Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 66 J'aime
  • 0 Commentaire

Réunion téléphonique

Chapitre 1

Hétéro
Elle entre dans mon bureau. Je lui ai demandé de passer car j’ai un point téléphonique avec mon service facturation, à cause d’un client important qui conteste les termes d’un contrat signé et refuse de payer depuis plusieurs mois les sommes qu’on lui réclame. Le dossier est assez complexe car la formule tarifaire choisie par le client peut être sujette à interprétation, et il ne s’en prive pas pour nous demander des justifications. Nous sommes persuadés qu’il est de mauvaise foi, mais il faut bien entendu rester diplomates et lui apporter les éléments irréfutables qui l’obligeront à solder sa dette.
Loveline entre dans mon bureau, disais-je, et je lui souris. Cette jeune femme est entrée par hasard dans ma vie il y a quelques mois. Une intérimaire de plus, dans un service où nous les employons pour pallier des périodes pendant lesquelles nous ne pouvons pas remplacer immédiatement des personnes parties et qui peuvent se révéler assez longues, jusqu’à 18 mois, la durée maximale prévue par la loi. Ce n’est pas moi qui l’ai embauchée directement, à vrai dire je ne l’ai rencontrée pour la première fois que durant une pause à la machine à café. Elle était seule, vêtue d’une longue robe rouge qui contrastait avec sa peau d’ébène, et de sandales qui laissaient apparaître ses pieds menus et fins. J’ai remarqué immédiatement ses longs cheveux jais et son visage qui me faisait penser à celui d’une elfe. Mais d’une elfe sombre, avec des yeux d’un noir aussi profond que ses cheveux. J’ai engagé la conversation pour savoir ce qu’elle avait fait avant, et j’ai été rapidement surpris. Certes elle avait trente ans (sa petite taille et son apparence de presque femme-enfant la faisait paraître beaucoup plus jeune), mais que d’expériences pour son âge ! Et au-delà de toutes les missions (certaines de longue durée) qu’elle avait pu remplir, ce qui m’a le plus impressionné c’était le nombre de diplômes qu’elle cumulait. Et en plus elle était musicienne et jouait dans un groupe de rock en tant que bassiste et chanteuse ! J’avais à faire à une hyperactive, je l’ai vite compris. Pour autant elle ne s’en vantait pas. Au contraire elle le prenait plutôt pour un défaut.
Après cette première rencontre nous avons échangé à plusieurs reprises, sur ce qu’elle aimerait faire si elle avait un job plus stable, sur sa passion pour les animaux et la musique, sur ce qu’elle trouvait de bien et de moins bien dans notre entreprise. Le courant est vite passé et même si j’étais le directeur du service, elle s’est détendu peu à peu et a commencé à me parler de sa vie plus intime. Ses parents avec lesquels elle avait des difficultés de communication, son petit ami avec lequel ça se passait moyennement bien. Après son premier malaise notre relation a rapidement évolué. Une collaboratrice qui tombe dans les pommes en plein milieu de la journée, ça ne nous arrivait pas souvent ! Heureusement je suis secouriste du travail et c’est donc moi qui l’ai assisté et suis resté près d’elle pendant qu’on appelait le 15. Le temps que le médecin au bout du fil finisse de nous poser des questions, elle avait repris connaissance et ne souhaitait pas qu’ils envoient une ambulance. Elle avait déjà eu ce type de malaise et savait que cela passerait. J’étais quand même assez inquiet et j’ai fait ce que je n’aurais pas du, en tant que secouriste, à savoir la ramener chez elle en voiture, car je voyais bien qu’elle n’était pas en état de conduire. Une fois chez elle, son ami m’a ouvert et n’a pas eu l’air plus surpris que cela, voire froid en sachant pourquoi je la raccompagnais. Pire, elle a eu alors un second malaise et il m’a laissé gérer sa crise en allant chercher un verre d’eau tandis que je lui tenais la main et lui parlais, et qu’elle était affalée sur le canapé du salon.
Quelques temps plus tard elle m’a avoué que ses malaises étaient dus à un traumatisme qu’elle avait subi, et que je ne citerai pas ici, et notre relation a commencé à devenir plus intime. Elle éprouvait un profond mal-être, qui se cachait derrière son hyperactivité, et j’ai tenté durant de longues semaines de lui remonter le moral car elle m’écoutait et retrouvait le sourire avec moi. Dans les semaines qui ont suivi, nous avons conversé de plus en plus régulièrement, souvent par SMS ou e-mail, mais aussi en nous retrouvant après le travail pour une ballade avant de rentrer chacun chez soi. Et un soir ce qui devait arriver arriva : nous nous sommes embrassés, tout naturellement. Après tout est allé très vite : elle a rompu avec son ami et je l’ai aidée à trouver un appartement. Je me souviens comme si c’était hier de la première fois où nous avons fait l’amour ; ce fut une découverte, et la première fois que je ressentais de telles sensations, moi qui suis de plus de dix ans son aîné. Elle n’a aucune inhibition dès lors qu’il s’agit d’acte sexuel avec la personne qu’elle aime, et elle est ouverte à tous les jeux coquins que nous pouvions inventer.
Mais nous devions rester discrets car je ne souhaitais pas que cela se sache au travail, sinon cela aurait mis fin à sa mission, et elle souhaitait la poursuivre jusqu’au bout. Nous nous cachions donc, et cela nous causa quelques aventures que je vous raconterai peut-être un autre jour.
Aujourd’hui elle est dans mon bureau, et s’installe à côté de moi, après avoir fermé la porte. Le téléphone est posé devant nous, le haut-parleur est branché, l’écran de l’ordinateur positionné de telle manière que nous le voyons tous les deux. Le plan de travail de mon bureau est arrondi sur le bout, et permet donc à deux personnes de suivre une réunion téléphonique en étant assis côte à côte.
« Bonjour Bruno ! Comment vas-tu ? »
« Très bien et toi ? »
« Parfait, je te remercie. Je suis avec Loveline, qui suit le dossier du client, et qui a eu le comptable plusieurs fois au téléphone. Je te propose d’étudier le contrat dans un premier temps et que tu nous expliques quels sont les points à mettre en avant dans le courrier que nous allons rédiger. Ensuite Loveline le rappellera avant de lui envoyer pour s’assurer qu’il n’a pas d’autre objection. D’accord ? »
« OK, on y va … »
S’ensuit une explication technique de plusieurs minutes. Je sens le parfum musqué qui émane de la peau brune de la jeune femme que je surnomme « ma princesse », tellement ses traits fins et sa photogénie me font penser à une descendante d’un roi d’une contrée lointaine et exotique. A ses côtés j’ai un peu de mal à me concentrer, pourtant je comprends les explications de Bruno et je commence à lui poser quelques questions. C’est au milieu d’une phrase que je sens sa jambe gauche frôler ma jambe droite pour la première fois. Sur le moment je n’y fais pas trop attention et je continue mon interrogation. C’est en écoutant sa réponse que je me rends compte que ce n’est pas fortuit. Cette fois sa jambe appuie clairement sur la mienne. J’essaie de rester concentré et je ne réponds pas à son invitation. Peut-être vexée, ou relevant le défi, elle pose cette fois sa main gauche sur ma cuisse droite, presque innocemment. Je continue de fixer le téléphone et l’écran, mais je jette un regard discret sur ma gauche et je constate qu’elle fait de même. La coquine ….
Sa main caresse doucement ma cuisse pour remonter vers mon aine. Je pose ma main droite sur sa main gauche en la stoppant dans son élan, tout en essayant de ne pas perdre le fil de la discussion. Elle ne semble pas troublée puisqu’elle intervient à un moment pour poser une question à Bruno, qui repart dans une longue explication. Et pendant ce temps elle dégage sa main d’un mouvement de poignet et se pose sur mon sexe. Celui-ci est à moitié durci, excité par ce jeu mais contrarié par mon attention professionnelle à l’échange verbal. Elle commence à le caresser doucement et rejette ma main qui, une nouvelle fois, tente de l’arrêter. Comme j’essaie de la stopper de manière plus ferme, elle me plante son talon dans le bout du pied. Je me mords les lèvres pour ne pas laisser échapper un cri de douleur et de surprise !
J’ai compris la leçon et la laisse faire. Ici ce n’est plus moi le boss, c’est elle qui prend la direction… des opérations. Je continue de maintenir une concentration suffisante pour suivre la conversation, et j’interviens à mon tour au téléphone. Elle décide alors de baisser ma braguette et avant que je n’aie pu réagir, elle fourre sa main habile dans mon caleçon et extrait mon sexe qui est à présent en érection. Je n’ai pas des proportions extraordinaires, mais sa main étant proportionnée au reste de son corps, elle ne recouvre qu’une partie de ma longueur. La paume de sa main est douce et chaude et je sens mon organe grossir rapidement à son contact. C’est la première fois que ce genre de chose m’arrive dans mon bureau et je suis partagé entre l’excitation du moment et la crainte que quelqu’un frappe à mon bureau pour une urgence et se permette d’entrer. Heureusement la partie du plan de travail qui donne vers la porte comporte une plaque en plastique opaque qui masque les jambes. Personne ne s’apercevrait donc de ma situation pour le moins délicate, à moins de vraiment s’approcher sur le côté.

Loveline est vêtue d’un bustier qui met en valeur sa petite poitrine, et ses épaules nues sont recouvertes d’une veste noire. Ses jambes sont couvertes quasiment jusqu’au mollet par une longue jupe (elle a horreur de les montrer, alors qu’elles sont ravissantes), qui chez certaines paraîtrait ringarde, et pourtant sur elle lui va à ravir. Je n’ose toujours pas la regarder, ayant déjà du mal à rester suffisamment concentré pour suivre la conversation. Elle continue de poser des questions et Bruno d’y répondre. Moi je commence à respirer la bouche ouverte. Elle me branle doucement à présent, décalottant le gland et faisant coulisser sa main sur toute la longueur de mon sexe à présent complètement érigé. Je suis excité et je tente de poser à mon tour ma main sur sa cuisse pour remonter sa jupe. Elle lâche mon sexe et me prend la main pour la rejeter brutalement, me faisant comprendre que c’est elle qui mène le jeu et que je dois me laisser faire. Elle demande à Bruno de nous expliquer un point important en sachant que cela va lui prendre un certain temps et se laisse glisser le long de la chaise. Elle se love sous mon bureau et enlève le bouton qui retenait encore mon pantalon. Avant que je n’aie pu comprendre ce qui arrivait je sens une incroyable chaleur humide qui enveloppe ma queue. Elle m’a pris dans sa bouche ! Je retiens difficilement un grognement de plaisir mais aussi de surprise et je pose mes deux mains à plat sur le bureau.
Bruno part dans un long monologue, comme il sait si bien les faire. Ca tombe bien, je n’ai pas grand-chose à dire ! Mon attention est concentrée sur le bas de mon ventre, la bouche qui commence à me pomper sur toute ma longueur, la petite langue que je sais bien rose qui s’active autour de la hampe, puis du gland et vient agacer mes terminaisons nerveuses. Je sens mon organe gonfler encore, et aller bien au-delà de son érection normale, comme pour punir cette bouche effrontée d’oser l’absorber ainsi dans ce lieu interdit aux rapports de ce type. Je sens ses lèvres se distendre et un peu de bave couler sur mes testicules, qui sont elles-mêmes bien gonflées. J’entends de temps en temps un petit bruit de succion et je suis obligé d’actionner la touche « secret » pour couper le micro du téléphone, pour ne pas me trahir. Je n’écoute plus vraiment la litanie d’explications techniques, mon attention est à présent focalisée sur les sensations extraordinaires que me procure ma petite princesse qui semble prendre également beaucoup de plaisir à me faire subir ce supplice.
Son rythme s’accélère, elle sait qu’elle n’a pas beaucoup de temps devant elle. Mon plaisir monte assez rapidement. J’apprécie énormément, comme beaucoup d’hommes, les fellations. Pourtant je ne jouis quasiment jamais dans la bouche de ma partenaire, c’est peut-être une inhibition ou mon subconscient. En général cela me permet d’être si dur que lorsque je la pénètre je lui procure davantage de plaisir. Aujourd’hui, Loveline est décidée à aller jusqu’au bout, car elle s’active furieusement sur moi, accélérant le mouvement, tout en me caressant le ventre en passant sa main sous ma chemise. Mais elle sens que je ne me laisse pas aller suffisamment. Alors elle décide de jouer le tout pour le tout et avance son visage aussi loin qu’elle le peut, jusqu’à ce que mon gland vienne cogner contre sa gorge. Puis elle reste ainsi durant de longues secondes, bloquant sa respiration et me procurant une sensation que je n’avais jamais encore éprouvée. Je suis sur un nuage, je n’entends plus rien et mon regard est vitreux. Elle se retire et reprend son souffle avant de m’avaler une nouvelle fois, mais encore plus loin. A présent mon gland passé l’entrée de sa gorge et se retrouve enserrée par celle-ci. Je suis à moitié affalé sur ma chaise. Sa main en profite et vient pincer mon téton droit, celui qui est le plus sensible. La conjonction des deux sensations extraordinaires déclenche en moi une vague de plaisir qui me submerge, comme jamais je ne l’avais connu. Je sens une giclée de sperme qui vient jaillir de mon sexe et qui vient frapper l’arrière de la gorge qui m’enserre délicieusement, puis une seconde et une troisième. Elle recule sans pour autant lâcher mon sexe, afin de lui permettre de respirer par le nez. Je continue de me répandre dans sa bouche, j’ai l’impression de me vider complètement. Elle reprend un mouvement lent pour finir d’absorber les dernières gouttes.
C’est à ce moment que je reprends conscience et que j’entends « Allo ? Allo ? Vous ne m’entendez plus ? »
Je coupe immédiatement la touche Secret et lui réponds « Si… si …. Mais il y avait un problème technique … effectivement tu ne pouvais plus nous entendre … Désolé ! »
« Ah bon …. Donc vous êtes ok avec la solution que je propose ? Vous avez tout compris ? »
« Heuu…. Oui à peu près. Ecoute, pourrais-tu nous faire un rapide résumé par e-mail pour vérifier si c’est conforme à nos échanges et on te rappellera si on a besoin d’une ultime précision ? »
« Bon, d’accord, mais on s’est dit l’essentiel, hein … »
« Heu, oui, on a compris, t’inquiète pas. Mais tu sais entre l’oral et l’écrit, il peut y avoir parfois une petite différence »
« OK, je vous envoie ça demain. Passez une bonne soirée »
« Merci beaucoup. »
« Oui, merci Bruno, à bientôt » dit la petite voix de Loveline, qui s’est rassise à côté de moi comme si de rien n’était, après avoir pris le soin de remettre mon sexe dans son caleçon et remonté ma braguette. Je la regarde pour la première fois depuis tout à l’heure. Elle sourit de manière effrontée et ses yeux malicieux pétillent du bon tour qu’elle m’a joué. Je raccroche.
« Alors, que penses-tu de ta collaboratrice ? Tu crois qu’elle fait du bon boulot ? »
« Au-delà de toutes mes espérances. Mais je la trouve bien enhardie de prendre de telles initiatives. »
« Oh tu sais elle a besoin d’être punie de temps en temps sinon elle n’en fait qu’à sa tête. Dis, tu la puniras ce soir ? »
« Avec plaisir…. Mon amour »
Je pose ma main sur sa cuisse et nos regards se croisent. Ce soir c’est moi qui la ferai jouir, mais elle a mis la barre très haut.
Diffuse en direct !
Regarder son live