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Le Rêve ?

Chapitre 1

Erotique
Cettte histoire à été écrite quelques jours avant de rencontrer ma douce, avec qui je suis depuis plus de 2 mois. Nous avons échanger plusieurs e-mails depuis 10 jours. Nous décidons de nous rencontrer mais avant nous choissisons de s’écrire chacune histoire. Voici celle que je lui ai écrite. (Je pense pour elle...son rêve!) p.s. elle connait déjà plusieurs détails sur mon anatomie et mes habitudes. Copier et coller ...intégral !
Le rêve…?

Ce sera peut-être mêlant, car je serai toi, tes pensées, ton rêve, s’il l’est vraiment. Il y aura sûrement des fôtes d’orthographes aussi !!!!

Minuit, la fatigue d’une grosse journée me rattrape. Je pense à cet homme de plus en plus, il envahit mes pensées comme peu d’autre l’ont fait. Mais je dois rester la tête froide. Je ne le connais pas vraiment et je ne lui ai parlé que quelques fois, mais il m‘intrigue.Je vais me préparer pour me coucher, je me sens fébrile et un peu excité. Maudis les fins de soirée seule… Sans savoir pourquoi, juste avant d’aller m’étendre, je retourne à la cuisine et prends un petit papier et j’y inscris : ‘Viens me voir ce soir’, sûrement que j’aimerais rêver à ce bel homme qui me charme, sans connaitre la raison.Finalement, je vais me coucher, décide même de me mettre nue, j’aime bien de temps en temps, mais ce soir je me sens bien. Je monte la température de la chambre pour ne pas avoir froid. Je suis fatigué, je ferme les yeux et je prends le temps de sentir la douceur de mes draps sur ma peau qui est dans sa tenue d’Eve. J’ose me caresser les seins en pensant qu’il a sûrement les mains agiles et douces, je sens la chaleur m’envahir. Ma main descend sur mon entrecuisse qui est bouillant et sensible, j’effleure mon clitoris doucement et je sens une vague monter, c’est du désir. Comment est-il cet homme, ce bel homme que je ne connais pas, je divague dans mes pensées… La fatigue m’emporte.
2 :18 am. J’ouvre les yeux, j’entends un petit bruit venant du salon, comme une porte de patio qui glisse, mais je me dis, c’est sûrement les voisins d’en bas, je n’y porte pas attention, car je ferme toujours le loquet, l’ais-je fais ce soir, me souviens plus, je retourne à mon sommeil en me disant, et si c’était lui. Ma lucidité me dicte que c’est impossible.Je sommeil, mi-sommeil, je ne sais pas, tout à coup, je vois la porte de la chambre s’entrouvrir très doucement, sans aucun bruit. Une silhouette d’homme se dessine dans la noirceur. J’ai peur, j’ai envie de crier mais j’en suis incapable, je suis figé. Je suis couché sur le dos mais je me sens comme si j’étais attaché dans le lit, je suis incapable de bouger, même de sortir un son de ma bouche. Qui est-ce…. Les yeux mi-ouverts, je feins de dormir, mais je le regarde s’avancer vers le lit. Il ressemble étrangement à cet homme à qui j’ai parlé quelques fois et qui hante mes pensées depuis quelques jours. Je me dis, je rêve, c’est ce que je voulais, je voulais rêver à lui, je l’ai même invité avec ce petit mot sur la table. Je me laisse aller et me rendort, ce n’est qu’un rêve, je laisse le rêve m’envahir…Je sursaute, mais sans bouger, je sens une présence près de moi, j’entrouvre les yeux, c’est lui, je le reconnais, mais que fait t-il ici, nous nous sommes parlé que quelques fois sur l’ordi, je n’ai même pas entendu sa voix encore, est-ce un dérangé, un maniaque, un violeur. Pourtant il m’a dit qu’il ne viendrait pas me voir sans mon consentement, je crois que c’est un homme sincère, je le sais, je sens ces choses-là dès le départ. Il y a assez de lumière provenant de la fenêtre pour le distinguer. Mais que fait-il, que fait-il ici. A coté du lit, en douceur, sans aucun bruit, il croit que je dors fermement, je le vois enlevé son chandail, son pantalon et son boxer. J’ai une tel envie de crier pour alerter tout le bâtiment, mais j’en suis incapable encore une fois. Je me sens trembler à l’intérieur. Je tremble, j’ai peur, je suis inquiète mais sans savoir pourquoi je le regarde, je vois son corps maintenant à nue, il est déjà en érection, une belle érection, je sens une excitation m’envahir le bas du corps, une chaleur intense. La pointe de mes seins durcissent, mais il ne peut le voir, les couvertures cachent ma nudité.Il s’approche de moi, que fait-il, me regarde un court moment et retire la couverture avec une lenteur, une douceur que j’ai à peine la sensation de ce qu’il fait. J’ai peur, je tremble à l’intérieur mais je ne bouge pas, de toute façon j’en suis incapable. Avec sa lenteur, la pointe de mon sein accroche dans la couverture, il arrête de bouger, il croit que je dors fermement encore, il ne veut pas me réveiller. Je crois qu’il va s’apercevoir que je ne dors pas car l’érection du bout de mes seins me trahit éperdument. Il recommence encore avec lenteur, il descend très lentement la couverture jusqu’à mon nombril. Il s’arrête, il ne bouge plus. Que fait-il, je crois qu’il me regarde, oui, il me contemple, car s’il aurait voulu me violer, il aurait déjà entreprit de m’immobiliser, il n’a pas de couteau à fine pointe, rien, la seule chose qui pointe est sa grosse érection que je ne peux m’empêcher de voir, de contempler moi aussi. Je me perds dans cette vision, je fantasme, tandis qu’il recommence à descendre la couverture. Je le vois, il est en total érection, j’admire son gland circoncis, je crois même discerner une goutte d’excitation sur le bout de son pénis. Je me surprends à vouloir y gouter, un petit coup de langue pour enlever cette goutte d’excitation qui peut se perdre.En revenant à ce qui se passe, je m’aperçois que la couverture est complètement descendu, elle est même au pied du lit, je suis complètement nue face à cet homme que je connais que très peu. Je réalise que mes jambes sont distancés l’une de l’autre, une façon d’être confortable quand l’on dort seul depuis un certain temps, mais en ce moment j’aurais préféré une position moins révélatrice. Tout est fait avec délicatesse et douceur, je me sens bien et très excité car il dégage la confiance. Je voudrais bouger mais je ne peux pas, de toute façon, je ne veux plus bouger. Les yeux mi-clos, je sais que je le berne avec mon faux sommeil, il le croit, mais je l’observe.Il n’a pas un corps d’apollon, mais il est beau, il me plait et d’autant plus cette érection qui suscite en moi un désir incroyable. Je contemple encore son pénis, rasé de près qui démontre son hygiène personnel, je crois qu’il fait un peu plus de 6 pouces, pas trop grand et pas petit non plus, on dirait qu’il a été fait pour mon intérieur vaginale, ouf, peut-être même anal. Une chaleur me traverse la chatte, ce n’est même plus une vulve, mais une chatte qui, si elle pouvait, ronronnerait son envie soudaine de libérer la congestion de ce pénis érigé. Le sentir en moi. Je retourne à ma lucidité sur cet homme, il revient tout doucement sur le coté du lit. Il approche son visage du mien… oh, il va m’embrasser, je me dis. Non, il bifurque son visage et descend très près de mon cou sans même me toucher. Je sens sa respiration rapide, son excitation, son haleine et surtout son doux parfum qu’il dégage. Je frissonne, je n’ai plus aucune peur, je me laisse aller à ce moment charnel. Que va-t-il faire… Je crois qu’il veut sentir ma peau, mon parfum, je le sens haletant. Il ne me touche pas, il ne veut pas me réveiller.Il se redresse, se met à genou à coté du lit, ne bouge pas pendant quelques instant. Il me contemple encore. Je crains que mon corps, mes seins pointés au maximum et ma chatte qui est humide, trop humide, me dénoncent. Je sens un peu d’écoulement d’excitation qui glisse entre mes lèvres. J’espère qu’il fait assez noir pour qu’il ne le voit.Je le vois lever le bras, il avance sa main vers mon visage, ouf, quoi maintenant… Il s’approche de mes lèvres, les effleurent si doucement, je sens à peine le toucher, mais je peux sentir légèrement l’odeur de son cigare, maintenant je suis certaine que c’est vraiment lui. Je pourrais l’affirmer avec certitude. Il descend ses doigts avec légèreté sur mon cou en continuant de descendre à mes seins, fait le contour du galbe que forme mes seins, un frisson me traverse la pointe de chaque sein, j’aimerais qu’il les prend à pleine main, me les caressent. Il ne le fait pas, mais passe un doigt sur le bout de mes seins qui sont érigé et dur. Il continue sa descente vers l’enfer brulant du bas de mon corps, fait le contour du nombril et descend jusqu’à ma chatte en chaleur, mon sexe presque imberbe, dépourvu de poil, rasé minutieusement. J’ai peine à sentir l’effleurement de ses doigts sur ma peau, il fait très attention pour ne pas me réveiller. Mais je ne dors pas, je rêve ou pas, je ne le sais plus, trop réel pour rêver. Je sais qu’il est là. Il continue sa descente en contournant ma chatte toute mouillé d’excitation, longe mes cuisses, je frissonne, je sens la chair de poule monter sur tout mon corps. Je crois qu’il s’en aperçoit. Je le vois se replacer plus bas, il recommence sa contemplation, mais cette fois-ci sur ma chatte, je bouille de désire, je mouille, je ruisselle entre mes fesses, le voit-il ? J’ai le clitoris bombé comme son pénis en érection, mon bouton d’amour sort d’entre mes lèvres comme une invitation à venir le déguster. Je le vois prendre son pénis en main, le sert entre ses doigts, une énorme goutte lui sort du bout, il porte son autre main au bout de son membre prêt à exploser et ramasse cette perle de liquide d’excitation et l’apporte à sa propre bouche comme pour ne pas laisser de trace de son intromission dans ma demeure. Il semble le délecter, j’aurai préféré qu’il me la porte à ma bouche, sans hésitation. Puis tout à coup il avance son visage vers ma chatte en feu, je sens encore sa respiration haletante, la chaleur que je ressens sur mes lèvres est insupportable. Je vois à peine ce qu’il fait car je ne peux bouger. J’ai envie de lui lever mon bassin pour lui faire engouffrer ma chatte dégoulinante de désir, mais j’en suis incapable. Je l’entends pour la première fois, sa propre voix, murmurer ‘tu es belle Darling Catou’ Maintenant je sais que c’est lui pour vrai, c’est le seul à me nommer comme ça. Je frémis. Quelques instants passe et tout à coup, je le vois sortir la langue, très légèrement mais avec une petite pression, débutant tout près de l’anus tout en montant sur le début de mes lèvres trempées et jusqu’à mon clitoris. Je ferme les yeux et j’explose d’un orgasme très puissant, électrisant, je lâche un cri de jouissance, l’orgasme est foudroyant sur un coup de langue seulement. L’extase sublime qui dure un temps interminable et qu’après s’estompe doucement. Je sursaute, premier vrai mouvement depuis le début de cette aventure, j’ouvre les yeux et il n’est plus là, combien de temps à durer ma jouissance, je ne sais plus, je sens les draps tout mouillé par mon orgasme. Je me lève aussitôt, non, je ne le vois pas, je vais rapidement à la fenêtre d’où je peux voir une auto bleu filler en trombe. Est-ce lui, je ne peux pas le dire. J’ai perdu l’espace temps avec cet énorme orgasme. Je n’ai rien entendu, car je jouissais trop fort, je le crains. Mais il n’y a personne dans l’appartement. Je me dis, c’est ça, tu as fait un rêve torride. J’ai soif, je vais prendre un verre d’eau à la cuisine, car ma bouche est sèche par la perte d’eau créé par mes émois si fantasmant. L’eau froide me fait revenir à ma lucidité que je croyais être durant tout ce temps. Je passe à coté de la note et j’y vois un ajout, en dessous de mon écriture primaire. <C’était magnifique>, je relis encore une fois car je n’avais pas écris cela. La même chose, <C’était magnifique>. Je relis encore et perçois que c’est mon écriture… pourtant je n’ai pas écris ça. Je me sens complètement perdu. J’ai les jambes qui tremblent encore mais j’ai le cœur léger. Je retourne à la chambre et regarde l’heure…… 2 :22 am. Je ne sais plus…..
Pour toi ma douce Darling Catou… De ton bel homme inconnu xxx

Si c’est positif comme Feedback, je vous écrirais notre prémière rencontre qui est assez torride !
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