profondeur. Il se colla à elle, lui malaxa les seins tout en l’embrassant dans le cou, puis fit descendre sa main au niveau de son pubis. Du bout des doigts, il se mit à stimuler son clitoris devenu gonflé. Lydia sentit l’orgasme monter en elle et fut pris de tremblement. Peu à peu, il augmenta la cadence de ses coups de bite.




Lydia en fut enchantée. De merveilleuses sensations lui parcouraient le corps, entre contractions musculaires, spasmes et vibrations. Son cœur battait la chamade.




Elle se tourna un instant vers Marc et lui déclara :

— Ooooh putain … c’est trop bon ce que tu me fais… tu vas me faire jouir mon chéri… t’es un sacré bon baiseur putain…



Marc se senti valorisé par ses propos. Empli d’une grande exaltation, surtout que Lydia continua à s’exprimer de la sorte :

— Haaannn… ouiii… putain… vas-yyyy… baise ma petite chatte… — Putain ouais… comme c’est bon de te baiser… comme tu es bonne ! — Ouiiii… vas-y lache-toi… défonces-moi… j’adore… vas-yyyy… fonce putain… baise ta grosse pute de patronne ! — Putain, tu m’excites à parler comme ça… t’es une sacrée salope ! 



Il se saisit des bras de Lydia et les plaça au-dessus de sa tête de manière à ce qu’elle soit le plus détendue possible au moment de l’orgasme. Elle s’accrocha à son cou et se mit à gueuler :

— PUTAIN OUIIII… C’EST TROP BON… JE VAIS JOUIR… HAANNN… HAAANN… OUIIII… OUIIII… MON MARCO… TU ME BAISES TROP BIEN MON SALAUD !!!!



Alors qu’elle lâchait totalement prise et commençait à perdre pied, Marc la souleva à nouveau et l’allongea sur le flan. Il vint se placer derrière elle, dans la position de la cuillère, inséra un doigt dans sa bouche que Lydia s’empressa de lécher goulûment.




C’est ce qu’il fit, puis il écarta les lèvres de sa vulve et y enfonça son pénis bien en profondeur de manière à atteindre son point G. Lydia se mit elle-même à stimuler son clitoris, au grand bonheur de Marc qui avait les mains libres pour lui masser les seins. Elle eut ainsi droit à un très bel orgasme et se mit à gueuler de plaisir ce qui excita grandement Marc :

— OUIIIII… OUIII… OUIIIIIIIII… PUTAIN… OUIIII JE JOUIS… AAAAAAAAAhhhhhhh… Ouiiiiiiiii…
AAAAAHHH… OUIII… C’EST TROP BON… TU VAS ME FAIRE GICLER !



Sentant qu’il allait bientôt éjaculer, il se redressa et se débarrassa de la capote. Alors que Marc s’apprêtait à éjaculer sur son ventre, Lydia se mit à genoux et tira la langue de manière à lui faire comprendre qu’il pouvait décharger sa semence au sein de sa bouche.




Marc en fut un peu étonné et osa lui balancer :

— Dis-donc Lydia tu es une sacrée vicieuse… tu as envie de boire mon sperme ? — Oui vas-y mon chéri, tu peux gicler dans ma bouche de cochonne. Tu l’as amplement mérité. Tu m’as sacrément bien baisée.



Le jeune homme s’exécuta et approcha son sexe de la bouche de Lydia. Elle le saisit alors à pleine main et l’enfourna dans sa bouche. Elle le suça brièvement de manière à le faire gicler. Marc lui saisit la main et la serra très fort tandis qu’il se laissait lui aussi aller à un magnifique orgasme.




Le sperme de Marc vint frapper le fond de la gorge de Lydia, l’étouffant momentanément. Elle déglutit juste à temps avant qu’un autre jet de sperme lui rentre dans la bouche. Cela lui procura une merveilleuse sensation. Elle avala rapidement la semence de son nouveau mec, essayant de bien tout absorber mais ce fut trop. Des flots de sperme débordaient de sa bouche jusqu’aux couilles de Marc en plein extase.




Marc n’avait jamais rien ressenti d’aussi intense. Lorsqu’il ne put plus éjaculer, Lydia lâcha sa queue épuisée et passa la langue sur ses couilles pour nettoyer le sperme échappé de sa bouche. Il s’allongea et enjoignit Lydia à le rejoindre. Elle fut surprise quand il vient porter ses lèvres sur les siennes. Ils partagèrent un baiser très humide et intime.




Puis, tous deux très épuisés par cette folle étreinte, ils restèrent dans cette position, main dans la main, peau contre peau, pendant de longues minutes. Lydia se sentit soudainement assaillie de doutes. A cet instant, elle avait l’impression d’avoir trouvé un meilleur amant que Maxime. Mais était-ce réellement le cas où le fait de la nouveauté qui lui donnait cette impression ?




Elle savait qu’elle avait toujours envie de faire l’amour avec Maxime, mais l’expérience avec Marc lui avait fait ressentir de merveilleuses nouvelles sensations. Serait-elle obligée de choisir entre les deux ou pourrait-elle s’autoriser à avoir plusieurs amants ? Les deux hommes étaient tous deux d’excellents partenaires. Elle eut même l’idée de pouvoir se faire prendre par ses deux amants en même temps. Elle n’avait jamais eu l’occasion de faire l’amour avec deux hommes. Elle commençait alors à réfléchir au moyen de pouvoir réaliser ce nouveau fantasme, celui de la double pénétration.




Le lendemain, Lydia décida de recontacter Maxime. Mais il ne le fit pas de n’importe quelle manière. Elle choisit de l’inviter au restaurant. Maxime qui ne disait jamais non à une sortie, surtout en si bonne compagnie, accepta volontiers l’invitation.




Dès l’apéritif, il décida de mettre les pieds dans le plat, lorsqu’il balança à Lydia :

— Alors comme ça, tu as un nouvel amant ?



Lydia fut totalement saisie. Elle ne s’attendait pas du tout à cela. Elle tenta alors de rétorquer :

— Quoi ? Mais non ! Qu’est-ce que tu racontes enfin ? — Oh allez c’est bon. Arrête ton baratin. J’ai bien deviné tu sais.



Ne trouvant alors pas la capacité de continuer à mentir, et ne le souhaitant d’ailleurs pas, Lydia décida d’assumer :

— Bon ok, tu as raison, j’ai un nouvel amant. Et il est vraiment super ! Mais qu’est-ce que ça peut te faire ? Tu es jaloux ?



A ce moment-là, Lydia avait bien envie que Maxime fasse preuve de jalousie. C’était sans doute le cas, mais par orgueil sans doute il décida de ne rien laisser paraître. Il lui dit simplement :

— Oh mais non, ça ne me fait rien du tout. Je suis content pour toi. J’espère que tu prends ton pied ma coquine. Alors dis-moi il te baise bien ? — Ah tu vois, tu aimerais bien le savoir. — Question d’orgueil sans doute. Je suis comme tous les hommes. J’aimerais bien savoir lequel de nous deux te donne le plus de plaisir.



Connaissant bien Maxime, Lydia s’attendait exactement à ce genre de réaction. Elle voulut alors le rassurer :

— Ne t’inquiète pas pour ça. Vous êtes tous les deux d’excellents coups. Mais tu es meilleur que lui. Tu as plus d’expérience et tu me connais parfaitement. Tu sais comment me faire jouir. — Je te remercie ma belle. Et lui ne t’as pas fait jouir ? — Oh si, bien-sûr, mais ce n’est pas la même chose qu’avec toi. — Tu veux dire que tu as toujours envie de faire l’amour avec moi. — Oui bien-sûr, comment je pourrais me passer d’un si bon baiseur ?



Maxime eut le souffle coupé par cette révélation. Certes, il savait que Lydia était une sacrée libertine, mais il ne pensait pas que c’était à ce point-là. Il l’interrogea alors :

— Alors en fait tu me prends pour un plan cul ? — Oui, et alors ? Où est le problème ? Il n’y a pas de mal à se faire du bien. — Et si je refuse ? — Ne fais pas le prétentieux. Je te connais bien. Je sais très bien que tu ne pourras pas résister à l’envie de me baiser. — Tu te crois donc si irrésistible ? — Arrête de te prendre au sérieux. Tu sais très bien que je le suis. N’est-ce pas ? Si je te propose de baiser avec moi sur le champ, tu vas me faire croire que tu vas refuser ? — Humm… hé bin dis-donc tu es vraiment sûre de toi. — Oui, tout à fait, et ça qui me permet de pouvoir assouvir tous mes fantasmes.



Très intrigué, Maxime lui demanda alors :

— Tu parviens à assouvir tous tes fantasmes ? Sacrée coquine ! Tu en as de la chance. Et donc quel est ton fantasme du moment ? — Tu ne devines pas ? — J’ai ma petite idée sur la question en effet. 
Lydia s’amusa alors à le faire parler :

— Et tu penses que ce pourrait être quoi mon fantasme ? — A toi de me le dire. — Non, toi dis-moi. J’ai envie de savoir comment tu me perçois. — Je suis sûr que tu as envie de faire l’amour à trois.



Maxime avait en effet bien deviné. Lydia n’eut pas d’autres choix que de confirmer ses dires :

— Bingo ! Tu as bien deviné ? Mais à ton avis ce serait avec deux hommes ou avec un homme et une autre femme ? — Humm… te connaissant, je ne pense pas que tu aies un penchant lesbien. Je suis sûr par contre que tu aimerais te faire baiser par deux hommes ! — Bravo mon chéri. Je vois que tu me connais bien. En effet j’ai très envie de me faire prendre par deux beaux mecs en même temps.



Maxime manqua alors de s’étouffer. Il s’esclaffa :

— Quoi ? Tu veux dire que tu as envie de tester la double pénétration ? — Oui pourquoi pas. Ça doit être une expérience exceptionnelle. — Hummm… tu es une sacrée salope ma chérie. Bon c’est d’accord. Invite le ton nouveau mec. On va bien te défoncer tous les deux ! — Merci mon chéri. Tu fais de moi une femme comblée.
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