Je vous livre ici mon premier texte. Un rêve que j’ai fait il y a quelques jours et que j’ai voulu retranscrire par écrit. Je suis debout au milieu de ta chambre quand tu rentres de ta longue journée au bureau.J’ai terriblement envie de toi. Je viens de passer la dernière heure à imaginer ce que je vais te faire et te faire faire.Tu pousses la porte de la chambre: "Salut!"Pour toute réponse je m’approche de toi, saisis sensuellement ta taille et ta nuque, t’attire à moi et t’embrasse. Pas un petit bisou à la dérobée, il s’agit de te faire sentir instantanément l’intensité de mon désir. L’attirance semble réciproque car tu me rends baisers pour baisers. Ta peau est douce et l’odeur de ton parfum est toujours gentiment entêtante après cette journée de taf.Je commence à te mordiller les lèvres pendant que ma main gauche s’accroche à tes fesses. Les toucher décuple encore mon excitation, il faut que je les voie, que je les palpe, que je les embrasse.S’ensuit une course à qui déshabillera l’autre le plus vite. Je nous arrête quand nous sommes tous les deux en sous-vêtements. Tu portes un de tes ensembles en dentelle noire que j’adore. Ton string dévoile ces fesses que je désire tant et ton soutien gorge met parfaitement en valeur ton opulente poitrine. L’espace d’un instant je visualise le mouvement que tes seins font quand tu me fais l’amour et je ne peux m’empêcher des les agripper. Hmmmmm...C’est un piège dont je m’extirpe à grand-peine. Ne pas céder à la tentation. J’ai d’autres projets pour nous.Je t’enlace à nouveau, te serrant fermement contre moi alors que ta main commençais à se perdre dans mon caleçon. Ma main sur ta nuque se fait plus forte et je reprend mon mordillage de lèvres sachant l’excitation que ça procure chez toi. Ta respiration s’accélère quand j’aventure à nouveau ma main sur tes fesses pendant que tu saisis fermement mon sexe. Doucement je tire ta tête en arrière, retire ta main de mon caleçon et déplace ma main droite sur ta gorge. Dans un murmure je te demande "Tu la veux?". Tu hoches la tête. Je continue "Tu penses que tu la mérites?"Ton expression change, interloquée un instant, tu décides de jouer le jeu et me réponds dans un sourire "Oui" — J’ai un doute, il va falloir me convaincre.— Qu’est-ce que tu as en tête?— Tu vas voir. Est-tu prête pour un petit jeu de soumission?— Oui, me réponds tu après une hésitation— Pas de problème si j’utilise un peu de force et/ou des mots crus? Je ressens un léger malaise à te demander ça mais je lis dans ton regard beaucoup plus de curiosité que de crainte, ce qui me rassure sur la suite des événements.
— Pas de soucis— Alright then, à genoux et les mains dans le dos ma belle. Mon premier ordre est doux, on peut facilement dire que je n’ai pas l’habitude de faire ça. Tu t’exécutes. Tu es maintenant à genoux, assise sur tes talons au milieu du grand espace libre de ta chambre, les mains tenant tes pieds.Je te contemple silencieusement. Tu me fixes, attendant la suite. Tes tétons que j’aperçois pointer au travers de la dentelle témoignent de ton excitation.Lentement je retire mon caleçon en disant simplement. "Tu ne bougeras que quand je te le dirais."C’est bandé à l’extrême que je m’approche de ton visage. Je m’avance jusqu’à ce que mon gland repose sur ton front. Tu te prêtes au jeu et reste parfaitement immobile. De la main droite je saisi mon sexe et commence à décrire de douces arabesques sur ton visage, effleurant les joues et le nez, descendant jusqu’au cou et remontant jouer à proximité de ta bouche. Une minute de ce traitement suffit à te faire craquer et tu essayes d’emboucher le gland passant à proximité.Ma réaction est immédiate. "Han han, on avait dit "Pas bouger!"" dis je en t’administrant un bifle sur la joue. Je m’écarte et vais m’asseoir dans le fauteuil, les jambes grandes écartées. — Viens par ici! Tu te retournes et sans te relever, viens me rejoindre langoureusement, approchant ton visage de mon entrejambe. — Tu la veux? Répétais-je— Oui— Ouvre la bouche. Voyons si ça peut faire l’affaire. Tu es donc à quatre pattes, le visage à quelques centimètres au dessus de mon sexe, la bouche ouverte, dans l’attente. Tu es belle. J’approche ma main de ta bouche et caresse tes lèvres de mon index avant des les humecter d’un peu de salive que je recueille sur ta langue. Mon majeur se joint à la fête et mes doigts se dirigent à l’intérieur de ta bouche, jouer d’abord avec le bout de ta langue avant de s’aventurer un peu plus loin. — Suce Tu refermes ta bouche et mime une fellation, chatouillant de ta langue la pulpe de mes doigts, aspirant et commençant à faire des va-et-vient avec ta tête. Le plaisir que tu prends à faire ça se lit dans tes yeux et sur ton visage. J’en suis particulièrement excité et mon sexe tressaute sur mon ventre à la vue de ce spectacle. En me contractant un peu j’arrive à l’envoyer tapoter contre ton cou. — Plus profond J’envoie moi même mes doigts en avant, approchant maintenant l’entrée de ta gorge. Tes yeux me lancent un regard de défi, l’air de dire "Trop facile". Ne me laissant pas déstabiliser je passe ma main gauche derrière ta tête et tenant ta nuque je t’annonce: "Il va falloir faire un peu mieux que ça si tu la veux vraiment." Continuant de pousser avec ma main droite, j’attire lentement ton visage de ma main gauche, jusqu’à ce que mes doigts ne puissent littéralement pas aller plus loin, puis les retire pour te laisser respirer. Tes yeux se sont légèrement embués mais tu ne dis rien."Ok, voyons combien de temps tu peux tenir maintenant." dis je avant d’enfoncer à nouveau mes doigts au plus profond de ta gorge. Je te tiens fermement, comptant les secondes dans ma tête. J’imagine que tu fais la même chose en me fixant comme tu le fais.Arrivé à une quinzaine de secondes tu essayes de te dérober, je te maintiens en disant "Quelques secondes de plus ma belle". Tu tentes de te calmer mais après quelques instants, gesticules à nouveau. J’attends le moment précis où je lis une étincelle de frayeur dans ton regard, puis relâche la tension et te laisse prendre une grande bouffée d’air, appréciant avoir jouer avec tes limites. Tes pommettes et tes joues ont rougies, tes yeux sont nettement plus embués qu’avant et tu salives énormément. Je te tends une main et t’invite à y déposer ta salive. Pendant ces quelques secondes où tu reprends ton souffle j’en enduis l’intégralité de mon sexe, ne pouvant résister à me masturber un peu au passage.Je me relève et du fait de notre position, tu te retrouve à genoux, mon sexe appuyé contre ton visage, y déposant au passage un peu de ta propre salive. J’attrape tes cheveux d’une main et tire ta tête en arrière, jusqu’à ce que nos regards se croisent. — Tu la veux? dis je pour la troisième fois.— Oui— Ok mais j’ai une condition, c’est moi qui mène la danse. Ne te laissant pas le temps de répondre j’accroche mon autre main à tes cheveux et t’attire jusqu’à ce que mon gland arrive au contact de tes lèvres. Tu ouvres la bouche et ta langue avide vient me lécher. Je te maintiens un moment dans cette position puis commence le plus lentement du monde à avancer mon sexe dans ta bouche. Enfin ta douce moiteur m’enveloppe. Quel pied déjà! Et je continue, millimètre par millimètre. Je sens petit à petit tes lèvres glisser le long de ma hampe et me couvrir de chaleur. C’est dur de ne pas céder à la tentation d’aller plus vite mais quel plaisir de pouvoir se concentrer autant sur ces sensations.Un peu plus loin je me sens m’insérer dans ta gorge. C’est mon moment préféré pour trois raisons. D’abord l’étroitesse du lieu enserre mon gland d’une façon délicieuse. Puis le fait que tu m’offres ça et qu’apparemment tu y prennes toi aussi du plaisir renforce le mien. Enfin, ce moment coïncide parfaitement avec le moment où ton nez entre en contact avec mes poils pubiens puis mon pubis, je ne sais pas pourquoi mais cette sensation m’a toujours particulièrement excité.Je me retire complètement avant d’être au max, et reviens à ma lente charge dès que tu as pu respirer correctement. Cette fois j’avance un peu plus loin, jusqu’à ce que je sente mon gland entier passer l’entrée de ta gorge. C’est tellement bon que je ne peux résister à faire quelque tout petits va-et-vient. Je m’attarde un peu trop longtemps à ton goût et tu me repousses légèrement. Je libère ta bouche en repoussant tes mains "Pas de ça!".Je ne te laisse qu’un court répit et tire à nouveau ta bouche le long de mon sexe, un peu plus rapidement cette fois car je suis bien décidé à atteindre le maximum. Mon sexe est intégralement dans ta bouche, la pression sur mon gland est à son comble et je sens tes lèvres à la base de ma hampe et ton nez s’écraser contre mon pubis. Je prend mon pied! Ma tête bascule en arrière à la recherche d’air et je manque de tomber en arrière. Je ne peux me résigner à bouger et toute dévouée que tu es à mon plaisir en cet instant tu me laisses en profiter quelques secondes de plus avant de réagir.Cette première vague de plaisir à eu raison de ma volonté, je me retire et décide de passer à la vitesse supérieure. Je fais décrire à ta tête de longs aller-retours pendant quelques minutes. Plus rapides. Plus rapides. Plus rapides! Mon souffle s’emballe complètement et je grogne de plaisir en sentant des frissons parcourir mon ventre et mon dos. Je commence à me retirer mais tu m’agrippes les fesses et me tires à nouveau en toi. Cette action de ta part est la cerise sur le gâteau de ma jouissance. J’explose dans un cri. J’explose dans ta bouche qui continue sans moi ses va-et-vient. J’explose sur ta langue qui caresse sans cesse mon frein, envoyant chaque fois une nouvelle décharge le long de mon dos. Cet orage orgasmique met à mal mon équilibre et je m’effondre rapidement sur le lit, où tu me rejoins. Je suis encore frissonnant de plaisir pendant qu’on passe de longues secondes à s’embrasser.Nos mains s’égarent sur nos corps et je sens sous mes doigts la dentelle de ton string.Tu n’es pas encore nue. Il va falloir y remédier rapidement.
