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La revanche des Chloé

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Chapitre3


J’étais arrivée, comme prévu, un peu avant 17 heures 30 à Brest, devant l’immeuble où habitait Juliette. Je restai quelques minutes à attendre, dans ma voiture, puis mon téléphone sonna. C’était Chloé.
— Tout se passe comme tu l’avais prévu, me dit-elle. Je suis chez Yvette, je t’attends.
Elle me donna le numéro de l’appartement. Je mis mes bottines, je quittai ma voiture, y laissant ma veste, et je montai, le cœur battant. C’est Yvette qui vint m’ouvrir, et je reconnus la belle femme rousse que j’avais aperçue, chez Awena. Il émanait d’elle un magnétisme mystérieux, qui donnait envie de céder à ses avances, et je comprenais l’attirance que Juliette éprouvait pour elle. Elle avait une manière de me regarder qui annihilait ma volonté, et je me serais mise à poil sur le palier, si elle me l’avait ordonné.
— J’ai suivi scrupuleusement ton plan, me dit-elle en m’embrassant. Juliette est attachée sur son lit, nue, bâillonnée, les yeux bandés. Elle doit crever d’impatience et de colère, en ce moment, et m’en vouloir à mort. J’espère que tu te rappelles ce que tu m’as promis, et que tu tiendras parole.— Bien sûr, répondis-je à Awena, pas trop pressée de remplir mon engagement, compte tenu de ce que m’en avait dit Juliette. Et encore merci. Infiniment.— Attends qu’on se soit occupée de toi, avant de me remercier... Mais rentre, Chloé t’attend.
Je rentrai dans le vestibule, où Chloé vint me retrouver, radieuse. Elle m’embrassa, et sa bouche se perdit au coin de mes lèvres.
— Je suis si heureuse de te retrouver, me dit-elle. Même si c’était dur, chez Awena, j’ai tellement aimé jouir avec toi.— Moi aussi. J’étais tout excitée, depuis l’appel de Juliette, en m’imaginant nos retrouvailles. Mais dis-moi, tu es magnifique, dans cette tenue.
Chloé portait un micro short en jean, qui mettait en valeur ses longues jambes musclées. En haut, un débardeur en maille ajourée, moulant, dessinait ses seins ronds, aux pointes claires et saillantes, libres. Elle était juchée sur des sandales à lanières, dont les semelles compensées me rendaient encore plus minuscule à côté d’elle, malgré les talons de mes bottines.
Nous sortîmes de chez Awena, pour nous diriger vers l’appartement de Juliette, de l’autre côté du palier. La porte n’était pas fermée à clé.
Tout en discutant joyeusement, Chloé me guida vers la chambre.
Je découvris Juliette, étendue sur le lit, attachée, bras et jambes en croix. Ses longs cheveux blonds étaient étalés, en désordre, sur son oreiller. La voir ainsi, nue, bâillonnée, m’intimidait presque. Elle avait entendu le son de nos voix et de nos pas, et elle voulut dire quelque chose, mais la boule qui distendait ses lèvres transforma ses paroles en un borborygme étouffé, incompréhensible.

— Bonjour Juliette, lui dis-je en m’asseyant au bord du lit. Je suis là, moi, ta petite pute soumise, avec ta Chloé, mais cette fois, les choses ne se passent pas comme tu les avais prévues. Tu vois ce qu’on ressent, lorsqu’on est offerte, impuissante, aux caprices des autres ? Je crois d’ailleurs que ça t’excite aussi...
En parlant, je caressais doucement du bout des doigts le contour de ses aréoles, et les pointes écrasées par les pinces gonflèrent un peu plus. Ma main descendit vers le nombril de Juliette, près duquel brillait l’anneau reliant les trois chaînettes des pinces. Je tirai doucement sur l’anneau, et les chaînettes se tendirent progressivement, jusqu’à ce que les pointes des seins de Juliette et son clito soient étirés.
Le bâillon laissa s’échapper un râle rauque, et elle se cambra, sous l’effet de la douleur. Ma main libre descendit entre ses cuisses, que je griffai avec mes ongles, avant de passer mon index le long de sa fente, entrouverte et humide.
— Je vois que tu es comme moi, tu aimes ça, lui murmurai-je à l’oreille. Tu mouilles, ma salope ! Et ce n’est que le début. J’aimerais beaucoup que tu m’appelles "Maîtresse", à ton tour.
Je commençai à faire aller et venir mes doigts dans la chatte de Juliette, et bientôt un clapotis révélateur monta de son sexe, accompagné de gémissements affaiblis par le bâillon.
— Chloé, dis-je, prends la roue à pics qui se trouve dans mon sac, et occupe-toi de ses jolis nichons.
La jolie brune obtempéra, et timidement, fit rouler la couronne garnie de petites pointes sur les globes ronds et fermes de Juliette.
— Plus fort, voyons ! Je suis sûre qu’elle ne ressent rien. Appuie davantage. Et fais tourner la roue autour de ses tétons, en t’en rapprochant progressivement.
Juliette se tordait maintenant sur son lit. Chloé s’enhardit, et ses joues rosirent sous l’effet de l’excitation, tandis que des flots de mouille inondaient ma main.
— Tu aimes ça, salope, lançai-je à Juliette. Je veux que tu jouisses !
Je redoublai d’ardeur, pour fouiller son abricot juteux. Quatre de mes doigts s’activaient furieusement entre ses petites lèvres, et mon pouce branlait son clito durci. Chloé était rentrée complètement dans ce jeu, tirant sur les pinces à seins, tout en continuant de décrire de petits mouvements circulaires autour des aréoles de Juliette avec la roue à pics.
— Ça y est ! Elle jouit, notre pauvre Maîtresse déchue, m’écriai-je, au moment où Juliette giclait sur ma main.
Juste avant, mon pouce avait rejoint mes autres doigts, et je la fistais brutalement. L’orgasme de Juliette semblait ne jamais devoir s’arrêter, et je continuai, jusqu’à ce que son corps se détende, vaincu.
Mais ce n’était qu’un hors-d’œuvre ! Chloé et moi ressentions la même excitation.
Je me relevai, pour ôter le bandeau noué sur les yeux de Juliette.
— Je veux que tu vois la suite, lui annonçai-je. Chloé et moi, toutes les deux, nous déshabillant mutuellement, nous caressant, nous donnant du plaisir... Et toi, en spectatrice forcée de la jouissance de "ta Chloé"... Je crois que tu es jalouse, si je me fie à ta réaction, samedi dernier ?— J’ai envie de m’occuper de toi, Clo, me dit Chloé d’une voix suave. Tu sais que Juliette t’appelle Clo, pour ne pas te confondre avec moi ?— Oui... Oh oui, fous-moi à poil... Je veux sentir tes mains sur moi...
Avec des gestes tendres, elle dégrafa mon petit gilet de cuir, découvrant ma poitrine nue, et le vêtement glissa lentement le long de mes bras. Je faisais face à Juliette, qui me jetait des regards où se mêlaient désir et jalousie. Chloé me couvrait de baisers légers dans le cou, sur mes épaules, qui me faisaient frissonner. Ses mains remontèrent sur mes seins – c’était surprenant, ses longs doigts enserrant mes deux petits nichons pointus – puis glissèrent en direction de ma taille.
Elle fit sauter la fermeture de ma jupe. Je me retrouvai seulement vêtue de mon minuscule string, juchée sur mes talons, et je passai mes bras autour du cou de Chloé. Nous échangeâmes un long baiser, voluptueux, jouant avec nos langues, en nous plaçant de telle manière que Juliette n’en perdait pas une miette.
— Déshabille-moi aussi, Clo, me susurra Chloé. Je veux que nous soyons nues, toutes les deux.
Je soulevai son débardeur, et j’eus du mal à lui faire passer l’obstacle de ses seins imposants et durs. Finalement, elle m’aida, me laissant faire sauter les boutons de son micro short. Elle ne portait rien dessous...
Mes lèvres parcoururent son buste, et je mordillai ses tétons dressés, pendant qu’elle baissait mon string qui glissa le long de mes jambes. J’étais nue aussi, et nos mains partirent explorer nos corps respectifs.
Chloé posa un pied sur le bord du lit, près de la tête de Juliette, qui fixait, hypnotisée, le sexe gonflé de sa compagne. Ma main passa entre ses cuisses, ouvrit son joli coquillage nacré, ourlé de perles de cyprine brillantes.
— Regarde sa petite chatte, dis-je à Juliette. Je vais la caresser, la doigter, astiquer son petit bouton. Et lorsqu’elle sera bien chaude, je vais baiser ta Chloé, devant toi.
Je joignis le geste à la parole. D’une main, je malaxais les superbes seins de Chloé, qui ne cessait de gémir de bonheur, tandis que mon autre main ne laissait aucun repli de son minou inexploré. Puis je plongeai ma tête entre ses cuisses. Ma langue remplaça mes doigts, tandis que ma main, libérée, s’attardait entre ses fesses.
— Oh oui ! C’est bon, lança Chloé, haletante. Doigte mon petit cul... Oui... C’est ça ! Oh, ma Clo !!
Juliette tirait maintenant frénétiquement, désespérément sur ses liens, cherchant à se détacher. La voyant, je simulai la colère.
— Petite salope ! Tu profites qu’on est occupés pour chercher à te libérer ? Je vais t’apprendre...
Je pris un fouet dans mon sac, et les lanières de cuir sifflèrent, avant de mordre la peau tendre des seins de la jolie blonde. Je continuai plusieurs secondes, laissant des traces rouges sur sa poitrine et sur ses cuisses, jusqu’à ce que Chloé m’arrête.
— Laisse-la, me supplia-t-elle, elle a compris. Baise-moi, maintenant.— Oh oui, je vais te baiser, ma chérie. Et sous les yeux de "ta femme", en plus.
Je pris dans mon sac, un énorme rabbit, et un gode double, sans ceinture. Mon Feeldoe préféré... Noir, avec un vibro pour agacer mon petit bouton, si sensible.
J’ouvrais ma chatte, du bout des doigts, et j’y insérai l’extrémité la plus courte du jouet, sous l’œil gourmand de Chloé. La longue verge de silicone se dressait maintenant, à la fourche de mes cuisses, ressemblant à s’y méprendre à un sexe masculin en érection.
Tenant Chloé par la main, je la fis monter sur le lit. Elle enjamba le visage de Juliette, et s’agenouilla, à califourchon sur elle, son minou à la hauteur de ses yeux.
Avant de continuer, je détachai le bâillon qui déformait la bouche de la pauvre Juliette. Elle fit quelques mouvements avec sa mâchoire ankylosée, pour qu’elle reprenne sa place, et elle explosa aussitôt.
— Vous êtes deux belles salopes ! Je vais vous faire payer ça ! Surtout à toi, petite pute.— Ne t’énerve pas, répliquai-je. Nous te faisons juste découvrir les plaisirs de la soumission et du bondage, comme tu nous y as fait goûter. Et si tu ne te tiens pas tranquille...
Je tirai sur la chaînette arrimée à la pince qui écrasait son petit bouton. Juliette cria de douleur, et se débattit, mais les liens tenaient bon.
— Contente-toi de regarder, lui dis-je. Et tu peux mouiller autant que tu veux.
Je m’agenouillai à mon tour, derrière Chloé, et je guidai le gland sombre vers sa vulve trempée. Elle se cambra, et passa une main entre ses jambes, pour caresser son clito dardé, pendant que je la pénétrais.
Je pris tout mon temps pour m’enfoncer en elle, millimètre par millimètre. Chloé gémissait de plaisir, à fendre l’âme, et j’empoignai le gode rabbit, pour le plonger dans la chatte de Juliette, sans préliminaires.
— Tu vois, je pense à toi, lui dis-je, en déclenchant le mécanisme infernal.
L’engin se mit en route, titillant son bouton d’amour, vibrant contre son point G, et déclenchant un séisme dans son bas-ventre. Juliette se tordait sur son lit, incapable de se contrôler. Sa plainte rauque, continue, fournissait le fond sonore, sur lequel s’élevaient les cris de plaisir de Chloé, et les miens.
Ivre de désir, Chloé s’empalait sur ma bite de silicone, à grands coups de reins. Je dus l’empoigner par les hanches, pour maintenir le gode en elle, tant elle s’agitait. Et je me mis à pilonner son petit abricot, avec la force d’un bûcheron, et la régularité d’un métronome.
Un long feulement de Juliette marqua son premier orgasme, et Chloé la suivit, inondant le visage et la bouche de sa femme d’une cyprine translucide.
Je jouis à mon tour, et tout en continuant à coulisser dans sa fente, je pris un peu de sa sève sur mes doigts, pour lubrifier son petit œillet plissé.
— Oh oui, Clo... Oui, encule-moi, me supplia-t-elle.— C’est ça, explose son petit trou, m’encouragea Juliette. Elle ne mérite que ça !
Après avoir fait coulisser longuement mon index et mon majeur dans l’étroit orifice, je retirai lentement l’olisbos noir de la grotte inondée de la jolie brune, et je remontai le gland dans le sillon de ses fesses, qu’elle écarta elle-même.
Haletante, Chloé attendait l’instant où sa rosette serait forcée. Je fis durer son attente puis, d’un seul coup de reins, j’investis son joli cul. Elle se cabra, cria, mais mon jouet était déjà enfoncé jusqu’entre ses reins. Et de longs et puissants va-et-vient finirent de la dilater, tout en se répercutant dans mon minou et sur mon point G.
Ce fut un véritable concert de cris, dans la chambre de Juliette. Toutes les modulations de la manifestation du plaisir féminin y passèrent, ponctuées de mots crus. L’avantage de ces jouets, c’est qu’ils ne connaissent ni fatigue ni défaillance. Notre seule limite était celle de nos forces, de notre résistance. Et nous étions résistantes, toutes les trois.
J’ai joui quatre fois, et je n’ai pas pu compter les orgasmes de Chloé et de Juliette.
Épuisées, ruisselantes de sueur, Chloé et moi nous sommes écroulées sur Juliette. Nous sentions, en dessous de nous, son corps ferme de sportive, la transpiration qui suintait de sa peau, son souffle saccadé. Je retirai le gode double de ma chatte, et je libérai Juliette du rabbit, qui continuait à vibrer dans son intimité.— Détachez-moi, je vous en prie, demanda Juliette, d’une voix encore assourdie par le plaisir.
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