— Marion, vous me remplacerez à la réunion de chantier, j’ai un rendez-vous à l’extérieur. Marion soupire intérieurement. Il fait une chaleur épouvantable et elle serait bien restée au frais dans son bureau, plutôt que d’aller visiter les futurs nouveaux bureaux.D’un autre côté, ça fera passer l’après-midi plus vite.Elle ferme son ordi et prend ses affaires, elle ne prévoit pas de revenir ensuite. Elle arrive sur les lieux, sa voiture indique 40°C. Ils ne sont que deux à l’attendre pour la réunion de chantier. Le responsable est surpris de la voir. Marion lui explique que son chef n’est pas disponible. Elle s’équipe avec le casque de chantier. Un peu ridicule quand on sait qu’elle ne porte rien d’autre que sa petite robe en lin et un string.D’ailleurs, l’électricien mate ses seins avec insistance. Elle aime bien. Elle ne regrette pas de ne pas avoir mis de soutif. Vraiment trop chaud.Ils finissent la visite en étalant les plans sur une grande table. Le chef de chantier montre à Marion les dernières modifications. Elle se penche de bon gré, en sachant que l’électricien va voir ses seins libres dans son décolleté. Sans rien faire pour les cacher.La chaleur l’excite. Elle sent ses tétons se durcir sous le regard insistant du type en face. Elle regarde ses mains posées sur le plan et les imagine caressant son corps bouillant. Son ventre se contracte, elle commence à mouiller. — Vous ne savez pas ? lui demande la chef de chantier. Marion ne sait absolument pas de quoi il parle. Elle lui répond par un grand sourire. — Excusez-moi j’étais ailleurs— On peut venir avec vous ailleurs, si vous voulez, lui répond le chef. Il s’avance pour lui retirer son casque et effleure ses seins avec son bras. Marion sait qu’il le fait exprès, mais ça lui plaît. Elle ne recule pas. — Y a qu’un truc à faire par cette chaleur, lui dit le chef de chantier en la fixant et en remontant le long de sa cuisse avec sa main libre. T’as l’air partante, on dirait. Marion sent que l’électricien a fait le tour de la table et est juste derrière elle. Elle sent son souffle dans son cou. Ses mains se glissent devant pour prendre ses deux seins.Immobile, elle ne répond pas. Son souffle se saccade. Pendant qu’il malaxe ses tétons durcis au travers du fin tissu, la main du chef de chantier est sous sa robe. Son index effleure sa chatte humide en appuyant sur son string. Elle se rend compte qu’elle est trempée.
L’homme derrière elle la colle tellement, qu’elle sent sa queue contre ses fesses. Il a baissé son jean sans qu’elle ne s’en rende compte.Le chef remonte vers son ventre et fait glisser son string sur ses chevilles. D’un mouvement, Marion s’en débarrasse en le fixant dans les yeux. — T’es pas farouche dis donc, p’tite salope ! Allez, suce-moi, sale pute ! Marion est ultra-excitée par les insultes. Elle sent la mouille dans son entrejambe. Elle a trop envie de baiser avec ces deux mecs qu’elle ne connaît pas. Elle dégage la queue du chef de chantier de son jean. Il est déjà tellement dur que son ventre se contracte. Elle le prend dans sa bouche. Il lui attrape les cheveux et imprime la cadence qu’il veut. Elle dilate au maximum sa bouche pour avaler l’engin. Penchée en avant, Marion sent que l’autre homme remonte sa robe sur ses hanches. Deux de ses doigts explorent sa chatte trempée sans délicatesse.Il retire ses doigts. Marion n’a pas le temps de se demander ce qui va se passer, qu’elle sent la bite de l’électricien la prendre brutalement par-derrière. Il la pilonne avec force en s’accrochant à ses hanches. — Continue salope, pompe-moi bien ! Le chef de chantier sort son téléphone et prend en photo sa queue enfoncée dans la bouche de Marion. — Sympa la réunion de chantier. Je garde un souvenir. Marion veut protester, mais il maintient sa tête enfoncée sur sa queue. L’électricien se retire et dit à son chef : — Allonge-la sur la table, c’est mon tour. Le chef relève la tête de Marion et la regarde en souriant : — T’as l’air d’aimer, on n’en pas fini avec toi, tu sais. Il lui retire complètement sa robe en la faisant passer au-dessus de sa tête. Marion se retrouve nue au milieu de cette pièce en travaux.Les deux hommes l’allongent sur le plan qu’ils regardaient quelques minutes avant, les fesses au bord de la table. Sa tête est presque dans le vide de l’autre côté.Cette fois, c’est le chef de chantier qui vient entre ses cuisses et commence à défoncer sa chatte. Les coups violents secouent ses seins dans tous les sens. Marion s’accroche aux rebords de la table. L’électricien fait le tour et lui fourre sa bite dans la bouche jusqu’à la glotte : — Vas-y, salope, pompe bien, j’ai envie de juter sur tes nibards. Prise par ces deux inconnus, Marion sent l’orgasme monter. Son ventre est en feu. Elle se contracte. — En plus, elle va jouir la salope, dit le chef en continuant à pilonner son cul de toutes ses forces. Il lui soulève les jambes pour que sa queue entre encore plus profond en elle. Marion se tord de plaisir. La chatte et la bouche prises, la contrainte renforce son excitation.L’électricien se retire de sa bouche et éjacule sur ses seins : — Vas-y, masse-toi avec, c’est raffermissant qu’y paraît ! dit-il en remontant son pantalon. Marion pousse un cri quand son ventre explose dans un orgasme violent et intense. Un plaisir décuplé par le fait de se laisser prendre comme une pute. Le chef continue ses va-et-vient. Il est trempé de sueur. Il finit par lâcher un long jet de sperme sur son ventre. — Voilà, t’es pleine de foutre, t’as eu ce que tu voulais, Salope ? dit-il en se rhabillant. Marion n’a pas le temps de se relever que les deux hommes sont partis.
